Bonjour tout le monde ! Je suis heureuse d'enfin vous proposer la suite de cette fiction ^^  Comme toujours, pas de prise de tête et un moment citronné à la fin. 

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Alec se sentait bien, heureux et reposé. Le Chasseur d'Ombre venait de passer sans doutes l'une des meilleures nuits de toute son existence, ne faisant rien d'autre que de s'être laissé bercer par les ronronnements de son cher et tendre. Evidemment, le noiraud aimait plonger dans les affres de la luxures et des plaisirs auprès de son époux, répondant toujours avec enthousiasme à ses avances, mais le Nephilim appréciait aussi ces instants de pur bonheur et de tendresse, surtout lorsque Magnus traversait ses Kesuburan, et que l'Indonésien réclamait plus d'attention et de câlins, de papouilles et de caresses légères afin de calmer sa soif d'amour et de douceur. Alors le directeur de l'Institut de New York laissa ses sens s'éveiller peu à peu, le tirant lentement hors des bras de Morphée. Il y avait d'abord le touché, les doigts de Magnus entremêlés aux siens, chauds et rassurant, comme s'ils s'étaient cherchés l'un l'autre dans leur sommeil, incapable de rester séparés plus de quelques heures à peine. Ensuite, il y avait le gout, le reste des effluves de vin qu'il avait goûté la veille pendant la visite des vignes, mais aussi celui, plus sucré et agréable, des baisers de Magnus, ses lèvres ayant gardé la présence des siennes contre elles, comme des baisers fantômes dont il pouvait encore sentir un peu, s'il se concentrait, la chaleur rassurante et bienfaitrice. De son odorat, Alec capta le parfum enivrant de son cher et tendre, ainsi que l'odeur bienvenue du soleil et de l'été qui arrivait par la fenêtre entrouverte de leur chambre. Avec son ouïe, le noiraud entendit les ronflements, les ronronnements et la respiration légère de son homme au creux de ses oreilles, signe qu'il dormait toujours profondément, cuvant sans doute même encore un peu tout l'alcool qu'il avait ingurgité la veille. Finalement, le Chasseur d'Ombre termina son réveil par la vue, et le tableau qu'il vit devant lui acheva de faire bondit son coeur d'amour et de désir pour cet homme qu'il avait épousé vingt ans plus tôt et dont il partageait l'immortalité. Le Grand Sorcier de Brooklyn était étendu à plat ventre, la joue pressée contre son oreiller, toujours vêtu de son pilou-pilou en forme de chat, ses doigts entrelacés à ceux de son mari, et Alec ne put que sourire comme un bienheureux, savourant cet instant d'éternité et d'intimité qui n'était qu' eux. 

Le Nephilim aurait voulu rester là toute sa vie, oubliant le monde et oubliant ses responsabilité, mais il y avait une chose qu'il aimait plus que de rester endormis dans les bras de son compagnon : prendre soins de lui. Parce que, en dehors de ses Kesuburan, c'était toujours Magnus qui prenait soins de ses proches, qui faisait en sorte que jamais personne ne manque de rien alors ils s'étaient mit d'accord, lors de la première période du sorcier, pour que ce soit Alec qui prenne totalement soins de lui à chacune d'entre elles, et Magnus était bien loins de s'en plaindre, au contraire. Sachant donc pertinemment que son homme mourrait de faim à son réveil, l'asiatique étant le genre d'homme qu'il valait mieux emmener au cinéma plutôt qu'au restaurant lors d'un rendez-vous, le noiraud se décida à sortir du lit sans un bruit, non sans avoir déposé un délicat baiser sur le sommet du crâne chevelu de son sorcier endormis, puis il se glissa hors de leur chambre tout en prenant ses vêtements au passage. Dans la salle de bain, l'enfant de l'Ange enfla un bermuda en jean clair ainsi qu'un t-shirt fleuri que lui avait offert son amant avant leur départ e vacances, arguant que pour le camping et le soleil les vêtements colorés étaient de rigueur. Une fois qu'il fut habillé et coiffé, Alec se rendit à la cuisine et réalisa qu'il était le seul debout. Parfait, pensa-t-il, au moins il les surprendrait tous avec un bon petit déjeuner ! Le noiraud prit son portefeuille et un sac pour ramener ses provisions, puis il quitta leur bungalow pour se rendre à l'épicerie du camping, suivant le plan que leur avait fournis l'hotesse d'acueil deux jours plus tôt pour s'y rendre sans se perdre. C'était étrange de se retrouver là, en vacances auprès de Terrestres qu'il protégeait chaque jour de l'année de démons qui pourraient détruire leur monde. Mais là, tout ce qui comptait, comme l'avait si bien fait remarquer Magnus, c'était les vacances ! Alec réalisa qu'il devait vraiment être tôt car, à sa plus grande surprise, il ne croisa personne jusqu'à l'épicerie, où seule la vendeuse, habillée de la tenue de tous les employés, le salua avec un sourire professionnel et, curieusement suspicieux. Alec ne s'en soucia pas et commença à faire ses emplettes, jusqu'à ce que d'autres touristes arrivent dans la boutique. Lorsque le directeur d'Institut croisa l'un d'eux au détour d'une allée, il sentit ses joues rougir brusquement et sa gorge s'assécher tandis qu'il luttait contre son malaise grandissant pour ne pas baisser les yeux. 

D'un sourire crispé, Alec se détourna et continua ses achats tout en évitant du regard chaque personne qui passait devant lui. Dans quel guêpier venait-il de tomber ? Pourquoi tous ces gens...Non, il ne pouvait même pas formuler cette pensée à voix haute, c'était trop étrange, et pourtant personne ne semblait s'en soucier. Au contraire, c'était lui que les Terrestres regardaient étrangement. Mal à l'aise, le noiraud baissa les yeux sur ses pieds et termina ses courses au plus vite, paya sous le regard compatissant de la vendeuse et il courut pratiquement à en perdre haleine jusqu'à leur bungalow, déposant sans ménagement son sac sur la table de la cuisine et fonçant dans leur chambre. Magnus dormait toujours, n'ayant même pas changé de position. Entre ses Kesuburan et sa fatigue Magique, le Chasseur d'Ombre savait que son mari était épuisé et avant besoins de dormir encore une heure ou deux, si ce n'était plus, mais là, c'était une urgence d'ordre vital, et il devait absolument se réveiller et trouver une solution à leur problème. C'est donc en secouant son épaule et en appelant son nom qu'Alec tira son cher et tendre de son précieux sommeil, l'angoisse perceptible dans sa voix. 

- Magnus...Magnus, je t'en supplie réveille toi..., Magnus ! Plaida-t-il alors que sa gorge était obstruée d'un sanglot paniqué. 

Le Grand Sorcier de Brooklyn remua dans son sommeil, avant de finalement ouvrir un œil ronchon qu'il darda sur son époux, prêt à l'envoyer balader pour le réveiller aussi tôt, mais en voyant l'inquiètude dans les yeux de son amant, Magnus se redressa d'un bon, aux aguets. Alec ne perdait jamais son sang froid, ou alors si peu qu'il pouvait compter ces moments sur les doigts de la main. Face à lui, le Nephilim avait les joues plus pâles que d'ordinaire, les yeux fous, agités et débordant de larmes et l'immortel pouvait affirmer sans l'ombre d'un doute que son homme luttait désespérément pour ne pas faire une crise de panique devant lui. Certes, il avait promis de s'occuper de lui lors de ses Kesuburan, mais là, Magnus voyait bien que c'était à son tour de prendre soins de son compagnon. Le sorcier enlaça tendrement son mari et le berça contre lui, faisant en même temps que lui divers exercices de respiration pour l'aider à faire passer son angoisse, mais cela ne semblait pas avoir beaucoup d'effet. 

- Qu'est-ce qu'il se passe, Sayang ? Chéri, parle moi...

- C'est de ma faute..., bredouilla Alec en enfouissant son visage dans son cou couvert du tissus pelucheux. J'ai...c'est la pire erreur que j'ai faite...les vacances sont fichues et c'est ma faute...je suis désolé...

- Alexander, calme toi mon amour je ne comprend rien, de quelle erreur est-ce que tu me parle ? 

- Dehors...les gens....Par l'Ange, Magnus je suis tellement désolé, je pensais bien faire...

Intrigué, et de plus en plus inquiet quand à la tournure des événements, l'asiatique se leva, lâchant doucement son amant, puis il se rendit à la fenêtre qu'il ouvrit en grand. Tout semblait parfaitement normal, jusqu'à ce qu'il voit divers groupes de Terrestres, en vacances eux aussi, passer devant leur bungalow. Amusé, comprenant enfin de quoi il en retournait, l'immortel les salua d'un signe amical et referma la fenêtre avant de laisser son fou rire prendre le dessus sur son calme, des larmes de rire perlant au coin de ses yeux. C'était donc ça, l'erreur d'Alec ? Ce si petit détail qui n'était pas pour le gêner, bien au contraire, surtout lors de ses Kesuburan ? L'Indonésien revient enlacer son amant, caressant ses cheveux et couvrant son visage de baisers rassurant pour lui signifier qu'il n'y avait rien de grave, que ce n'était pas de sa faute, qu'il avait fait au mieux et que, étant donné les circonstance, c'était déjà un privilège d'avoir pu partir en vacances tous ensemble. Entre ses bras, Alec commença à se détendre, riant à son tour peu à peu de l'absurdité de la situation et, lorsqu'il fut enfin totalement calmé et rassuré, les deux deux se rendirent à la cuisine pour préparer le petit déjeuner tout en réfléchissant à la manière dont ils annonceraient la nouvelle à leur famille et amis. Chacun se leva, rejoignant la pièce commune, parfaitement réveillés pour certains, encore à moitié endormis pour d'autres, mais tous habillés et prêt à profiter de leur vacances. Lorsqu'ils furent tous attablés, Magnus prit la main de son époux et les fixa tous avec compassion, un air solennel peint sur le visage. 

- Avant qu'on ne commence la journée, Alexander et moi avons quelque chose à vous dire...

- Tu es enceinte ?! S'empressa de demander Isabelle qui était, Alec ne s'en remettrait sans doute jamais, une vraie groupie concernant leur couple. 

- Non, Izzy chérie je ne suis pas enceinte, même si j'aurais bien aimé ! S'amusa Magnus avec un sourire taquin. Non, c'est quelque chose que je dois vous avouer. Avec ma fatigue Magique, j'avais complétement oublié de réserver notre camping qui s'est avéré complet. Heureusement mon parfait petit mari que voici, présenta-t-il Alec comme s'il s'agissait d'un produit de télé-achat, à eu la grande bonté de nous trouver un autre camping, celui dans lequel nous nous trouvons actuellement. Cependant...il reste un petit détail dont on était pas au courant.....

- Oh trois fois rien...On est dans un camping naturiste ! S'enthousiasma le Grand Sorcier. 

Face à eux, Isabelle, Ragnor, Rafael et Simon, qui étaient les plus à l'aise avec leur corps, éclatèrent d'un rire joyeux, comme Magnus un peu plus tôt. Catarina, Tessa et Jem, habitués aux excentricités de leur ami aux yeux de chats se contentèrent de sourire en haussant les épaules, résigné mais pas non plus contrariés, acceptant simplement ce constat. Jace et Clary, eux, bredouillèrent quelques propos incohérent, un peu mal à l'aise quand à la situation. Enfin, surtout Jace. Clary s'habitua rapidement au fait que tout ce qu'un camping naturiste impliquait mais Jace lui, tout comme Alec, n'était clairement pas assez à l'aise, aussi surprenant soit-il, pour se montrer ainsi. Il ne resta alors plus que Max qui, à dix-neuf ans pourtant, eu sans doute la réaction la plus adorable possible. Le jeune homme pencha la tête sur le côté, curieux, tout en fixant ses parents. 

- Qu'est-ce que ça veux dire exactement ? On doit faire quelque chose ? Est-ce que c'est grave ? 

- Non, Max, le rassura Isabelle avec un clin d'oeil, ça veut juste dire qu'on est dans un camping nudiste. 

- On ne porte pas de vêtements, Hatiku, expliqua Magnus avec bienveillance. Ici les gens vivent nu, et ça ne dérange personne, chacun est libre d'être comme il est, sans jugement. 

- Oh...donc on doit faire comme tout le monde ? On doit être nu aussi ? 

Alors que tous les adultes autour de la table acquiesçaient avec bienveillance, Max haussa à son tour des épaules et claqua des doigts. Ses vêtements disparurent sur le champs, le laissant nu sur sa chaise, sa peau bleue et brillante presque incandescente à la lumière du soleil qui filtrait par les fenêtres. Magnus rit doucement et Rafael déposa un baiser sur la joue de son frère. L'innocence de Max les perdrait tous, mais quelque part, le jeune homme avait raison. Pourquoi se prendre la tête, pourquoi se contrarier quand la solution était déjà toute trouvée ? A Rome, fait comme les Romains ! Leur petite famille déjeuna alors tranquillement, sans se pressée, et Alec se détendit d'autant plus, réalisant que, peut-être après tout, ce n'était pas si grave et qu'ils passeraient de bonnes vacances. Et puis, s'il pouvait admirer le corps de son amant à longueur de journée, qui était-il pour s'en plaindre ? Magnus eut sans doute la même pensée puisqu'à l'instant, il serra la main de son Nephilim dans la sienne et lui chuchota quelques mots coquins à l'oreille qui fit rougir le plus jeune. Le reste du petit déjeuner se passa sans encombre et, une fois qu'ils eurent finit et débarrasser, chacun se mit d'accord pour prendre le temps de se préparer et de se mettre à l'aise avec eux même avant d'aller explorer le camping plus en détail. Deux par deux, ils retournèrent dans leur chambre et se déshabillèrent, discutant de cette nouvelle expérience à venir. Jace, pourtant, n'était pas du tout à l'aise avec l'idée de devoir être nu à longueur de temps, surtout nu devant une certaine personne qui, depuis quelque temps, lui faisait beaucoup plus d'effet que ce à quoi il s'était attendu. Dans la chambre qu'il partageait avec Simon, il vit son ami se déshabiller sans la moindre gène et le blond laissa son regard courir sur le corps galbé et indécemment sexy de son camarade de chambre. Lorsque le brun posa son regard chocolat sur lui, Jace déglutit difficilement, comme si on venait de lui retirer tout l'air de ses poumons. 

- Tu ne te déshabille pas ? S'étonna faussement Simon qui avait bien vu le gène dans les yeux de son ainé. 

- Je...Je peux pas faire ça...Je n'y arriverais pas...

- Max l'a fait pourtant, argua l'ancien Terrestre en haussant un sourcil. Si lui a pu le faire, pourquoi pas toi ? 

- Je peux pas...Je ferais mieux de rester ici, partez tous sans moi...

- Débout, ordonna alors le plus jeune d'un ton qui ne laissa place à aucune discussion mais qui ne comportaient pas la moindre trace de méchanceté ou de violence. 

Jace leva son regard doré sur son ami et cligna des yeux férocement alors qu'un frisson remontait le long de son échine. Il n'avait jamais aimé qu'on lui donne des ordres, mais là, la manière dont Simon lui avait dit de se lever, c'était comme s'il était né pour ça et il ne perdit pas de temps, obéissant avec empressement. Le brun, de son côté, sourit comme un animal traquant sa proie mais ses yeux brillant toujours de bienveillance. Il s'était douté que Jace répondrait favorablement à son ordre. Il avait bien vu qu'avec lui, le blond avait tendance à se laisser faire, à suivre ses paroles. L'ancien mortel ne doutait pas un seul instant de tous les plaisirs et de toutes les possibilités qu'ils pourraient explorés dans le spectre large du BDSM et de la soumission. La plupart des gens ne voyait dans ces pratique que la violence et la dureté de l'act, mais Simon, lui, savait pour l'avoir longtemps pratiqué, que le BDSM était un art, un acte d'amour et de réciprocité, de respect mutuel et de plaisir consentit et, avec Jace, il sentait d'avance que ce voyage au pays des plaisirs serait fabuleux. Souriant toujours, le plus jeune ordonna à son ainé de se déshabiller, lentement, et Jace, après une hésitation, laissa le ton de son ami le mettre en confiance et il retira ses vêtements un à un. Déjà, il pouvait sentir toute son excitation dans son entre-jambe dressée, son souffle se faisant plus rare et haletant. Simon tourna autour de lui, l'admirant avec luxure et plaisir, son propre désir caractérisé par son érection déjà forte et vigoureuse qui laissa le blond le souffle coupé. 

- Tu es beau, affirma le brun avec une pointe de tendresse. N'est-ce pas mieux comme ça ? N'aime tu pas que je te regarde comme ça ? 

- Si..., haleta Jace qui découvrait peu à peu ces plaisirs, ces sensation et cette soumission qui le rendait tout chose. 

- Oui qui ? Demanda Simon avec un peu plus de fermeté, sans jamais de méchanceté. 

- Oui Monsieur, répondit le blond alors qu'un gémissement d'anticipation passait la barrière de ses lèvres. C'est mieux, beaucoup mieux...

Simon sourit et se détourna pour fouiller dans sa valise, tandis que le Chasseurs d'Ombre aux cheveux dorés lâchait une complainte de le voir s'éloigner ainsi de lui. Mais le brun ne fut pas long et il revint avec lui, se plaçant dans son dos, un petit objet cylindrique en main. Lorsqu'il sentit son cadet se plaquer contre lui, son sexe durci frottant entre ses fesses rebondies et fermes, Jace haleta plus fort et il dut se pincer l'intérieur des joues pour ne pas gémir et se faire entendre par le reste de leur famille. Il ne savait pas ce qu'il se passait, il ne savait pas si Simon voulait juste une relation physique avec lui ou s'ils étaient désormais et implicitement en couple, mais il s'en fichait. Tout ce qui comptait, à présent, c'était la virilité dressée contre lui et qui lui fit reculer des hanches en arrière pour plus de friction. Son mouvement lui attira une claque vigoureuse sur sa fesse droite qui le fit glapir de bonheur. 

- Tu aimerais que je te prenne, Jace ? Sussura Simon en déposant des baisers d'une infinie tendresse sur sa nuque. C'est ce que tu veux ? 

- Oui monsieur, répéta le blond alors que ses yeux se fermaient sous la charge de plaisir. 

- Hum...Ce serait une bonne idée, mais nos amis nous attendent, et ce ne serait pas correct de les faire encore patienter tu ne crois pas ? Le taquina le brun. Mais je peut toujours te faire du bien, te préparer et, si tu es sage, ce soit je te récompenserais, qu'en dit tu ? Demanda-t-il en lui présentant le plug bijoux, surmonté d'une ambre dorée, qu'il tenait dans sa main. Est-ce que ça t'irait mon doux ange ? 

- Oui, sil te plait, feula Jace alors que le oui était le seul mot qu'il connaissait désormais. 

Simon sourit, lui promettant d'une voix douce mais toujours un peu autoritaire qu'il s'occuperait bien de lui le soir venu, que l'attente en vaudrait la peine, et que la récompense serait meilleure que tout ce qu'il pouvait imaginer. Le brun prépara doucement son futur amant, caressant son antre avec tendresse et dévotion, veillant à ce qu'il ne ressente aucune douleur. Dans ses bras, le dos pressé contre son torse, Jace gémissait de plaisir, prêt à mourir de bonheur si le plus jeune continuait de le torturer ainsi. Une fois qu'il jugea son compagnon prêt, Simon le taquina en pressant la pointe du plug contre son entrée, faisant grogner le blond d'envie, de désir et de frustration mêlée. 

- Prêt, mon amour ? chuchota le brun en mordillant le lobe de son oreille, dérivant de nouveau sa bouche vers son cou qu'il parssema de baisers tendres. 

- S'il te plait..., se contenta de répondre le Nephilim qui sentait la jouissance grimper en lui comme la lave d'un volcan. 

C'est alors que l'ancien Terrestre enfonça le bijoux en lui d'un mouvement, percutant sa prostate tout en enfonçant ses dents dans la chair de son cou, comme lorsqu'il avait encore ses canines de vampires. Face à la pénétration dans son corps et à la morsure de son futur amant, Jace fut assaillit par le flot de sensation qui découlait de lui et l'orgasme le faucha subitement, jouissant en gémissant le prénom de son compagnon alors qu'il n'avait même pas eu besoins d'être stimulé. Simon caressa son corps avec délicatesse, lui murmura d'une voix redevenu câline et tendre à quel point il était fier de lui, à quel point il était heureux. Jace, les yeux embués de luxure, se retourna entre ses bras, noua les siens au cou de celui qui faisait battre son coeur et leurs lèvres se joignirent avec bonheur, comme si elles s'étaient cherchées pendant des siècles. 

- Je t'aime, souffla le blond avec un doute certain dans la voix. 

- Je t'aime plus encore mon doux ange, sourit Simon en caressant sa joue, retrouvant à nouveau le chemin de ses lèvres. 

Oui, les vacances allaient être parfaites, ils en étaient certains. 

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OUIIIII Jimon officialisé !! Alors, des avis, des théories ? C'est mon premier essaie de BDSM j'espère que c'était bien ? La suite bientôt ^^