Chapitre 1
Harry Potter habitait dans un appartement à Londres. À vingt-quatre ans, il était encore aux études pour devenir policier.
Dès ses 18 ans, il était parti de chez les Dursley. Ça avait certainement été le plus beau jour de Vernon, qui n'attendait que ça. Voir Harry à la porte, avec le carton contenant toutes ses possessions, lui avait pratiquement arraché un sourire.
Il était parti avec un but en tête; devenir un jour enquêteur de police. Rendre justice à tous ceux qui le méritaient; c'était une noble cause à laquelle Harry voulait consacrer sa vie.
Le jeune homme était dans sa chambre, celle qu'il avait occupée les six dernières années. La pièce était peu décorée; les murs étaient vides, à l'exception de quelques photos de lui prises à l'école. Il y en avait une pour chaque année de sa vie, excepté durant cinq ans. Il ne se souvenait pas de sa vie de onze à quinze ans. On lui avait raconté qu'il avait eu un accident et qu'une opération au cerveau lui avait fait oublier ces cinq années de son existence. Heureusement, cela ne lui avait pas empêché de réussir dans la vie. Il avait rattrapé toutes ses classes. Il lui restait à faire sa probation avant de devenir officiellement policier. Une fois cet objectif atteint, il pourrait enfin penser à devenir enquêteur.
Tard, dans la soirée, il entendit du bruit. Comme si plusieurs personnes montaient l'escalier de fer menant à son appartement. Puis, il entendit sa porte s'ouvrir. Personne n'avait de clé de son appartement. C'était sûrement des voleurs. Et ils semblaient nombreux. Silencieusement, Harry prit son arme et longea les couloirs jusqu'à la porte d'entrée. Peut-être était-ce ses amis policiers qui étaient là...bien que ce semble improbable.
— On devrait pas faire ça. Il ne nous reconnaîtra même pas! chuchota une voix.
— Je dois le voir de mes propres yeux! Je ne croirai qu'il est vivant qu'en le voyant, répondit une autre voix.
Harry alluma la lumière et vit quatre personnes qui partageaient la même chevelure rousse.
— Les mains en l'air! cria-t-il en les menaçant de son arme à feu.
Voyant que quelqu'un glissait sa main dans le dos, comme pour prendre une arme, il appuya sur la détente en visant la cuisse. La personne, la seule fille du groupe, tomba au sol en criant.
Immédiatement, les trois autres personnes valides levèrent ce qui ressemblait à un bout de bois. Le policier ne put faire aucun geste, il fut immobilisé et ce fut bientôt le noir autour de lui.
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