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j'ai mis un temps fou à faire ce chapitre mais le voilà omggggg j'espère que ce petit lemon vous plaira. J'ai écris ça à côté d'un ami c'était assez gênant, en plus j'écoutais du BLCD ERERI xDDD

hope you enjoye iiiit 

Après être rentré à la maison, Suga se dirigea immédiatement vers notre chambre pour aller se changer. Evidemment je l'avais suivi dans la chambre et lorsque j'étais entré dans la pièce il était déjà en train d'enfiler un short court aux bords ourlés. Parfois il me faisait rire à tant vouloir avoir l'air d'une fille et je trouvais cela dans un sens plutôt excitant, voire mignon. Je m'étais donc installé sur le lit pour le regarder faire et jusqu'à maintenant je le regarde et étudie chacun de ses mouvements. Il choisit simplement un haut large qui découvre une épaule sur les deux alors qu'il se laisse entrevoir ses jambes blanches. Le sombre de son bas contraste parfaitement avec la couleur laiteuse de sa peau et cette de sa queue. D'ailleurs celle-ci ondule délicatement derrière son corps faisant de jolies vagues de poils soyeux, tandis que ses oreilles dépareillées tournoient lentement. Il s'approche doucement de moi avant de s'assoir à cheval sur mes hanches, collant directement son bassin au mien. Je le sens frémir et c'est comme si mon désir se transmet à lui, comme s'il suintait par les pores de nos peaux et qu'ils se transmettaient de l'un à l'autre. Je savais qu'il avait envie, autant que moi j'avais envie.

Je l'avais donc lentement basculé sur le lit, me plaçant directement entre ses cuisses. Nous n'avions pas besoin de parler et il suffisait de voir le regard de l'autre pour savoir ce qui animait l'autre. J'avais alors commencé par passer mes lèvres dans son cou blanc qu'il ne cessait d'exposer à mes baisers, avant que je ne commence à sucer la peau fine qu'il m'offrait. Il soupirait doucement à ce genre de stimulations jusqu'à ce que je sente qu'il avait besoin de plus que des baisers et des suçons. Je m'étais donc lentement abaissé jusqu'à son épaule découverte pour la mordre lentement. Il tendit alors son dos, ondulant lentement contre mon ventre. Je sentais déjà une bosse se presser contre mon bas ventre ce qui me fit doucement trembler contre son corps. Il était parfait et plus j'avais affaire à son côté adorablement excité plus j'adorais cela.

Lorsque mes doigts se mirent à lentement glisser le long de ses flancs il laissa échapper un gémissement affreusement aigue qui ne fit que renforcer un peu plus mon excitation. J'avais un affreux besoin de plus, maintenant, et je ne savais plus me tenir en plus. J'avais donc retiré son haut qu'il venait d'enfiler, sans même me soucier du fait que le froid de la pièce couvrait sa poitrine de frissons délicats. J'avais alors posé mes lèvres sur un de ses boutons de chair, jouant du bout de la langue avec le bout durcit, qui peu à peu se laissait aller aux stimulations. Il gémissait plus haut, alors que ses doigts s'étaient lentement attachés à mes épaules pour me ramener un peu plus contre lui. Je savais que maintenant il voulait passer aux choses sérieuses, surtout que sa voix était toujours plus suppliante, plus aigüe. J'avais alors décidé qu'il me fallait le soulager un peu de cette douce torture qui enserrait son bas ventre. Délicatement j'avais ouvert son short et sans le baisser j'avais fait sortir son membre enflé qui se retrouva pressé par son caleçon. Il gémit lentement lorsque mes doigts commencèrent à jouer avec sa longueur tandis que doucement je capturais ses lèvres entre les miennes. Il soupirait directement dans ma bouche alors que j'aspirais sa langue. Je le sentais trembler lorsque je pris le muscle entre mes dents et il gémissait de plus en plus et surtout son corps se tendait par à-coups. J'adorais cela, ainsi ma main s'animait plus activement contre son membre faisant sursauter toute sa poitrine ainsi que sa langue qui allait et venait entre mes lèvres à cause du plaisir. Je sentais qu'il se perdait à nouveau dans les méandres du désir, il plongeait la tête la première dans notre petit monde.

Lorsqu'il senti que j'accélérais toujours plus mes mouvements de poignet il prit en mains son short et l'abaissa. Il se trouva donc totalement nu sous mon corps, mon souffle s'en trouva fortement affecté et je ne pus me retenir de gémir à cette vue. Ce corps si fin, si tentant, si facile à marquer, se tenait juste sous les miens et il devenait la chose la plus désirable au monde. Il fallait que j'en fasse plus, je devais le sentir contre moi, sentir chaque inspiration, chaque expiration, chaque mouvement ou contraction de sa part. Il me le fallait à tout prix maintenant. C'est comme ça que je me suis retrouvé à retirer mon haut et plaquer ma peau à la sienne. Il avait enroulé ses jambes autour de mon bassin, surélevant ses hanches pour poser son membre brûlant contre mon ventre. Je sentais le membre durcir contre ma peau alors que doucement il se frottait dans des mouvements lascifs. Je le sentais devenir soudainement plus entreprenant et il frappait mon ventre dans un rythme de plus en plus soutenu. Il faisait cela tout en rejetant la tête en arrière, ses cheveux noirs ébène se collant à son front déjà suintant de transpiration. Il était magnifique et j'avais l'impression qu'il faisait tout pour me rendre fou.

La folie m'emporta totalement lorsqu'il se mis à gémir des « Joonie » venus de nulle part, et je m'étais dégagé pour me poster entre ses cuisses. D'un mouvement rapide j'avais écarté ses cuisses et prit son membre en bouche. Je l'avais senti devenir aussi tendu que possible alors que ses deux mains s'étaient postées dans mes cheveux blonds. Il tirait dessus au rythme de mes vas et vient gémissant toujours plus à la sensation humide que provoquait ma bouche contre son membre enflé. Il se laissa même allé à l'extase dans ma bouche, hurlant presque mon prénom avant de jouir sur ma langue. J'avais avalé promptement la semence et doucement je m'étais replacé au-dessus de son corps. Il était encore pantelant, ses mains posées paresseusement contre sa poitrine encore animée de rapides mouvements. Il me regardait, ses yeux mi-clos qui avaient pris une couleur verte adorable, alors que je pouvais remarquer qu'un sourire tendre ourlait ses lèvres.

« Joonie... »

Sa voix était si faible que je me senti forcé de calmer mes pulsions et m'allonger à ses cotés. J'avais une main posée sur son ventre plat alors qu'il s'était doucement tourné vers moi.

"Ça va mon ange ? Tu veux dormir ? »
« Joonie... ce que je veux c'est faire l'amour avec toi... »

J'avais lentement déglutis et doucement je m'étais replacé entre ses cuisses. Cette déclaration m'avait aidé à reprendre des forces et lorsque j'avais abaissé mon pantalon ainsi que mon sous-vêtement j'avais vu le chaton rougir. Pourtant, il se plaça lentement à quatre pattes face à mon membre et se mis doucement à l'embrasser. Enfin, il commença à l'enfoncer dans sa gorge, allant et venant lentement alors que sa queue tournait doucement au-dessus de son corps. Je tremblais déjà de plaisir alors que des décharges électriques prenaient mon bas ventre en feu. Mon dos était devenu si creux que j'avais l'impression que j'étais à deux doigts de mourir de plaisir à cause de ce bonheur qu'il me provoquait. Le pire étant qu'il me regardait de sa position alors que ses lèvres rouges s'étiraient lentement autour de mes chairs. Je ne pouvais plus supporter une telle beauté alors j'avais tiré sur ses cheveux pour qu'il stoppe sa torture mais étrangement cela le força à encore accélérer, à me prendre plus profondément et surtout à commencer à user de ses minuscules dents pointues. Je gémissais son prénom sans fin alors que sa langue s'était joint au ballet et jouait avec mon gland avec une avidité impossible à décrire.

« S-Stop Yoongi, je t'en prie. »

Il se stoppa finalement et lentement il se retira. Il essuya lentement ses lèvres avant de se rallonger sur le dos et de me tirer entre ses cuisses. Je tremblais encore de désir mais lentement j'avais tout de même posté mon membre contre son entrée. Il avait frissonné à la soudaine chaleur contre son entrée alors que je frémissais d'impatience en sentant cet anneau de chair prêt à m'accueillir. Il me fallait y aller, mais je n'avais jamais été aussi imposant j'avais donc peur de le blesser. Pour l'habituer j'avais commencé par entrer le gland doucement et avec celui-ci je faisais quelques mouvements de balancier. Je gémissais déjà à la sensation étroite et surtout à cette chaleur qui caressait la partie la plus sensible de mon corps. Lui tremblait doucement et je savais qu'il avait un peu mal. Ce fut donc avec des baisers dans le cou et des caresses que je l'avais rassuré. Il s'était ensuite blotti contre moi et d'une voix faible il m'interpella.

« J-Joonie, un peu plus profond s'il te plait... »

J'avais lentement hoché de la tête et poussé un peu plus fort sur mes hanches. Il s'était tendu à l'intrusion plus profonde tandis qu'un gémissement rauque m'avait échappé. Ma chair était tellement emprisonnée dans le fourreau de chaleur que je me sentais déjà mourir de plaisir. Par contre, il ne fallait pas que je parte sans lui alors j'avais contenu mon plaisir, jouant à aller et venir lentement en lui. Peu à peu je pu m'enfoncer plus vite en lui, jouant plus profondément en lui. A la fin, j'avais pu entrer jusqu'à la garde, nous offrant à tous les deux un moment de pur bonheur. J'aimais me sentir le compléter ainsi alors que son entrée se serrait autour de mon membre. C'était chaud, affreusement serré et les parties sensibles de mon membre étaient sans arrêt stimulées par son entrée.

Après un instant je m'étais mis à accélérer, jouant à chercher sa prostate alors qu'ensemble nous laissions nos voix s'exprimer. La sienne me suppliait d'aller plus vite alors qu'il secouait sa tête de gauche à droite comme s'il se remettait les idées en place. Il avait cette fâcheuse manie de le faire alors que mon souffle se faisait plus rapide. Je le regardais perdre l'esprit sous mon corps alors que mes coups de bassins s'intensifiaient en lui. Sa voix était de plus en plus aigüe et jouait avec les notes les plus impossibles à atteindre. C'était délicieux et plus il continuait ainsi plus je sentais l'extase tordre mon bas ventre. Ce fut d'ailleurs pire lorsque je senti mon membre frapper contre une boule de nerf. La réaction fut immédiate et je le sentis se décoller du matelas et crier mon prénom. C'est alors que ses chairs se refermèrent sur mon membre et un violent frisson me parcouru. Il venait de m'emporter avec lui dans la jouissance et j'avais laissé échapper tout mon plaisir. J'avais ressenti une affreuse chaleur me dévorer le bas ventre alors que ma semence s'était écoulée dans son entrée. Pour faire durer ce plaisir, mon bassin s'anima dans des mouvements mécaniques et je le sentis doucement frissonner. Enfin, nous y étions arrivés et ensemble et nous tombâmes sur le lit sans faire attention au reste. Il se redressa pourtant et captura maladroitement mes lèvres pour me donner un léger baiser.

« Je suis satisfait Daddy... je t'aime... »

Je lui souris alors et à mon tour j'avais capturé ses lèvres, jouant amoureusement avec ses lèvres ainsi que sa langue. Il se laissa donc aller et partagea lentement le baiser, tentant tant bien que mal de diriger les mouvements. Malheureusement il se contenta de suivre ma bouche et bougea lentement ses lèvres au grès de mes envies.

« Tu as été parfait Suga chéri, comme toujours. »
« J'aurais le droit à un cadeau alors ? »
« Oui, qu'est-ce que tu en dis si... Si on allait acheter des brochettes d'agneaux ? »

Il en fut si satisfait qu'il sauta sur ses pieds et s'habilla rapidement. J'avais ris à sa soudaine joie avant d'à mon tour m'habiller. Ainsi, nous nous étions rapidement retrouvés à faire le tour de Hogdae pour acheter des brochettes d'agneaux en sauce. Une fois trouvée nous nous étions installé au milieu du quartier et il mangea lentement sa viande. Bien évidemment il m'en avait laissé mais sur dix brochettes je n'eus droit qu'à en manger une et demie. Et il ne les avait donnés que seulement car il était plein. Voilà comment se termina cette longue journée en compagnie de mon petit ange au physique légèrement félin.

« Joonie je t'aime. »
« Moi aussi, allez amuses-toi et va regarder les danseurs. »
« Merci Joonie. »

Un vrai ange... 

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