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Était-ce si mal de penser que quelqu'un était plus attirant alors qu'il était trempé dans le sang de ses ennemis ? 

Il y avait quelque chose de si… charnel là-dedans. La sensation que cela remua son estomac. Il se souvenait de la première fois où il avait ressenti cela. Les femmes étaient douces et inoffensives comparées à Shikamaru Nara. Je suppose que c'était pour ça qu'il n'avait jamais su qu'il faisait si chaud. 

Il y avait eu une tempête ce jour-là. Des nuages ​​​​sombres masquaient le soleil et les eaux autrefois calmes se transformaient en montagnes. Ils avaient été pris dans une embuscade tendue par des créatures sous les vagues. Le plancher du bateau était lisse et difficile à supporter. Pardessus déchiré, Hidan était trempé par une pluie froide. Soufflant et bouillonnant, il piétinait durement son ennemi. 

Des éclairs éclatèrent dans le ciel. Le bourdonnement dans ses oreilles couvrait tout le reste. Crachant la chose inutile, il s'accroupit sur le corps à ses pieds. Des frissons durs et impitoyables parcoururent son corps. Le grondement du tonnerre résonna dans ses os.

Il y eut un cri aigu et soudain, et une tête roula sur le pont devant lui. Hidan se leva, donna un coup de pied à la chose dégoûtante et suivit la trace de sang jusqu'à son corps.

Son visage vide se transforma en choc. La chaleur monta dans ses joues et dans son cou, et son cœur se mit à battre à tout rompre. 

"Oh." » sortit un murmure tremblant. Car Shikamaru Nara se retourna vers lui. vêtements plaquées sur sa peau. Ces boucles d’oreilles brillaient sous la lumière erratique. Il avait la tête penchée en arrière, les épaules montant et descendant à chaque souffle d'air. Il avait une coupure à la lèvre et du sang sur la langue qui l'atteignait. Ses kunaï étaient serrées à deux mains. Leurs lames ruisselaient de sang. Une botte reposait sur le corps décapité sous lui.

Il s'essuya le front, cracha une gorgée de sang et ricana.

"Quoi?" essuyant ses Kunaï sur sa cuisse, il détacha son élastiques. Secouant ses cheveux trempés et regardant ses mains.

Les mains d'un monstre. Un monstre qu'il voulait foutre en terre.

C’est ce qu’il a fait. Quand les pluies ont cessé et que le ménage a été fait. Tous les corps nourris aux requins, il suivit Shikamaru. Le Nara se dirigea vers les douches pour hommes. Hidan resta silencieux, la chaleur dans son ventre n'avait pas disparu. 

Il a épinglé shikamaru contre la porte de la douche. Tenant fermement ses épaules. Un genou entre les jambes pour qu'il ne puisse pas courir.

"Qu'est-ce que tu--" 

"Ferme-la." Hidan grogna, "tu t'es fait ça toi-même."

Shikamaru ne se posa aucune question lorsque Hidan se pencha pour lui dévorer le cou. Je n'ai pas posé de questions lorsqu'il a mis la main sur sa gorge. Ou quand il a désespérément déchiré son pantalon. En faisant passer une jambe bronzée autour de sa taille, Hidan soupira : 

"Bien, qu'attends tu " » demanda shikamaru.

"Hein?" Hidan cligna des yeux, puis fronça les sourcils et grogna. " Putain de salope, tu attendais ça ?"

Shikamaru sourit, "peut-être", et c'était une erreur. Hidan agrippa son autre cuisse. Il pressa tout son corps si étroitement contre Shikamaru que le cœur du Nara battait à tout rompre dans sa poitrine. Il respira fort dans l'oreille de shikamaru, se lécha les lèvres, et puis...

Shikamaru s'étrangla et haleta. Ses jambes tremblaient. Du sang figé coulait lentement sur sa poitrine et ses mollets. La coupure sur sa lèvre s'était à nouveau fendue, Hidan se pencha pour un baiser, ne serait-ce que pour goûter le sang sur sa langue. Shikamaru Nara, monstre redouté des mers, capable de tuer même les créatures les plus puissantes, était si souple et si joli en dessous de lui.

Cette connaissance était enivrante. Il pourrait se livrer à ce sentiment pour toujours. Juste baiser, baiser et baiser l'homme vicieux en dessous de lui. Un démon dont lui seul avait le contrôle. Qu'il pouvait faire pleurer et gémir comme un lâche. Hidan s'accrocha si fort à Shikamaru qu'il lui laissa des bleus. Des empreintes de paume dans des taches de sang épais. 

Ces mains, celles qui lui enfonçaient le dos, pourraient facilement le tuer. 

"Tu es à moi," grogna-t-il et shikamaru hocha la tête.

"Le tiens." » haleta-t-il, son estomac se serrant à chaque gémissement de gorge. Des clous déchirant la chemise de Hidan en lambeaux. 

"Bien." Hidan attrapa sa bite, "maintenant jouis pour moi. Jouis sur ma bite, putain."

Shikamaru hocha de nouveau la tête, fermant les yeux, comme s'il luttait contre une attaque de larmes. Avec un halètement soudain, un cri silencieux, son corps se saisit et se déforma. Il jouit, palpitant, dans la main de Hidan. Son sperme était mélangé au sang sur son ventre.

Hidan ne s'arrêta pas, pas après son arrivée, il ne s'arrêterait pas.

Pas avant que tout le monde sache exactement pour qui Shikamaru criait.

Fin.