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Après avoir reprit un minibus, ils étaient rentrés tranquillement chez Léna. Ils étaient tous claqués, que chacun vaquait à ses occupations. Marcelin toujours sur son PC en train de trier ses photos, les éditer et monter. Manas et Sidjil faisait le dé-rush de la carte SD de la journée, Benji dormait forcément. Sacha toujours sur son téléphone, pendant que Mila prenait sa douche tranquillement avant que tout le monde ne se jette déçu. Léna n'allait pas tarder à rentrer.

Mila prenait tout son temps dans la salle de bain puisqu'il y avait une baignoire. Elle fit un grand bain remplie de mousse, traînant sur son téléphone ou lisant son livre qu'elle avait bientôt fini. On frappa à la porte au même moment.

— Oui ? Je prends un bain.

— Je peux te déranger ? Demanda Marceau. J'ai besoin de ton œil de graphiste.

Mila regarda l'eau et la tonne de mousse, elle lui répondit positivement. Il entra presque immédiatement.

— Putain la chaleur !

— Moi je suis bien, dit-elle avec un grand sourire.

Marcelin s'installa contre la baignoire, pour que Mila ait une vue direct sur son écran. Elle posa ses bras sur le rebord de la baignoire et son menton délicatement par dessus.

— J'arrive pas à changer ce paramètre colorimétrique.

Mila lui demanda d'augmenter la luminosité de son écran pour y voir plus clair et commença a le guider sur ce qu'il devait faire. Ils continuèrent leur échange de longue minutes, tout les deux échangeant sur leur passion pour Photoshop, jusqu'au moment où Sid passa devant la porte entre-ouverte. Il revint sur ses pas et poussa la porte pour l'ouvrir un peu plus grand.

— Mais vous faites quoi ?

— J'avais une question à lui poser.

— Ça pouvait pas attendre ?

— Soit pas aigri comme ça, râla Mila.

— Non mais je rêve, t'es à poile dans ton bain avec Marceau assit par terre, son PC ouvert. On dirait que vous faites une sextape.

— Qui fait une sexetape ? Demanda Benji en passant la tête part la porte. Wesh, elle est a oilp.

— Oui bon ça va, dit Sid en poussant Benji. Vous allez pas tous débarquer. Mila tu peux pas fermer ta porte à clé ?

Elle haussa les épaules.

— Bon allez, oust, dit-il. J'ai une douche à prendre.

— Mais je suis là ?

Sidjil haussa les sourcils pour lui faire comprendre : oui et ? Elle s'enfonça à nouveau dans son bain, Sidjil ferma la porte derrière lui, puis il retira son tee-shirt rapidement, passa sa main habituelle dans l'élastique de son caleçon pour le faire tomber un peu plus sur ses hanches. Mila leva les yeux au ciel, il l'a regardait dans le reflet du miroir face auquel il était. Elle souriait doucement avant d'appuyer sa tête contre le bord de la baignoire pour regarder le plafond.

— Pourquoi est-ce que toi tu aurais plus de privilèges que les autres pour rester dans cette salle de bain avec moi ?

— Tu veux vraiment que je te fasse un dessin ?

— Je sais pas, haussa-t-elle les épaules avec un petit sourire.

— Si tu veux je te laisses le lit avec Sacha, écoute.

— Non c'est bon, je vis avec lui, je peux y aller quand je veux.

Il se retourna immédiatement vers elle avec son air outrée.

— Ça va, je rigole, un peu d'humour Sid.

— J'aurais vraiment du insister pour que tu viennes vivre avec moi et pas eux.

— Tu remets ça encore, soupira la brune. Passe à autres choses, ça fait 1 mois.

Mila secoua la tête de gauche à droite, puis Sidjil se concentra sur son rasage de barbe. Elle le regardait faire discrètement, analysant les moindres mimiques de visage qu'il pouvait faire. Elle le trouvait vraiment adorable, elle secoua la tête à nouveau, se rendant compte de son addiction pour ce mec. Puis à un moment, elle remarqua que son coude est bien, bien ouvert. Elle se releva de son bain, enfila une serviette presque instantanément, la coinça pour ne pas qu'elle tombe et s'approcha de lui sans un mot, les sourcils froncés. Elle attrapa son bras pour le lever et regarder son coude.

— T'as fais quoi sérieux ?

— Ah, ça ?

Il stoppa la tondeuse et se mit à rire comme un idiot. Mila lui tordait à moitié le bras pour pouvoir regarder l'état de sa plaie. Il s'était pas loupé. Puis elle se mit derrière elle, promenant sa main dans son dos pour regarder, RAS. Elle descendit légèrement sur short pour regarder ses hanches, il laissa s'échapper un petit « ouh ».

— Doucement, tu vas m'exciter.

Elle le pinça légèrement, il se mit à rire. Mila continua son analyse, jusqu'à son genou dans un piteux état. Elle était à genoux, devant lui, et le regarda d'en bas, les mains autour de son mollet, avec un regard de meurtrière.

— Est-ce que tu peux trente secondes arrêter de te faire mal, Sid ?

— On dirait ma mère, bon après ma mère, elle se met comme ça à genou devant moi, dit-il avec une voix mielleuse et un clin d'œil beauf.

Mila se releva immédiatement, toujours le regard noir.

— Ça va, je rigole.

— T'es chiant, Sid. Tu te fais mal et tu te soignes pas derrière.

— C'est des égratignures, Mila ! C'est rien.

— Oui, comme ton genou ça. Jusqu'au jour où tu te feras bien mal et tu laisseras traîner, hein.

Il roula les yeux.

— T'inquiète pas pour moi, je me suis toujours bien débrouillé.

— Alors que t'es un putain de casse coup.

— Et casse couille !

Elle essaya de se retenir de sourire pour garder son air énervé, mais il voyait très bien que ça l'avait fait rire. Mila était appuyé contre le bord du lavabo, dos au miroir, Sidjil posa ses deux mains autour d'elle, sur le lavabo, et se pencha légèrement pour la dominer et la piéger. Il avait ce doux sourire qui la faisait craquer et il ne décrochait pas ses yeux de ses lèvres pincées. Sid s'approcha un peu plus d'elle, pour la faire réagir il frotta le bout de son nez au sien, elle finit par s'adoucir.

— T'es chiant, capitula-t-elle.

Sid riait doucement, Mila posa lourdement sa tête sur son épaule, il vint caler sa tête au creux de sa nuque, il déposant une doux baiser, restant collé à sa peau chaude et humide.

— J'ai pas l'habitude qu'on s'inquiète pour moi comme ça, avoua-t-il au creux de son oreille. J'aime bien, je pourrais m'y habituer.

— Si y a bien une chose auquel je m'y ferais jamais, c'est ton inconscience au danger, dit-elle sur le même ton calme que lui.

Sid redressa la tête, elle fit de même. Il tenait maintenant son visage entre ses mains, glissant les quelques mèches rebelles derrière ses oreilles.

— Me demande pas de pas m'inquiéter, le coupa-t-elle. Ni même de ne pas te faire de réflexion, parce que je le ferais. Ça pourra être une raison de dispute si tu veux, mais j'arrêterais jamais.

— Ça me va, sourit-il. Ça contre toute le reste, je signe.

Il approcha dangereusement ses lèvres des siennes, mais elle l'arrêta aussitôt.

— Dommage, t'as déjà signé les papiers pour Sacha.

Il rigola.

— Bien joué.

Mais il ne s'avoua pas vaincu pour autant. Toujours à quelques centimètres de ses lèvres, il lâcha le visage de Mila pour faire glisser son short et son caleçon jusqu'à ses pieds.

— Pas sur que je fasse tout ça avec Sacha.

Il était à présent nu, elle le savait mais ne détournait pas les yeux de son regard. Sidjil, dominant, il attrapa le bord de la serviette de Mila pour la faire glisser elle aussi jusqu'à ses pieds et lui, ne se cacha pas de l'observer. Son regard transperçant, si unique qui parcourais son corps sans aucune discrétion, sans aucune gêne, lui brûlait la peau. Sa respiration s'accélérait petit à petit, Mila avait de plus en plus de mal à se cacher.

Au bout d'un moment, c'en était trop. Elle saisit son visage entre ses mains avec fougue et colla automatiquement ses lèvres au siennes, leurs corps nues, se heurtant l'un contre l'autre, une sensation de chaleur les envahissaient petit à petit. Mila colla le dos de Sidjil au mur froid de la douche à l'italienne, laissant son bain de côté. Les grandes mains de Sid se baladait sur son corps frêle et délicat comme s'il cherchait à en avoir plus, il saisit ses hanches avec poigne sans aucune retenues. Mila se hissa sur la pointe des pieds pour attendre sa nuque et y déposa un nombre incalculable de baiser, ainsi que quelques sucions délicate. Sidjil voyait en face a de lui leur reflet et il aimait ça. C'était la première fois que l'un comme l'autre se faisait consumer par un tel désire.

Désire hardent, qui fut refroidit par une pluie fine et froide provenant de la douche, suite au coup de coude que Sid avait mit dedans. Mila poussa un crit de stupeur et se colla à Sidjil qui rigolait comme un enfant. Elle se mêla à lui et colla sa tête contre son torse qui se soulevait sous sa respiration rapide. Elle souriait, l'eau de la douche était à présent chaude, ils s'y glissèrent tout les deux, l'un contre l'autre, sans un bruit, sans un mot, simplement la sensation de leur peaux l'une contre l'autre faisant redescendre la température petit à petit.

Quelques heures après manger, Léna lança une bataille d'eau à l'extérieur sur la terrasse, qui arrive rapidement à des sceaux d'eau énorme renversé sur les têtes, donc Mila et Léna s'étaient toute les deux réfugier dans la maison, pensant être à l'abris. Laissant Benji seul en train de manger son burger tel un enfant affamé. Mila eut le temps de prendre son téléphone pour capturer le moment et le mettre en story, qu'une bouteille d'eau glaciale se vider sur sa tête, pour atteindre tout son corps dans son intégrale. Elle se mit à hurler et commença à courir mettant de l'eau partout. C'était Sacha qui venait de faire une grossière erreur. Mila remplit sa bouteille en hurlant à la mort contre Sacha ce qui amusait Sidjil, qui au passage se fit éclabousser par Mila gratuitement.

— Mon PC ! Hurla Marceau.

— L'appareil ! Continua Sidjil.

Mila éclaboussa à son tour Manas qui était en train de filmer avec son téléphone.

— Mon tel !

— Si il marche plus tu le mettras en réparation sur les notes de frais de Sid, se moqua Mila.

— Toi, tu me soules !

Sid et Mila commencèrent a tourner autour de la table dans la cuisine, Léna qui aida Mila à arroser Sidjil jusqu'à ce qui devait arriver, arriva, Mila s'éclata sur le carrelage en première, suivi de Sidjil qui s'écrasa sur elle.

Il rigolait, tendit que Mila venait de se blesser, Léna eut le première réflexe de s'inquiéter et s'accroupir auprès d'eux, puis Sid fit Mila se tenir l'arrière de la tête, il s'approcha d'elle et l'aida a se redresser et regarda sa tête. Il avait posé sa tête à l'arrière pour la soutenir, elle grimaçait.

— Ça va, Mila ? Demanda Lena.

Elle fit signe que oui sans pour autant répondre.

— Putain elle a perdu l'usage de la parole, de moqua Manas. Enfin !

Sidjil rigola mais essaya de le faire discrètement, puisqu'il ne savait aps à quel point elle avait mal. Il l'a tenait contre lui, appuyé. Il colla ses lèvres sur son front.

— Ça va, ma belle ? T'as cogné ou ?

Mila lui fit signe derrière la tête, Léna se releva chercher de la glace pour le poser sur l'arrière de sa tête. Léna demanda à Sid si lui ça allait, il lui fit signe que oui.

— Ah ça y est, un mort ? Demanda Benji à la fenêtre en train de manger.

— Qui est mort ? Demanda Sacha en arrivant du couloir. Oh, bah Mila ?

Elle lui offrit un doigt d'honneur, bien mérité.

— Ah bah c'est que ça va ! Dit Sacha en rigolant.

Sid et Lena l'aidèrent à se relever pour aller à la poser sur le canapé. Ils continuèrent leur batailles quelques minutes avant de se stopper.

Mila avait reprit et était partit dans la salle de bain pour se brosser les dents et regarder si elle n'avait pas de bleus sur le corps. Bingo, en soulevant son short, elle remarqua un hématome plutôt conséquent sur sa hanches gauche, elle soupira. Sid entra en au même moment.

— Ouhhh, il est pas beau à voir celui-là.

Il avait de la glace dans les mains, Mila finit de se brosser les dents et le regarda.

— Il me faisait pas mal avant que je m'en rende compte.

— J'ai de la glace.

— J'ai la flemme, ça va être froid..

— Non non, tu mets cette glace, on va croire à la caméra que je te frappe, s'te plaît.

Il s'approcha d'elle et lui colla le paquet de glace sur la hanche, Mila tenta de s'échapper mais Sid se calla derrière elle, pour la tenir, une main autour d'elle, posé sur son abdomen et l'autre contre sa hanche tenant le paquet froid.

— Ça va ?

— Non, répondit la brune laissant tomber sa tête en arrière sur son épaule.

— Tu m'as fait peur tout à l'heure en tombant.

— Pourquoi toi t'aurais le droit de t'inquiéter et pas moi ?

— Parce que toi, t'es pas aussi solide que moi.

— Je suis pas faible, râla-t-elle en se décollant de lui pour sortir de la salle de bain vexée.

— J'ai pas dit ça, dit-il en la suivant.

— Oui, donc c'est bon, je me gère.

Sid s'approcha d'elle et colla la glace sur sa hanche un peu trop fermement.

— Dans ce cas, fous cette putain de glace, et viens pas te plaindre.

— Mais j'ai rien dis, soit pas con comme ça.

Il balaya l'air d'un coup de main et s'en alla de la chambre. Mila rala toute seule, puis rejoins la chambre de Manas et Benji déjà couché. Elle s'étala entre eux, soulé.

— Tu t'es pris la tête avec le Djilous, comme t'es faite, fit remarquer Benji.

— Il vient me soûler pour un bleu.

— Tu vas pas te plaindre qu'un mec prenne enfin soin de toi, ajouta Manas.

— Connard.

— Ça va, je t'aime quand même !

— Oui, maintenant que c'est plus toi que j'appelle des que j'ai un soucis.

— Je t'ai rien dit, il me semble, se défendit Manas.

— Non je sais, mais maintenant que je sais que t'as une meuf, je vais pas t'appeler h24, sinon elle va se poser des questions, rigola Mila.

— T'es mimi, dit Manas en touchant le bout du nez de Mila.

— Sinon, vous en êtes où avec le Sid ? Demanda Benji.

— C'est vrai ça, continua Manas. J'ai pas encore réussi à avoir de baiser volés, tiens.

— C'est vraiment ton objectif ? Grimaça Mila. T'es chelou, toi.

— De toute façon Sid te demandera des couper au montage, compléta Benji.

— C'est moi qui monte frère, je fais ce que je veux.

— Mais vous êtes ensemble ou pas ? Insista Benji.

— C'est votre pote, voyait avec lui.

— Ok, ça veut dire que elle-meme, elle sait pas.

— J'avoue on en a pas parlé, rigola Mila.

— A force d'avoir la bouche pleine en même temps, dit Manas. Ça serait bien de lâcher la barre des fois.

Benji et Manas explosèrent de rire alors que Mila les tapait tout les deux. Sid entra dans la chambre, avec sa caméra.

— Bisous de tout les nuits !

— Oh non, rala Benji.

— Oh, hé ça va, frérot.

Mila rigola, Sid fit le tour du lit, il frappa le fessier de Mila au passage, ce qui la fit râler.

— Ah il filme en plus ! Remarqua Mila.

— Oh non frère, rala Manas. Je vais avoir le cul de ma meilleure amie au montage.

— T'as qu'à dire qu'il est moche !

— Oh, soûle pas toi ! Va dormir d'ailleurs !

Mila s'assît sur le bord du lit, prête à se relever, sauf que Sid la poussa, elle tomba comme une merde sur le lit. Elle tenta de lui donner un coup de pied, il attrapa sa jambe, elle manqua de tomber une nouvelle fois.

— C'est quoi ça ? Demanda Manas avec un rouleau de sopalin dans les mains.

Sid lâcha Mila pour reprendre son sopalin et le cacher dans son dos.

— C'est rien, t'inquiète.

— Frère, tu comptes faire quoi avec ce sopalin ? Insista Manas fier de lui.

— C'est pour me.. moucher, hm. Je suis enrhumé.

— T'as Mila pour te moucher, tu sais ?

— Elle avale pas aussi ! Rala Sid.

Manas explosa de rire alors que Mila regardait Sid de travers, mais surprise. Il mit sa main devant sa bouche.

— Pardon, c'est sortie tout seul.

Mila lui fit un doigt et sortie de la chambre, les laissant rigoler tout les deux.

Dans la chambre, elle se mit au calme, retira son short pour ne garder qu'un teeshirt trop large de Sid et sa culotte. Elle se mit sur le côté, tranquillement sur son téléphone. Sid arriva quelques minutes après, vêtu simplement de son caleçon orange flashy. Il entra dans le lit, continuant de parler à la caméra pour faire sa promo de Nord VPN. Alors qu'il n'avait pas finit, Mila respectait généralement ces moments où il parlait face cam, mais cette fois-ci, elle commença se glisser contre lui, passant sous son bras tenant la caméra pour se caler sur son torse, une main qui entourait ses hanches. Sid regardait la caméra et déglutis.

— La fille est pas compté dans la sponso, je préfère prévenir, car y a des petits malins dans le lot. Et si vous voulez tout savoir, je l'ai trouvé sur le bord de la route à LA, elle faisait les trottoir, elle m'a dit ça fait tant, j'ai dit ok, j'ai pas compris et maintenant elle dort. Bizarre ces américains.

Mila lui pinça les couilles discrètement. Sidjil se mit a rire et commença à éteindre sa caméra pour la poser à côté de lui, par terre puis il se posa enfin. Il serra Mila dans ses bras doucement.

— Je peux te poser une question ?

— Hm.

— T'en est où avec le fait d'apparaître sur YouTube ou nos réseaux ?

— C'est mieux, dit-elle. Ça me va, Sid.

— Ah Ouais ? S'étonna-t-il.

— Oui, ca évite a Manas de tout couper à la seconde près, et vu que je drole un peu, ca serait bête de retirer du contenue.

— Ahh le melon de la meuf ! T'as pas mal au cul.

— T'oublieras pas de mettre mon insta en description aussi.

— Oui et puis quoi encore, rigola Sid. C'est pas des commandes pour des logos que tu vas avoir, ca va être des commandes pour des photos de tes pieds, wesh. T'es folle.

Mila partagea un rire avec lui. Elle le lâcha et se mit à sa place, il se rapprocha d'elle de sorte à elle l'un en face de l'autre. Mila caressait ses cheveux délicatement.

— Ça fait du bien, dit-il dans un soupire de relâchement. Ça m'avait presque manqué.

— Fais pas genre, on a jamais dormis ensemble plus de 2 soirs d'affilé, rigola la brune. A chaque fois que t'es à la maison, tu t'endors comme une merde sur le canapé.

— Eh tu sais que tu peux venir chez moi aussi des fois, sinon c'est tout le temps moi qui vient.

— Ça a durée deux semaines et ensuite vous êtes partit, dit Mila. Doucement, wesh. Pis c'est plus logique que tu viennes parce que de un, c'est toi qu'a une bagnole et de deux, t'as la moitié de tes potes dans cette maison.

— T'as rien compris, t'es trop pur.

— Quoi ?

Sid alluma la lumière de son téléphone pour la voir.

— Si je te demande de venir chez moi, c'est pas pour faire un Monopoly. Ok ? Tu comprends ?

— Ahhh, ça..

— Oui, ça. Tu sais l'intimité dans une relation et tout.

— Quel genre de relation ? S'amusa-t-elle.

— Amis avec avantage en nature ? Rigola Sid.

— Sans attache ?

— Oh, non. Un peu d'attache quand même.

— Beaucoup même.

— Oh bah tiens, Mademoiselle Dubois aurait-elle quelques choses à avouer ?

Elle souriait tout ce qu'elle pouvait, se cachant le visage avec la couette.

— Il se pourrait que Mademoiselle Dubois, tombe petit à petit sous le charme de Monsieur Djilsi.

— Juste sous le charme ?

— On commence doucement.

— Ça fait un moment qu'on a commencé, frère. A ce rythme dans deux ans on aura un premier date.

— Qu'est-ce que tu veux un date alors qu'on a couché ensemble avant tout ?

— Oui bon, j'avoue l'ordre des choses c'est pas ça.

— A revoir, rigola-t-elle.

Sidjil lui sourit et déposa un baiser sur son front avant de la serrer dans ses bras une dernière fois pour s'endormir.

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ok y a eu un gros problème avec wattpad, sur les chapitres, plusieurs se sont inquiété c'est mignon 🫶🏻 mais y a des personnes, déjà y a des façons pour s'adresser aux gens, la politesse ça va pas vous écorcher et je suis aps à votre merci.
Si je décide d'arrêter l'histoire à ce chapitre pour en emmerder certain, je le fais. Donc merci d'être respectueux.

Je reviens très agréable cette année, je sais ❤️
Non mais en vrai, vous êtes mims vraiment beaucoup. Bonne année à vous 🙂