(Malgré mon atèle, j'avais très envie de vous mettre ce chapitre. De un parce que ne pas écrire est impossible. C'est vital pot moi. Et de deux, ce chapitre ravira sûrement les fans des Heazter. Je n'en dis pas plus)

SCÈNE HOT VERS LE MILIEU.

Dans l'ascenseur, le silence règne. Wazter n'a pas dit un mot depuis que je lui ai fais un câlin -inattendu- quand il m'a dit qu'on dormait dans la même chambre. Ma réaction à certes été excessive, mais il n'y a pas de raisons pour qu'il me fasse la gueule. A part si Monsieur est vraiment en couple avec Pimbêche.

C'est le surnom que j'ai donné à sa blondasse. Elle a vraiment une tête de pimbêche.

En sortant, nous longeons un immense couloir et nous cherchons la porte 617.

Ça me saoule.

- Pourquoi tu parles pas ? je lui dis.

Il me regarde furtivement.

- Et toi, pourquoi tu parles pas ? il réplique.

- Bah j'ai parlé.

- Oui mais pourquoi t'as pas parlé avant ?

- Parce que tu parlais pas non plus.

- Mais si t'avais jamais parlé peut-être que j'aurais parlé.

- Ouais mais t'as pas parlé.

- Bah là je parle.

- Mais t'aurais dû parler avant.

Il soupire. Je soupire.

- Endirais des gros gamins, je souffle.

Il s'arrête dans sa marche et je me retourne vers lui.

- Désolé d'avoir réagi comme ça. Je savais pas trop quoi faire.

Je lui sourie doucement.

- T'inquiète pas Ivre-mort, moi non plus.

Il pouffe et attrape ma main, que je serre.

Cette attirance que j'ai toujours eu envers lui me trouble énormément. Wazter est envoutant.

La porte 617 se tient sur notre droite et à l'aide de la carte, nous l'ouvrons.

Nos bagages sont déjà ici et l'immense lit king size nous salut. Une grande baie vitrée nous donne une vue imprenable sur Central Park et ses grands arbres, tandis qu'une simple baignoire ancienne trône dans le coin de la chambre.

Wazter se jette sur le lit, les chaussures pleines de boues.

Salopard.

- Tes chaussures sont dégueulasses, t'aurais pu les retirer, je dis d'un air de reproche.

Il rigole et balance ses chaussures devant moi.

- T'es maniaque ? il demande.

Je ramasse ses chaussures et les lance dans la baignoire.

- Non je suis très bordélique mais il y a une limite au bordel.

Tandis que je me penche pour prendre ma valise, je reçois un t-shirt sur la gueule.

...

- PUTAIN MAIS ARRÊTE OU JE VAIS TE BALANCER PAR LA FENÊTRE WAZTER CADEN KAL TREND ! je hurle.

Je me retourne, le visage rouge de colère et un t-shirt gorgé de transpiration dans la main.

Wazter se tord de rire sur le lit, torse nu et la ceinture de son pantalon défaite.

Il est affreusement sexy mais je suis aussi très en colère contre lui.

- Tu.. ta tête quand tu.. t'es retournée.. c'était phénoménale.. il dit en rigolant.

Je vais me vengé. Et pas qu'un peu. Monsieur se la joue sexy mais énervant. Soit. Il va lui aussi avoir le droit à du sexy énervant.

Je pose délicatement son t-shirt sur le lit et je retire ma veste. Wazter rigole encore comme un fou furieux sur le lit. Il va moins rigoler dans 5 minutes...

Je fais passer doucement mon t-shirt noir par dessus ma tête et le jette dans la baignoire. Désormais, je suis en soutient gorge noir à dentelle au niveau du haut. Je retire mon collier ras-du-cou et le laisse tomber à mes pieds.

Dans ma tête, je n'ai qu'une chose. La chanson que je met pendant nos vidéos avec les filles.

Je secoue mes cheveux doucement et alors que je m'apprêtais à déboutonner mon jean, une main m'arrête.

- J'en ai un peu trop vu, c'est bon, il souffle tout près de moi.

Sa main sur la mienne, nos bouches à quelques centimètres, moi en soutient gorge, lui torse nu.

La seconde d'après, Wazter colle brutalement ses lèvres aux miennes, désespérément.

Je crochète mes mains derrière son cou et répond à son baiser.

Il n'y a plus rien. Plus de Matt, plus de contrat, plus de secrets, plus de doutes, juste quand je pose mes lèvres sur les siennes.

Wazter attrape mes fesses et j'enroule très rapidement mes jambes autour de son bassin. Nos langues s'entrechoquent et s'enroulent, et mes mains fouillent ses cheveux frénétiquement.

La demi seconde d'après, mon dos claque contre le mur mais je ne sens même plus la douleur, je ne ressens que cette passion dévorante qui me pousse vers ce garçon mystérieux, drôle, possessif, protecteur, rancunier et terriblement jaloux.

Les lèvres de Wazter passe des miennes à ma mâchoire, qu'il dévore de baisers langoureux.

- Paradis, arrête moi maintenant... il me supplie, haletant.

Je secoue la tête. Impossible de ne pas en finir, nous sommes tout les deux trop connectés pour laisser ça comme ça.

Il hoche la tête, signe qu'il a comprit que j'irais jusqu'au bout.

Wazter passe doucement ses mains dans mon dos et détache mon soutien gorge habilement. Les bretelles toujours sur les épaules, il ne voit pas encore mes seins. Ses mains caressent mon dos nu, tandis qu'il continue de butiner mon cou.

Si on m'avait dit il y a environs deux semaines que je coucherai avec le frère jumeau d'Ametyst, dans un hôtel de luxe devant tout New-York, j'aurai sûrement rigolé.

Mais là, plus personne ne rigole.

Wazter retire mes bretelles, mais ne s'intéresse pas à mes seins nus, puisqu'il reprend sa route vers ma bouche et m'embrasse avidement. Ma poitrine nue collée à la sienne, nos respirations haletantes, tout est parfait.

Wazter remet ses mains sur mes fesses et enjambe nos vêtements pour me déposer sur le lit gigantesque.

Alors, sa y est ? Je vais vraiment coucher avec le frère jumeau de ma meilleure amie ?

Je chasse toutes ses idées de ma tête et continue à embrasser Wazter, qui retire son pantalon.

Le stress.

L'appréhension.

Et quelqu'un toque à la porte.

- Room service ! crie une voix aiguë.

Wazter grogne et pose sa tête dans le creux de mon cou.

Je soupire de frustration.

Merde mais elle pouvait pas venir plus tard ?

Wazter se lève péniblement et remet son pantalon, la mine énervée.

Je me redresse, le cerveau encore brouillé.

Et voilà que je me retrouve encore dans ses vieux romans où la fille et le garçon sont toujours interrompus.

Grr..

J'attrape le t-shirt de Wazter qui traîne au bout du lit et l'enfile rapidement.

- Non, on ne veut pas de vos crèmes pour le corps... Mais puisque je vous dis qu'on a tout ! Bonne journée, j'entends dire la voix de Wazter sèchement.

Quelques secondes plus tard, il est dans la chambre.

- On allait vraiment le faire ? il me demande, en s'asseyant à côté de moi sur le lit.

Je me mords la lèvre et hoche la tête.

Wazter attrape ma tête entre ses deux mains et cajole mes joues de ses pouces.

- On va pas y aller aussi vite, ok ? Change toi, on va joué aux touristes main dans la main, et surtout Paradis, ne te bloque pas. Je sais que tu vas réfléchir à tout se qu'il vient de se passe pendant des siècles, alors je t'en supplie ne le fait pas. Juste cette fois, ok ? il me dit doucement.

C'est fou comment sa voix m'apaise.

Je hoche doucement la tête et dépose un petit baiser sur ses lèvres.

- D'accord.

√√√

Je vais me faire taper dessus. Je le sens.

Il fallait bien que ça arrive ! J'aurais adoré voir vos têtes quand vous avez lu la phrase

"Et quelqu'un toque à la porte"

Vous ne m'en voulez pas trop, j'espère ?

Et ce passage un peu hot, vous en pensez quoi ?

Vous en voulez plus ? Vous avez aimé ? C'était nul ?

Dites moi tout !

Et oui, je n'ai pas pu m'empêcher d'écrire. C'est plus fort que moi. Malgré l'atèle que j'ai, je voulais absolument vous mettre un chapitre.

Bisous !