Chapitre 2: Rêverie Constante
Samedi 27 Octobre 2012
B
onjour très cher lecteur,
cela faisait longtemps que je n’avais pas alimenté le journal….Un peu plus d’un mois je crois ?
Je voulais cette fois-ci vous parlez de mes rêves et terreurs nocturnes.
Depuis toute petite je fais des rêves étranges.
Maman et ma meilleure amie Eve m’ont dit que chaque rêve avait une signification !
Je tiens à parler cette fois d’un rêve qui me revient souvent ces derniers temps.
Dans ce rêve, je suis accompagné de ma mère et je suis dans un centre commercial. Ce centre est très spacieux mais étrangement assez vide. Les murs portent une couleur blanche sans tâche ni défaut. Il y a des cintres accrochés aux murs portant différente tenue, des robes victoriennes par exemple. Le rêve commence toujours à cette endroits. Au fur et à mesure des portes apparaisse mais ma mère ne réagis pas, elle est immobile.
Je me mets à exploré assez rapidement, je passe une première salle identique en tout point à la précédente.
Je passe une deuxième porte, la pièce est énorme.Comme si elle n’avait pas de fin.
Des étagères sont disposé de manière symétrique dans la salle et les vêtements sont complètement aléatoires.
Il y a une porte sombre très loin, je passe les rayons.Je m’attarde sur certain et ignore les autres.Je suis bien, à l’aise et complètement insouciante.
J’arrive au dernier rayon celui près de la porte, les murs sont crème cette fois-ci.
Je m’intéresse davantage à ce rayon pour une raison quelconque.
Soudainement, je sens une présence et je me mets à sourire.
Je me retourne en vitesse pour tombé née à née en face d’une enfant plus âgée. Elle a de court cheveux ébènes, une peau très pâle, trop pâle, elle porte une robe noir assez simple. La jupe lui arrive au dessus des genoux et est fluides, le haut,lui, a une forme de bustier à bretelle sublimé par une ceinture légèrement plus foncé attaché en un nœud parfait. Elle ne porte aucun objet de valeur, elle ne possède pas de chaussure et ses cheveux coupé en carré ne sont en aucun cas soutenue par une quelconque contrainte. Mais elle a une allure noble. Son visage est délicat, elle a une peau aussi parfaite que de la porcelaine, je ne suis pas capable de voir ses yeux, du brouillard les recouvre mais malgré cela je la trouve si belle.
On aurait dit un ange.
Elle m’a tendit sa main, je la lui prise.
Elle ma guidé à travers la porte, j’ai ressenti une euphorie soudaine puis un calme m’a envahi. Je me sentais en sécurité avec elle.
Elle ne m’as jamais parlé.
Ses lèvres teinté à la rose sont resté éternellement close.
Une fois dans la pièce j’ai pu apercevoir une air de jeu intérieur ainsi qu’un tableaux à l’opposée l’un de l’autre. Les coussins et les piscines à balles de l’air de jeu était colorées de milles teintes. Les murs autrefois blanc était jaunit et noirci par le temps. Et l’unique tableau de la pièce portait des symboles indescriptible mais tout autant coloré que le reste de la pièce. La petite fille se dirigea vers le tableau et le retira. Il y avait un espace vide derrière celui-ci, comme une cachette. Elle me fit monter à l’intérieur avec elle et referma le passage. L’espace était rempli de jouet de toutes sortes et de coussin. Nous restâmes là bas un bon moment, je jouai et elle chantonnai une douce mélodie. Sa voix était relaxante,je l’aimais bien.
Comme des heures et des heures plus tard, j’entendis ma mère m’appeler.
La fille tout en noir vêtu semblait apeuré de son arrivé. Elle arrêta de chantonné et ce mit à surveiller anxieusement le tableau.
Je ne comprenais pas pourquoi.
Puis enfin ma mère retira le tableau, elle me prit dans ses bras pour finalement me murmuré des mots dont je ne peux me souvenir. La fille me regarda partir effrayé, il y a un brouillard noir puis je me réveille confuse. Ce rêve est assez sympathique à avoir mais je n’ai jamais compris son déroulement.
Cela à le don de me frustré.
Par contre, j’ai fait d’autres rêves bien moins agréables…. Un en particulier qui m’as toujours traumatisé.
Vous connaissez ces rêves où tout vous semble réel ? Ces rêves où vous ressentez tout même la douleur ?
J’en ai déjà fait quelque fois, c’était la plupart du temps des cauchemars.
Ce rêve là en était un…
Dans ce cauchemar, je suis empaler par des barres de fer. C’est l’agonie, je sens du sang couler de mes plaies, c’est insurmontable.
J’entends des bruits de pas, de l’espoir gonfle ma poitrine. Je tourne difficilement ma tête vers l’inconnu. Mon expression ce crispe de terreur, ma voix est bloqué, j’essaie de me débattre, le liquide cramoisi se répand de plus en plus abondamment, la douleur me fait baver, je suis incapable de prononcé autre chose que des râles. Je sais qui c’est, il n’est pas là pour m’aider au contraire. Plus il s’approche moins mon corps répond à mes supplications. Il est à côté de moi, mon corps s’immobilise. Je ne peux que le regarder, il me touche. Il me touche de partout.
Je sens son regard, il était menaçant.
J’étais impuissante et terrorisé.
J’avais l’impression que cela durait des années. Qu’il ne s’arrêterait jamais.
Je me suis arrêté après une demi nuit de calvaire.
Je ne me suis pas rendormi ce soir là.
Parfois, j’y repense et j’ai peur.
Aujourd’hui je sais ce que cette chose m’as fait, on m’as dit que cela s’appelait un viol.
Je me demande pourquoi j’ai rêvé de ça ce soir là… Peut-être une vie antérieur ?
Qui sait ?
En tout cas tu es la seule personne à qui je peux raconté ça cher lecteur.
J’aurais trop peur d’en parlé à quelqu’un d’autre….
Alors merci…
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