chapitre 9 A coeur vaillant, rien d'impossible

      

        Harry, Cassandra, Ron et Hermione avaient attendu toute la journée pour avoir des nouvelles de l'intervention des Aurors,  dans la forêt interdite. Mais  la nuit tomba, sans qu'aucun d'eux ne reviennent. L'inquiétude était à son comble.
Dans la salle commune, Hermione tentait, en vain d'aider Cassandra à rattraper ses cours. Ron et Neville avaient entamé une partie d'échec sorcier. Et Harry, le nez collé à la vitre, scrutait l'obscurité.
Soudain, il se figea. Des lueurs bougeaient rapidement dans le parc.
- Il se passe quelque chose. Dit il.
- Quoi ? Demanda Cassandra
- Je sais pas, mais je vais voir.
Harry entra ans le dortoir et récupéra la cape d'invisibilité de son père.
- Attends, dit Ron, je viens avec toi.
- Moi aussi. Dit Cassandra, ravie de laisser tomber le cours d'histoire de la magie.
- D'accord dit Harry, on y va tous.

Ils eurent du mal à avancer, serrés les uns contre les autres sous la cape.
Les escaliers, surtout. Se révélèrent difficiles à descendre.
Mais ils arrivèrent sur les dernières marches donnant dans le hall.
Allongé à même le sol, un homme recebait drs soins de madame Pomfresh. Autour de lui, se pressaient des Aurors.
Ron reconnut ses oncles, Fabian et Gidéon Prewett. Ils cachaient le visage de l'homme blessé.
Soulagé, Neville vit entrer ses parents. Et debout, face aux autres Aurors, James Potter gardait les yeux fixés sur le sorcier allongé par terre. Maugrey arriva ensuite.
Cassandra avait beau chercher, elle ne voyait son père nulle part.
Puis, Gideon et Fabian s'éloignèrent et le visage du blessé apparut clairement dans la lumière.
Les yeux de Cassandra s'arrondirent, son coeur cedsa de battre, une seconde,  elle oublia la cape, sous laquelle elle se cachait et se rua sur les dernières marches en hurlant.
- Papa.
Harry la suivit, au comble de l'angoisse.
Le professeur McGonagall l'attrappa au vol.
- Miss fletcher. Non, n'y allez pas.
James réagit au quart de tour. Il arracha presque la fillette des bras du professeur, et l'entraîna à l'écart.
- Ça va, Cassandra, il va s'en sortir.
Elle leva vers lui ses grands yeux gris emplis de larmes.
- C'est sûr ?
- Je te le promets. On a prévenu Sainte Mangouste, ils vont envoyer des médicomages, ils vont prendre soin de lui.
- Papa ? Demanda Harry.
- Il ira bien Harry, je t'assure.
Il serra Cassandra et Harry dans ses bras.
Cassandra s'arracha à ses bras, et s'approcha de Sirius.
Il avait une horrible balafre qui lui barrait la joue, depuis la tempe jusqu'aux comissures des lèvres. Sa cuisse droite était bandée mais le bandage était déjà maculé de sang. Il était très pâle et ses traits étaient tirés et crispés par la souffrance.
Cassandra s'agenouilla près de lui.
- Ca va gamine ? Demanda t'il, d'une voix enrouée.
Elle secoua la tête.
- Hé ! T'en fais pas pour moi, j'ai la peau dure. Ça va aller.
Une larme roula sur sa joue. Il l'essuya d'un d'un doigt et lui carressa la joue.
- Ne pleure pas, Cassy, je vais bien, je t'assure.
- T'en as pas l'air. Gémit elle.
Il sourit.
Mais sa main retomba lourdement sur les dalles.
- papa ? Appela t'elle. Et elle
Fondit en larmes.
Le professeur McGonagall la prit dans ses bras. Sirius se tourna vers James
- Elle m'a appelé papa. Tu as entendu ?
James acquiesça.
Quatre médicomages venaient d'arriver. Ils examinèrent le blessé, lui firent avaler une potion, et l'emmenèrent.
Pendant ce temps, les frères Priwett s'approcherent de Ron.
- Ça va Ron ? Demanda Gideon.
Il haussa les épaules.
- Il va s'en sortir, oncle Fabian ?
- Je l'espère. C'est un dur à cuir, il va se battre, c'est sûr.
- Et l'obscurus, vous l'avez eu ?
- Oui, c'est ce vieux Maugrey qui l'a coincé. Dire que certains le crois bon pour la retraite.
- Oui, écouter Ron, ta mère est tres inquiète, et elle a déjà pad mal de soucis avec Fred et Georges, alors tâche de ne pas en rajouter, D'accord ?
Ron acquiesça.

- Allez les enfants, il est temps d'aller vous coucher. Dit le professeur McGonagall.
Monsieur Rusard, raccompagnez les à leur dortoir, je vous pries.
La mort dans l'âme, ils le suivirent.

- Qu'est ce qui s'est passé ? Demanda Dumbledore.
- Il m'a sauvé la vie. Dit James. L'obscurus était sur nous, il lançait des éclairs, nos sorts n'avaient aucun effet sur lui. Un éclair se dirigeait droit sur moi, Sirius s'est jeté sur moi, l'éclair l'a touché à la cuisse, il a été soulevé dans les airs, et il est retombé, sans qu'aucun d'entre nous puisse le retenir.
Maugrey posa une main sur l'épaule de James.
- Il va s'en sortir, c'est un Black, c'est pas sa première blessure.
Mais James soupira. Si Sirius ne s'en sortait pas, cette fois, il ne s'en remettrait pas.
Il était devenu plus qu'un frère, depuis leur entrée à Poudlard,ils avaient onze ans.
- Et l'obscurus ? Demanda Dumbledore.
- Il est en lieu sûr. Assura Maugrey. Mais pour le détruire, il faudrait savoir qui est son créateur, et comment il a fait pour lui donner autant d'autonomie.
- Encore un mystère à résoudre, soupira Albus, décidément, ça commence à faire beaucoup.

La semaine passa au rythme des hibous envoyé par James ou Lily, pour les tenir informés de l'état de santé de Sirius, les nouvelles restaient assez vagues, cependant, et entretenaient, involontairement, un sentiment d'angoisse chez Cassandra et Harry.

Trois jours après l'incident, alors qu'ils se rendaient au cours de potion, ils passèrent devant Malfoy, Crabbes et Goyle.
Crabbes tenait un exemplaire de la gazette du sorcier dans les mains.
- l'Auror Sirius Black a été grièvement blessé au cours d'une intervention visant à intercepter un dangereux sorcier pratiquant la magie noire. Lut il.
- Ce traitre à son sang n'a eu que ce qu'il mérite. Ricanna Malfoy.
Cassandra s'arrêta net. Elle se retourna et s'avançant sur Malfoy, elle lui colla son poing dans la figure.
Il tomba par terre.
- ça, c'est de la part de mon père.
Elle lui donna un coup de pied dans les côtes.
- Et ça c'est de ma part.
Puis, elle entra dans la salle de cours, la tête droite. Harry, Ron et Hermione lui emboitèrent le pas.
Toute la semaine, Cassandra et Harry eurent du mal à suivre leurs cours, Hermione les aida de son mieux, mais ils avaient beaucoup trop de mal à vraiment s'y interresser.
Ce samedi là, les Griffondor jouaient leur premier match de Quidditch, leurs adversaires étaient les poufsouffles. Mais si quelques semaines auparavant, ils auraient été surexcités, mais là, le coeur n'y était pas.
Ils déjeunaient en silence, lorsque les hiboux du courrier arrivèrent.
L'un d'eux se posa devant Cassandra.
Son coeur manqua un battement.
D'une main tremblante, sous le regard inquièt de Harry, elle saisit la lettre. Et son regard s'illumina. 
- Salut gamine, lut Cassandra à haute voix. Comme tu vois, ça va beaucoup mieux, si ça ne tenait qu'à moi, je serais déjà sorti, mais ces fichus médico refusent de me libérer. Enfin, ce n'est qu'une question de temps, maintenant.
J'ai appris que tu allais disputer ton premier match,
Alors fais moi plaisir, fiche une raclée à ces fichus Poufsouffle. Montre leur ce que vaut une Black.
A bientôt, Sirius.
Les quatre amis poussèrent un cri de joie.
C'est donc avec enthousiasme, en ce debut d'après midi, qu'ils s'aprétèrent à entrer sur le terrain.
Cependant leur joie retomba très vite lorsque Dubois leur apprit que c'etait Rogue qui arbitrerait le match.
Les joueurs protestèrent énergiquement, pariant sur le fait que Rogue avantageraient l'autre équipe.
Harry déglutit. Rogue le haissait. Il avait transformé les cours de potion en séances de tortures et d'humiliations et Harry en était sa principale victime.
Lorsque Ron et Hermione leur souhaitèrent bonne chance, à l'entrée des vestiaires, Harry savait qu'ils se demandaient s'ils le reverraient vivant. Ce n'etait pas une position très réconfortante, et Harry, entendit à peine le discours d'encouragement que Dubois prononça pendant que les joueurs de Griffondor se preparaient à entrer sur le terrain.
Neville ne comprit pas pourquoi Ron et Hermione avaient l'air si sombres, ni pourquoi ils avaient pris leurs baguettes magiques pour assister à un match de Quidditch.
Harry ignorait qu'ils avaient s'étaient entrainés, en secrèt, à jeter le sortilège du bloc-jambe, qu'ils avaient emprunté à Malfoy. Celui ci s'en etait servi sur Neville quelques jours plutôt. Le garçon étant devenu leur souffre douleur.
Ils avaient la ferme intention de s'en servir si quelqu'un, quel qu'il soit avait l'intention de s'en prendre à Harry.
Dans les vestiaires, Dubois avait pris Harry à part.
- Je voudrais pas te mettre la pression, Harry, mais on aurait vraiment besoin d'attraper le vif d'or le plus vite possible, il faut terminer le match avant que Rogue n'arrive à avantager les Poufsouffle.
- Toute l'école est là, annonça Fred. Nom d'un chaudron ! Dumbledore en personne est venu assister au match.
Harry sentit son coeur faire un saut perilleux dans sa poitrine.
- Dumbledore ?  S'écria t'il, et il jeta un coup d'oeil pour vérifier par lui même. Il repera la barbe argentée du professeur et déglutit. Une pression de plus.
Ils entrèrent enfin sur le terrain.
- Je n'ai jamais vu Rogue avec un regard aussi furieux. Remarqua Ron. Ah, ça y est, le match commence. Aie.
Ron venait de recevoir un coup sur la tête, C'était Malfoy.
- Désolé, Weasley, je t'avais pas vu.
Il adressa un sourire mauvais à Cabbes et Goyle.
- Je me demande combien de temps Potter va tenir sur son balai. Quelqu'un veut parier ? A ton avis Weasley ?
Ron ne répondit pas, Rogue venait d'accorder un penalty à l'équipe de Poufsouffle, parce que Georges Weasley venait de renvoyer un cognard dans sa direction. Les doigts croisés, Hermione ne quittait pas Harry des yeux. Celui ci tournoyait comme un faucon au dessus du terrain, à la techerche du vif d'or.
- Vous savez comment ils choisissent leurs joueurs, à Griffondor ? Dit Malfoy, alors que Rogue accordait un nouveau penalty, tout aussi injustifié, aux Poufsouffle
- Ils vont chercher des gens qui leur font pitié. Ils ont pris Fletcher parce que c'est une batarde qui a perdu sa mère, les Weasley parce qu'ils sont fauchés, et ils vont sûrement prendre Neville Londubat parce qu'il a pas de cerveau.
Neville devint écarlate et se retourna pour faire facz à Malfoy.
- Je vaux douze fois mieux que toi, Malfoy, balbutia t'il.
Malfoy, Crabbes et Goyle éclatèrent d'un rire tonitruant.
- Bien dit Neville. Approuva Ron, sans quitter le match des yeux.
- Si les cerveaux étaient en or, tu serais encore plus pauvre que Weasley, ce qui n'est pas peu dire. Lança Malfoy.
Ron avait les nerfs à vif.
- Je te préviens Malfoy, tu dis un mot de plus, et...
- Ron ! S'exclama Hermione, Harry.
- Quoi ? Ou ?
Harry avait amorcé une spectaculaire descente en piqué qui avait provoqué des exclamations angoissées, et des cris d'antousiasmes parmi la foule.
Hermione se leva en portant ses doigts croisés a sa bouche, tandis que Harry fonçait vers le sol à la vitesse d'un boulet.
- T'as de la chance Weasley, Potter a dû voir une piece de monnaie par terre. Dit Malfoy.
Ron bondit comme un ressort. Avant que Malfoy aiteu le temps de comprendre ce qui lui arrivait, Ron l'avait jeté à terre et le maintenait immobilisé. Neville hésita un instant, puis, il enjamba le dossier de son banc, pour lui prêter main forte.
- Vas y Harry ! Hurla Hermione en sautant sur place, sans même se rendre compte que Malfoy et Ron avait roulés sous son banc et que Neville était aux prises avec Crabbes et Goyle dans un tourbillons de poings et de pieds.
Harry filait droit sur Rogue qui fit un écart au dernier moment et n'évita la collision que de quelques centimètres.
Une fraction de secondes plus tard, Harry effectuait un rétablissement spectaculaire, le bras levé en signe de triomphe, le poing serré sur le vif d'or.
La foule se mit à hurler d'antousiasme. C'etait sûrement un reccord. Personne n'avait jamais vu un joueur attraper le vif d'or aussi rapidement.
- Ron ? Ron, ou es tu ? Le match est fini, Harry a gagné ! On a gagné ! Griffondor prend la tête du championnat. Hurla Hermione en dansant sur son banc et en serrant dans srs bras quiconque se trouvait à sa portée.
Harry sauta de son balai. Il n'en revenait pas, il avait réussi. Le match avait à peine duré cinq minutes.
Tandis que les supporters, envahissaient le terrain, il vit Rogue, atterrir à proximité, le teint livide, les levres serrées. Harry sentit une main se poser sur son épaule, il se retourna et vit Dumbledore qui lui souriait.
- Bien joué, dit il à voix basse pour que personne d'autre que Harry ne puisse l'entendre.
De dépit, Rogue
Cracha sur le sol.

Ce soir là, les Griffondor fetèrent comme il se doit, leur victoire, a coup de bière aubeurre, et de mets divers, fournis par les jumeaux Weasley
- Personne ne sait comment ils font, mais avec eux, on ne manque jamais de ravitaillement. Dit Dubois en se servant un hot dog.

Dans les jours qui suivirent, le triomphalisme des Griffondor gagna les autres maisons, sauf les Serpentards qui voyaient s'envoler la coupe qu'ils avaient remportés si souvent, jusque là.

Tandis qu'à Poudlard, les choses semblaient plutôt bien aller pour Harry et ses amis, il n'en était pas de même pour James.

Un peu partout, en Angleterre, des moldus des sans mêlés et des nés moldus étaient agressés, enlevés ou tués, une marque bizzare était inscrite sur les murs des maisons des victimes.
C'était une tête de mort d'ou sortait un serpent.

Les Aurors étaient débordés. Il était impossible de savoir qui était derrière ses attaques, leur but était obscur, guidé par la haine, le rascisme, et la terreur.
Maugrey ne décolérait pas, et l'absence de Sirius, toujours à Sainte Mangouste se faisait cruellement sentir.

James profita d'un jour de repos bien mérité pour aller voir son ami à l'hôpital.
Il croisa le médicomage Lowson, le chef de service qui l'avait soigné.
- Comment va t'il ?
- bien mieux, il ne cesse d'importuner le personnel féminin, de demander du wisky pur feu et accessoirement de le laisser rentrer chez lui.
James sourit.
- Bon, il est sur la bonne voix
- Il est surtout sur la voix du retour. Vous pouvez lui dire qu'il peut rentrer chez lui. J'en ai assez de voir mes médicomages se disputer le privilèges d'entrer dans sa chambre.
Avec un grand sourire, James rentra dans la chambre de Sirius.
- Ah, enfin ! Tu m'apportes une bouteille au moins ? Toute cette flotte va finir par me tuer.
-  Ah moins que ce soit les infirmieres. Rassure toi, j'ai mieux, que du Wisky, Les clés de la prison.dit il en agitant le parchemin autorisant sa sortie.
- Ouiiii ! James, tu es un frère.
- Je sais. Mais bon, tu es en convalescence, alors, pas d'imprudence, ok ? Je t'emmène à la maison, Lily veillera sur ta guérison complète.
- Lily ? Tu te fous de moi ? Elle est pire que Lawson. C'est un véritable cerbère. Au moins, ici, les infirmieres me procurent une certaine distraction. Dit il en glissant un regard entendu à James.
Celui ci, sourit de plus belle.
- Ne t'en fais pas, Patmol, je suis sûr que Madison t'aura préparé pleins de distractions passionnantes.
- Aie ! Tu me prends pour un chien de cirque ? Cornedru ? Un dragon et une gamine, c'est tout ce que tu as à me proposer ? Tu veux m'achever hein ? Avoues, et moi qui te prenais pour un frère.
De désespoir, il enfouit sa  tête sous un oreiller.
- C'est bon. Arrête de jouer les sales cabots, et amène toi, j'ai pas toute la journée. Et puis c'est un ordre de Maugrey.
Sirius soupira et se leva d'un bond, il se crispa sous la douleur.
James lui jeta un regard entendu.
- Ça va ?
- Mais oui. Répondit Sirius avec humeur.
Ils quittèrent la chambre, et James constata que Lawson, n'avait pas menti, toutes les infirmières qu'ils croisèrent se jetèrent au cou de Sirius en gloussant comme des dindes.
- Comment tu fais ? Demanda James, un brin excédé.
- Je suis célibataire, et puis, j'ai un charme animal.
Ils éclatèrent de rire.
Ils sortirent de l'hôpital. Sirius prit une profonde bouffée d'air.
- Ahhhh. Ça fait du bien. Alors, ou est la voiture ? Ou ma moto ?
- Non, transplanage.
- Non, Non, non, non, non, non. Je ne suis pas assez en forme pour transplaner
- Oh non, Sirius, on va pas recommencer. Il va bien falloir que tu t'y remettes tôt ou tard.
- Je déteste ça. Tu le sais. La dernière fois...
- Je sais, tu t'es désartibulé, et...
- J'ai bien faillit y rester. Alors le transplanage, très peu pour moi.
- Ok, alors, qu'est ce que tu suggeres ?
Mais sans lui laisser le temps de répondre, james l'empoigna et transplana.
- Bon sang, James, ne refais plus jamais ça. Dit Sirius, plié en deux, et au bord de la nausée.
- Tu ne m'as pas laissé le choix.
- Si j'avais pas si mal, je te jure que...
Il ne termina pas, sur le pas de la porte, Lily et Madison les observaient. Soudain, la fillette échappa à lily et se jeta dans les bras de Sirius.
- Sirius cria t'elle.
Les yeux du sorcier s'arrondirent de stupeur.
- tu m'avais pas dit qu'elle parlait ?
- Je le savais pas, répondit James d'une voix enrouée par l'émotion.
Il se tourna vers Lily, aussi stupefaite que lui.
Elle s'écarta de Sirius et planta ses yeux verts dans ceux de Sirius.
- James et Lily avaient très peur pour toi. Dit elle.
- Quoi ? Dit James, mais comment le sais tu ?
Elle baissa la tête, comme si elle était prise en faute.
- Je sais que c'est pas bien, mais je fais pas exprès, je te jure lily.
Lily s'accroupit devant l'enfant.
- Qu'est ce que tu fais pas exprès ma chérie ?
- Je sais pas comment je fais, mais j'entends quand tu parles dans ta tête. Expliqua t'elle d'une petite voix.
Lily lui sourit et la prit dans ses bras.
- Je sais ma cherie et c'est bien, tu as un grand pouvoir. Tu ne dois pas en avoir honte, ni en avoir peur. On t'aime comme tu es.
La petite enroula ses bras autour du cou de Lily.
- Je t'aime très beaucoup lily.
Emue jusqu'aux larmes, lily souleva la petite dans ses bras. James entoura la taille de sa femme. Et ils rentrèrent chez eux. Au moment de passer la porte, James se retourna.
- Alors, Patmol, tu viens ?
- j'arrive.
Ils entrèrent dans le cottage.








  




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