Hello !!!! Comment allez vous en ce grand jour ? Je rigole je sais pas ce qu il y a aujourd'hui mais si c est votre anniv je vous souhaite le meilleur et le plus joyeux des anniversaires..... oui la quarantaine commence à me faire débloquer haha. C'est surtout l'accumulation d'insomnies, plus la charge de travail, etc . Enfin bon je vous ai mis la réf que j ai utilisé pour la petite illustration du chap en média si ça vous intéresse tandis que l'illu sera en fin de chap (je ferai ça a chaque fois). D'ailleurs je me suis trop amusé a faire des illustrations d'Haru genre je me ballade sur Pinterest pour avoir des idées de poses des fois et la je me dis Wahou je vois trop Haru tapait cette pose..... bon du coup j'ai déjà une bonne dizaine d'illu de faite, je me suis bien amusée on va dire pendant mes insomnies enfin bref je suis fatiguée je parle trop faut que j'arrête 😂😂😂😂

Ensuite je parle à un moment d'un conte pour enfant, si vous ne le connaissez pas il y a un rapide résumé de l'histoire en fin de chap. Sur ce je n ai rien d'autre à ajouter je n'ai donc plus qu'à vous souhaiter une bonne lecture !!!

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« T/P. Sortons ensemble. »

Cette phrase tournait en boucle dans la tête de la jeune institutrice depuis une bonne heure déjà. Comment cet imbécile pouvait-il proposer ça comme ça?! Comme si de rien n'était?! Il en va s'en dire que la jeune femme avait complètement paniqué. Elle avait finit par bafouiller quelque chose qu'elle même n'avait toujours pas compris avant de répondre, dans un rire gêné, au jeune noiraud d'arrêter ses blagues. Cependant, contre tout attente le soldat avait gardé une expression tout à fait sérieuse puis lui avait répondu tout aussi sérieusement.

« Je suis sérieux. Réfléchis-y. »

Je suis sérieux. Réfléchis-y. Mima-t-elle  grossièrement pour elle même. C'était une grosse blague. Une bonne grosse blague. Elle le connaissait depuis moins d'une semaine. Ça n'avait pas de sens! Elle lança un regard en biais au jeune homme, qui avait fini par s'endormir sur le bureau, à force de devoir rester silencieux. Mais elle devait bien avouer que ce pur crétin l'attirait dangereusement. Mais cela ne suffisait pas voyons! Enfin bon! Elle n'avait pas le temps pour ces questions. La priorité était les enfants. Après leur petite évaluation, T/p l'eut avait noté la leçon à recopier sur le tableau. Cela faisait déjà quelques minutes. Il était temps de passer aux choses sérieuses. Puis ce n'était pas plus mal. Ça lui permettrait de se changer les idées. Quand Haru papillonna des yeux, la première chose qu'il vit fut que les enfant n'était plus dans la classe. Il redressa vivement la tête. Il avait raté l'école?

-Enfin réveillé.

Il tourna la tête vers une T/P concentré sur les copies de ses élèves.

-C'est déjà fini?

La C/C ria doucement.

-Non mais ils sont en récréation. C'est la pause.

Le noiraud sembla réfléchir un instant à cet remarque avant de se lever et de foncer droit vers la bibliothèque. C'était son moment! Il revint rapidement avec un petit livre imagé qu'il tendit à la jeune femme, très sérieusement. Elle fixa le conte un instant avant de le saisir tout en plongeant son regard hésitant dans celui rubis du jeune homme.

-Haru? Qu'es....

-Lis le moi.

T/P parut un instant surprise avant de lui sourire doucement. Elle rapprocha la petite chaise, qu'elle avait ajouté, de la sienne et tapota le siege.

-Tu pourrais au moins dire s'il te plaît imbécile.

Le noiraud répondit gaiment tout en prenant place.

-Je l'ai fait.

-Ah bon? Quand ça?

Fit elle un sourire en coin.

-T'avais qu'à être plus attentive.

Répondit-il avec son habituelle sourire de fripouille qui fit rire la jeune C/C. T/P se concentra alors sur le livre que lui avait donné le noiraud avant de froncer les sourcils. De tous les contes existant. Il n'avait pas choisi le plus gai. C'était le livre qui avait retenu l'attention du soldat. Celui avec l'enfant malheureuse, surement sauvé par une vielle dame à la fin.

-Haru? Pourquoi ce livre?

-Je veux connaitre l'histoire de cette petite fille. C'est tout.

T/P lui fit alors un petit sourire tout en hochant la tête, puis elle commença sa lecture. Celle de la triste histoire de « La petite fille aux allumettes ». Tout du long, elle ne put s'empêcher de rougir quand le noiraud rapprocher son visage du sien, pour mieux voir les images, ou de lui lancer quelques petits coups d'œil furtif, à chaque fois qu'il faisait la moue car un passage ne lui plaisait pas ou au contraire. Elle appréciait même l'odeur singulière de ses cheveux, rappelant celui d'un feu de bois, et le chatouillis de ses mèches rebelles contre la peau de son visage à chaque fois qu'il était trop près. Il avait quelque chose de magnétique, de mystérieux, et même si il ne le montrer pas temps que ça, dans ces moment là, il ne respirait que la douceur et la candeur d'un enfant. Mais il restait bizarre. C'était même probablement un psychopathe. Et si il n'était pas soldat? Ça se trouvait Haru était en fait un serial killer. Sûrement pour ça qu'il avait éliminé si facilement les voyous et le soldats. Ne pas tomber dans les bras d'un serial killer! Se dit elle intérieurement alors qu'elle lisait les dernière ligne du conte. Elle lança un regard au noiraud pour tomber sur deux prunelles bien tristes.

-Haru?

-Donc à la fin personne ne l'a sauvé, et elle est morte de froid. Toute seule.

-Il y avait sa....

-La grand mère n'était pas vraiment là. La petite l'a juste imaginé car elle ne voulait pas mourir seule.

Devant ses mots durs et la mine sombre du soldat, la C/C sentit son coeur se compresser dans sa poitrine.

-Il aurait suffit d'une seule personne. Si une seule personne avait ouvert sa porte la fin aurait été bien meilleur et l'enfant ne serait pas là où il en est maintenant. Peut être qu'il serait devenu quelqu'un de meilleur, avec une famille.

Il n'y avait pas que cette petite fille n'est ce pas? Se dit elle. Il y avait une part de lui là dedans. C'en était certains. Elle saisit doucement la mains de Haru, sans louper la reaction du soldat qui posa immédiatement son regard sur la main qui le touchait, comme si, l'instant d'une seconde, cette main aurait pu lui faire du mal. Il se détendit rapidement avant de faire un sourire narquois à la C/C. Celle ci répondit simplement en caressant le dos de sa main avec son pouce, surprenant un instant Haru.

-Dis donc petite chose est ce que tu me dr...

-Tu as raison. Sortons ensemble.

Pour le fait de ne pas tomber dans les bras d'un serial killer on repassera. Pensa sans même s'en rendre compte la jeune femme. Les yeux du noiraud s'écarquillèrent un instant avant d'être habités d'une lueur de malice qui n'appartenait qu'à lui. Elle l'avait coupé. Elle n'avait pas supporté ce sourire qu'il faisait alors qu'il avait eu l'air déprimé. Il se connaissait depuis moins d'une semaine. C'était une mauvaise idée surement. Mais tant pis. Si il était un psychopathe à la recherche d'une nouvelle victime. Elle ne voulait qu'apprendre à le connaitre, qu'apprendre à déchiffrer son caractère, qu'apprendre à supporter le fait qu'il puisse être envahissant, serviable, insupportable, attachant, flippant, sexy, et probablement psychologiquement instable. Elle se sentit alors incapable de détourner le regard face aux yeux malicieux et à ce sourire en coin des plus machiavélique, qui, bizarrement lui plaisait. Il prit la main de T/P dans la sienne et déposa un léger baiser au creux de son poignet. Ce contact fit frissonner l'institutrice. D'autant plus quand elle l'entendit murmurer contre sa peau.

-Tu as signé un pact avec le diable, ma petite chose.

Son coeur s'était follement emballé à l'entente de ses mots et elle avait sentit une chaleur insurmontable lui bruler les joues. Elle avait trop chaud. Il faisait trop chaud dans cette classe. Beaucoup trop chaud. Elle se leva en vitesse, toujours cramoisie, avant d'annoncer d'une traite.

-Les enfant. Je vais chercher les enfant. Pause. Fini.

Puis elle détala. Quand à Haru il s'affaissa sur le bureau de T/P en la regardant faire, un sourire amusé étirant ses lèvres. Puis rapidement il repensa à l'histoire Qu'elle lui avait lu. Comment serait sa vie aujourd'hui si, dans les bas-fonds, quelqu'un lui avait ouvert sa porte? Serait il tout de même soldat? Saurait il lire? Ou écrire? Aurait-il une famille? Il n'eut pas le temps de se poser plus de questions que les cries de joies des enfants qui rentraient dans la salle attirèrent son attention. Il les observa tous avant de poser son regard sur une petite fille en particulier. Il connaissait ce visage, ces petites taches de rousseur, ce petit bandeau qui retenait ses cheveux en arrière. C'était la fille au biscuits. Il était content de la revoir. Il vit alors un garçon s'assoir à coté d'elle tandis que les joues de la petite se coloraient d'une douce teinte rosé. Jules, hein? Se dit il avec un petit sourire en coin. Ils ne perdent pas de temps les jeunes. Pensa-t-il sournoisement et à la fois attendri par la scène et amusé. Cette petite et lui allait avoir une discussion. Haru voulait tout savoir. Avait elle réussi son coup avec les biscuits? Puis pourrait elle lui faire des biscuits pour lui aussi, accessoirement? Il croisa alors le regard de la petite qui lui fit un petit sourire. Elle l'avait reconnu. C'était le drôle de monsieur gentil. Haru lui fit un signe de la tête en désignant le supposé Jules avant de mimé un biscuit qu'il mangeait. Cependant, alors qu'Haru s'attendait à voir un gros sourire s'afficher sur le visage de cette enfant, il la vit détourner le regard vers deux jeunes garçons de sa classe. Oh non. Il y avait eu un problème avec les biscuits. C'était probablement la pire nouvelle qu'on pouvait lui apprendre aujourd'hui. Qu'allait il advenir de Jules si il n'avait pas pu avoir ses biscuits? Ce serait trop horrible! Puis T/P tapa des mains. Les cours reprenaient. Ca devrait attendre la prochaine pose.

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Résumé de la petite fille aux allumettes volé à Wikipédia

L'histoire se déroule au soir du Nouvel An. Une petite fille  erre en guenilles dans les rues enneigées d'une ville, sans trouver aucun acheteur. Cette petite fille est exploitée par son père, qui la battra si elle ne rapporte pas d'argent. À la fin de la journée, épuisée et grelottante mais n'osant rentrer à la maison, elle se blottit dans une encoignure entre deux maisons. Pour se réchauffer, elle craque une allumette. Elle est aussitôt émerveillée par la flamme, qui rend le mur transparent et laisse voir un grand four en fonte aux ornements de cuivre. Malheureusement, l'allumette se consume.

Elle frotte alors une seconde allumette et aperçoit la table richement garnie d'un repas de fête. Sur une belle nappe blanche couverte de vaisselle en fine porcelaine trône une appétissante dinde rôtie, garnie de compote de pommes.

Une troisième allumette lui montre un magnifique sapin, orné de bougies multicolores et d'innombrables jouets. Mais quand l'allumette s'éteint, l'arbre semble monter au ciel et ses bougies se transformer en étoiles. L'enfant se souvient alors des paroles de sa grand-mère décédée depuis peu, le seul être qui l'ait aimée : quand on voit filer une étoile, c'est une âme qui monte au paradis.

Une quatrième allumette produit une grande clarté et fait apparaître la grand-mère. Alors l'enfant allume fébrilement tout le reste des allumettes, de peur de voir sa grand-mère s'évanouir comme les visions précédentes. Mais la vieille femme prend l'enfant dans ses bras et toutes deux s'envolent jusqu'au trône de Dieu.

Le lendemain, on retrouve la petite fille sans vie, avec un grand sourire aux lèvres. On la croit morte de froid, ignorant qu'elle a rejoint sa grand-mère chérie pour jouir à ses côtés du bonheur éternel.

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Et du coup c'est fini pour aujourd'hui ! J'espère que le chapitre vous aura plu meme si il est un peu plus court que d'habitude désolée. Enfin bon sinon bah j'ai pas grand chose d'autre à dire. Comment se passe la quarantaine de votre coté? Pas trop dur? On approche de la fin courage! 😋😋 bref du coup je vous dis à plus et à bientôt sur le prochain chapitre tout pleins de bisous sur vous 😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤😘❤