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hellooooooooo everybody! Comment allez vous ?

! ATTENTION ! CE CHAPITRE ÉVOQUE LES THÈMES DE L'ABUS SEXUEL, ET MENTAL  SUR MINEUR.
Quelques parties de ce chapitre peuvent donc heurter la sensibilité de certains lecteurs. Les passages seront délimités par ce symbole: ‼️
Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez. Merciii

Sur ce je vous souhaite tout de même une bonne lecture.

Btw .....heuuu j'ai trouvé aucune idée pour le truc de saint Valentin.... le plan a foiré les gars désolé mdr

———

‼️

Il avait croisé son chemin. Il l'avait encore arrêter. Il ne savait plus combien de fois c'était arrivé. Il l'avait emmener dans ce qu'il appelait sa cachette secrète. Une toute petite impasse caché derrière un amas de débris. Il l'avais encore forcé. Il l'avait encore fait. Alors qu'Il le surplombait, l'écrasait, l'utilisait, l'enfant demanda entre deux soubresauts.

-Est ce que vous m'aimez?

Ça lui faisait mal. Il lui faisait horriblement mal. Mais peut être qu'au final c'était ça être aimé. Il ne répondit rien. Mais l'enfant avait besoin de savoir. Besoin qu'on lui dise au moins une fois. Peut être que ce serait moins douloureux.

-Est ce que tu m'aimes?

Répéta le noiraud encore entre deux larmes. Il plaça ses mains autour de son cou. Un instant tout s'arrêta.

-Petit con. Je t'interdis de me parler comme ça! Tu peux pas la fermer ta gueule! Tu fous tout en l'air! Tu n'écoutes jamais rien! Je t'ai dit de respecter tes aîné! Tu me dégoûtes! Un gamin comme toi personne ne l'aimera jamais. Fermes la tu me déconcentres.

Haru avait du mal a respirait. Il serrait trop fort. Puis Il recommença. Les larmes de l'enfant redoublèrent. Le noiraud sentait ses entrailles se déchirer encore plus douloureusement qu'avant et son coeur se serrer comme si l'on chercher à le faire exploser. Puis le petit hoqueta. Son coeur s'emballa. Plus d'air. Ses poumons le brulaient. Son corps hurlait et se tordait de douleur mais Haru n'arrivait plus à bouger, à parler. Haru n'y arrivait plus. Sa vision se flouta doucement puis le noiraud s'endormie. Quand l'enfant ouvrit les yeux, Il n'était plus là. Cependant Haru ne bougea pas, resta allongé au milieu de cette impasse immonde, nu, blessé. C'était trop fatiguant. C'était trop douloureux. Exister ne lui avait jamais rien apporté de bon. C'était trop fatiguant. Alors Haru ne bougea pas. Le noiraud resta là, allongé. Une heure. Deux heures. L'enfant n'était plus qu'un cadavre de plus dans la rue, sans volonté, sans espoir, attendant que la mort vienne le chercher ici même. Puis il y eut un bruit de pas. Une personne courrait vers lui avant de trébucher sur la jambe du petit. Puis un second bruit. Quelqu'un le suivait. Il y eut un cri étouffé, et un craquement effrayant. Une troisième personne arriva. Un homme.

-Chérie?

La seconde voix était féminine.

-Ce vieux déchet a essayé de voler mon médaillon.

-N'oublies pas que nous sommes là avant tout pour la petite. On doit l'amener au point de rendez vous. Elle est parti hier et on a toujours aucune nouvelle. Si on ne la retrouve pas rapidement elle risquerait de rester coincée dans cet endroit infâme.

-Ce n'est jamais simple avec elle. Elle n'écoute rien.

Les deux continuèrent de parler. Haru ne comprenait rien. Mais ces deux là avaient l'air très dangereux. L'enfant préférait jouait les morts un peu plus longtemps. Y avait il un moyen de sortir d'ici? C'est bien ce qu'ils disaient non? Un point de rendez vous? Le noiraud attendit, écouta. Une seconde. Deux secondes. Trois secondes. Quelque chose de visqueux le touchait. Il y avait quelque chose de visqueux et poisseux qui coulait à coté. Quartes secondes. Cinq secondes. Les deux adultes continuaient de parler. Ils venaient de lui offrir une porte de sorti. Haru allait voir le soleil. Son cœur s'emballa. C'était son seul rêve. Six secondes. Sept secondes. Huit secondes. Le noiraud se sentait quasiment entièrement baigner dans ce liquide visqueux. Ça puait. C'était écœurant. Neuf secondes. Dix secondes. Les bruits de pas s'éloignèrent. Ils disparurent. Haru ouvrit les yeux et tourna la tête vers l'origine de ce liquide poisseux. Il était là. Il le fixait droit dans les yeux. Il était mort. Il se vidait de son sang et Haru baignait dedans. Le noiraud sentit comme une décharge le parcourir. Comme un déclic. Haru venait de vriller. Allongé, là, dans le sang de ce vieux dégoûtant, le regardant droit dans les yeux. L'enfant explosa de rire. Haru se redressa doucement, prit de spams incontrôlables, hurlant du rire. Il était étalé là, un couteau ébréché encore planté dans son abdomen. Haru se saisit de la lame et le regarda. Il était mort. Il était enfin mort. Haru ria de plus belle avant de planter à nouveau le couteau dans le viel homme. Ce geste le libera. Encore. Encore. Haru s'assit à cheval sur le dos du cadavre et continua à rire, et à chaque fois que la lame transpercer la chair du vieillard il sentait quelque chose se briser en lui, et pourtant, c'était tellement bon. Tuer était tellement bon. Ça le libérer tellement. Encore. Encore. Cette sensation était addictive. Les larmes dévalant ses joues creusés, Haru etait devenu hystérique. Il hurlait à la mort, riait, pleurait. Si quelqu'un s'était approché tout ce que cette personne aurait vu était un enfant. Un enfant nu dont la peau était quasiment recouverte de sang. Un enfant qui pleurait toute la détresse qu'il avait ressentit durant des années. Seul. Un enfant qui hurlait à s'en briser la voix. Toute sa peur. Toute sa colère. Toute sa haine. Toute sa solitude. Toute sa vie. Tout. Tout. Cet enfant faisait tout sortir. Et cet enfant, poignarda un cadavre jusqu'à en perdre connaissance, dans le bain de sang de l'impasse.

‼️

Haru ouvrit les yeux, trempée de sueur. Ce n'était qu'un vieux cauchemars. Ce n'était qu'un vieux souvenir. Il n'avait plus aucune raison d'y penser. C'était fini. Fini. IL n'était plus là. Tout allait bien. C'était fini. Le noiraud se leva, titubant, le corps tremblant, et quitta sa chambre pour le terrain d'entraînement. Il avait besoin d'air. Il se sentait étouffer. Le noiraud marcha rapidement avant de se poser sous un arbre. C'était une mauvaise idée. Aimer T/P était une mauvaise idée. Mieux valait qu'il ne lui dise jamais. Tout resterait ainsi si il ne disait jamais à T/P qu'il l'aimait. Il sentit alors son coeur se tordre douloureusement. Quelque chose était définitivement briser en lui, car personne ne l'aimerait jamais.

Soudain il entendit une branche craquer derrière lui. Il fit volte face avant de croiser le visage paisible de F/L. Elle était debout, derrière lui, un gros pansement scotché à sa joue droite. Il soupira avant de se replacer confortablement contre l'arbre sous lequel il était assis. Quand il aimait quelqu'un, il le blessait. Même F/L.

-Je ...

Peut être que même elle. Peut être que meme F/L le detes.... cependant la jeune femme ne le laissa pas finir.

-Je me doutais que tu aurais du mal à dormir. Je t'attendais. Ne t'en fait pas pour tout à l'heure. Puis si tu n'avais pas ce pouvoir de guérison tu serais dans un état bien pire que le mien. Alors n'en parlons plus.

Haru fronça les sourcils et tapa, un coup, sa tête contre le tronc de l'arbre. F/L le devançait toujours. Elle savait toujours tout avant même qu'il ne le dise. F/L était quelqu'un en qui il avait placé toute sa confiance. C'était ridicule de douter d'elle.

-T'es vachement chiante des fois chérie.

-Hm.

Fit elle simplement en s'asseyant aux cotés du noiraud. Elle le comprenait trop bien. C'était presque flippant. Le silence flotta un instant. Instant durant lequel Haru s'autorisa à fermer les yeux. Il aimait savoir qu'il pouvait se reposer sur elle. Il aimait savoir que F/L serait toujours là, pour lui, et derrière son dos si il faisait une connerie. Il laissa tomber sa tête sur l'épaule de la jeune femme. Elle était trop petite. Ça lui faisait mal au cou. Et puis T/P serait sûrement plus confortable. D'ailleurs que pouvait bien faire T/P maintenant? Elle devait lui en vouloir pour tout à l'heure. Ou peut être était elle contente qu'il s'en aille. Il ne devrait pas penser à elle. F/L était là, à coté de lui. C'était suffisant. La soldate prit la parole.

-Alors? Tu t'es rendu compte que tu l'aimais et ça te fait peur?

-Là, tout de suite, c'est toi qui me fais peur.

F/L savait trop de choses. Comment faisait elle pour être toujours comme ça. Tout paraissait si logique pour elle. Elle n'avait jamais l'air en difficulté. Il fit la moue. La jeune femme soupira avant d'afficher un léger sourire.

-Je suis contente pour toi. Elle a l'air d'être vraiment quelqu'un de bien. Tu devrais essayer de te jeter à l'eau. Je continuerai à veiller sur toi alors tu n'as pas besoin d'avoir peur Haru. Et tu as encore moins de raison d'avoir peur avec ton institutrice de ce que j'ai pu voir.

-Je n'ai pas besoin d'aimer quelqu'un d'autre puisque tu es là, non? Toi je suis sûr que tu resteras. N'est ce pas?

Demanda le jeune soldat en relevant la tête, d'une voix emplit de doutes. C'étaient de véritables questions. Questions enfantines, certes. Mais sincères.

-Haru... il y'a une difference entre la façon dont nous nous aimons et la façon dont j'aime Livai. Je ne te parles pas d'amitié.

-Tu as l'air certaine que j'aime cette femme comme toi et ton petit nain en chef de pacotille.

Un silence s'installa quelques secondes durant lesquelles les deux amis se fixèrent droit dans les yeux. Avant qu'Haru ne lâche un profond soupire de résignation. Il ne comprenait pas encore bien mais il imaginait que F/L avait sûrement raison. De toute façon cette femme avait toujours raison. Ses sentiments étaient sûrement en train d'évoluer, à vitesse grand V, dans cette direction. Il demanda.

-Tu lui as tout raconté n'est ce pas?

-Tu parles de ton passé? Oui. Tu ne lui aurais jamais dit par toi même. Elle avait besoin de savoir où elle mettait les pied sinon vous vous seriez sûrement entre tué. Ça l'aidera aussi sûrement à mieux te comprendre.

-Mon passé n'est pas ma personnalité. Ça ne la concernait pas. Maintenant elle...

-Non mais il fait partie de toi. Et si elle veut rester à tes cotés mieux vaut qu'elle soit là pour t'aider à surmonter définitivement tout ça plutôt que pour te faire du mal sans le vouloir et sans même comprendre pourquoi. Parce que tu es incapable de surpasser tout ça tout seul pour l'instant.

-Tu me fais chier avec ta psychologie de comptoir à deux balles.

-Je sais.

À nouveau, le silence s'installa un instant. Haru réfléchissait. Mais maintenant elle ne le regardait plus avec la même lueur de malice dans les yeux.... il voyait de la pitié dans ses yeux. Il détestait ça. Mais maintenant c'était à peine si elle le regardait dans les yeux quand il essayait de parler sérieusement avec elle. Mais maintenant il la dégoûtait sûrement.

-Elle ne veut pas me le dire.

-Te dire quoi?

-Qu'elle le sait.

-Elle ne voulait même pas que j'en parle à l'origine. Elle se sentait mal à l'aise d'apprendre ce genre de chose dans ton dos.

Haru arqua un sourcil avant de lancer un regard suspicieux vers son amie, qui continua.

-Elle doit avoir peur de te blesser encore.

-Encore?

-Nous avons parlé de cette histoire de baiser volé à votre premier rendez vous. Elle m'en a un peu voulu sur le coup. Je dois admettre que j'y suis peut être allé un peu fort. Mais elle a compris, et elle avait l'air obsédée par l'idée qu'elle risquait de te blesser à nouveau. Ça doit la travailler.

Haru fixa ses pieds, les sourcils froncés, pensif. Il prononça, sans même s'en rendre vraiment compte.

-Je suis si faible que ça?

À peine avait il fini sa phrase que sa tête fut violemment bousculé vers l'avant. F/L venait de lui taper l'arrière du crâne.

-Espèce d'abrutit, ça n'a rien à voir.

-Les gens normaux réconfortent les autres avec un câlin en général pas en leur faisant mal.

Fit le noiraud en se frottant l'arrière du crane avec un petit sourire reconnaissant.

-Parce que, là, maintenant, tu as envi que je te touches? Tu as envi d'un câlin peut être?

Il fronça les sourcils. 

-Non.

-Alors arrêtes avec ton humour à deux balles si tu dis ce genre de choses les gens ne comprennent rien quand tu réagis mal.

Haru leva les yeux au ciel tout en laissant sa tête tomber en arrière. F/L allait sûrement encore lui faire la moral sur son humour particulier et les petites remarques salaces qu'il balançait parfois. Ce n'était que de l'humour, et il aimait bien voir apparaître des rougeurs sur les joues des gens quand il arrivait à les caser dans un moment improbable. Cependant, la jeune femme n'en fit rien. Il tourna les yeux vers elle pour constater que son amie l'observait.

-Tu es incroyablement compliqué.

Le soldat s'esclaffa. Il répondit d'un ton rieur. Il était content que F/L soit là. Son sérieux et son franc parlé le faisait toujours rire.

-Tu es vraiment adorable ce soir dis moi mon chou.

La soldate haussa les épaules.

-Ne gâche pas tout avec ton institutrice. Je suis sûre qu'elle pourrait te rendre très heureux si tu te laissais aller.

-Qu'est ce que tu en sais? Tu ne la connais pas si bien que ça? Comment tu pourrais savoir ce qui est bon pour moi? C'est pas moi qui devait choisir ma propre voix? D'après tes propres mots?

F/L haussa les sourcils d'un air presque outrée.

-Si j'ai tort, dis moi ce que tu veux.

-Je....

Ce qu'il voulait. Il voulait quoi? Jusqu'à maintenant il voulait ce que F/L voulait. Mais maintenant. Il voulait que F/L soit pour toujours à ses cotés. Il voulait emmerder prodigieusement son mari. Il voulait continuer à s'amuser avec Hanji.  Il voulait que T/P reste avec lui et ne l'abandonne jamais. Il voulait qu'elle puisse le réconforter sans qu'il finisse par fuir. Il voulait qu'elle le serre dans ses bras sans que cette pointe de dégoût ne s'immisce en lui sans que ce foutu frisson le fasse se crisper comme une petite chose fragile. Il voulait dormir encore une fois avec elle et se réveiller dans le lit douillet de T/P qui sentait bon comme elle. Il voulait apprendre à lire et à écrire... avec T/P. Il voulait être entouré d'enfant et entendre toujours le rire de T/P dans ses oreilles. Il voulait voir T/P lui sourire. Il eut une sorte de geste de recul. Enfaite il avait aimé T/P dès le départ.

Il l'avait trouvé d'abord marrante, elle et ses réactions. À ce moment là elle s'était démarquée des autres comme étant intéressante. Comme F/L, puis après elle avait tout fait différemment. Elle avait tout fait à sa façon. Elle avait pleurer dans ses bras, et il ne s'était même pas sentit mal à l'aise. Il s'était senti plutôt calme, il lui avait fredonné un air qui venait du tréfonds de ses souvenirs sans pour autant qu'il ne puisse l'expliquer. Elle avait fait revenir à lui cette mélodie qu'il fredonnait souvent, maintenant, car elle l'apaisait. Ensuite elle avait déjeuné avec lui, il s'était bien amusé et elle avait promis de l'emmener à l'école. Il avait eut tellement hate de la voir qu'il n'en avait pas fermé l'œil. Elle lui avait lu un livre, avait toujours essayé de le faire sourire, ils avaient dîné ensemble après, il s'était tellement amusé. Puis, elle l'avait embrassé. Il vint triturer sa lèvre inférieur à ce souvenir. Ses lèvres étaient douce. Mais il avait paniqué. Il avait énormément paniqué ce soir là. Il se sentait à la fois idiot et bien trop impuissant à son gout en y repensant. Il n'aimait pas se sentir comme ça. Il détestait avoir peur. Il réessaierai peut être plus tard. Après tout il avait déjà embrassé F/L. La soldate lui en avait fait baver mais ça n'était pas effrayant. Il l'embrasserai peut être. Juste pour voir. Juste pour se prouver qu'un baiser n'avait rien d'effrayant. Juste pour ça. N'est ce pas? Et enfin quand ils s'étaient retrouvé, après ce baiser, et qu'elle avait pleurer. Il s'en était peu être un peu voulu, et sa peur, sa colère, ou tout autres pensées négatives s'étaient envolées. La nuit qu'il avait passé au creux de ses bras.

Il repensait à absolument tous ses souvenirs avec elle. Il l'avait toujours aimé. D'abord comme F/L. Puis c'était devenu bizarre. Il avait seulement commencé à l'aimer un peu plus chaque jour. Mais ça avait été si naturel avec elle. Il n'y avait même pas pensé. Et maintenant qu'il le réaliser il se sentait affreusement sensible. Il tira la langue de dégoût. Il préférait tuer les titans. Il n'y avait pas de prise de tête. Leurs têtes d'idiots étaient marrantes. Les deviants le faisait toujours rire en courant comme des détraqués au vent. Et il avait juste à taillader tout ce qui bougeaient. C'était simple. Les sentiments c'était dangereux. Les sentiments étaient incertains. Les sentiments pouvaient changer du jour au lendemain. Les sentiments c'étaient terrifiants.

-Ça craint. J'aime pas ça. J'aime pas du tout.

F/L soupira avant de s'en aller tout en lui disant d'aller dormir aussi. Elle avait sûrement déjà compris ce à quoi il pensait, et était trop fatiguée pour se battre, encore, dans des discussions de sourds. Quant à Haru, il fronça les sourcils.
Si T/P partait, il serait triste. Plus il resterait avec elle plus il serait triste quand elle partirait. Alors il avait décidé de trouver un moyen pour arrêter de l'aimer. De trouver un moyen pour qu'elle s'en aille avant que ça n'empire.
Il n'avait rien retenu de cette longue conversation avec F/L, et la soldate, elle, retrouva son mari, dans son lit, avec un énorme mal de crâne.
Haru était non seulement compliqué mais en plus il était doublé d'un abruti.
Les choses reposaient maintenant entre les mains de cette institutrice.

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C'est la fin pour cette semaine ! ( oui j'espère vraiment continué avec ce rythme haha)
J'espère que le chapitre vous aura plu malgré qu'il ne soit pas franchement joyeux! N'hésiter pas à me donner votre avis! enfin bon voila voila... je ne sais pas trop quoi dire d'autre...
Je suis en train de pensée à T/P qui veut venir le voir le lendemain et Haru qui s'est mis en tête de la faire partir. Va y a avoir une bonne ambiance encore mdr. Désolée à tout ceux qui s'imaginer une histoire juste comique et bonne ambiance et tout.... enfin....D'après vous comme ça va se passer avec T/P?  Sur ce je file et je vous fais tous pleins de bisous sur vous !!! ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️

Et boom illu

oui alors certes elle est dégueulasse sa maman mdr désolé j avais pas le temps cette semaine en plus j'ai voulu tenter une nouvelle appli et je me suis rendu compte que après (oui parce que pourquoi vérifié que tout marche dès le début quand on peu tout fucked up après) que j'avais pas accès a tous les trucs (d'où les ombres en mode bat les cacahuètes parce qu'en general je les estompe et tout mais la je pouvais pas puis j'ai dessiné sur les mauvais calques donc je pouvais plus gommer c'est pour ça qu'on voit encore vite fait le sketch et il est bourré d'erreur mdr enfin bon un bordel de A à Z) mais bon ça reste une illu haha. Je ferai mieux pour la prochaine promis!

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