J'me réveille avec une surprise de taille dans ma cuisine.
Ma conquête de la veille n'est toujours pas partie et j'ai le droit à un spectacle alléchant qui attise ma soif d'en avoir davantage.

Elle est là, seins nus en train de boire un café dans une tasse, qui hier contenait un liquide bien plus aphrodisiaque.

Je me pavane tel un fauve jusqu'à son joli petit cul et lui offre une fessée.
Elle rit et se retourne, cherchant à m'embrasser mais je recule vivement.

- J'peux savoir ce que tu fais ma jolie ? Je lui demande tout en reluquant ses tétons qui m'appelle comme deux néons.

- J'ai pas le droit à un bisou ? Elle me couine à l'oreille.

Je secoue la tête de droite à gauche en souriant.
Et non, la baise et rien d'autre.
Je suis pas un putain de Bisounours.

- Ok je vois. Elle passe devant moi en faisant une moue digne d'une gamine de dix ans.

Ça me coupe immédiatement tout envie de la prendre là, sur mon plan de travail.
C'est toujours la même rengaine quand une fille reste jusqu'au petit matin.

Elles espèrent toutes avoir des câlins et un petit déjeuner servi sur un plateau avec une rose plantée sur une pile de pancakes.

Pitoyable.

- J'me casse ! Peste t-elle.

- Tu sais où se trouve la sortie. Je réponds calmement en m'allumant une clope.

Elle grogne je ne sais quoi et j'entends la porte d'entrée claquée.
Un jour elle va tombée en morceaux c'est certain...

J'attrape une tasse que je pose devant moi le temps que mon café chauffe.
Je cendre ma clope en soupirant.

Elles sont fatiguantes...
Les femmes...
Elles jouissent dans ta bouche et l'instant d'après elles font des caprices comme des gosses de maternelle.
Un vrai régal...

†