Vendredi 8 février 2013
Bonsoir, comment vas-tu aujourd'hui ?
Moi je me sens aussi bien que la dernière fois.
J'ai fêté mon anniversaire en avance comme prévue il y a quelque jours. Je n'ai pas pris le temps de le précisé mais je n'irai plus à l'école.
J'ai décidé de profité de ma mère jusqu'au bout.
Je ne vais plus chez mon père non plus, je ne veux vraiment pas mourir là bas ou en tout cas supporté leurs « pitié ».
J'ai mieux à faire, et puis il a délibérément ignoré mon existence durant onze ans, je n'ai plus besoin de lui ou de son soutien à présent.
Cela n'as plus aucun intérêt, je veux prendre mon envol auprès des miens.
On dit souvent que le battement d'aile d'un papillon a le pouvoir de changé le courant des choses.
Ma maladie fut mon battement d'aile.
Je ne suis plus triste, je ne veux plus pleurniché à cause de lui ou à cause de ces Hommes si « intelligent ».
Non.
Ma peine n'existe plus, mon malheur s'est changé en rage.
Cette tristesse s'est changé en colère mais également en haine et en dégoût.
Je déteste cette endroit, je déteste le fait qu'il se comporte comme le père qu'il aurait dû être après onze ans en pensant que cela changerais quoi que ce soit.
Comme ci m'offrir des richesses pourrait compléter le manque que j'ai toujours ressenti dans mon cœur.
Je radote probablement mais qu'importe ?
Je m'en fiche de toute façon et tu t'en fiche sûrement aussi.
Tu n'as peut-être même pas lu le journal jusqu'à cette page.
Cela doit déjà faire environs trente-huit page de plaintes ennuyeuse.
Peut-être même plus ?
Me voit tu comme le personnage ennuyeux d'un quelconque romans de jeunesse ?
Si cela est le cas je ne peux pas vraiment t'en vouloir.
Tu ne me connais peut-être pas, tu ne peux donc pas forcément prouvé que j'ai réellement existé et en plus je me plain tout le temps. Je te tape sur les nerf n'est-ce pas ?
Tu me trouve certainement pitoyable à toujours être insatisfaite de ce que j'ai alors que certains ont moins.
Je le comprend...
Je le conçois...
C'est normal.
Mais sache que chaque histoire a sa part de vérité.
J'existe forcément.
Peut-être pas sous le même nom.
Certainement pas avec le même visage.
Mais dans un sens, beaucoup me ressemblent.
Prouve moi le contraire.
Je te défie.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top