Chapitre 8 «Impossible»
Cette fois-ci, Candy s'est tirée en me disant m'appeler un prêtre ou un exorciste.
J'ai d'abord explorer de rire mais maintenant que je suis seul à fixer la cheminée, je m'interroge...
Comment tout ceci peut être rationnel ?
C'est tout simplement insensé...
Encore le coup du verre et du miroir, je veux bien croire à de la malchance mais ça...
Je frissonne et décide de sortir.
J'ai pas envie de rester enfermé dans cette baraque.
Je suis pas du genre à croire à ces conneries d'habitude mais il faut bien reconnaître que ça devient louche.
Je prends place dans ma voiture et roule jusqu'au centre ville.
Le pub où je vais habituellement est toujours fermé donc il faut que je trouve un autre endroit où poser mon cul.
Quand j'arrive au centre de L.A, la chaleur est à son maximum et je peine à me garer dans un endroit digne de ma caisse de collection.
Une fois cette putain de tâche accomplie, je m'extirpe du véhicule en m'allumant une cigarette.
Il fait chaud et humide, je déteste cette ville pour ça.
Je me permets donc de retirer ma chemise, ce qui fait glousser un groupe de nanas non loin.
Tiens tiens tiens...
Serait-ce mon jour de chance ?
- On cherche son prince charmant ?
Je lance à celle qui arrive droit vers moi.
- Non, juste une âme charitable pour m'offrir un verre...
Elle répond en fixant ma bagnole.
Mauvaise pioche...
Je le sait car elle est plus intéressée par ma cadillac que par ma gueule.
Ce genre de gonzesses cherchent seulement un pigeon...
Quelqu'un qui videra son portefeuille, et non ses couilles.
- Désolé, je suis pas branché croqueuses de diamant.
Je lui lance en crachant ma fumée dans sa direction.
- Connard.
Elle fait aussitôt demi-tour.
Salope.
†
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