Samedi 20 mai 2006

Je suis née il y a quelques années de cela en mille-neuf-cent-quatre-vingt-dix-sept un premier mai. Je suis mort trois ans plus tard de négligence parentale le douze septembre deux-mille. On dit souvent que suite à son décès l'âme du défunt rejoint un autre monde. C'est vrai, mais certainement pas celui auquel ont pense habituellement. Premièrement, on ne quitte pas le monde des mortels, on change simplement de « dimension » ou de « mur » si vous préférez ce terme.

Vous lecteurs de ce journal, cher mortel, vous faites parti du mur principal. Vous êtes née dans cette dimension ou presque, vous vivez et vous n'avez d'interactions qu'avec vos semblables. Moi, étant mort, j'ai rejoint la dimension secondaire qui se trouve derrière le quatrième mur. Mais ce quatrième mur peut être parfois brisé ou corrompu. Dans un cas complexe, celui des enfants, en particulier ceux à problème psychologique. La difficulté avec les enfants c'est que quand ils naissent ils ne sont pas encore considéré comme vivant mais ils ne sont pas mort non plus. Ils sont durant un certain temps dans une troisième dimension, la dimension centrale. Et dans cette dimension, ils peuvent voir et interagir avec les défunts.

C'est pour ça qu'ils ont des amis imaginaires par exemple. Ceci n'est sensé être d'actualité que durant les premières années de vie du bambin, entre zéro et six ans sauf si l'enfant est malade psychologiquement ou parfois mortellement parlant. Ces maladies sont des fissures et des trous dans les murs qui amènent les esprits à eux. Le plus difficile dans l'affaire c'est que ma sentence précédente est en soit fausse, imprécise pour être exacte. Tout les fantômes ne peuvent pas prendre contact avec les enfants à problèmes au-delà de six ans. Seulement ceux que l'on appelle « le jumeau secondaire » ou « la jumelle secondaire » du petit. Soit, les défunts partageant moins de deux jours d'écart entre le jour de leurs mort et le jours de naissance de l'enfant. Ces esprits passent alors dans la dimension astrale qui est parallèle à la centrale. Dans cette dimension là, on ne peut-être vue que par notre jumeau secondaire mais on peux interagir avec les corps de la dimension principal qui nous perçois comme si on était un humain lambda. Bien sûr par corps je veux dire objet. On ne peux pas prendre possession du corps d'autrui, en tout cas moi je n'en suis pas capable.

Comme vous l'aurez sûrement deviné au vue de mes connaissances sur le sujet, je suis un jumeau secondaire. Celui d'une charmante petite fille du nom de Michelle Absinthe. Quand j'y pense, j'ai oublié de me présenté. Je suis Carlos Aconit, j'ai neuf ans je crois. D'après mes calculs, vue que Michelle à six ans actuellement et que j'ai trois ans de plus qu'elle je suis sensé en avoir neuf. Je tiens d'ailleurs à préciser que dans la dimension astrale les esprits peuvent vieillir normalement comme leurs jumeau. Ils peuvent aussi ressentir de multiples choses. Ils ont pleinement connaissances des sentiments et des besoins de leurs jumeau. Surtout la détresse ou la douleur. L'autre étant le fil les maintenant aussi proche de la principal fait qu'ils partagent en fait beaucoup d'émotions, ils sont comme lié. C'est un peu comme une attirance mal placé. Les jumeaux ont tendance à devenir territorial ou possessif de l'autre tant ils dépendent d'eux. Ce n'est vraiment pas saint mais c'est dans le meilleur des cas. Dans le pire, si il ne s'entende pas, le jumeau astrale ou le défunt fera l'enfer à l'autre quitte à en souffrir au passage. C'est très complexe, trop complexe même. J'ai l'impression d'avoir pris cinquante ans rien qu'en expliquant tout ça. Mais en bref, les jumeaux deviendront dans quatre vingt pourcents des cas incestueux.

Au passage, petit détails supplémentaire, si une dispute sépare les deux et si malheureusement les sentiments « amoureux » du défunt sont bel et bien véridique... Eh bien... Il peut tuer son jumeau pour le traîner de force dans la dimension astrale ou dans la secondaire selon ses désirs. Parfois, les jumeaux s'amusent à créer de nouvelles dimensions pour ne plus vieillir par exemple mais c'est rare. Très rare même.

Enfin, je vais plutôt revenir sur moi et Michelle parce que le reste est définitivement trop long à expliquer. Je redonnerais des détails au fil du temps.

Si j'écris ce journal aujourd'hui c'est pour prendre en note combien de temps ma jumelle et moi nous allons rester sain d'esprit. C'est un peu ma petite expérience. Commençons déjà par raconter notre rencontre. Je reprend à ma mort. Comme dit trois ou quatre page au dessus je suis décédé le douze septembre deux mille dans un hôpital suite au nombreuse négligence que j'avais reçu de mes parents. Ma mort est encore flou mais je me souviens très bien m'être réveillé sur un genre de lit, de m'être lever, de m'être retourner et d'avoir vu mon corps encore étendu. Perdu, je suis sorti de la pièce.

J'ai marché jusqu'à tombé sur une autre salle, puis une autre, puis encore une autre... Plusieurs heures après, une femme s'est présenter à l'accueil avec ce qui semblait être sa mère. Elle s'est présenté sous le nom de Valentine Absinthe-Ricin et à affirmé aux médecins qu'elle allait accouché. Je ne savais pas ce que ça voulais dire donc je les ai suivie.

Il y a eu des cris de souffrance pendant des heures mais après je n'ai entendu que des pleures. C'était donc comme ça qu'on faisait les bébés. Les docteurs ont essuyer ce nourrisson puis l'ont tendu à leurs mère. Après cet évènement, je les ai suivie partout. Leurs maison est plutôt grande et chaleureuse. Par contre c'est assez vide. Ils vivent à trois mais le père n'est jamais là et quand il l'est il ne fait que converser avec des inconnues au téléphone. Valentine, elle, reste effacé dans la maison. Elle fait ses tâches quotidienne et c'est à peu près tout. Quant à Michelle, et bien elle reste une enfant de six ans. Elle semble toujours attendre son père, elle veut désespérément passer du temps avec lui. Elle me parle souvent de cet homme. C'est ironique qu'elle le voit moins souvent que moi qui suit mort. J'irai jusqu'à dire que c'est pathétique, pitoyable même. Dans un sens, elle me rappelle un peu mon histoire. Ce n'est peut-être pas un type de négligence aussi grave que le mien vu qu'elle est nourri, lavé et habillé mais la négligence affectif fait souffrir également.

Samedi 13 septembre 2008

Michelle à fêté son huitième anniversaire aujourd'hui. Comme toujours son père à eu un empêchement et n'est pas venu mais d'autres membres de la famille était là. Il y avait la mère de Valentine et son mari, Geneviève et Robert. Ils sont... Vieux jeu. Très peu ouvert, c'est un bonheur de les voir. Daphné et Clovis sont les grand-parents paternels de ma très chère compagne. Ils ne sont pas les plus ouvert mais ses toujours mieux que les autres tas d'os. Et enfin, il y avait l'intéresser et sa petite maman. Le gâteau avait l'aire bon, c'était au chocolat, j'aurai bien aimé le goûter. Michelle m'avait gardé une place à côté d'elle et une part que je ne pouvais évidement pas consommer mais c'était tellement gentil de sa part que je lui ai évidement fait un petit cadeau. Je lui ai volé des fleurs. C'était des héliotropes, en langage florale, ces fleurs représente la dévotion voir le loyalisme et la soumission dû à leurs position courbés et tête baissée pour ce soumettre au soleil brillant au dessus-d'elle. J'ai choisi cette fleurs pour représenter la dévotion et l'amour que je ressentirai bientôt à son égard si tels n'est pas encore le cas. Je me soumet pleinement à notre histoire qu'elle finisse bien ou mal. Je m'incline devant mon nouveau soleil s'élevant au dessus de ma tête et je laisse sa lumière m'embrasser de sa chaleur étouffante. Je sais que la première étape de la perte de ma sanité mentale est entamé à présent mais c'est si beau. Trop beau pour être réel mais aussi trop pour être laissé. C'est trop douloureux d'admettre que c'est faux. C'est addictif, personne ne m'a gardé de place à table avant elle. Personne ne m'as jamais traité en égal avant elle. Personne n'as jamais joué avec moi avant. Personne ne m'as complimenté. Personne ne m'as souri. C'est à peine si on m'as déjà parler de mon vivant. Elle m'as embrasser une fois, sur la joue, c'était chaud. Les câlins qu'elle me fait me réchauffent. Cette chaleur, j'en ai besoin. J'en veux plus. Qu'importe si ce n'est qu'illusoire, ça me suffit. Tant qu'elle ne s'éloigne pas tout me va.

Vendredi 31 octobre 2008

Elle m'as annoncé qu'elle m'aimait aussi pendant qu'on jouait. Elle m'as dit que si je voulais bien être son prince charmant, elle aimerait m'épouser plus tard. D'après elle, on vivrait dans un grand château et on aurai un grand et majestueux cheval qu'on appellerai « Crescent » en référence à l'anglais « Moon Crescent » signifiant « Croissant de lune ». Elle aime beaucoup regarder la lune et les étoiles à sa fenêtre la nuit tombé. Elle y passe des heures entière. Tout cela me convient. Je veux bien être son prince.

Lundi 09 août 2010

Aujourd'hui, j'ai fait expérience d'un nouveau sentiment grâce à l'intermédiaire de Michelle. La trahison, et je le déteste. Comment ses sales gamins ont-ils même osé s'approcher de ma princesse en premier lieu ? J'aurai dû mieux la protéger d'eux étant donné qu'elle n'est pas capable de se protéger par elle même.

Elle m'a demandé de devenir son prince ? Sauvé la princesse pour la gardé pour eux est quelque chose que les princes font dans les livres et je ne vais pas me gêner à faire de même. C'est nous deux contre eux. Personne ne se mettra au travers de notre chemin. Rien ne nous séparera. Rien ne brisera notre bonheur. Ni eux ni ceux à venir. Et en parlant de ses gosses, ce Justin, qu'il aille au diable. Pour qui ce prend t-il pour affirmer que son immonde Annaëlle est plus importante que ma compagne ? Quel manque de respect et de bon sens. C'est désolant le manque de matière grise qu'on les enfants ces jours-ci !

Jeudi 12 août 2010

Sa mère l'as enfin découvert, ce n'est pas trop tôt. Elle a fait une scène à l'école pour qu'au final la professeure, madame Arthur, étouffe l'affaire. C'est scandaleux. Comment ose-t-elle ? Ce rend-t-elle compte qu'elle affaiblit mon soleil avec de tels agissement ? Et étouffer l'affaire, comme si c'était encore possible. Les populaires de la classes était là, tout le monde est au courant. Et tout ces énergumènes font passer ma princesse pour une menteuse. Quels bandes de... Vous savez quoi ? Qu'ils crèvent, ils ne méritent même pas mon temps et ma pensé. Juste l'oubli.

Vendredi 10 septembre 2010

Michelle, ma naïve et adorable chérie.

Pourquoi doit tu être si... Difficile.

Je pensais que tu avais compris la dernière fois. On a souffert ensemble pendant des mois et pourquoi ? Pour que tu laisses des filles au hasard t'approcher et copiner avec toi. Je ne peux pas comprendre. C'est au dessus de mes force. Il n'y a que moi qui devrai compter pour toi. Ma compagnie te suffit amplement et inversement alors pourquoi t'ennuyer à perdre ton temps avec des filles qui ne t'aiment pas comme moi je t'aime. Tu vaux tellement plus que ce qu'elles pourraient t'offrir. Tu es aussi fragile que du verre et plus délicate que n'importe quels fleurs. Ne les laissent pas te faner. Ce serai un affreux crime. Quand te rendra tu compte de tout ses faits ? La réflexion n'est pas si complexe et ton cerveau est si brillant. Tu es si intelligente alors pourquoi perdre ton temps ? Moi tout ce que je désire c'est toi. Est-ce égoïste de te réclamer que tu fasse de même ? Je ne crois pas. Peu importe, malgré tout ça je comprends. Tu as bon cœur et puis c'est normal d'être encore confus à ton âge. Ce n'est pas grave. Ton prince est là pour toi. Je serai toujours là. C'est à ça que les chéris servent non ?

Jeudi 16 septembre 2010

Bon, elle a enfin été « complètement accepter » dans son groupe. Je me demande combien de temps cette relation durera avant que ces idiots la blesse cette fois ? Le seule point positif c'est que son éclat est très légèrement revenu. Mais ces filles lui tournent quand même trop autour à mon goût.

Dimanche 19 septembre 2010

Comment à-t-il oser ?! Comment ce faiblard, ce lâche, à-t-il pu ? J'arrive pas à y croire. Ce Justin, ce... Seigneur, le jour où il rejoindra mon côté du mur il aura la chance de mourir une deuxième fois. La menacer et puis quoi encore ? Quel fou. Ma pauvre Michelle ce sentait si mal après ça.

Samedi 25 septembre 2010

Le père de Michelle est enfin parti, c'était bien sûr extrêmement prévisible. Je n'ai pas tout les détails mais il a probablement juste trouvé une autre femme plus jeune ou plus belle. C'est une honte, après t'être engagé à une femme et lui avoir promis un amour éternel tu lui dois fidélité. Tu te dois de rester avec elle, tu ne devrais pas pouvoir t'en aller si facilement. Surtout en laissant un enfant derrière, aucun enfant ne mérite ça. Moi je n'aurais jamais laissé ma princesse, j'aurai préféré mourir plutôt que lui faire subir un tels déshonneur. Enfin, en soit ce n'est pas si mal qu'il parte. Ce n'est pas une grande perte. De plus il m'as arrangé une bonne soirée avec sa fille sans même le vouloir donc je ne me plaindrai pas le moins du monde.

Mercredi 01 mai 2011

Aujourd'hui, on a fait quelque chose de merveilleux que je me dois de réecrire ici. Je veux être sûr de ne jamais oublier de tels sensations.

Le lit était froid, il s'est vite réchauffer sous son poid. On s'était disputé, encore une fois à cause de ses amis. On a crié puis plus rien. Le silence l'a envahi quand je l'ai embrassé. Elle a frissonné, je l'ai enlacé. Il n'y avait plus rien à dire quand nos vêtements sont tombé. La chaleur de l'atmosphère était étouffante. Nous n'étions plus de simple enfants, nous étions plus que ça. Ses courts cheveux bruns ce sont dégagés quand je lui ai baisé la gorge comme je l'avais lu dans un livre il y a quelques semaine de cela. Elle a rougit quand ma main a caresser les courbes de son corps pour en atteindre le centre. Quelque chose que je n'aurais jamais pensé voir un jour. Ses yeux se sont troublés quand j'ai pressé délicatement un doigt dans son innocence. J'ai continué à embrassé chaques parcelles de son corps comme une revendication. Je me suis écrasé sur son corps frêle pour danser un peu plus longtemps. Tout semblait si simple, elle était là, sous moi. Je me sentais puissant, désiré, important. Je devais tout lui prendre, je le voulais, j'en avais besoin. Ses larmes, ses joies, ses soupirs, ses cries et ses halètements. Mon âme, ou du moins ce qu'il en reste s'est émoustiller devant mes actes. Après tout, personne ne viendrai. Personne ne s'intéresse suffisament à nous pour nous surprendre. J'ai embrassé son innocence et elle a joui de l'absence de la mienne. Suite à cela, nous avons valsé plus fort et plus vite. Nos esprits ne répondaient plus, c'était l'extases. Nous nous perdions dans cette bataille qui durait depuis déjà des années. Sang, chaleur, frissons, marquations.

Sa respiration ce faisait plus lourde.

Introduction, exitation, hésitation,préparation.

Quelques soupirs tremblants, des bruits de pardon.

Opression, suffocation, libération.

Quelques unes de ses larmes et quelques gouttes du produit de notre confusion brouilla les horizons quand les premiers signes du crépuscule éclaira le produit de ma miséricorde, quelques tâches éparpillé sur sa forme et son visage épuisé.

Jeudi 02 mai 2011

Pourquoi ne me parle-t-elle plus ?

Vendredi 13 mai 2011

Pourquoi continue-t-elle à m'ignorer ?

Samedi 4 juin 2011

Elle s'éloigne de moi.

Dimanche 10 juillet 2011

Elle n'a pas le droit de m'abandonner, pas comme ça.

Mercredi 12 septembre 2012

Si je ne peux pas l'avoir, je prendrais moi même ce qui me revient de droit. Elle est a moi. Elle a été faite pour moi. Si cette dimension me la gâche peut-être ma fortune puisse être meilleur dans la suivante.

Mercredi 05 décembre 2012

C'est bon, elle ne me quittera plus. Elle n'as plus le choix.

Vendredi 21 décembre 2012

Les choses seront finalement plus simple que prévu, c'est mignon cette capacité qu'elle a pour tout abandonné facilement. C'est bien ma partenaire.

Lundi 07 janvier 2013

J'ai tellement hâte de la ravoir pour moi tout seul.

Lundi 31 mai 2013

Ma pauvre Michelle c'est une fois de plus embrouillée avec sa maman adorée.

Que des paroles vides de sens comme quoi elle l'aime et ne veux pas qu'elle parte... Si elle aimait vraiment sa fille, elle l'a laisserait partir.

Jeudi 08 août 2013

Je suppose que c'est bientôt l'heure.

Je ne peux m'empêcher de sourire à cette pensée. J'admets que la rendre malade était un point de non retour quelque peu macabre. Mais voyons le bon côté des choses ! Elle ne souffrira plus, l'état va probablement lancer un article sur nous et inventer une maladie autour de ça pour contrôler la population plus facilement, nous vivrons enfin ensemble et puis... Nous serons libres.

La pauvre fille est confuse, je l'étais aussi la première fois que l'on m'a montré ce type d'amour. Au début, ça fait même un peu mal mais qu'importe si cela démontre de l'affection. Cette chaleur, cette froideur... Ces mouvements aussi violents que rassurant. Je sais ce que ça fait. C'était il y a si longtemps, j'étais encore vivant. Merci de m'avoir aimé très chère famille. Maintenant, j'aime quelqu'un aussi. Je ne me souviens pas entièrement de votre enseignement, est-ce que je le fais bien ? Je sais que je suis mort de négligence parentale. Ou était-ce peut-être d'abus ? Un docteur, je pense que ça en était un, l'a dit. Mais je me demande, que signifie réellement les mots « négligence » et « Abus » ?

Vendredi 09 août 2013

C'est bon, c'est définitif. Elle m'a enfin rejoint.

Samedi 10 août 2013

Ils ont annoncés son décès dans les journaux, comme je le pensais, ils l'ont utilisé pour terrorisé la population et ainsi gagné de l'argent grâce à un vaccin inutile. Une nouvelle hormone ? Quel bobard pathétique.

Lundi 12 août 2013

Les bourreaux de Michelle ce sont enfin excusé. C'était la moindre des choses, j'espère qu'elle en est satisfaite. Elle ne me parle toujours pas. Ce n'est pas grave, qu'elle prenne son temps. Elle s'ouvrira, je suis le seul à ses côtés après tout.

Mercredi 1er janvier 2014

Belle maman s'est suicidée, heureux de voir qu'elle à finit par comprendre que la mort est la plus douce des libération.

Mardi 29 septembre 2015

Michelle et moi sommes heureux. Nous vivons toujours dans notre bonne vieille maison, pour être honnête nous ne l'avons jamais vraiment quittés. Bien qu'une nouvelle famille ai emménagée ici récemment. Une mère et ses deux filles je crois. Peut-être qu'il y en avais trois ? Peu importe, en tout cas « A.C » est adorable. Peut-être, si Michelle et moi étions en vie, notre enfant lui aurait ressemblé.