la course au lievre

Cliona

De ma fenêtre adossé a l'encadrement, je voie la vie des étudiant qui fourmille en contre bas, vivement leurs rêve d'un avenir meilleur pour certains, quand d'autres sont des privilégié.

Se soir il fait un peu froid et plus sombre.

Cela va faire presque 1 mois,que je vis dans se petit appartement 80 mètres carrés avec un magnifiques balcon terrasse au troisième étage a 5 minimumde l'univers , J'appelle toujours mon oncle Daniel pour lui donner de mes nouvelles et lui me donne les siennes et me parle aussi de nos écurie, pour le moment il me dit que les affaires vont bien . Et comme toujours il me pose la même question et comme toujours je refuse toujours qu'il donne a kenneth ou ses parents mon numéro de téléphone.

Trois semaines que je fais les courses dans une supérette Que je ne mange  dans le restaurant de l'université pour garder un contact physique avec l'univer de kenneth, Tous les matins je prends mon petit déjeuner la bas et aussi le midi parfois. je l'observe toujours de loin, trop peur de l'affrontement. j'ai un autre problème les pompons girl me suivent à la trace, partout ou je vais, je tombe sur elle sait agaçant, elle pense réellement que je suis un homme c'est hilarant quand même, d'un point de vu extérieur mais franchement le petit jeu commence a être épuisant. Plusieurs fois elles ont essayé de mabordé, moi qui  pensais faire partie du décor des étudiants et bah je me suis planté ,alors je suis obligé de me camoufler encore plus .ça devient franchement fatiguant toute cette mascarade et il va falloir que je mette un terme a tout sa, car maintenant je trouve sa franchement ridicule, du grand n'importe quoi. Kenneth n'a rien a se reprocher je les vu de mes propres yeux et je comprends enfin au bout de plusieurs semaines, que l'autre connasse ma menti.

Car je sais qu'il me cherche tout l'universel en parle, la rumeur c'est rependu comme une traîner de poudre jusqu'à mes oreille. Il y a 3 jours de sa j'ai vraiment eu très chaud fesses, Sans le vouloir alors que j'étais dans mes pensées a essayer de trouver une solution pour l'aborder nous sommes rentrés Dedans Et j'ai failli perdre en crédibilité, j'ai failli me retrouver au sol. Purée il est costaud quand même. heureusement j'ai toujours couru plus vite que lui et grâce à une chute providentielle J'ai pu m'enfuir, mais franchement C'était moins une.

Maintenant je fais attentions et protége mes arrière en regardant toujours derrière mon épaule au cas ou il Débarqueraient de plus je crois qu'il a vu ma main, dans la course j'ai failli perdre ma capuche et ma casquette. Je ne suis pas prête pas encore mais je cherche une issue, Pour pouvoir l'aborder Sans Prise de tête j'ai horreur des conflits et je sais comment il est quand il est contrarié.

C'est pour sa quand j'ai besoin de faire mes courses j'y vais si tard, car cette
Supérette est connu par l'université tout entière, tout les jeunes y vont pour acheter de quoi se remplir le ventre d'une fringale nocturne ou bien acheter de l'alcool pour leurs fêtes organisées a leur soit disant association d'étudiants....m'ouais.

A chaque que je suis seule je repense a nous deux ,notre enfance bien entouré et aussi à nos relations en dehors de la notre, les mecs que j'ai eu. quand j'y repense je sourit bêtement, je me souviens de toute les fois ou je les obligé, je dirais meme supplié de m'accompagner quand j'avais un rencard avec un mec et fatalement cédait...toujours pour me faire plaisir. je me rend compte maintenant que sa devait etre un supplice pour lui le pauvre, J'ai été vraiment égoïste sur ce coup la j'avoue mais c'était plus fort que moi je m'imaginais pas y aller sans lui. Je rappelle aussi qu'a ces rendez-vous il ne me faisait jamais la gueule souriant constamment et était toujours de bonne compagnie.  Alors une question me taraude l'esprit, car il y a une évidemment , ma conscience se bloque quand j'essaie de fouiller ma mémoire, je n'arrive pas a mettre la main dessus et depuis je repense a sa tout le temps, pour essayer de le percevoir sur un autre angle de vu, mais sa m'énerve.

J'ai jamais était plus loin que des baisers, calin avec eux et ca au bout de 4 jours de fréquentation, mais des qu'il souhaitais etre seul pour plus...., tout en moi bloqué ... pourquoi je sais pas mais a chaque fois je sortait une excuse imparable

《 désolé mais je me sens pas prete》

Alors que lui n'était plus vierge depuis bien longtemps. Par contre j'ai jamais compris ma peur irrationnel de passé le cas avec un mec, a chaque fois j'avais l'impression de faire quelque chose de mal, quand le mec avec je sortait me faisait complètement qu'il voulait être seul avec moi, pour pousser nos câlins plus loin que de simple, baisé et attouchements sensuelle et le pire dans tous sa c'est que sa ne me faisait aucun effet, pas de frissons rien, pourtant ils étaient beaux vraiment pas mal du tout, même kenneth était d'accord avec mes choix....alors qu'est-ce qui cloche.

Je n'ai jamais ressenti de la jalousie quand lui avait un rencard, il ne ma jamais proposé de venir avec lui, en même temps il l'ai emmenait jamais dîner, kennnon les emmenait boire un verre ou deux puis lui passait par la case lit sans se poser de questions , pas moi j'avais toujours une sorte d'appréhension, j' avais peur ouais je l'avouer maintenant, je ne voulais pas rester seule avec et le mec le prenais mal je le sais mais jamais il ne l'évoquer a haute voix, non il me largué tout simplement .

Ah si il y en a un qui ma dit un jour avant de partir furax

《 kenneth ton ami d'enfance pff laisse moi rire sérieux ta pas trouvé mieux comme excuse, coucher ensemble et comme ça, se sera regard 》 c'était t-il moquer

Et moi j'ai rien vu, rien compris a se qu'il ma craché au visage, sarcastique...maintenant je commence a rien du tout en faite, je suis encore plus perdus, c'est la merde.

Hier je suis allée chez le coiffeur pour changer mon look et surtout pour affirmer un peu plus ma personnalité, mon identité, celle que je suis vraiment. donc j'ai demandé à ce que mon fasse un  carré dégradé, avec une touche de coiffé, décoiffé, puis une teinture blonde foncé qui s'accorde parfaitement avec la couleur de ma peau blanche avec sa j'ai mît des lentilles noir pour cacher mes yeux vert.

Je suis obligée de camouflé sous ses artifices car malgré mon père américain je suis la stéréotype même De l'irlandaise de base on peut pas faire mieux que ce que je suis Et surtout si je fais ça c'est pour pouvoir me balader tranquillement quand j'en ai envie sans toutes ces frusques d'homme Et pouvoir respirer l'air frais sans être Déranger.

La mélancolie me gagne en repensant a tout se qui nous unie depuis l'enfance, mon coeur souffre de cette séparation que j'ai imposé tout me manque chez lui, sa chaleur réconfortante, ses bras sécurisant, grâce je n'ai jamais eu besoin d'autre chose que lui ,sa simple présence me comble que demander de plus.
Même si nous avons grandi mûri car oui je doit le reconnaître il a mûri mais moi aussi et il va vite sans rendre compte.

Je sais que j'ai agit sur coup de tête, sous l'impulsion de la colère au début, maintenant j'en suis plus si sûr. C'est un vrai chantier dans ma tête, en voyant le ciel changé et devenir plus sombre je regarde lui et voie qu'il presque l'heure pour moi d'aller faire les courses, alors je me prépare en mettant un sweat-shirt a capuche sur ma casquette, vérifie avant de partir que tout est conforme, attrape mes clefs mon argent et descend de l'immeuble.

Une fois dehors je me dirige tranquillement vers la supérette, quand sans savoir comment je me sent épier, regarde autour de moi mais ne vo8e personne hormis les personnes habituelle. Je me sens pas bien du tout une chape de plomb alourdie mes épaules, l'estimation dans les talons, je prend juste de quoi grignoter et file a la caisse payer, le caissier étant habitué, me sourit et dit pour engager la conversation

__ oh salut...

Il veux mon nom, je prend une voix rauque d'homme

__ salut

Je voie son visage exprimer de la curiosité, a apparemment devait pas etre franchement credible dans mon imitation, mais je garde la tête haute l'air de rien, pendant que lui jéte des petits coup d'oeil au dessus de mon épaule. Je baisse la tête en voyant faire je n'aime pas du tout se que je ressens,j'ai l'impression que quelque chose va me tomber dessus sans prévenir, mais le caisse n'insiste pas  continue a scanner mes articles, une fois payé je récupère mon bien rapidement mal a l'aise ,quand je sens une personne se placer derrière moi en raclant la gorge attendant son tour, rien que sa me donne des fourmillements dans tout mon corps, percevant une chaleur qui englobe mon corps engourdie par cette présence se qui me donne un coup de chaud, des picotements tout le long de la colonne vertébrale, me donnant des palpitations, se qui me pouce a accélérer et fuir en courant du magasin.

Je cours aussi vite que je peu, je sens que je suis pas seul sur le trottoir,  arrivant pas loin d'une ruelle je décidede mit engouffré pouren avo8r le cœur net et sans surprise je voie un corps d'homme immense courir tout droit et tourner la tête dans tout les sens . Soulagé me pose 5 minute, adossé au mur laisse passé encore du temps au cas il fait marche arrière et une fois sur je sort de ma cachette, avance doucement quand la voie est libre, je me précipite dans la rue pour rentré, mais j'ai toujours cette impression de ne pas être seul . même la prêt de chez moi je me sens épier, alors je cours sans m'arrêter, arriver devant la porte du bâtiment je me précipite a l'intérieur en montant les étages, en enjambant les marches 2mdeux par deux, devant ma porte j'attends pas et ouvre pour fermer a clé derrière moi, appuyez a cette dernière je soupire en fermant les yeux.

......

Kenneth

Nous avons décidé les mecs et moi de nous rendre a la supérette pour 10h30 , au cas où et marc dont j'ai fait ma connaissance 4 heure plus tot est déjà sur place et m'indique que le mec que je cherche n'ai pas la .

Nous avions décidé de porter une cagoule rouler Rouler en bonnet au-dessus de nos têtes pour qu'elle nous reconnaisse pas et habillé de vêtements sobre pour nous camoufler,  pour qu'elle nous reconnaisse pas, Car Si réellement elle a traîner à l'université elle sait à quoi nous ressemblons.

《 je sais que c'est elle j'en suis sur》

Colin et emett font le tour des rayons, pendant que je reste dehors a l'abri des regards, pour surveiller son arrivé .
A 11heure précise l'inconnu tout de noir que je soupçonne etre cliona s'avance  vers l'entré d'un pas mesurer et entre, a travers la vitre je la voie se diriger vers des rayons bien précis comme n'importe qu'elle habitué, ne prenant que dès chose a grignoter se qui m'intrigue et m'inquiéte en me demandant si elle se nourrie correctement, d'ailleurs sa me pensé que je doit appeler son oncle demain pour essayer de grappiller des informations .

J'attends un peu dehors pour ne pas me faire remarquer, pendant que colin et emett qui m'ont vu la surveille de loin depuis que je leurs est dit ou elle était, je rentre a mon tour pour rejoindre tout ce petit monde, Je la suit dans tous les rayons jusqu'à La caisse pendantqu'eux attendent dehors cacher, Elle paie ses articles alors que je suis juste derrière elle et une effluves de parfum fruité qui n'appartient qu'a me confirme son identité mettant mes sens olfactives sans dessus m, dessous, sous le regard intrigué du caissier. Se qui ma fait doucement rire c'est son imitation raté et je crois que même le gars a la caisse n'y a pas cru, puis sort rapidement de la supérette pour nous fausser compagnie. alors dans la panique et surtout pour éviter De la perdre de vue je lui cours après ,En gardant une certaine distance Mais cliona est une bonne sprinteuse et rapide en plus et finit quand même par disparaître alors je continue mon chemin en regardant partout en espérant la croiser Mais ne la vois nulle part.

La peur me fait dérailler, mes nerfs son a fleur de peau, j'ai pas envie qu'elle disparaisse de ma vu, car si je la perds je suis pas sur de la revoir ici .

__ eh merde me dis-je dépité en arrivant au coin d'une rue qui donne sur plusieurs immeubles tout prêt de l'université.

Je tourne en rond arrachant la cagoule de ma tête,  quand l'un de mes potes, cris

__ la regarde  me dit emett en me montrant quelques chose du doigts .

Emett ma rejoint avec colin, je tourne la tête et la voie passé sous notre nez, nous la suivons et attendons qu'elle rentre pour savoir a qu'elle étage elle vit.

Nous nous faisons le plus discret  possible et nous arrivons a passé inaperçu, dans les escaliers que nous gravitons doucement, de loin nous la voyons entrer chez elle entre les barreaux des rambardes ou se trouve son appartement, puis nous redescend rapidement pour rentrer.

L'immeuble où elle vit est pourri, il n'y a même pas de digicode ou interphone en gros n'importe qui peu rentrer, mais bon passons ont la trouver et c'est tout se qui compte, maintenant pour la faire quitter les lieux c'est une autre histoire.

Une fois reposer dans mon salon avec une bonne bière colin me demande

__ tu comptes faire quoi

__ allez la voir

__ se soir dit emett

__ non 0aq se soir, mais dès demain

__ et tu comptes rentrer comment chez elle gros malin rit colin

__ en crochettant sa serrure

__ hein disent ils

__ j'ai toujours été bon a sa

__ décidément tu nous surprendra toujours

__ eh ouais dis-je en tendant ma bière vers eux pour qu'ils trinque avec moi, colin me regarde malicieux

__ tu es impatient avoue

__ oh oui cette attente a trop duré, et puis elle me manque et maintenant je sais qu'elle habite pas loin ,j'ai du mal a attendre.

__ nous te souhaitons de réussir a la convaincre que vous deux c'est possible dit emett

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