~Evolution de votre relation~

~Dazai Osamu~

Un mois après ce râteau que tu t'étais pris, tu étais pervenu.e à t'en remettre grâce à Dazai que tu voyais désormais plusieurs fois par semaine. 

Ce dernier te faisait rire en racontant des bêtises et comment il avait foiré nombreuses de ses tentatives de suicides dans un humour dont tu ne pouvais t'empêcher de rire. 

Il se taisait dès que tu voulais parler pour être à ton entière écoute, sans aucun jugement et toujours en s'assurant d'être proche de toi physiquement si jamais tu venais à te mettre à pleurer ou à craquer comme lui le fait.

~Kunikida Doppo~

Kunikida avait finit par céder du temps de son travail pour son ancien.ne élève qui venait chaque lundi matin avant l'heure d'ouverture de l'Agence.

Ton ancien professeur de mathématique venait plus tôt pour pouvoir échanger avec toi sur ses cours, compléter des choses que tu n'aurais pas forcément comprises, et également sur son nouveau métier de détective. 

Tous les deux vous vous amusez à discuter de tout cela durant une matinée par semaine comme-ci c'était normal.

~Edogawa Ranpo~ 

Au fur et à mesure que les jours passèrent, tu te voyais de plus en plus attribuer des enquêtes avec l'Agence, et plus particulièrement avec ce détective que tu admirais tant. C'était à croire que ton patron l'avait fait volontairement pour te transférer là-bas.

Un jour, tu vis le patron de l'Agence, Fukuzawa Yukichi, et il commença à discuter avec toi sur ce que tu pouvais penser des valeurs des détectives qu'il emploie. Ta réponse que tu finis par lui donner après un court instant de réflexion le satisfaisait tellement qu'il en rit.

"Bienvenue à l'Agence dans ce cas" finit-il en rire léger.

Les jours continuèrent à s'écouler et tu enquêtais avec tous les détectives, sauf Ranpo pour le moment car Fukuzawa voulait tout d'abord te former en réalisant des affaires avec les autres détectives puis enfin te voir à l'œuvre seul.e si tu pourrais y triompher. 

~Atsushi Nakajima~

Une semaine après l'avoir vu, tu ne le revis pas encore. Comme chacune de tes fins de semaines, tu alla faire tes courses tard, et encore une fois tu vis le petit Atsushi proche de la rivière. Mais cette fois-ci, tu vis trois personnes, devant lui, qui semblaient le menacer. 

En voyant cela, tu ne pu le supporter que tu accouru immédiatement à son secours. Comme tu avais pratiqué un art martial dans ta jeunesse, tu n'eux que très peu de mal à mettre ces trois grands gaillards à terre.  

Le jeune homme au cheveux gris, assit à terre, te regardait avec surprise, comme-ci il ne s'y attendait pas à ce que tu saches te défendre aussi bien. 
Après une réflexion, il décida de te suivre jusqu'à chez toi, même en ne sachant pas que tu vivais seul.e dans ton appartement en plein centre ville.

Le chemin fut une nouvelle fois court, vu comment vous discutiez ensemble de ce qu'il venait de se passer. Ce n'était pas tous les jours que l'on pouvait voir une personne tel que toi se battre ainsi contre des voyous qui s'en prenez à un personne qui n'a pas de quoi vivre convenablement.

~Chuuya Nakahara~

Suite à ta performance au concours de création, les autres membres du jury avaient demandé à ce que tu passes voir Chuuya Nakahara pour une commande. Dès que tu l'as appris, tu es allé.e chercher tout un tas de renseignements sur lui, et parmi cela, le fait qu'en réalité c'était un membre de la célèbre mafia portuaire de la ville où tu résides.

Les jours passèrent, les uns après les autres, sans que tu ne les vois vraiment. Tu étais tellement à fond dans tes recherches que tu ne bougeais plus vraiment de ta chambre, jusqu'à ce que tu trouve son adresse. Une fois chose trouvée, tu te précipitas dans ta salle de bain, te lavas, t'habillas et te maquillas pour masquer toutes les cernes que tu as, et tu partis de chez toi en direction de là où réside le roux d'une vingtaine d'année. 

Sur le seuil de sa porte, tu commenças à toquer, mais pas de réponse, à  force de frapper, tu remarques que la porte est ouverte, alors tu te permis de rentrer, même si tu n'en avais pas forcément l'autorisation.

Une fois dedans, tu vis une homme d'environ un mètre soixante totalement ivre. Tu le reconnaissais également fortement mais quand tu commenças à l'asseoir, tu entendis un bruit d'explosion. Les flammes venaient de vers ta résidence, tu étais dans l'incapacité de faire quoi que ce soit ou même un quelconque choix. Mais le plus important était effectivement d'éteindre le feu et de s'occuper du roux à moitié endormi dans son vomi.

Tu appelas donc les pompiers pour les informer, mais ils te rassurent en te disant qu'ils étaient déjà sur le coup, ce que tu remarquas en passant ta tête par la fenêtre. Maintenant c'était une mission de t'occuper de Chuuya. Et ceux, au quotidien, désormais.

~Akutagawa Ryunosuke~

Les jours passèrent de plus en plus, tu voyais de plus régulièrement l'homme qui était sensé t'abattre mais il n'y parvenait pas. Il commençait visiblement à tomber sous ton charme, et ce, de plus en plus. 

Jusqu'à un jour, il avait, involontairement, il réussit à te blesser. C'était étrange car il s'en voulait et n'arrêtait pas de s'en vouloir et dire que ce n'était qu'un faible...

~Fiodor Dostoïevski~

Fiodor ne fait que rester avec toi, te toucher ou autre. En soit, ça ne te dérange pas forcément, mais cela fait un moment que cela dure. 

Il se permettait de plus en plus de choses, comme, dans un premier temps, le caresser lui, lui faire des câlins, etc. Pour le moment, c'était assez soft, mais le jour où il se rendra compte que tu es bien plus que manipulable comme un jouet, il y a de forte chance que cela prenne des tournures assez graves. 

~Edgar Allan Poe~

Après une bonne semaine après avoir vu cette grande ombre, tu te réveillas enfin, dans une chambre qui semble faire partie d'un hôpital. Quelqu'un semble d'avoir entendu te réveiller alors des personnes sont venues te voir. Parmi ces dernières, tu reconnaissais l'ombre qui t'avais récupérée. 

"Papa !" dis-tu en lui sautant dessus pour le câliner en faisant tomber une chose grise foncée au sol.

"Karl ?!" s'exclama l'homme. 

Tu commençais à pleurer sans savoir pourquoi, et ce "Karl" vient se poser sur ta tête. Le petit raton laveur avait réussi à te faire arrêter de pleurer, tu riais même. C'est comme ça que tu commençais comme une relation père-fille avec Poe et son animal de compagnie, Karl.

~Nikolai Gogol~

T'es læ seul•e a rigoler à ses tours et ses blagues ainsi que répondre à ses quizz (avant lui ✨) du coup il a apprécie grandement et cela fait qu'il reste de plus en plus avec toi

Ça le fait rire que tu l'insultes pour l'avoir kidnappé donc il te fait chier H24 sur ça  mais aussi, tu essaies de l'éviter du mieux que possible mais, avec lui et surtout son pouvoir, c'est Mission impossible

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