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hey hey hey ! J'espère que vous allez bien ! En plus si j'ai bien suivi beaucoup d'entre vous sont en vacances! La belle vie tout ça haha !

Je voulais aussi vous remercier pour les commentaires que vous m'avez laissé dans la partie précédente ou je parle du retard! J'ai reçu des commentaires vraiment trop gentils qui m'ont fait beaucoup de bien! Alors merci pour votre soutient!

Enfin bon trêve de bavardage et voici la suite! Je vous souhaite une excellente lecture ! ^^

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Mais dans deux jours il ne serait plus là à son réveil.

En réalisant cela le cœur de la C/C rata un battement. Ce n'était pas possible. Pourtant elle eut beau retourner cela dans tous les sens. Le départ d'Haru était bien prévu pour dans deux jours. À l'aube. Ils leur restaient donc un peu moins de quarante huit heures avant son départ. Elle refoula alors les quelques larmes qui lui montaient aux yeux et prit une grande inspiration. Elle observa le visage endormie du noiraud sous toutes ses coutures. Son visage fin et anguleux son grain de beauté sous l'œil gauche, ses lèvres fines, ses long cils qui cachaient de beaux yeux rouges en amandes, ses quelques mèches noires qui venaient se perde sur son visage. Il avait l'air si paisible. Ce spectacle lui arracha un doux sourire amoureux. Elle l'aimait tant. Chacune de leur petites disputes l'avaient détruite mais il valait la peine qu'on se batte pour lui. Qu'on subisse un peu. Pensa-t-elle avec un léger rire. Ce bruit, aussi discret soit il, réveilla visiblement le jeune homme qui remua doucement avant d'entrouvrir un œil en direction de T/p.

-Bonjour petite chose.

Fit il avec une voix rauque, encore somnolente, avant d'enlacer la jeune femme et de poser sa tête sur sa poitrine, prêt à se rendormir. La C/C ferma les yeux, tout en soupirant d'aise.

-Bonjour Haru.

Comme par habitude T/p vint placer sa main dans ses cheveux, les caressant soigneusement. Elle ne voulait pas le voir partir. Elle voulait tellement qu'il reste. Elle avait tellement peur qu'il disparaisse. Elle voulait juste que chaque matin ressemble à celui-ci. Que chaque matin, en ouvrant les yeux, elle croise un Haru blottit contre elle. Un Haru qui se réveillerait rapidement pour venir caler sa tête sur sa poitrine et profiter de ses papouilles matinales. Si seulement cette routine pouvait ne jamais changer. La jeune femme se mit alors à énumérer toute les raisons qui pourrait le faire rester loin de l'extérieur. Si il tombait malade? Ou si il se blessait? Ou peut être même qu'en jouant la carte des enfants qui s'inquièteraient pour lui il déciderai lui même de rester?......ça l'étonnerai. T/P se laissa alors entrainée par un flot d'idée toute plus ahurissante les une que les autres, avant qu'Haru ne se mettent à remuer de nouveau. Il s'assit, mollement, s'étira dans un bayement bruyant, avant de se sortir du lit tout en trainant des pieds.

-Tu vas où?

Demanda-t-elle, soudainement sortie de ses pensées.

-Il y a des dernier trucs à régler avant l'expédition F/L voulait que je passe la voir. Vas manger en attendant tu as besoin de force pour grandir.

T/P n'eut que faire de ce petit pique que lui avait lancé le jeune homme. Un violent frisson l'avait parcourut en entendant le soldat parler de leur expedition. Il n'avait pas oublié. Il n'avait pas changé d'avis. Il voulait toujours y aller. Cependant avant que la C/C ne puisse dire quoi que ce soit, la porte claqua, laissant ainsi une institutrice seule, toujours dans le lit où elle passait de plus en plus ses nuits. T/P passa frénétiquement ses mains dans ses cheveux pour se recoiffer rapidement avant de s'assoir correctement sur le lit. Elle fixa un instant ses mains. Elles tremblaient. Elle s'était toujours dit, même enfant, que jamais elle ne tomberait amoureuse d'un soldat. Parce que c'était trop dangereux, trop effrayant. Mais bien sûr le destin faisait bien les choses. De tous les hommes d'entre ses murs il avait fallut que ce soit lui. Pas un amour de passage ou une relation purement physique. C'était la première fois qu'elle ressentait autant d'attachement pour un homme. Elle aimait penser qu'il était peut être l'amour de sa vie. Mais qu'était elle censé faire si le supposé homme de sa vie disparaissait après quelques semaines de relations. Que faire si il ne revenait jamais de l'extérieur. Elle se gratta nerveusement le cuir chevelu tout en secouant la tête. Il n'était pas trop tard de le persuader. Il n'était jamais trop tard de rien non? Dans cet optique là, la femme bondit hors du lit pour se preparer en deux temps trois mouvements. La premiere chose à faire pour convaincre Haru de rester était de le retrouver. Et si il était allé voir F/L alors il serait sûrement près du bureau du caporal chef Livai. Et pour la façon dont elle procéderait..... elle ne savait pas encore. Elle avait juste besoin de le retenir. Au moins essayer. Elle avait besoin de lui parler.

-Tu es sûr de vouloir faire ça Haru?

- De quoi tu parles chérie?

Tout deux étaient assis au pied de l'arbre où ils se retrouvaient si souvent pour discuter. F/L fronça un instant les sourcils, incertaine, pour une fois.

-Cette expedition. Tu as quelqu'un a protéger en ville. Tu ne veux pas rester avec elle? Tu pourrais laisser tomber le danger pour une fois.... vivre une vie normal.

À cette question la respiration du noiraud se coupa un instant. Il ne pouvait pas abandonné F/L. Il avait promis de toujours veiller sur elle. Et..... F/L ne pourrait jamais partir. Elle était assez forte pour survivre. Il ne risquait pas de mauvaise surprise. Il ne risquait pas de se retrouvait seul. Si T/P mourrait un jour? Si T/P se lassait de lui un jour? Ils ne s'étaient jamais réellement dit s'aimer. Et elle avait beau lui rendre ses baisers, que faire si ce n'était qu'un passe temps pour elle. Que faire si elle ne l'aimait pas autant que lui l'aimait. Il se sentait bien avec elle comme ça. Il avait trop peur de perdre tout ça en parlant de ce qu'il ressentait. Il arbora alors un grand sourire déformé, auquel la soldate ne cru pas un instant, avant de dire en tendant le poing vers la jeune femme.

-Je suis à la maison avec toi. Ensemble pour toujours, non?

En voyant cela, F/L soupira, elle saisit le poing de l'homme entre ses deux mains et encra son regard dans le sien.

-Haru, cette phrase n'est pas une chaîne que tu dois te passer au cou, ou une excuse que tu peux utiliser pour fuir. Même si tu arrêtes de te battre et que tu choisis n'importe quel autre voix je serai obligé de toujours gardé un œil sur toi. Car tu es mon ami, et un vrai danger publique. Ensemble pour toujours ne veut pas dire que tu dois rester sur les champs de bataille avec moi. Cela veut dire que tu pourras toujours compter sur moi.

À ces mots, le noiraud se tut un instant, fixant les mains de la petite soldate enlaçaient la sienne. Les mains de F/L étaient chaudes. Mais celles de T/P l'étaient plus encore, elles étaient plus douces. Il était perturber. Il s'en était déjà rendu compte avant, mais plus il passait du temps avec sa petite chose plus il en était sûr. Il comprenait la différence dont lui avait parlé F/L. Être amis ou amant. Il n'avait jamais réellement aimait F/L en fin de compte, pas plus qu'une amie. Il l'idolâtrait, il la respectait, il l'aimait tel une amie en qui il pouvait avoir confiance, la seule personne qu'il avait. Mais il ne l'avait jamais aimé comme il aimait aujourd'hui T/P. Rester avec T/P. Quitter l'armée et rester avec elle. Ça pourrait être plaisant mais encore il avait peur qu'un jour elle parte. Qu'un jour elle s'ennui. Qu'un jour elle lui avoue ne jamais avoir tenu à lui. Qu'un jour il se retrouve tout seul sans personne.

-On verra ça plus tard ma chérie. Tu es trop sérieuse! On va bientôt ressortir, ça va être marrant! Pensons seulement aux choses que l'ont pourraient découvrir cette fois.

Dit il rapidement en récupérant sa main vers lui.
Cependant la soldate n'eut rien le temps de dire qu'un cri essoufflé, retentit de derrière eux. Quelqu'un appelait le noiraud. Le duo se retourna alors à l'unisson, pour retrouver une T/P rouge de fatigue, courier vers eux. Haru échappa un rire en voyant la petite C/C complètement à bout de souffle s'arrêter devant eux.

-Je- je vous ai... chercher partout....

Fit l'institutrice en reprenant son souffle.

-Un problème?

Demanda F/L. T/P rougit un instant en hochant négativement la tête, avant de regarder le soldat. F/L la fixa un instant, suivi son regard jusqu'à Haru avant de soupirer doucement.

-Je vais voir Livai.

Fit elle en disparaissant. Haru regarda son amie partir, les yeux ronds, avant de lui dire.

-Mais et l'expédition?

-Fini.

Répondit elle simplement sans se retourner.
Haru la fixa, s'éloigner un instant avant d'hausser les épaules, et de se retourna vers T/P dans un sourire.

-eh bien eh bien je te manquais tant que ça petite chose.

-Tu veux vraiment partir en expedition?

-Hein?

-Tu pourrais rester ici non?

Haru fronça les sourcils.

-Pourquoi je ferais ça?

La C/C paniqua légèrement. Ces yeux fuirent le regard du noiraud cherchant au alentours comme si la réponses allait apparaître dans les branchage de l'arbre, dans le ciel, a ses pieds, n'importe où.

-Je ...Les enfants seraient tellement triste que tu partes! Et si...!

Les enfants? Il n'allait pas laisser tomber F/L pour amuser les élèves de T/P. S'en même savoir pourquoi, la remarque de l'institutrice l'énerva. Il la coupa, tout en saisissant sa main pour la trainer à l'intérieur.

-C'est pas mon problème ça. Viens on va manger.

T/P fit les yeux ronds et son sang se glaça un instant. Elle n'osa plus dire un mot, mordillant sa lèvre inférieur. Elle avait envi de pleurer.
C'est dans cette ambiance que tout deux petit déjeunèrent, sans même échanger le moindre regard. La jeune institutrice était anéantie, cependant elle refusait de se laissait abattre aussi facilement.
Haru l'emmena ensuite en ballade, fuyant ses entraînements, et le QG tout simplement, voulant lui montrer l'autre coté du mur. Il avait décidé de profiter de ses dernier jours avant l'expedition. De profiter de son temps avec son institutrice. Car elle lui manquerait sûrement quand il serait de l'autre coté. Alors il ne voulait pas se disputer. Pas pensées à quoi que ce soit de contrariant. Il la fit alors monter au sommet de l'une de ses grandes murailles, le sourire au lèvre. Il avait toujours apprécié cette vue, cette idée d'être plus proche du soleil, tout proche de la liberté. Ils y passèrent quelques heures. Quelques heures à observé le paysage, observé les titans qui de temps en temps s'approcher de sorte à rentrer dans leur champs de vision. D'abord T/P avait été terrifié, avant de s'apaiser sous les blagues du noiraud, de profiter, du moment, de la vue. Le monde extérieur était magnifique. Tout deux s'étaient installé sur le rebord. Plusieurs fois des soldats étaient venu pour essayer de les déloger, mais c'était mal connaître Haru qui les avait remballer sur le champs. Tout allait bien. T/P avait même réussi à oublié l'angoisse qui la rongeait de l'intérieur, pendant un court instant. Jusqu'à un simple moment. En tournant la tête elle avait croisé un regard. Un regard inhumain. Un titan. Peut être de trois mètres. Tout proche du mur. Elle ne l'avait même pas vu arriver. Il la regarder. Tandis que plus loin, sur le mur, certains soldat s'exciter pour l'éloigner de la grande muraille.

-Haru.

Murmura-t-elle, tremblante, incapable de bouger. Elle voulait partir. Les titans la terrifiait. Et Haru pouvait faire autant de blague qu'il le voulait, en voir un d'aussi près lui était insupportable.
En voyant cela, le jeune home la saisit dans ses bras avant de l'emmener avec lui un peu plus loin.

-Je déteste l'extérieur.

Fit elle doucement, encore effrayée.
Le noiraud réfléchit un instant, avant de l'enlacer par derrière et de l'embrasser sur le sommet du crâne.

-Tu sais, en vrai, c'est incroyable l'extérieur.  Un jour je te le montrerai quand il n'y aura plus de titans.

- Non.

Haru eut un petit mouvement de recul de la tête. Il fronça les sourcils. Mais avant qu'il ne puisse dire quoi que ce soit, elle continua.

-C'est terrifiant. Je ne veux pas sortir. Il faudrait être complètement fou pour vouloir sortir.

Le soldat fronça un instant les sourcils. Mais encore une fois, T/P ne lui laissa pas le temps de répondre.

-Tu devrais rester ici. Tu vas forcément mourir si tu sors. Je refuse que tu partes.

Haru s'écarta, se plaça juste face à elle, un air dorénavant sérieux scotché au visage. Il pouvait comprendre sa peur, mais le ton froid de la jeune femme le mettait mal à l'aise. L'agacer.

-T/P je ne demande pas ta permission. Je te l'ai déjà dit. Je ne compte pas mourir de to....

Elle le coupa, avec une gifle, hurlant presque.

-Espèce de fou! Tu penses vraiment que tout iras bien parce que tu le dis! Tu... tu es complètement fou! Imbécile! Tout ça pour suivre ta petite copine! Pourquoi?! Hein? Tu l'aimes tant que ça ta F/L? T'es un monstre!

Des larmes avait finit par se joindre a sa tirade, brouillant sa vue. T/P avait explosé. C'était un monstre. Un monstre de ne pas penser à elle comme ça. De préférer encore et toujours F/L à elle. De l'abandonner comme ça. C'était égoïste. Se dit elle toujours submergée par son angoisse. Quand à Haru il se tenait toujours la joue, la fixant d'un regard apeuré, les yeux exorbités. Le mot monstre tournant en boucle dans son esprit se confondant aux voix de toutes ses personnes qui avaient pu le traiter de monstre. Il se sentait trahi, triste, en colère. Après cela, le silence dura, quelques secondes, parfois briser par les reniflement bruyant de la C/C. Aucun des deux ne bougeaient. Jusqu'à ce qu'Haru ne se décide à partir. Il attrapa brusquement le poignet de la jeune femme la tirant vers les escalier. Lui aussi voulait partir maintenant. Il n'avait plus envi de rester là.

-On y va.

Fit il sèchement. Mais T/P se détacha de son emprise d'un geste rapide.

-Me touches pas.

En entendant cette phrase, Haru sentit son cœur se tordre de douleur. Il grimaça avant d'accélérer le pas vers la sortie, suivit de loin par une T/p qui avait encore du mal à controller ses pleures. C'est alors dans un silence des plus pesants que tout deux se dirigèrent vers le QG, et s'installèrent pour le déjeuner. Sans meme en prendre une boucher.
Le soldat ne savait plus quoi faire. Il se sentait désespéré. Rejeté. Après le déjeuner il avait essayé de revenir vers elle. De la faire rire. De recevoir un câlin. Un baiser. Mais bien que la jeune institutrice ne le repousse plus elle ne souriait plus. N'était pas receptive du tout. Elle semblait simplement attendre qu'il parte. Se dit il tristement. Le diner s'était passé dans la même ambiance. T/P ne lui avait pas adressé la parole. Il se sentait irritable et terriblement en manque de la jeune femme. Il voulait la voir sourire pour lui. Il voulait qu'elle le prenne dans ses bras. Alors qu'il était perdue dans ses pensées, T/P s'était levé en pleins milieu du repas, qu'elle n'avait pas touché, et avait quitté la table. Il la regarda faire, surpris, anéantit. Elle en avait déjà marre? Pendant quelques dizaines de secondes il ne bougea pas. Complètement terrorisé par cette hypothèse. Elle en avait mart de lui. Il se mordit la lèvre et balança presque son plateau sur la personne en face de lui avant de se diriger vers sa chambre. Il n'avait pas besoin d'elle de toute façon. Pas besoin. Pas besoin. Elle n'était pas si importante. Essayait il de se convaincre tout en marchant d'un pas enrager, les larmes aux yeux.
Qu'elle ne fut sa surprise de voir la C/C allongé, dos à lui, dans son lit. Il était en colère. Il la dévisagea alors de haut en bas avant de lui sortir de but en blanc.

-Qu'est ce que tu fous là?

Elle ne répondit pas tout de suite, agaçant d'autant plus le noiraud qui fronça les sourcils. Puis après quelques secondes elle se redressa, se tourna vers lui, dévoilant un visage encore marqué des sillons qu'avaient laissé les larmes sur ses joues. Elle dit simplement, d'une voix tremblotante.

-N'y va pas.

Il n'arrivait pas à détourner le regard de ses yeux rouges bouffies. Il aurait aimer lui faire plaisir, la voir sourire. Mais après toute cette journée, il n'arrivait qu'à lui en vouloir. Qu'a penser qu'elle ne l'aimait pas.

-Si c'est pour me parler de ça tu peux te casser.

Répondit il d'un ton sec.

-Haru je t'en pris! ... je ...

-Ça suffit j'ai dit bordel! Fous moi la paix avec ça!

Les yeux aux bords des larmes la jeune femme cria, comme une plainte désespéré.

-Je t'en pris! Restes! Pour moi! Restes pour moi! S...

-Putain! Et au pire si je meurs qu'est ce que ça peut te foutre?! Qu'est ce que tu peux en avoir à foutre qu'un monstre meurt?! Pour qui tu te prends sérieux?! Tu penses vraiment que je vais rester là?! Pour toi?! Sagement assis et à rien foutre?! Je ne suis la chose de personne! Je fais ce que je veux alors fous moi la paix!

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et c'est la fin de ce chapitre ! J'espère qu'il vous aura plus ! N'hésitez pas à me laisser un petit vote si c'est le cas ou à me laissez votre avis en comme je prend tout n'hésiter pas à faire des critiques tant qu'elles sont constructives!

Alors attention! THÉORIE TIME que va t il se passer au prochain chapitre d'après vous? Haru va t il partir et rester en froid avec sa petite T/P? vont ils se réconcilié? T/P va avoir un accident? Dites moi tout mdr vous avez.....  boom! Je laisse jusque lundi pour essayer de trouver! celui qui trouve.... gagne ... mon respect? Un dessin? Je sais pas mdr

Mmmmmh.. je crois que c'est tout! Du coup je vous dis à la prochaine avec la suite ! Bisouuuuuuuuus♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️

et illu du jour !

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