Chapitre 35
Sicheng se décida finalement à rentrer. Il avait passé une trentaine de minutes à crier des excuses à Taeil à travers la porte, espérant que celui-ci finisse par lui ouvrir, mais ça n'avait pas été le cas. Il poussa la porte de l'appartement, le cœur serré, les yeux gonflés et le visage rougi par les sanglots. « Ah, Sicheng ! Tu tombes bien ! Je voulais justement te parler d'un truc, lança Yunoh en le voyant entrer. Sicheng... ? Que se passe-t-il... ? » Le coréen se leva et se précipita vers son meilleur ami pour le prendre dans ses bras.
« - De quoi voulais-tu me parler ? demanda Sicheng d'une voix éteinte.
- Euh... J'ai fais une petite bêtise, mais je ne suis pas sûr que ce soit le moment de te le dire. Tu ne m'as pas l'air très bien, répondit Yunoh en lui passant une main dans les cheveux tout en l'inspectant.
- Je pense que je peux encaisser. Je ne suis pas à une mauvaise nouvelle près... lui rappela le chinois en allant s'asseoir sur le canapé. »
Yunoh se pinça les lèvres et expliqua : « J'ai fais un peu de rangement ce matin et j'ai accidentellement fais tomber le cadeau de Taeil. La rose est intacte mais le lobe en verre s'est brisé. » En entendant cela, Sicheng se recroquevilla sur lui-même et mit sa tête dans ses bras en pleurant.
« - Mais ne t'en fais pas, ajouta le coréen en venant s'asseoir à côté de lui. Je t'en rachèterai un le plus tôt possible.
- J'ai tout gâché entre Taeil et moi, pleura Sicheng.
- Qu'est-ce que tu vas chercher encore... ?
- J'ai fais la plus grosse des erreurs et Taeil ne me pardonnera jamais. »
Sicheng releva la tête vers son meilleur ami. « Que se passe-t-il... ? » Le chinois expliqua la situation à son meilleur ami, qui l'écoutait attentivement, depuis l'achat dangereux de Taeil, à son regard froid lorsqu'il avait fermé la porte quelques minutes plus tôt. Yunoh était complètement sidéré par cette histoire et resta silencieux plusieurs secondes après l'explication de son meilleur ami, avant que son visage ne s'assombrisse et qu'il ne se lève en prenant sa veste :
« - Que fais-tu ? lui demanda Sicheng.
- Je vais couper la bite de Taemin. »
Le chinois se leva à son tour et se précipita sur son meilleur ami en pleurant à chaudes larmes :
« - Non ! Reste avec moi ! Je t'en supplie... Ne me laisse pas tout seul...
- D'accord, d'accord, calme-toi. »
Les deux amis retournèrent sur le canapé et Yunoh ne put s'empêcher de dire, curieusement :
« - Comment as-tu pu confondre Taemin avec ton petit ami... ?
- Ne commence pas à me juger, s'il te plaît. J'ai déjà assez honte comme ça, pas besoin d'en rajouter.
- Excuse-moi, Sicheng... J'essaye juste de mettre tout ça au clair...
- J'ai peur de le perdre, Yunoh...
- Laisse-lui le temps de digérer ça. Je suis sûr qu'il te pardonnera. Comment pourrait-il t'en vouloir d'avoir été piégé ? Si tu me dis la vérité, et je suis sûr que c'est le cas, c'est Taemin qui a fait une connerie, pas toi. Montre simplement à Taeil que tu l'aimes, comme tu l'as toujours fais. »
Le chinois baissa les yeux, réfléchissant aux paroles de son ami puis dit doucement :
« - Taeil disait que tant que notre rose était protégée, notre amour serait infini...
- Sicheng, ce n'est qu'un objet. Je peux comprendre que ça te tienne à cœur mais ce n'est pas ce bout de verre qui changera quelque chose à ta relation avec Taeil, le rassura Yunoh. Tu sais très bien à quel point il tient à toi. Va lui parler demain. Il aura eu le temps de réfléchir dans la nuit et tu auras eu le temps de te reposer un peu. Les choses s'arrangeront sûrement. Tu as déjà assez souffert comme ça, Sicheng. »
Le plus jeune acquiesça et s'allongea dans les bras de son meilleur ami.
« - Ne va pas t'en prendre à Taemin, s'il te plaît. J'ai déjà assez de problèmes comme ça. Je veux juste l'oublier...
- Si c'est ce que tu veux vraiment, je n'irai pas le voir. Par contre, si je le croise, je te jure que je l'envoi à l'hôpital. »
Le plus jeune ne répondit rien.
« - Personne n'a le droit de te faire du mal, Sicheng... Comment tu te sens ? Je veux dire, par rapport à ce que Taemin t'as fais... ?
- Je ne veux pas parler de ça, Yunoh.
- Comme tu voudras... Mais tu sais que je suis là si tu en as besoin. »
Son meilleur ami se tut et se contenta de passer sa main dans ses cheveux pour le rassurer.
~
Le lendemain, Sicheng passa de longues minutes devant la glace de la salle de bain, essayant de cacher les traces qui montreraient la mauvaise nuit qu'il venait de passer. Il respira un bon coup et sortit de l'appartement, après que Yunoh lui ait lancé : « Ne te décourage pas, Sicheng ! » Il avait beaucoup réfléchi à ce qu'il allait dire à son petit ami. Il comprenait que Taeil ait réagit ainsi, mais il voulait s'assurer que le coréen ne lui en voudrait pas trop longtemps. En arrivant devant la porte d'entrée, il essaya de se détendre puis toqua. La tête de monsieur Moon apparut dans l'encadrement. Il affichait une expression sérieuse, qui donna des frissons à Sicheng.
« - Bonjour, monsieur, le salua le chinois en s'inclinant. Je voulais voir Taeil...
- Il est sorti, répondit le père de famille.
- Oh, où ça ?
- Je n'en ai aucune idée. Il m'a dit qu'il avait besoin de prendre l'air. »
Sicheng se mordit les lèvres et s'apprêta à dire quelque chose mais monsieur Moon le coupa :
« - Tu veux bien m'expliquer ce qu'il se passe ? Taeil s'est à nouveau enfermé dans la salle de bain toute la journée d'hier et toute la nuit. Il n'a fait que pleurer et ne veut pas m'adresser la parole, expliqua froidement l'homme, en attente d'explications.
- Je ne veux pas faire souffrir Taeil ; c'est pour ça que je suis ici. J'ai fais une bêtise et je veux me racheter. C'est un garçon génial et je l'aime réellement. Je ne veux pas le rendre malheureux... N'avez-vous vraiment aucune idée de l'endroit où il pourrait être ?
- Depuis quelques temps, Taeil ne me raconte plus grand chose, tu sais. Tu es son petit ami, tu dois sûrement en savoir plus que moi. Sicheng... »
Monsieur Moon marqua une pause puis reprit, insistant :
« - J'espère vraiment que tu ne me décevras pas. J'ai toujours pensé que tu étais quelqu'un de bien, alors si j'apprends que tu fais du mal à Taeil, je me verrais obligé de t'éloigner de lui et je serais sans pitié. Mon fils a assez souffert comme cela et personne, je dis bien personne, n'a le droit de jouer avec son cœur.
- Je vous jure que je ne veux que son bonheur... répondit Sicheng d'une toute petite voix. »
Le père de Taeil le fixa, acquiesça puis ferma la porte. Sicheng passa ses mains sur son visage et se mit à insulter Taemin de tous les noms dans sa tête. Il le détestait de l'avoir mit dans une situation pareille. Mais il se détestait encore plus de s'être fait avoir et d'avoir été aussi stupide pour ne pas faire la différence entre ce gars et son petit ami. Le chinois se mit à réfléchir, se demandant où pouvait être allé Taeil, et c'est alors qu'il eut une idée.
~
Sicheng n'avait jamais couru aussi vite. Il mit de très longues minutes avant de trouver l'endroit qu'il cherchait puis finit par voir les arbres au loin. Il continua sa course sur le sentier, oubliant le point de côté qui le faisait souffrir, puis passa entre les branches, s'écorchant à nouveau la peau. En arrivant dans la clairière, le regard de Sicheng fit un tour de l'endroit, à la recherche de Taeil. Il se remit à courir vers le grand arbre et fut soulagé de voir une jambe en dépasser. « Taeil ! J'étais sûr de te trouver i... » Le chinois se tut immédiatement, analysant la situation, et son cœur se serra. Taeil était assit, le dos contre l'arbre sur lequel leurs initiales étaient gravées, et il tenait dans sa main une arme, qu'il pointait sur lui en tremblant.
« - Taeil... Repose ça, s'il te plaît... dit le chinois d'une petite voix en se mettant à genou à côté de lui.
- Ne t'approche pas, répondit l'aîné d'une voix totalement neutre.
- Taeil, je t'en supplie. Lâche ce truc... »
Sicheng ne put retenir un sanglot après avoir dit cela. Cette vision de son petit ami lui était insupportable et lui brisait le cœur. Quand à Taeil, il semblait ne plus avoir assez de larmes pour pleurer et son visage était meurtri par la douleur, la tristesse et la fatigue.
« - Qu'est-ce que ça changera ? reprit le coréen sur le même ton. Je suis déjà mort.
- Non, Taeil, c'est faux...
- Tout le monde sait que j'étais déjà brisé après le départ de Yeongho. Tu as éteint la dernière flamme qu'il me restait...
- Je peux me rattraper. Je te promets de ne plus jamais te faire souffrir. J'ai été égoïste et idiot. Tu ne peux pas savoir à quel point je me sens coupable, mon ange. Je t'aime tellement... »
En disant cela, Sicheng approcha sa main de celles de Taeil, mais celui-ci lui jeta un regard noir. « Ne me touche pas ! » grogna-t-il. Le chinois retira vivement sa main, effrayé par son amoureux.
« - Comment as-tu pu me confondre avec un autre ? Je suis si banal que ça ? Il a dû vraiment bien si prendre pour que tu ne te poses aucune question. Ou alors, tu étais trop occupé à trembler de plaisir dans ses bras alors qu'il prenait soin de toi...
- Arrête, Taeil... Savoir ça me donne envie de vomir. Ce n'est pas un bon souvenir pour moi. C'est avec toi que j'ai aimé le faire, pleura Sicheng.
- Tu sais ce qui est drôle ? dit Taeil, en continuant de fixer l'arme et en riant nerveusement. C'est que pendant que je passais la pire nuit de ma vie, à me faire torturer pendant des heures rien que pour toi, tu étais en train de jouir pour ce gars. On gémissait tous les deux le prénom de l'autre ; moi dans la douleur et toi, dans le plaisir...
- Je suis sincèrement désolé... Je ne savais pas ce que tu avais en tête, Taeil. J'aurais voulu t'aider, me faire torturer à ta place mais je n'en savais rien...
- Une idée fixe aboutit à la folie ou à l'héroïsme... On dirait bien que je suis dans la première catégorie... Et j'ai l'habitude, Sicheng. Ne t'en veux pas. Je ne serais jamais heureux, c'est comme ça. Yeongho l'a dit, il y a les dominés et les dominants, et je suis tout en bas de l'échelle. Mais, bientôt je ne serais plus là et je pourrais enfin être en paix.
- Tout ce que tu dis là est faux. Et tu ne dois pas écouter ce que raconte ce connard. Il a simplement cherché à se jouer de toi. Il te faisait croire que tu n'étais rien alors que tu es une personne exceptionnelle. Mais maintenant, tu es avec moi. Et je vais te rendre heureux, t'aimer de tout mon être. Je ne ferai plus jamais d'erreurs et je te prouverai que tu mérites tout le bonheur du monde.
- De toute manière, je suis inutile, je ne sais rien faire à part pleurer et m'apitoyer sur mon sort. Mon existence ne manquera à personne.
- Tu es un incroyable chanteur et guitariste, Taeil. Souviens-toi, Min Yoongi a dit que tu avais du potentiel. Il te suffit de saisir des opportunités et tu pourrais vivre de ta passion. Et tu sais bien que tu me manquerais à moi.
- Comment est-ce que je pourrais te manquer ? J'ai tué tes parents, Sicheng. Je suis un monstre. Tu serais bien mieux sans moi.
- On a déjà parlé de ça... Ce n'est pas ta faute... Et si tu ne poses pas cette arme pour moi, pense à ton père et ton frère... Beaucoup de personnes t'aiment... Ce n'est pas la solution... »
A l'entente de ces deux personnes, le visage de Taeil sembla se radoucir et il trembla un peu plus. « Rentrons, Taeil. Tu iras prendre un bon bain et pendant ce temps, je te préparerai quelque chose à manger. Ensuite, tu iras te reposer car tu en as bien besoin. Et je te fais la promesse que nous serons heureux » expliqua Sicheng en se calmant à son tour. Taeil ferma fortement ses paupières avant de les ouvrir à nouveau et de déclarer froidement : « C'est fini, Sicheng. » Le chinois écarquilla les yeux, n'étant pas sûr d'avoir bien entendu.
« - Quoi ?
- C'est fini. Tout est fini.
- Taeil, je trouverai comment me racheter. Je sais que ça ne se fera pas en une semaine mais laisse-moi le temps de me faire pardonner.
- J'ai été heureux de te connaître. »
Cette phrase eut le don de faire taire Sicheng, qui se remit à pleurer. « Non, non, je t'en supplie, je n'ai plus que toi, Taeil. S'il te plaît, je t'aime tellement. Qu'est-ce que je peux faire pour que tu me pardonnes ? » En l'entendant parler ainsi, Taeil posa ses yeux sur lui et vit le garçon qu'il était l'année passée.
« - Tu es en train de devenir aussi pathétique que moi, Sicheng. Je suis en train de t'entraîner avec moi. On devait être un couple parfait, et je ne fais que te faire pleurer et te détruire. Tu devrais t'en aller maintenant, avant qu'il ne soit trop tard.
- On va visiter des appartements ensemble la semaine prochaine, d'accord ? reprit Sicheng, comme si son petit ami n'avait rien dit. Et on prendra le temps de parler...
- Va-t-en ! dit Taeil un peu plus fort, faisant sursauter son amoureux.
- Mon ange... »
Taeil fixa le chinois avec ses yeux sombres et tourna son arme sur lui. Sicheng mit lentement ses mains devant lui, comme pour se protéger et lui jeta un regard apeuré en tremblant. Il n'arrivait plus du tout à reconnaître son petit ami. Il semblait totalement rongé par la haine et la souffrance. Le jeune homme qui l'avait abordé avec un si beau sourire dans la bibliothèque avait totalement disparu. Il ne restait plus rien du coréen qui aimait faire quelques blagues et consoler Sicheng de sa douce voix. « Je t'ai dis de t'en aller ! » Le chinois ne bougea pas, complètement déboussolé.
« - Si tu ne pars pas, je te tire dessus !
- Je reviendrai te voir demain, quand tu seras calmé... dit Sicheng en tremblant.
- Non. Je ne veux plus te voir. Ne cherche plus à me contacter ou à me parler. Tu n'existes plus pour moi. »
Sicheng se releva doucement, regardant l'arme en pleurant.
« - Ne fais pas de bêtises avec ça, je t'en supplie...
- Ce que je fais ne te regarde plus. Dégage, maintenant.
- Sache que je t'aimerais toujours et que je ne t'oublierai jamais...
- Dégage ! hurla Taeil à plein poumons. Dégage ! Dégage ! »
Sicheng put voir une dernière fois l'écorce de l'arbre représentant leur amour avant que sa vision ne soit complètement flou à cause des larmes. Il marcha à reculons en trébuchant, n'osant pas tourner le dos à Taeil. Puis, il finit tout de même par faire demi-tour et disparut derrière les arbres. Et alors qu'il s'en allait, des larmes se mirent à couler sur les joues de Taeil et il laissa échapper dans un murmure : « Tu étais tout ce que j'avais... »
Quand Sicheng arriva vers la route, il se laissa tomber sur le trottoir, en pleurs, le corps secoués de violents spasmes. Le monde disparaissait autour de lui, le laissant dans une profonde détresse. Des passants le dévisageaient, se demandant s'il revenait d'une soirée un peu trop alcoolisé. Mais aucun ne prenait la peine d'aller le voir. C'est alors qu'une voiture s'approcha de lui, s'arrêta et que quelqu'un en sortit. « Sicheng ? Que t'arrive-t-il ? » Le chinois releva des yeux plein de haine vers la personne et hurla : « Je t'ai déjà dis de ne plus m'approcher ! » Taemin ne prit pas en compte ses paroles et s'avança vers lui en tendant sa main pour lui venir en aide :
« - Si je peux faire quoi que ce soit...
- Non ! Laisse-moi ! Tu as tout gâché ! A cause de toi, j'ai perdu la personne la plus chère à mes yeux alors dégage !
- Excuse-moi, Sicheng... »
Le plus jeune pleurait toutes les larmes de son corps et bafouillait toutes les pensées qui lui passaient par la tête, complètement anéanti par le chagrin. « J'ai tout perdu ! Je n'ai plus rien ! Ma famille, mon petit ami ! Il ne me reste plus que Yunoh, qui s'engueule tout le temps avec son petit ami à cause de moi ! Je n'ai plus ma place nulle part ! A cause de toi ! J'aimerais tout pouvoir recommencer à zéro ! Si seulement c'était possible... » Taemin écoutait les sanglots du chinois, ne sachant pas quoi dire pour le réconforter. Il se sentait tout de même coupable d'avoir été à l'origine de sa profonde tristesse.
« - Tu devrais t'en aller, Taemin, avant que ton copain ne nous voit ensemble. J'ai déjà assez de problèmes comme ça, reprit Sicheng d'une voix dure. Et je n'aurais pas la force de me défendre...
- Tu veux que j'aille parler à Taeil pour arranger les choses... ? demanda le danseur d'une petite voix.
- Non, je pense que tu en as fais assez pour notre relation. Je veux simplement que tu disparaisses à jamais.
- Je serais là si tu as besoin de quoi que ce soit...
- Adieu,Taemin. »
L'aîné resta quelques secondes, comme s'il attendait que Sicheng change d'avis, puis rejoignit finalement sa voiture avant de s'éloigner. Le chinois, de son côté, couché sur le sol, mit de longues minutes avant de retrouver assez d'énergie pour se lever maladroitement et retourner dans l'appartement de Yunoh, le cœur brisé...
« ... Pourquoi faut-il se quitter ?
Alors qu'on s'est aimé ?
Mais dans mon cœur où tu étais
Tu restes à tout jamais »
~
Je tiens d'abord à m'excuser si ce chapitre est un peu moins bien que les autres car j'ai été très occupée cette semaine pour l'organisation du concert avec ma fanbase ; mais j'ai fais ce que je pouvais !
Je vous posterai un chapitre bonus dans la semaine ; non pas du lemon cette fois-ci mais quelques théories psychologiques concernant le personnage de Taemin pour ceux que ça intéresse ;)
(Je fais d'ailleurs une parenthèse pour vous dire que j'aime tous les artistes de ma fiction dans la vraie vie bien entendu. Je n'ai rien contre Taemin ou Yeongho ^^')
Pour le moment, je sais que j'insiste beaucoup sur la "culpabilité" de Sicheng mais ne vous en faite pas, j'aborderai plus tard le fait qu'il soit la victime dans cette situation.
Voilà, avant d'écrire un pavé, je vous remercie pour votre soutien, en espérant que la suite vous plaise toujours ! ♡♡♡
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