🌪️Et dans la tempête et le bruit, la clarté reparaît grandie. 🌈

C'était la fin de journée, et Héléna et Lénie était vraiment très proches. Elles étaient d'ailleurs maintenant dans la cuisine, et Lénie avait pris la crème fouettée pour en mettre dans la bouche d'Héléna qui riait. Estimant qu'elle en avait assez, Héléna en avait fait de même avec la plus jeune, avant que les deux femmes ne commencent à se lancer des regards taquins. Lénie finit par dire.

« Héléna, ne me regarde pas comme ça.

Et je te regarde comme quoi ? 

Comme si j'étais ton dessert. 

Les deux jeunes femmes s'étaient mises à rire avant qu'Héléna ne réponde dans un murmure.

Et si j'ai envie que tu sois mon dessert ? »

Les joues de Lénie avaient viré au rouge écarlate, tandis qu'Héléna avait éclaté de rire avant d'attirer Lénie dans ses bras, pour le plus grand bonheur de celle-ci.


L'heure était venue de se coucher, mais Lénie n'entendait pas dormir seule. Les bras autour du cou de la blonde, elle avait arboré sa moue adorable.

« Dors avec moi cette nuit. 

On a déjà dormi ensemble et en plus, je croyais que tu dormais mieux seule. Répondit Héléna doucement.

Mais j'ai très bien dormi avec toi, tu es mon exception à ma règle. » Avoua Lénie.

Face à une telle déclaration, Héléna avait bien du mal à refuser. Néanmoins, elle y parvint, car elle souhaitait vraiment que leur relation évoluât progressivement, et puis Héléna n'assumait toujours pas.

« Tu as bien failli me convaincre, ma charmante Lénie, mais non, tu dors dans le tien et moi dans le mien. Si tu veux qu'on y aille progressivement, je ne pense pas que passer toute notre journée ensemble, ainsi que les nuits nous permettront d'avancer lentement. 

Lénie parut sceptique puis la relâcha.

Je ne sais pas de quoi tu as peur, mais c'est surtout que tu as peur, Héléna. 

C'est faux, je n'ai pas peur ! Déjà de quoi aurais-je peur ? S'offusqua Héléna.

 À toi de me le dire, je ne suis pas dans ta tête ! Bonne nuit alors ! »

Lénie déposa un bisou sur la joue d'Héléna, qui même si ce n'était qu'un bisou avait senti sa joue chauffer. Héléna avait espéré un autre genre de bisou, mais elle se contenta de lui souhaiter la même chose. 

Lénie avait rejoint son lit en bougonnant, trouvant son lit soudainement trop grand pour elle, après la précédente nuit qu'elle avait passée auprès d'Héléna. Quant à Héléna, dans un tout autre contexte, elle aurait dormi avec sa brune, mais se sachant filmer, elle préférait rejoindre son lit. 


Si la nuit avait été assez calme, les élèves se réveillèrent tous à cause de Lénie qui s'était mise à crier.

« Non, mais c'est une blague Héléna ? ! 

Cette dernière s'était réveillée en sursaut, comme les cinq autres élèves. Légèrement redressée dans son lit et l'esprit encore embrumé, elle demanda.

Qu'est-ce qui t'arrive Lénie ? 

Lénie la regarda avec furie avant de déclarer à très haute voix.

Tu me fais tout un cirque pour dormir seule et tu dors avec lui ? Tu sais quoi, Héléna, il fallait me le dire si tu préférais dormir avec lui ! 

Héléna ouvrit enfin ses deux yeux, mais ne comprit toujours pas de quoi elle parlait.

Déjà parle moins fort s'il te plaît, car c'est le réveil et ensuite de quoi tu me parles ? Évidemment que je dors seule ! 

Lénie tira alors sèchement sur la couette qui recouvrait Héléna. Seulement voilà, Pierre se trouvait bel et bien dans le lit d'Héléna, et avait même son bras qui encerclait le corps d'Héléna. Cette fois Héléna fut stupéfaite et demanda à Pierre.

Punaise, tu fais quoi dans mon lit, Pierre ?

Ce dernier, qui dormait encore à moitié, murmura.

Je ne sais pas, mais j'imagine que j'ai dormi avec toi.

Lénie s'était pris un véritable coup de massue et Héléna tourna son visage vers Lénie qui n'avait pas pu contenir ses larmes.

Lénie, je te promets, je ne sais pas pourquoi il est dans mon lit, mais on n'a rien fait ! 

Dévastée, Lénie se contenta de murmurer en les regardant avec un dégoût.

Restez bien à deux. Vous vous êtes bien moqués de moi ? C'était drôle Héléna de me faire croire à tout ça alors qu'en fait, tu es avec Pierre ? Bref, c'est bon, on en a terminé Héléna. »

Lénie s'en alla très vite, et le rythme cardiaque d'Héléna s'était emballé. Réalisant les propos de Lénie et son départ précipité, Héléna retira brutalement le bras de Pierre puis quitta son lit si vite qu'elle se cogna l'orteil dans le lit voisin. Après avoir poussé un juron dans sa langue, elle avait ignoré la douleur et s'était mise à courir pour rattraper Lénie. Finalement, elle la trouva en larmes dans la cuisine, et Héléna tenta de l'approcher, en vain dans un premier temps. 

« Dorénavant, tu te tiendras à au moins un mètre de moi ! Comment tu as pu me faire ça ? Tu as bien dû rire quand je t'ai fait part de mes sentiments. Lança la plus jeune qui pleurait à chaudes larmes. 

Ma Lénie, s'il te plaît écoute-moi...

Je ne suis pas TA Lénie ! Laisse-moi tranquille ! 

Lénie, réfléchis, si j'étais avec Pierre, je n'aurais pas avoué à ma famille que j'avais des sentiments pour toi ! »

Déclara Héléna d'une voix pleine de tristesse, tandis que ses yeux pétillaient par la même émotion. Lénie releva alors son regard sur Héléna, car c'était la première fois qu'Héléna exprimait clairement ce qu'elle ressentait et Lénie avait été doublement surprise en apprenant que sa blonde avait avoué ses sentiments à sa famille. Devant le silence de Lénie, encore surprise par ce qu'elle venait d'entendre, Héléna se rapprocha timidement, tout en restant à une certaine distance de la plus jeune. 

« Lénie, je peux comprendre ta réaction, mais s'il te plaît, n'oublie pas de réfléchir aussi. Jamais je n'aurais avoué à ma famille, si ce n'était pas vrai. »

Héléna était évidemment sincère, et même si Lénie lui en voulait profondément et était terriblement blessée, elle ne pouvait pas nier le fait qu'Héléna paraissait sincère. Lénie resta muette, alors que ses joues étaient toujours inondées par ses larmes. Héléna n'avait alors pas pu retenir ses larmes, étant émotive surtout lorsqu'il s'agissait de Lénie. 

Profitant de son silence, bien qu'inquiétant chez elle, puisque c'était la pipelette du château, Héléna en profita pour réduire la distance physique qui la séparait de Lénie. Elle s'était alors mise en face d'elle, de sorte que leurs corps puissent se frôler sans pour autant le faire, car Héléna voyait bien que Lénie restait furieuse et peinée. La blonde murmura alors.

« Lénie, si j'avais eu à dormir avec quelqu'un, cette personne aurait été toi, évidemment. Bien sûr que ça aurait été toi. D'ailleurs, je regrette maintenant, parce que si on avait dormi ensemble, on n'en serait pas là maintenant. Déclara Héléna d'une voix dépitée.

Alors pourquoi tu as insisté pour dormir sans moi, si ce n'était pas pour dormir avec lui ? Demanda froidement Lénie.

J'étais sérieuse quand je te disais que c'était pour qu'on y aille progressivement. Mais tu as raison, ce n'est pas la seule raison, mais ça n'a rien à voir avec Pierre. Termina rapidement Héléna en voyant les gros yeux de Lénie.

Ah ouais et quelle est donc cette mystérieuse raison, Héléna ?

Dormir avec une fille, ça me gêne, parce qu'ici on est filmés et tout ça. » Avoua Héléna en fixant le sol.

Lénie se mit à rire de façon glaciale. Héléna releva alors ses yeux pour les planter dans ceux de la brune. À cet instant, si les yeux de Lénie avaient été une arme à feu, ils auraient été une mitraillette. 

« Donc tu ne m'as peut-être pas trompée, mais tu es une grosse lâche qui a peur du regard des autres ? Super. Tu crois vraiment que je vais gober ça ? 

C'est pourtant la vérité, et je maintiens mes propos. Je n'ai rien fait avec Pierre et je suis aussi stupéfaite que toi de l'avoir trouvé dans mon lit.

Au mieux, tu as dormi avec lui, au pire, je ne veux même pas imaginer ! 

S'il te plaît Lénie, fais-moi confiance...

Confiance ? Tu sais ce que ça fait de trouver la fille qu'on aime dans le même lit qu'un autre ? Son bras autour de toi, tu ne l'as pas senti non plus, tu vas me dire ? 

Non, je dormais trop profondément visiblement. 

Tu ne sais pas ce que tu veux, Héléna, alors moi, je vais clarifier notre situation, toi et moi c'est terminé. Enfin, si pour toi ça avait commencé. »

Lénie s'en alla en fondant en larmes, et Héléna s'installa à la table avant de craquer dans ses bras. 


La journée avait été infernale pour les deux femmes. Tout le monde ayant assisté à la scène matinale, Julien en avait profité pour se rapprocher de Lénie et la réconforter, tandis que Pierre l'avait fait avec Héléna. Mais même si elles donnaient le change, les deux femmes souffraient énormément. Et si elles ne se cherchaient plus du regard, l'une comme l'autre avait lancé de nombreux regards à l'autre durant cette journée qui avait paru interminable. Parce que malgré tout, elles étaient amoureuses et leur connexion existait encore. 


Cependant, en fin de journée, Héléna s'était installée sur les marches situées à l'entrée du château. Avoir perdu Lénie alors qu'elle n'avait rien fait du tout, était horrible, mais la voir être réconfortée par Julien, l'était tout autant. Pierre était alors venu la voir et avait pris place à ses côtés pour passer son bras autour d'elle. Héléna finit par s'effondrer dans les bras de Pierre qui l'étreignit fortement. Il lui demanda alors.

« Tu es dans cet état à cause de Lénie ?

Oui, enfin, c'est à cause de la nuit dernière qu'on en est là. Murmura-t-elle tout en pleurant.

Mais sa réaction est disproportionnée. On aurait dit une crise de jalousie, comme si vous étiez en couple. » Lui fit remarquer Pierre. 

Constatant qu'Héléna ne disait rien, il demanda alors.

 « Vous étiez en couple ? »

Héléna s'écarta de ses bras puis essuya les larmes qui ruisselaient son visage. Elle murmura alors, stupéfiant Pierre par la même occasion.

 « Tout ce que je peux te dire, c'est que je suis amoureuse d'elle. »

Évidemment, Lénie avait assisté à la scène depuis le hall de l'entrée. Elle n'avait pas pu entendre ce qu'ils se disaient, mais elle avait vu Pierre étreindre Héléna, ce qui n'avait pas calmé Lénie du tout. Cette dernière était certes, très en colère et jalouse, car c'était normalement elle qui aurait dû être aussi proche d'Héléna, mais elle était aussi écœurée, car il semblait qu'Héléna lui eût bel et bien menti. Elle monta alors puis s'isola un moment. 


C'est en sortant des toilettes qu'elle entendit la voix de Pierre. En temps normal, elle s'en serait moquée, surtout qu'actuellement, elle n'avait qu'une seule envie, celle de le tuer, mais il avait prononcé le prénom d'Héléna. Elle se rapprocha alors, puis les entendit discuter alors qu'eux se trouvaient dans le hall.

« Pierrot, le principal est que le plan ait fonctionné non ? Le champ est libre alors fonce. Déclara Julien qui semblait jubiler.

À quel prix, Julien ? Héléna est malheureuse et Lénie n'est pas mieux non plus.

T'inquiète, moi je gère Lénie. D'ailleurs, on s'est rapprochés aujourd'hui, c'est un bon début.

Vous vous êtes rapprochés uniquement, car elles se sont disputées ou je ne sais pas quoi.

C'est quoi ton problème ? Tu devrais être heureux non ? 

Je suis peut-être amoureux d'Héléna, mais la conquérir de cette façon, c'est déloyal et méprisable. Avoua Pierre.

En tout cas, ton bras autour d'elle nous a bien aidés. Tu était censé juste t'allonger à ses côtés en fin de nuit pour que Lénie vous trouve dans le même lit. Lui rappela Julien.

Il n'y a pas de quoi en être fier ! C'est méprisant ce qu'on a fait, et mon bras autour d'Héléna, franchement ce n'était pas spécialement voulu. Je me suis vraiment rendormi, et je crois que je l'ai fait totalement inconsciemment.

Héléna ne s'en est pas plainte ! 

Héléna dormait vraiment à poings fermés. Elle n'a même pas bougé quand je me suis glissé dans son lit, parce qu'elle ronflait légèrement !

Bof, peu importe. À nous les filles ! S'exclama Julien.

Julien, ton plan finira par tomber à l'eau, tôt ou tard. Finit par déclarer Pierre en repensant aux derniers mots qu'Héléna lui avait confiés.

Pourquoi ça ? Tu as l'intention d'aller tout avouer à Lénie ? Plaisanta Julien.

Non, parce qu'Héléna m'a clairement dit qu'elle était amoureuse de Lénie. »

Lénie se recula tellement que son dos rencontra la porte des toilettes. Son rythme cardiaque battait très fort et elle avait du mal à en croire ses oreilles. 


Héléna pianotait tristement dans le salon. Djebril, Axel, Candice l'observaient. Si les trois étaient très proches de Lénie, ils l'étaient autant d'Héléna, alors l'humeur générale était morose. Soudain, Lénie débarqua dans le salon, sous les regards interrogateurs des trois autres élèves. Héléna ne prêta pas attention à Lénie, poursuivant sa composition qui semblait parler d'une histoire d'amour impossible ou vouéé à l'échec. Lénie l'interrompit alors.

« C'est triste. C'est toi qui l'as composée ?

Parfois, la vie est triste. Oui, ça m'est venu tout naturellement.

Comment s'appelle ta compo ?

J'imagine qu'elle pourrait s'intituler, Lénie. »

Lénie la regarda les yeux pétillants puis lui murmura.

« Est-ce qu'on peut parler ? 

On peut le faire ici. Répondit Héléna.

Juste toi et moi, à moins que tu aies peur de quelque chose qui m'échappe encore.

Tu me cherches encore, Lénie ? ? 

D'accord, je laisse tomber, Héléna. »

Lénie avait quitté le salon, puis après avoir fait un détour par la salle de bains était partie s'allonger dans son lit. Elle observait le plafond depuis de longues minutes, lorsqu'elle remarqua la présence d'Héléna qui s'assied alors sur le bord du lit de la plus jeune.

« Journée compliquée Lénie. Alors de quoi tu voulais me parler ? » Interrogea alors Héléna qui craignait qu'encore une fois, Lénie ne lui reproche quelque chose qu'elle n'aurait pas fait. 

Au lieu de cela, Lénie qui avait les bras croisés sous sa tête, rapporta alors toute la conversation qu'elle avait surprise entre Julien et Pierre. Une fois la conversation rapportée, Héléna s'était levée et s'était apprêtée à quitter la chambre, mais Lénie avait bondi de son lit pour la retenir. Héléna était furieuse et bien décidée à s'expliquer avec Julien.

« Laisse-moi aller lui régler son compte ! Fulmina Héléna.

Quand tu te seras calmée, je ne tiens pas à ce que tu te fasses virer ! 

Qu'est-ce que ça peut bien te faire ? Tu m'as quittée non ? Rétorqua Héléna d'une voix plus triste qu'énervée.

Et j'ai été incroyablement conne, et je te demande de me pardonner, Héléna. Je suis impulsive, tu le sais bien. C'est parce que je suis trop amoureuse de toi ça. 

Je trouve ça un peu trop facile.

Tu t'es mise à ma place, Héléna ? Si tu veux, je passe le restant d'une nuit dans les bras de Julien et tu verras par toi-même ce que ça te fait.

Sans façon. Et puis je te trouve bien calme, toi. Dit alors Héléna en observant Lénie.

Il faut dire que Pierre a dit quelque chose à Julien qui m'a à la fois satisfaite et calmée. 

Et quoi ? Interrogea Héléna.

Il lui a dit que tu lui avais avoué tes sentiments pour moi. »

Héléna sentit ses joues rougir en fixant longuement Lénie. Finalement, elle demanda à la plus jeune.

« Et qu'est-ce que ça change ? Tu n'as pas confiance en moi.

Héléna, ça change tout. Cela veut dire que tu assumes tes sentiments pour moi. C'est faux, je me suis trompée ce matin, mais je ne pouvais pas imaginer qu'il s'agissait d'un plan diabolique destiné à nous éloigner l'une de l'autre. Mais je suis désolée, j'aurais dû te croire. »

Héléna et Lénie échangèrent un très long regard puis constatant que le silence devenait pesant, Lénie avait détourné son regard et était descendue rejoindre les autres dans le salon. Elle s'installa entre Axel et Djebril, et les deux lui firent un immense câlin. De son côté, Héléna avait opté pour une solution radicale. 


Une fois dans le salon, et après avoir lancé un regard à Lénie, Héléna s'était installée au piano. Le stress l'avait gagné, d'autant que Julien tentait d'attirer l'attention de Lénie, agaçant encore plus Héléna. Finalement, elle se lança et joua sa composition. Tous les élèves s'étaient tus, car Djebril leur avait demandé de se taire pour profiter de la chanson d'Héléna. Lénie reconnu une partie de la chanson qui lui était donc destinée, et l'écouta plus attentivement, totalement captivée par la blonde. À la fin de sa chanson, le silence avait régné, car les mots d'Héléna étaient simples, mais clairs et efficaces. Elle se leva alors, tandis que Lénie avait les yeux embués de larmes puis se dirigea vers elle et lui tendit la main. Lénie ne se fit par prier et rapidement, elle se retrouva dans les bras d'Héléna. Tous les dévisagèrent, même Julien. 

« Pour que les choses soient claires une bonne fois pour toute, mon cœur n'est plus à prendre, et celui de Lénie non plus. Autrement dit, Lénie et moi, nous sommes ensemble. »

Et comme pour le prouver aux deux énergumènes qui avaient voulu les séparer, Héléna attrapa doucement le visage de celle qu'elle aimait puis après avoir plongé ses beaux yeux dans les siens, la jolie blonde avait déposé ses lèvres sur celles de la plus jeune et lui avait alors donné un long, mais doux baiser. Après un long moment pendant lequel le baiser s'était éternisé, leurs lèvres se séparèrent, et Djebril bondit du canapé pour venir les étreindre toutes les deux.

« Il était temps ! » S'exclama-t-il heureux.

Axel imita Djebril, et Candice se leva à son tour, ravie pour ses deux amies.


Si Pierre n'était pas surpris, pour Julien, c'était la douche glaciale.


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Coucou 🦇,

J'espère que vous allez bien.

Voilà pour ce nouveau chapitre, nettement moins calme que le précédent 🙊.

Mais vous noterez que tout n'est pas sombre dans ce chapitre. 

Qu'en avez-vous pensé ? Qu'attendez-vous pour la suite ? 🙊.

Prenez soin de vous 🙏

Merci mille fois pour votre soutien (messages, votes, commentaires) 🤍.

Date de publication : 22.02.2024









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