15
Hey hey hey! comment allez vous ?
Je suis de retour avec la suite ! Et ce chapitre est beaucoup plus long que d'habitude il avoisine quasiment les 3 000 mots ! Pfiou ! Disons que ce chapitre est un peu dur je voulais le faire en une seule fois comme ça on pourra passer dans une atmosphere plus légère pour la suite.
! ATTENTION ! CE CHAPITRE ÉVOQUE LES THÈMES DE L'ABUS SEXUEL, ET MENTAL TANT BIEN SUR ADULTES QUE SUR MINEUR.
Certaines partie de ce chapitre peuvent donc heurter la sensibilité de certains lecteurs. Les passages seront délimités par ce symbole: ‼️
Je suis responsable de ce que j'écris pas de ce que vous lisez. Merciii
———
‼️
-Je pense que je peux attendre qu'il soit prêt à me parler de ça lui même.
Après leur « conversation » T/P avait effectivement une petite idée sur ce qui avait provoqué les réactions étranges du noiraud. Mais elle n'arrivait pas à le concevoir. Tant qu'il ne le disait pas ce n'était pas vrai. Elle ne voulait pas imaginer ça. Elle n'arrivait pas à imaginer qu'un homme aussi fort que lui ait subit cela. Dans tout les cas c'est à lui d'en parler. À lui de...
-Il n'en fera rien.
-Comment ça?
-Il ne parle jamais du passé.
-Mais je ne peux pas juste.... enfin ce n'est pas correct. Même si ça lui ait arrivé je ne veux pas en parler dans son d...
-Je pense que tu as besoin de toutes les pieces du puzzle si tu veux réussir à comprendre Haru. Et même si tu penses l'avoir compris, je pense que tu n'en as pas encore pris pleinement conscience. Tout comme tu n'as pas vraiment pris conscience de ce qui a faillit t'arriver. Une blessure ne soignera jamais si on l'ignore. Elle risque simplement de s'infecter.
Cette phrase boulversa la jeune femme a un point qu'elle ne put l'imaginer.
-Comment tu peux dire ça!? Tu...
-Parce que tu n'arrives même pas à prononcer ce mot.
-Je ... non....
-Tu as peur d'un mot car le dire à voix haute rendrait la chose réel à tes yeux.
-C'est faux!
T/P se sentit suffoquer. Elle manquait d'espace, comme si les murs du couloirs se rapprochaient. Elle voulait partir mais cette femme était toujours aussi calme, toujours planté là devant elle. Dans un geste de défense inconscient l'institutrice leva la main vers la jeune femme cependant la soldate saisit son poignait. Elle s'était laissé faire une fois. Pas deux.
-Alors dis le. Tu es en sécurité ici. Il ne t'arrivera rien. Admets le.
-J'ai ... ils m'ont.. presque....
Son cœur s'emballait. Ce n'était rien. Elle l'avait presque oublié. Elle n'avait pas besoin de le dire. Ça n'est pas arrivé. Ça ne pouvait pas lui arriver. Ça n'arrive qu'aux autres. Ça ne peut pas ....
-Presque quoi? Dis le. Tu n'as pas à avoir honte. C'est eux qui auraient dû avoir honte. Tu n'as plus à avoir peur tu es en sécurité.
-Ils étaient sur le point de me violer!
L'institutrice se sentit alors complètement démunis, envahit par des millions de sentiments contradictoires. La peur. La colère. La honte. Elle se sentait si vulnérable.
‼️
T/P se sentit trembler de la tête au pied et un torrent de larmes vint dévaler ses joues. Elle s'agrippa à la jeune femme comme à une bouée de secours se sentant tomber. F/L se laissa faire frottant doucement sa main dans le dos de la C/C. Elle s'agenouilla doucement au sol pour laisser la jeune femme s'assoir. Elle ne savait pas vraiment comment réconforter les gens...elle ne savait pas vraiment comment agir avec un autre être humain tout court. Elle était soldat.... pas psy. Mais elle avait du gérer Haru et ses crises violentes par le passé. Alors ce petit bout de femme ne l'effrayait pas. Et ce n'était clairement pas Haru qui allait l'aider là dessus. Alors elle resterait là. Elle attendrait que cette jeune femme qui pleurait de douleur dans ses bras s'apaise. Qu'elle se sente prête à discuter. Cela pris bien une vingtaine de minutes. Période durant laquelle F/L n'avait cesser de lui frotter doucement le dos en espérant que cela l'aide. T/P se recula, renifla bruyamment, tout en essuyant ses yeux. Elle s'adossa contre le mur et repris doucement sa respiration. F/L observa un instant son uniforme complètement trempé, grimaça, avant de s'assoir à coté de la jeune femme.
-Tu veux m'en parler plus en détails?
La jeune C/C hocha négativement la tête. Elle voulait simplement respirer un peu.
-Je vais te raconter une histoire.
-Tu veux dire que tu vas me parler du passé d'Haru?
Fit la jeune institutrice en se frottant vigoureusement le visage et en reniflant.
-Tu veux l'entendre?
La jeune institutrice prit une grande inspiration. Elle voulait comprendre Haru. Elle voulait être là pour lui sans plus jamais le faire souffrir comme elle l'avait fait accidentellement. Elle resserra ses bras autour de ses jambes et posa son menton sur ses genoux. Elle se sentait encore à fleur de peau à cause de leur discussion précédente mais elle sentait que quelques que chose s'était libéré en elle, quelques chose dont elle n'avait même pas conscience. Elle ne se sentait pas vraiment mieux. Non. Elle voulait encore pleurer. Mais elle sentait que à partir de maintenant ça irait mieux. Progressivement. Et elle espérait pouvoir entraîner Haru avec elle durant son ascension. Elle hocha alors doucement la tête tout en fixant ses pieds. Elle voulait savoir. F/L lui lança alors un regard se voulant compatissant. Elle tapota le plus doucement qu'elle le put le sommet du crâne de l'institutrice. F/L appréciait cette jeune femme. Elle était courageuse. La soldate était contente qu'Haru se soit trouvé quelqu'un comme T/P. Enfin de ce qu'elle voyait pour l'instant.
-Haru a grandi sans parents, dans les bas fonds. Il n'a aucun souvenirs de sa famille.
-Rien du tout ?
-Rien du tout. En tout cas c'est ce qu'il m'a dit. Je crois surtout qu'il a peur de ne pas trouver de bons souvenirs à se rappeler, si il cherchait.
Un léger silence s'installa. Il devait se sentir seul. Pensa T/P. F/L reprit.
- Je ne te surprend pas si je te dis que les yeux d'Haru ont une couleur peu commune.
-Ses yeux sont magnifiques!
-C'est ton opinion. Pour d'autre c'est une malediction. Sans famille, seul et different. Les habitants des bas fonds ne sont déjà pas tendre mais Haru a dû concentrer la haine de ces personnes. Il s'ait battu pour respirer, pour manger, ou juste pour pouvoir vivre. Le monde le détestait car il avait les yeux du diable. Et puis dans les bas fonds les gens ont déjà du mal à se nourrir eux même ils ne s'encombre pas souvent d'une bouche supplémentaire à nourrir.
-Les gens sont horribles
‼️
-Ça aurait été mieux comme ça. Un homme a trouvé Haru quand il avait trois ans. Il était en train de mourir de faim.
-Il l'a aidé?
-Tu le pense vraiment ? Il l'a recueillie. Certes. Il l'a nourri. Certes. C'est même cet homme qui lui a appris a parlé. Quand tous le monde lui crachant dessus en le traitant de démon, lui l'a appelé mon ange. Et il l'a violé. Cet homme a transformé tous ces petits gestes, tous ces petits mots doux que les gens se disent dans l'intimité en torture insupportable. Tous les jours un peu plus. Tous les jours avec de nouveaux visages.
T/P sentit son cœur se soulevait de dégoût dans sa poitrine. Elle voulait vomir. Elle aurait voulu que l'histoire s'arrête là. Ça suffisait. Elle en avait assez entendu. Les humains n'avaient aucun cœur. Cependant F/L continua.
-Jusqu'à ce qu'il ait douze ans. L'homme a été assassiné. Haru a réussi a se faire recruter dans une armée, disont...particulière, et a vécu parmi eux, dans l'ombre, pendant près de quinze ans. Il a gardé beaucoup de traumatisme de tout cela. Et je crois que la violence excessive subit et les experience pratiqué sur les soldats au sein de cet armée l'ont à la fois permis de défouler sa haine, mais ont également détruit tout ce qui restait de sa foie en l'être humain. Je me souviens encore. Il y a de cela quelques années. Une nouvelle recrue avait visiblement un petit beguin pour Haru. Il était beaucoup plus violent qu'aujourd'hui et parlait très peu. Il détestait tous le monde. Elle a voulut se rapprocher de lui. Elle a voulut lui donnait une surnom pour rigoler....
T/P l'a coupa.
-Elle l'a appelé mon ange?
-Elle n'a pas eut le temps de le prononcer en entier. Il avait complètement perdu pied. On ne reconnaissait plus rien d'elle à la fin.
La C/C écarquillât complètement les yeux. Haru pouvait avoir un coté terrifiant des fois. Pourtant elle n'était pas effrayé par la nouvelle. Elle l'attristait. Haru devait se sentir atrocement malheureux, en colère et seul.... pourtant elle le voyant toujours si souriant. F/L observait la réaction de la C/C. Si cette femme voulait prétendre aimer Haru elle devait savoir. Elle devait se rendre compte de qui était Haru, de ce dont il était capable. Voyant le regard triste de la jeune femme, F/L ajouta avec un sourire discret.
‼️
-Mais il fait de plus en plus de progrès. Il parle. Beaucoup. Il parle même trop.
T/P esquissa un léger sourire. Oui. Il ne s'arrêtait presque jamais. Ou alors pour réfléchir a la prochaine connerie qu'il pourrait faire. La soldate poursuivie.
-Il supporte plus ou moins le contact.
L'institutrice fit la moue. Oui. Il se jette carrément dans tes bras. pensa-t-elle amèrement. Elle osa alors demandé.
-Mais toi et Haru.... vous .... enfin ... vous avez quel genre de relation?
-Je l'ai rencontré dans les bas-fonds le jours où il s'est présenté dans la salle de selection pour rejoindre les rangs. J'imagine que nous sommes devenue amis ce jours là malgré des hauts et des bas.
La C/C dévisagea la jeune soldate des pieds à la tête.
-Tu avais quel âge?
F/L fixa son interlocutrice avant que l'institutrice ne se reprenne en toussotant.
-Si c'est pas indiscret bien sûr.
-J'avais neuf ans.
-Mais qu'est ce que tu faisais là bas à neuf ans?
-Tu veux flirter avec moi aussi ? Concentre toi sur Haru et laisse ma vie en dehors de cette conversation.
L'institutrice se crispa une seconde face au répondu tranchant de la soldate avant de comprendre que c'était comme ça que la jeune femme fonctionnait. Son ton n'était pas agressif. Il était toujours aussi calme. F/L n'était visiblement juste pas du genre à s'attarder dans... les details. Si elle osait appeler ça comme ça. Elle respectait beaucoup cette femme. Même si elle était tout de même un peu étrange.
-Comment ça c'est passé l'armée? Vous étiez dans quel corps d'armée?
-Non répertorié. Nous avons été engagé pour servir de bouclier humain. Une manière comme une autre de limité les pertes du bataillon d'exploration.
-Mais c'est immonde! Ce genre d'armée existe?!
-Plus maintenant. Haru a tué le major.
Les deux jeunes femmes se turent un instant. T/P ne savait pas quoi faire de cette information et F/L ne comprenait pas le troubles de la C/C. Quelques secondes s'écoulèrent avant que/qu'F/L ne prenne la parole.
-C'est... une bonne chose.....Qu'il l'ait tué je veux dire.
-J'imagine
Une nouvelle fois le silence s'installa. T/P eut au moins la douce satisfaction de se dire que F/L n'était peut être pas entièrement parfaite. Elle avait du mal à communiquer et à s'adapter à la personne à qui elle parlait. Pas de superflue, pas de filtre, pas forcément de douceur, menant donc à ce genre de situation complètement bizarre et un peu gênante. Ça l'a rendait un peu attachante aux yeux de T/P maintenant qu'elle lui trouvait un défaut.
-Tu penses qu'un jour Haru se confiera à moi sur tout ça ?
-Ça m'étonnerait. Comme je te l'ai dit il ne veut plus parlé de son passé.
-Mais il ne peut pas faire comme ci ça n était pas arrivé ce n est pas saint po...
-Il sait que c est arrivé. Il en est conscient et il se souvient de tout. Il a accepté que tout cela faisait partie de son passé, et il ne veut plus en parler. Il lui a fallu du temps pour aller mieux. Il lui a fallu du temps pour tourner la page mais maintenant il reconnaît toutes ces choses. Simplement il ne veut plus leur donner l'importances qu'elles avaient avant dans son esprit. Ces événements lui font encore du mal à chaque fois qu'il y pense, que quelque chose lui rappelle vaguement son passé, qu'une parole se confond dans ses souvenirs. C'est très dur. Mais il veut penser à cela comme d'un vieux souvenir banal. Et on ne raconte pas aux gens la fois où l'on a rater une marche dans les escaliers quand on était petit. C'est un souvenir. Un souvenir douloureux. Un souvenir qu'il veut rendre sans importance. Et surtout c'est un souvenir qui lui appartient. Toutes ces choses sont arrivées, lui ont fait du mal, l'ont blessé, même torturé et tous ces maux que son passé lui a laissé le hanteront à jamais. Mais tout ce qu il veut c'est tourner la page vers autre chose. Tout comme des gens ont besoin d'en parler, d'autres essayent vainement d'oublier, Haru, lui, n'oubliera pas, mais ne veut pas avoir à ressasser ces choses. La vie ne sait pas arrêté à ces événements. Il est toujours vivant. Chaque jours il se reveille et découvre de nouvelles chose. Chaque jours il avance un peu plus. Alors il va continuer à avancé. Il va continuer a suivre le fils de sa vie sans s'arrêter sur ses noeuds qui l'ont détraqué. Sans couper le fil. Il fera face et il ira droit devant. Il a retiré des leçons de son passé. Celle qu'il était libre. Celle qu'il pouvait être qui il voulait, celle que ses yeux pouvait tout aussi bien dégoûter que plaire, et que peu importe l'avis des gens il était et il devait rester fier de qui il était. Que qu'importe ce qu'on lui dirait il ne se forcerai à rien. Haru resterait Haru. En parler ne changera rien à son passé. Il vit au jour le jour car la journée d'hier ne lui appartient plus, et celle de demain lui sera peut être arraché. Alors il ne veut plus rester coincé à hier. Tout ce qu il voit, c est qu aujourd'hui il a réussi à se battre contre sa peur. Vous ne vous connaissez que depuis peu de temps mais tu lui as pris la main, tu l'as embrasser, et je ne veux pas savoir ce que vous faites d'autres. Mais il aimerait sûrement pouvoir continuer comme ça. A son rythme. Car Haru n'a jamais fait demi tour devant un mur. Il faut simplement garder à l'esprit qu'on ne franchit pas aussi rapidement un petit muret qu'une muraille dont on a du mal à voir le sommet. Alors peut être qu'il te demandera ton aide. Ou peut être qu'il continuera à évolué seul, avec ton soutient. C'est à lui de choisir.
-Pourtant moi tu m'as forcé à parler.
-J'ai fait la même chose avec Haru quand on était petit. Il a essayé de me sauter à la gorge. Et bien que je comprend que certaine personne ait besoin de plus de temps je ne sais pas vraiment comment faire autrement. Par ailleurs tu es loin d'avoir les compétences physiques requises pour confronter directement Haru.
-Mais..
-Laisses le guérir tranquillement. Sois patiente. Aimes le. Aides le à ta façon. Quand il sera prêt à parler vous parlerez de ce que vous voulez. Ce n'est pas mon problème.
Un nouveau silence s'installa. F/l était quand meme plutôt doué pour rendre une conversation légèrement malaisante. Autant elle était capable de long monologue philosophe, autant son franc parlé était parfois déconcertant. Le silence perdura quelques instant, durant lesquels T/P était plongée dans ses pensées. Elle réfléchissait à leur conversation à tout ce qui était arrivé à Haru. Si elle avait vraiment sa place à ses cotés. Si elle le méritait vraiment. Alors, plus pour elle que pour autre chose, elle dit.
- Comment je pourrai être un soutient pour Haru? Comment je pourrais l'aimer correctement? Alors que je m'effondre au moindre problème?
-Cette simple question prouve que tu en es parfaitement capable. Parce que tu te soucis de lui et que tu ne veux que son bonheur.
-Mais je l'ai déjà blessé, et ....
-Et alors. L'humain n'est pas parfait. Tu as fais des erreurs. Tu as blessé quelqu'un qui t'es cher. Alors apprends de tes erreurs. Fais en sorte de mériter son pardon et aime le du mieux que tu peux. Ça ne marchera peut être pas mais alors tu t'en rendras compte à ce moment là et tu feras le bon choix. Pour son bien. Car tu l'aimes.
-Mais....
-Écoutes, j'ai déjà poignardé Haru.
T/P s'étouffa avec sa salive. Pardon? Elle voulait dire au sens métaphorique n'est ce pas? Pourtant la soldate ne s'arrêta pas et enchaîna. Elle ne voyait pas le problème ? S'effara la C/C.
-Je ne mérite probablement pas le prix de la meilleur amie mais il est toujours derrière mon dos. Haru plus que quiconque ne te demandera pas d'être parfaite. Tu compte le frapper?
-Mon Dieu! Non!
-Lui faire du mal ?
-Bien sûr que non!
-Le brusquer tout en te moquant de ses sentiments.
-Mais non! Ça suffit tu...!
-Alors tu es qualifié.
C'est fou comment cette femme transformait ses problèmes existentiel en simple raisonnement purement logique. Un nouveau silence s'installa avant d'être rompu par la jeune C/C.
-Tu .... Tu l'as vraiment poignardé?
La soldate fronça les sourcils et entrouvrit la bouche. C'était une civil. Comment on explique ce genre de chose à une civil? Il n'y avait peut être aucun rapport mais F/L comme Haru avaient du mal a se familiariser à la vie entre les murs. À l'armée Hell, où la torture faisait partie intégrante de leur entraînement, ce n'était pas quelque chose de si choquant. Tous le monde s'entretuaient pour une miche supplémentaire de pain. F/L ne savait pas vraiment comment formuler sa phrase. Elle n'avait jamais été du genre à aller dans la dentelle mais ce genre de chose manquait peut être beaucoup trop de dentelle. Ils s'entraînaient,... et Haru pouvait -il le peut toujours- se montrer infiniment casse pied. Elle s'était peut être vengé quelques fois. Il guérissait en quelques secondes après tout. Alors que quand c'était lui qui la blessait, elle mettait du temps à récupérer, et ça n'avait jamais arrêté le noiraud. Elle ne voyait pas le problème. Mais ..... Il y avait peut être une manière plus délicate d'aborder le sujet.
-Hum...
-Il se régénère en un instant et il est insupportable. C'est une invitation à le planter. F/L, Erwin nous attend.
Fit soudainement la voix du caporal chef Livai à quelques mètres des deux jeunes femmes. T/P sursauta. Elle ne l'avait pas du tout entendu arrivé. Attendez. Quoi?
-Vous entendez quoi par régénérer?
Les deux soldats se lancèrent un regard rapide. Il ne lui avait pas dit? Pensèrent ils en même temps. Puis le caporal détourna le regard et fixa quelque chose derrière elles. Il soupira tout en désignant d'un geste de la tête le bout du couloir. T/P tourna vivement la tête.
-Vous faites des réunions sans moi maintenant? Je suis déçu!
Haru avait visiblement fuit le camp d'entraînement.
———
Et c'est la fin pour aujourd'hui! J'espère que le chapitre vous a plus bien qu'il ne soit pas joyeux. Enfin bon... voila voila. Je n'ai pas grand chose à dire donc je vous laisse avec l'illu du jour!
Sur ce voila voila c'est tout pour moi! Je vous fais tous pleins de gros bisous sur vous et vous dis à bientôt avec la suite. ♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️♥️
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top