Vendredi 09 août 2013

Je sentais ma gorge se nouer, j'étais glacé sur place. Mon cœur, cet organe gorgé de sang lui, il tremblait. Mon âme, elle, semblait se déchirée comme une vulgaire feuille. Je ne pouvais rien dire, comme si mes mots était imprononçable, juste comme si j'avais un poignard sous la gorge se rapprochant dangereusement au moindre sons. Mes yeux était gonflé, fatigué des larmes dont ils étaient noyé. Mon corps ne me répondait plus, ne m’obéissait plus, il n'en faisait qu'à sa guise. Je ne voulais pas m'effondrer, c'était la dernière chose que je voulais faire. Je me sentais si faible, sans énergie. Ma respiration s'empirait, chaque bouffé d'air sonnait à mes yeux comme un enfer m'étant dédié. Une sorte de punition je suppose. Vivre était un calvaire, une agonie permanente....

L'amour que je dédiait à ma famille, au paysage qui trônait tout mes plus beau souvenir d'enfant se fanait lentement, juste comme une flamme s'éteint progressivement. Souvent, j'ai essayé de tout balancé en l'air. Je n'ai jamais réussi, comme si le ciel m'interdisait formellement une quelconque miséricorde.

Ma tête se fendait en deux au fil de mes pensées, laissant place à une migraine douloureuse. Mais cette douleur ne me dérangeait plus. Vivre, respirer, me lever, marcher, sourire ou même prendre soin de moi était des souffrance bien plus dévastatrices à mes yeux. Je suis consciente que ceci est un résumé bien maigre de mon quotidien et surtout bien trop mal énuméré. Je suis une piètre compteuse d'histoire après tout, bien trop jeune et trop peu expérimenté dans le domaine. Mettre des mots sur mes émotions et ma vie c'est quelque chose que je trouve compliqué. Mais malgré tout, j'ai décidé décrire ce journal décrivant ma décente enfer, comment tout à changé. J'aurais voulu ne pas avoir à faire ceci mais ma mère ne comprendrai pas pourquoi... Pourquoi j'était si étrange ses dernier temps pourquoi je me réjouissait de cette noirceur électrique qui recouvrait mon cœur et de ce démon qui reprenait doucement mon âme. J'ai refusé un quelconque traitement au grand damne de ma mère, si je dois mourir en martyr qu'il en soit ainsi. Mais je ne veux pas que ma mère reste dans l'incompréhension des fait ou qu'elle pense qu'elle aurai eu la possibilité de changer les choses. Ma mort était inévitable. Ce démon est mon sauveur, c'est l'ange exterminateur qui nous sauvera tous tôt ou tard. Je ne crains pas la mort,plus à présent. Au contraire, je l'attend patiemment comme si une amie n'allais pas tardé à me rendre visite. Vous connaissez ce sentiment n'est-ce pas ? Vous qui lisez ceci, vous connaissez cette excitation pur qui fait rage dans votre système nerveux, ce stress de faire une quelconque gaffe qui pourrait la repoussé mais aussi ce sentiment de légèreté et de plénitude quand elle arrive enfin sur votre palier de porte ! Et bien, c'est ce que je commence à ressentir. C'est douloureux d'être dans ma condition, ma chère amie, ne vas qu’abrégé mes souffrance. Elle vas embrassé mon âme et mon corps délicatement pour retirer la douleur comme maman le faisait autrefois. Elle vas m'endormir avec une berceuse comme j'aurais souhaité que mon père le fasse. Elle va ensuite me porté avec elle loin de tout, de la souffrance, des autres... ça ne sera que elle et moi. Moi Michelle, je me sens prête à abandonné le nœud dans ma gorge. Je suis prête à oublier ses mots, se déchirement et cette souffrance que je me suis infligé à moi même. J'accepte mon dénouement, peut-être que là bas je serais en capacité de redécouvrir la définition du bonheur. Un bonheur que même le plus grand des auteur ne saurais décrire. J’entends toujours des voix brouillé, des hurlements insupportable mais je sens mon amie arrivé. Je vais arrêté ma lettre ici, qui que vous soyez, sachez une chose. Je vous aime, vous qui avez su m’écoutai bien que trop tard, je vous souhaite de rencontrer mon amie bientôt pour que vous aussi vous soyez libéré.

Au revoir, pour l'instant.

Mais quand l'ange viendra pour vous, je vous attendrais au dénouement.