Chapitre 10 : Nouvelle sanguinaire

L'annonce d'une guerre en approche...

~*~

Marinette

Poussée par l'envie de réussir, je n'écoutais plus que ma soif de justice. Cette fille ne méritait pas un tel sort. Personne ne le méritait... Et pour tout dire, je savais que je risquais beaucoup trop gros pour perdre la vie ce soir. Mais je ne pourrais jamais vivre en paix en sachant ce que j'avais laissé faire sous mes yeux.

On mérite tous une seconde chance... non ?

Fortement préoccupée, je tournais mon visage vers le garçon qui m'accompagnait. Il pointa immédiatement son regard sur moi, m'observant, un peu embarrassé. Le vert de ses yeux était vraiment d'une beauté à couper le souffle. Je m'y noyais presque, sans rire. On aurait dit deux, beaux joyaux. Deux, belles émeraudes !

— J'ai oublié de vous poser la question, comment vous appelez-vous ? lui demandai-je en chuchotant, la boule au ventre.

— Appelez-moi Ad, me répondit-il, un peu froidement à mon goût. Cependant, alors que je me posais des questions sur son brutal changement d'humeur, il reprit sans attendre, furtivement et à voix basse, ne me laissant pas le temps de rétorquer quoique soit.

— Je vais faire un décompte et à trois, vous partirez en premier. Je me faufilerai par l'arrière et neutraliserai le premier homme, m'expliqua-t-il alors qu'on entendait un cri aigu.

Détournant immédiatement nos visages vers la source du bruit, je vis de mes propres yeux la blonde se faire arracher sa robe par le monstre qu'était l'ami du tatoué.

— Non arrête, arrête, ne fait pas ça ! s'écria-t-elle plaquée contre le mur, tenue par le cou alors qu'elle serrait les dents, ses mains posées sur celles qui se resserraient autour de son cou.

L'homme continua avec un sourire sadique accroché aux lèvres. Seigneur...

— Fais vite Fifi, je t'attends dans la voiture, annonça le tatoué en se détournant, sous les supplications de la blonde qui tentait en vain de le retenir.

— Non, Paul reste ici ! continua-t-elle de crier alors que le prénommé Paul montait dans la voiture en allumant une cigarette, l'ignorant royalement.

Aussitôt, pour empêcher le moindre bruit de sortir de ma bouche, je plaquais, ahurie, ma main dessus. Les yeux écarquillés comme deux soucoupes j'observais la scène, complètement impuissante. Cela me dégoûtait tant. Face à cette cruauté sans nom, je n'avais plus les mots pour décrire la haine et la terreur qui se mélangeaient à mon sang.

Mais si elle connaissait le nom du tatoué, ça voulait dire qu'elle les connaissait ? Bon Dieu ! J'avouais être sur le cul face à cette nouvelle. Ça pouvait paraître surprenant, mais je ne m'y attendais pas du tout. Ainsi, elle allait se faire violer par une personne qu'elle connaissait... Qu'elle connaissait dans la vie de tous les jours ?

Je n'arrivais plus à réfléchir correctement. Et pourtant, je tentais d'assembler toutes ces informations dans ma tête mais je n'y parvenais correctement. Un brouillard noir dissipait, avec force, mes pensées. Rajoutant événement, ce bordel n'avait plus de sens.

D'un seul coup, le prénommé Fifi arracha tout le haut de la robe de la pauvre fille. Son soutien-gorge fut découvert à la vue de tous alors que je tournais aussitôt le visage et les yeux pour ne pas voir un tel spectacle. J'entendais les hurlements de la blonde qui continuait de crier, encore et encore. Sans ne plus s'arrêter...

Je commençais à perdre mes forces alors que je tentais en vain de larguer toutes ces images affreuses de mon esprit. Je devais aller l'aider, il fallait que j'empêche cet homme de continuer son meurtre. Mais je n'y arriverai pas. Mes forces m'abandonnaient à une vitesse folle. Bientôt, je n'arriverai même plus à me lever. Et malheureusement, en me défilant de cette façon, je permettais à ce monstre de continuer son acte et d'ainsi, violer une femme sous mes yeux. Sous nos yeux à nous tous.

— Je... je crois que je ne vais pas pouvoir le faire finalement, murmurais-je en baissant la tête tout en la tournant vers Ad. Le regard triste, je fixais le sol trempé en m'insultant de tous les noms dans ma tête. Étais-je faible à ce point... ?

— Pourq... commença-t-il un peu septique, en fronçant les sourcils avant de s'arrêter dans son élan. Il finit par poser ses mains sur mes épaules et je relevais la tête vers lui. Son regard saurait peut-être me redonner l'énergie qui me manquait.

La nuit qui nous entourait fit souffler un vent qui caressa tendrement mon visage, animant d'un courant de frissons ma peau faciale et mes avant-bras. Je me sentais mal. Vraiment mal.

Mon ventre continuait de se retourner dans tous les sens tandis que mes intestins s'emmêlaient en moi. Ils y allaient si fort que je n'étais pas sûre de tenir encore longtemps avant de vomir le peu de nourriture que j'avais dans le ventre. Cependant, par chance, la chaleur des prunelles d'Ad sut me réchauffer un peu et par conséquent calmer le feu à l'intérieur de moi.

— Écoute moi bien Mari, ne te laisse pas impressionner par ces mecs. Ils sont peut-être forts, mais dis-toi que tu l'es beaucoup plus qu'eux. Tout à l'heure quand nous parlions, j'ai remarqué que tu étais de nature agile. Tu sais ce que tu veux quand tu le veux. Et là, ton objectif c'est de sauver cette fille, alors fais-le. Écoute ton cœur et bats-toi pour ce que tu veux, parce que ça sera toujours ta plus grande force, intervint-il en me souriant tendrement, d'un sourire si sincère qu'il m'en perça le cœur à jour. Et face à la beauté de ses mots, je sentis mes larmes me monter aux yeux.

— Vous avez raison... Je ne peux pas les laisser faire, ils ne sont maîtres que de leur monde et non de celui des autres. Tout compte fait, je retire ce que je viens de dire, je continue ! affirmais-je les sourcils froncés, le poing serré et les yeux en feu.

Ses encouragements m'avaient poussée à aller voir plus loin que ce soir. Désormais, je me trouvais à des milliers de kilomètres d'ici, dans un monde où personne n'aurait pu ne serait-ce qu'y songer. Tournant un peu le regard vers la droite, l'âme de Nathaniel me souriant m'apparut.

— Vas-y, va la sauver, ma petite spirale de couleur, m'encouragea-t-il avant de disparaître alors que je lui souriais. Une larme longea ma joue et je pris les mains d'Ad dans les miennes. Les regardant une minute, je levais les yeux vers lui en hochant la tête.

— Ouais, je vais le faire..., affirmai-je d'une voix légèrement tremblante, remplie d'une douceur que je ne me connaissais pas jusqu'aujourd'hui.

— On va le faire ensemble, confirma-t-il en me rendant mon sourire. Ses yeux m'exprimaient tant de bienveillance et de bonté que je fus obligée de lui rendre son sourire avec autant de compassion qu'il en avait pour moi.

Néanmoins, toute bonne chose avait une fin, et nous fûmes interrompu par un cri beaucoup plus strident et fort que tous les précédents. Ce détail montant considérablement en décibel attira notre attention. Nous tournions tous deux nos têtes vers eux et je découvrais avec horreur un corps nu et le Fifi, couteau à la main, en train de tenir violemment son visage pour qu'elle ne bouge pas. Il lui entaillait la joue. Malheureusement, j'étais bien trop loin et il était devant elle, m'empêchant de voir ce qu'il inscrivait.

Néanmoins, cela reboosta mon énergie. J'étais enfin prête. J'allais lui faire la peau à ce Fifi.

— Un.... Deux... Trois ! décompta Ad en chuchotant. Je me levais à trois sans attendre et m'empressais de crier pour l'arrêter dans son élan.

— Eh ! Je suis là, c'est moi que vous cherchez, n'est-ce pas ? aboyai-je à leur encontre, ce qui fonctionna car ce monstre de Fifi tourna son visage dans ma direction alors que la blonde tenta de couvrir ses seins avec ses mains.

Je pus voir la marque tracée sur sa joue, et c'était un grand « A ». Je ne compris pas la signification de ce signe, mais n'eut pas non plus le temps d'y songer davantage, reportant tout de suite mon attention sur les autres. Le fameux Paul me regardait avec de grands yeux, encore assis dans la voiture. Et pendant que tous me regardaient, j'avançais de quelques pas vers eux. Je n'avais jamais autant tenté le diable...

— Oui, c'est moi, Mari Cheng ! Celle que vous cherchez ! Qu'est-ce que vous attendez pour m'attraper et la relâchez ! continuai-je pour les faire réagir en levant les bras.

Fifi fut le premier à bouger, tandis que Paul restait dans la voiture à me regarder, encore sous le choc peut-être. Il relâcha sa poigne de la blonde qui tomba au sol sans arbitre. Il s'approchait par conséquent de moi, un canif en main et un sourire narquois au bord des lèvres. Je détournais les yeux vers la voiture et voyais Ad rentrer dans celle-ci et assommer par l'arrière Paul.

Fifi allait tourner la tête et le voir, mais j'attrapais son visage et l'embrassais pour l'empêcher de découvrir le manège. Il se tenait immobile mais répondait tout de même à mon baiser. Sa langue avait le goût de la cigarette. J'allais vraiment vomir, tandis qu'il passait ses mains sur mes fesses. Quel porc, ce mec ! Il les empoigna férocement et me fit même mal. Décidément, ce mec n'y connaissait rien à la douceur. Quelle brute, bon sang !

Aussitôt, j'ouvrais les yeux en continuant dans ma lancée et faisais signe des yeux à Ad de passer derrière lui. Tout en sentant la langue du monstre en moi, je priais pour qu'Ad fasse vite.

— Humm... grogna la bête qui continua ses baisers jusque dans mon décolleté. Je savais que tu n'étais qu'une petite salope, ça se voyait sur ton visage... souffla-t-il à mon oreille. Je fermais les yeux en me figeant. Qu'il me touche me donnait l'impression d'être sale. Je voulais juste en finir, que l'on termine tout ça pour que je puisse rentrer chez moi.

Il osait m'insulter alors que... Boum. Ad venait de frapper. Fifi s'écroula sur moi, inconscient, et je criais en reculant aussitôt. Il tomba au sol et je m'immobilisais sous le choc.

— Ça va, tu n'as rien ? me questionna Ad en s'approchant de moi. Je relevais la tête vers lui et le regardais, encore un peu sous le choc.

— Oui... je... je vais bien, répondis-je un peu essoufflée. Mon cœur battait si vite dans ma poitrine, j'avais l'impression que j'allais faire un infarctus.

Mon regard se leva et se posa de lui-même sur la blonde qui pleurait encore au sol. Sans attendre une minute de plus, je m'empressais de m'avancer vers elle. Je m'accroupissais à sa hauteur pour lui porter secours. Elle continuait de sangloter, sûrement frigorifiée.

— Vous allez bien ? demandais-je, inquiète de son état. C'est fini, il ne vous touchera plus, précisais-je en avançant ma main pour la poser sur son épaule.

Mais d'un geste brusque et vif, elle renvoya ma main ailleurs, m'empêchant ainsi de la toucher. En relevant son visage, je ne vis aucune larme : je compris que quelque chose n'allait pas... Soudain, Ad m'attrapait par les épaules et me tira tout de suite en arrière. Il s'interposa devant moi alors que nous étions à deux mètres d'elle. Mais heureusement qu'il avait agi, car la blonde se projeta en avant dans le seul but de me sauter dessus pour me faire du mal.

Elle était toujours à moitié nue, mais cela n'avait pas l'air de la déranger, vu qu'elle se releva puis ne bougea plus. Je restais derrière Ad, étant à l'affût du moindre mouvement.

Le silence comblait le vide. Néanmoins l'attente était pesante. Pourtant, aucun de nous ne bougeait. Il y avait déjà deux assommés, et si nous voulions nous en aller il fallait aussi l'assommer elle. À croire que la seule chose que l'on voulait faire était de la sauver. Nous étions allés jusqu'à risquer nos vies... pour rien.

Puisque finalement, même elle voulait notre peau. Ou plutôt, ma peau.

— Hahahahah ! explosa-t-elle de rire en rejetant sa tête en arrière. Elle riait à gorge déployée, ne se préoccupant même plus de cacher son corps uniquement revêtu d'une culotte.

En tournant les yeux vers Ad, je le voyais la regarder elle mais non ses attributs, comme s'il s'en moquait complètement. Un amer sentiment s'infiltra dans mes veines alors que je n'osais même plus imaginer ce qui aurait pu nous arriver ni nous avions été tués.

J'avais quand même osé lui demander de m'aider à la secourir. A cause de moi, il avait assommé deux personnes. Deux hommes, mais aussi deux monstres. Pour finalement, se rendre compte que tout cela ne servait à rien, car finalement, même elle allait devoir passer à la casserole. Nous venions de perdre notre temps pour du vent. Il y avait de quoi être dégoûté, non ?

— Quand Sans-Cœur t'aura... tu périras, déclara-t-elle en ramenant son visage face à nous. Elle sourit à Ad qui n'en baissa pas pour autant sa garde. Quant à moi, j'étais vraiment tremblotante, mais pas à cause du froid. Simplement car j'allais bientôt rendre l'âme.

La pression qui émanait autour de nous était en train de m'oppresser, de m'étouffer, tant son intensité en était poignante. Car contrairement à toutes les choses que j'avais pu vivre, celle-ci resterait inévitablement dans les événements que je n'oublierais jamais de toute ma vie. Et certainement, aussi, que j'emporterais ce secret dans ma tombe, ainsi que bien d'autres centaines.

Comme me disait souvent ma mère « tu en verras d'autres avant d'être grand-mère ». Et elle avait sûrement raison. Seulement, j'en voyais et j'en avais vu déjà bien assez, à mon humble avis. Malheureusement, ce n'était pas moi qui tenais les rênes de la vie ainsi que du destin. Et si, j'étais condamnée à voir de telles atrocités toute ma vie, tel était mon destin...

En entendant le nom « Sans-Cœur », je fus persuadée que mon cœur allait me lâcher et ne plus jamais me revenir. Ce nom... Il avait fait tant de dégâts dans ma vie. Il était la source même de la mort de Nathaniel et de ma rupture avec Adrien. C'était le mal incarné.

En me rappelant ce nom, je me remémorais le pacte que nous avions tous passé.

« Gardez vos distances et je garderais les miennes ».

Et en me repassant ces mots, je me rappelais qu'Adrien et moi n'avions pas tenu notre promesse. Cette partie du marché nous forçait à rester loin de l'autre pour éviter de faire d'autre morts. D'autres pertes innocentes... Sans-Cœur nous avait fait promettre cela en échangeant notre amour contre la vie de tous nos proches ainsi que nos amis. Et sans pouvoir refuser, nous avions accepté... Oui, nous avions accepté de nous sacrifier pour que ce monstre ne fasse plus aucun mort à Hollywood.

C'était le prix à payer pour l'avoir volé. Et tout cela était l'entière faute d'Adrien. Oui, c'était à cause de lui si nous ne pouvions plus être heureux et promis à un joyeux avenir ensemble. Pour de l'argent, il nous avait fait couler... tous les deux. Il avait vendu nos âmes et notre liberté au diable en personne.

Par conséquent, à présent, il ne me restait plus qu'à... vivre sans liberté. Mon bonheur s'était retrouvé brisé et anéanti pour trois sacs bourrés de billets verts. Pour de l'argent, j'avais perdu les deux hommes les plus importants de ma vie. Pour de l'argent, Adrien m'avait fait tout perdre... Même moi-même. Et je continuais toujours d'éprouver d'infimes sentiments interdits pour lui.
En décidant de passer une dernière nuit avec lui, je voulais lui faire mes adieux. Je voulais mettre un terme à toute notre histoire. À toute notre rancœur aussi, ainsi qu'à tout le reste. Rien ne servait de nous battre alors que nous étions encore, reliés l'un à l'autre. Signant de notre sang le marché, c'étaient nos âmes que nous avions échangé contre la vie de milliers d'innocents. C'était un geste... débile. Et pas du tout héroïque, contrairement à ce qu'on pouvait penser. Car Sans-Cœur avait beaucoup de pouvoir et continuait à tuer des gens sans que nous ne le sachions. Ce monstre était intelligent. Il était plus rusé que nous l'avions été à l'époque. Et à présent, je regrettais plus que tout.

Je voulais faire machine arrière. Je ne voulais plus garder à l'esprit que ma liberté ne tenait qu'à un fil. Que la vie de tous ceux que j'aimais reposait sur mes épaules déjà fragiles. Et qu'aussi, l'homme que je n'avais jamais autant aimé m'avait trahi pour des billets. Prétextant vouloir m'offrir une vie meilleure, il n'avait fait que de me la pourrir pour toujours.

Il m'avait menti, manipulée, pour mon bien. Mais la réalité n'était pas cela. Et ce soir, alors que la blonde, face à nous, venait de ressortir un de mes plus sombres secrets, je ne pouvais que trembler puisque cela voulait dire que cette fois-ci, Sans-Cœur ne ferait pas qu'un mort, mais un génocide complet. Adrien et moi avions commis le péché de tous les dieux en remettant en vente la tête de tous nos amis et proches. L'odeur du sang me remontait au nez alors que je m'imaginais déjà, dans une désillusion, le massacre que cela allait être...

Ad s'avança et projeta violemment d'un coup de pied la blonde qui valsa contre le mur. Sa tête cogna contre les briques et elle tomba au sol, inconsciente. Sa tête tomba vers la gauche et nous dévoila en pleine face le grand « A » ensanglanté inscrit sur sa joue.

Sur l'instant, je n'avais pas bien compris ce que cela voulait dire, mais maintenant, si, je savais. Le « A » était l'initiale de la première victime de la longue liste de Sans-Cœur. Ad se retourna vers moi et retira sans attendre la cagoule qui me cachait son visage. Je découvris avec stupéfaction le visage d'Adrien. Ces yeux verts... Comment avais-je fait pour ne pas m'en rendre compte avant ?!

— On doit parler, exigea-t-il de sa voix magnifiquement virile qui me fit frémir brusquement.

Mais il avait raison. Nous devions bel et bien parler, à présent. Je n'avais pas le temps de lui demander les raisons qui l'avait poussé à être au même endroit que moi ce soir, ni de lui poser une quelconque question. Pour l'instant, nous devions protéger ceux que nous aimions. Et je pensais savoir qui était la fameuse personne ayant un A en première initiale.

Le sang allait couler, car le péché avait été de trop nous aimer. Il était temps que nous jouions, c'était à notre tour de bouger notre pion. Sans-cœur avait asséné le premier coup en tentant de me faire kidnapper et en inscrivant un « A » sur la joue de cette fille.

Le coup que nous devrons lui rendre devra être plus intelligent que ses prochains coups, ou nous perdrons une autre vie...  



~*~

Bonsoir !! ⭐️

Après avoir pris mon courage à bout de bras, je me suis enfin décidée à relire ce chapitre afin de vous le publier ce soir. Ça fait presque une semaine que je n'ai plus publié, il fallait que je fasse quelque chose !

J'espère qu'il vous aura plu ! N'hésitez pas à me laisser vos avis en commentaire. 🔥

En ce qui concerne le rythme de publication, il n'y en a plus.

Bonne soirée.
Je vous embrasse ! ❤️

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