Chapitre 5 : Origine
Les petites fées volées autour de nous, surtout près de moi. Un léger flottement dans l'air, nous entoura après l'annonce. Seuls les bruits des battements d'ailes des fées étaient audibles. Je ne compris pas tous de suite. Un déchu... qu'est-ce su c'est. Dans tous les manuels scolaires que j'ai pu lire de toute ma vie, je n'en ai jamais entendu parler. L'incompréhension me prit. Il a dit que les "déchus " était caché aux yeux du monde avant l'âge adulte alors pourquoi tout le monde avait l'air d'être au courant et pas moi. Et cette réunion cachée au quelle j'ai assisté, que je ne devrais même pas y connaître l'existence alors qu'elle me concerne. Mon cerveau partit vite dans des conclusions que je ne voulais pas y croire. La seule personne qui avait l'air de connaître des réponses à mes questions se trouve devant moi.
Je levai la tête, que j'avais inconsciemment baisser. La vision m'apaisa, moi et mais penser quand je vis les fées tourner autour de moi essayant de me réconforter, l'endroit et ses couleurs y contribuant aussi beaucoup. Mais la vision de Voldemort, avec une expression douce et neutre à la fois m'accueillant en plein milieu de ma vision est ce qui m'apaisa vraiment. On aurait dit un tableau d'art. Il attendait mon feu vert pour continuer à parler, me laissant le temps d'assimiler sa révélation. Son regard carmin croisa le mien, puis descendit vers mon assiette pour revenir percer à nouveau mon regard. Je regardai mon assiette pour l'instant intouché mais qui avait l'air délicieuse. Je compris que si je voulais des réponses je devais manger. Je pris mes couverts en mains, puis entamai mon assiette de bon cœur pour ce genre de chose il ne fallait pas me le dire deux fois. Je jetai un regard rapide en direction de Voldemort, j'y vis un mince sourire et un regard satisfait. Je détournai rapidement mon regard car en ayant vu la satisfaction de mon voisin en face, un sentiment d'accomplissement me prit de court. Je me relevai légèrement de ma chaise essayant de me tenir droit malgré la douleur de mes muscles mais vite apaiser garce aux coussins. J'attrapai le regard de Voldemort, puis descendis mon regard vers son assiette intouchée puis remonta mon regard pour voir qu'il avait suivi mon regard pour revenir dans mon regard, un de mes sourcils que je sentis se relever dans une interrogation qu'il comprit vite. Je ne veux pas être le seul à profiter de ce délicieux repas. Un vrai sourire fendit son visage, mais cette fois ces deux sourcils se lever dans une expression qui demander ce que je ferais s'il ne m'obéissait pas et ne pas toucher son assiette. Un air de défi s'installa sur son visage. En réponse à son geste, j'arrêtai la fourchette qui allait vers ma bouche, reposèrent les aliments dans mon assiette, puis mis mes mains de chaque côté de l'assiette dans l'attente. Je le regardais dans l'attente. Lui faisant comprendre que s'il ne mangeait pas, je ne mangerais pas non plus. Ne me demandant pas pourquoi j'ai ce genre de réaction. Je ne comprends pas non plus. Mon instinct et magie me poussent à faire ça. Alors que j'aurais plus tout simplement profité tous seul de ce repas et au diable s'il ne veut pas manger. Mais mes sentiments sont tous le contraire, un sentiment de solitude et d'inquiétude me prit. Il dut voir mon inquiétude car sa réaction se fit rapide. Un doux sourire couvrit son visage de porcelaine, puis il prit ses couverts en mains et commença doucement et aristocratiquement à manger. Il me lança un regard et un air qui me demandait si cela me satisfait. Un puissant sentiment d'accomplissement me prit les entrailles, je repris avec entrain mon assiette, avec un sourire béant coller au visage.
J'ai du mal à comprendre mes sentiments, mais pour l'instant je dois plus me concentrer sur la suite après le repas. Car je sais qu'après ce délicieux repas attendent les réponses à toutes mes réponses. Et à vrai dire, je n'étais pas dû toute pressée à entendre ses réponses. Ne dit-on pas moins on en sait mieux on se comporte, après tous, tout allait bien avant que j'apprenne sur ces réunions secrètes. Enfin par bien, je veux dire à peu près normale, pour un '' sauveur du monde sorcier ''.
Le repas fut rapidement fini, le ventre plein comme l'esprit. Je posai les couverts avec un soupirent satisfait. Je regardai mon voisin, finir lui aussi son repas doucement et délicatement. Cela me fit rire intérieurement, jamais je ne penserai qu'un jour Voldemort, serait associé à des comme doux et délicat. Comme quoi, la vie est remplie de surprise. Surprise pour certain agréable ou désagréable. Je regardai les moindres faits et gestes de Voldemort, il prit sa serviette de table, puis s'essuie la bouche avec, tout en me fixant du regard. Je rougis en constatent ça.
Les petites fées autour de nous, étant moins excitaient à se poser sur moi, Voldemort ou elle pouvait pour parler entre elles tout en nous regardant. Petites fées qui prenaient un malin plaisir à parler dans notre dos. Cela ne me contraria pas, ni ne m'énerva. Mon instinct me forçait à être tendu avec ces créatures, qui d'ailleurs avec la pensée que je devais être bien toutes les créatures. La pensée de faire du mal à ne stresse qu'une mouche, me repulse et me dégoûte au plus haut point. Des questions s'ajoutèrent à ma liste déjà bien remplie. En sortant de mais penser, je vis une petite fée toute miniature comparer aux autres, ce devait être un enfant. Elle essayait de prendre les graines des fruits, des fruits que j'avais mangée plus tôt, qu'il y avait dans mon assiette, ses ailes n'étant pas assez formées pour voler avec un poids en plus d'elle-même, elle ne pouvait pas porter les graines et les poser en dehors de l'assiette pour les montrer à ses amis qui avaient le même âge qu'elle. Mon instinct me poussant, je pris la petite fée entre mes doigts de ma main droite, puis pose cette dernière près de ses amis. Des petits cris de protestation se fit entendre, je vis toutes ses consœurs et confrère se retourner, mais je continuais ce que j'avais initialement commencé. Je pris les graines et les déposai devant elle, et avec mon index tapota la tête de cette dernière. Un rougissement me prit en pensant mon geste de fin après avoir aidé la petite créature inoffensive. Cette dernière prit les graines entre ses mains et me regarda. Des yeux de la taille des graines qu'elles tenaient me fixèrent avec gêne et remercient devant mon geste.
Essayant de prendre le maximum de graines qu'elle put, elle les ramena à ses amis toute excite. Amis... en voilà une qui a bien de la chance, car moi en une soirée, j'ai tout perdu. Ami, vision du monde, espoir, et peut-être même ma vie. Cela me fit rire intérieurement. Mais la tristesse prit le pas sur mes autres émotions. Je remontai mon regard vers Voldemort. Il avait sur moi un regard bienveillant, de protection. Je ne comprends pas non plus son regard...
- Je sais que tu te poses beaucoup de questions sur ce qui se passe en ce moment. J'y répondrais du mieux que je peux. Dit-il coupant toute panser envers son égard
- Je ne compr... Je voudrais savoir ce qu'est un déchu ? dis-je en le fixant lourdement
- Je vais te le dire, dit-il en hochant la tête, les déchus sont des créatures proches des sorciers. Les sorciers sont des moldus avec des pouvoirs, qui est du même statut que les moldus, du point de vue du monde magique. Les déchus ont une apparence moldus, avec des pouvoirs comme les sorciers mais beaucoup plus puissant, important. Nous avons un statut qui ressemble à celui d'un dieu, pour les autres espèces du monde magique. D'ailleurs les sangs de bourbes ont créé de là leur religion, car on a des ailes loger entre nos omoplates... mais pour ce genre de détails, nous aurons le temps d'en parler ultérieurement. Nous sommes cachés du monde à cause de notre statut de privilégier que certains sorciers acceptent et d'autres non. Ton père était aussi un déchu, il... on vas dire qu'il a enfoncé les portes principales du monde sorcier pour être reconnus. Tous comme moi. Notre espèce est à la base pacifiste... Cela a valu beaucoup de problème pour notre peuple. Dans notre peuple, je fais partis de la royauté, ton père et ta famille fait partis des plus grands guerriers de notre peuple, il était même mon garde personnel pendant un certains temps. Avant qu'un complot fût déclencher pour éliminer ta famille et moi. Cela fut un grand succès. Mais toi, tu fus le seul survivant, moi et Severus n'avons pas pus sauve tes parents... Le monde sorcier à déclarer que c'était mo qui avait tué tes parents alors que ce n'était pas le cas. Pour te dire que même mon peuple... notre peuple y a crus, je fus poursuivi puis tuer par mon peuple, quelques jours plus tard. Ce jour-là, j'ai tous perdus, la confiance des miens, de mon peuple, un ami proche et ma vie...
- Pourquoi avoir essayer de me tuer ? Pourquoi ne pas avoir directement essayer de venir me voir et m'expliquer la situation ? soupirais-je de tristesse, que je ne compris pas
- Ma forme et la magie utiliser ma forcer à être comme ça envers toi et le monde entier mais maintenant tous va mieux, sourit il doucement
- Je vois, dis-je en sentant un poids s'enlever de mes épaules
- D'autres questions ? ou ai-je répondus aux principales ?
- Pourquoi les sorciers veulent ils garder le secret sur mon passé ?
- C'est la volonté des extrémistes du monde sorcier, ils voulaient de toi comme arme pour soumettre les sang pur sorcier qui mets les déchus au-dessus de tous. Et tous les sorciers qui sont avec les déchus.
- Je vois, dis-je en baissant la tête, mon instinct... non, ma magie et mon instinct me disent d'être bon avec tout le monde, d'aider les autres du mieux que je peux...
Un regard bien veillant s'ajouta à son visage déjà souriant, cela me soulagea de voir et comprendre que quand ils disaient qu'il avait les réponses à mes questions, il ne mentait pas.
- Chez notre peuple, il existe plusieurs catégories de déchus. Je ne vais pas toute te les citer, car il y en a énormément, mais selon tes instincts on peut déjà dire que tu fais partir des guérisseurs, ils sont énormément respectés chez notre peuple. Ils servent à garder la paix et la cohésion autour d'eux. Leurs pouvoirs sont basés sur les soins. Ils sont voués au bonheur et la bonne santé de ceux qui l'entoure.
- Et toi, qu'est tu ? Tu m'as dit que tu faisais partis de la royauté...
- Je fais partis de la famille royale, j'en suis même le roi, bien que je devrais être mort, chez nous un statut ne peut être enlever. Si j'étais mort, ma catégorie, ceux qui sont dans la royauté aurait a jamais disparus car contrairement aux autres catégories chez notre peuple, la royauté est au-dessus des autres catégories alors que les autres sont tous au même niveau. Pour faire partis de cette catégorie il faut être de la ligner ce qui signifie qu'il faut être un descendant et un descendant direct. Ceux de la royauté sont là pour prendre les décisions les plus importantes par rapport au peuple. On a un sens très aigu sur la loyauté et le peuple, on ferait tous pour le bien du peuple, avec une loyauté sans faille envers se dernier. Pour cela, on utilise notre magie et notre intelligence et nos connaissances pour y parvenir.
- Et pour mon père ?
- Ton père était un guerrier, respecter pour leur loyauté envers et pour la royauté et le peuple. Ils sont très puissants magiquement afin de mieux protéger le peuple mais ton père se servait aussi de cette puissance pour protéger les plus faibles, c'est aussi pour ça qu'il était aduler et admirer par beaucoup.
- Je comprends mieux maintenant, dis-je tout en répondant intérieurement a toutes les questions que je me poser démêlant le nœuds de questions dans mon crane
- C'est un plaisir d'y répondre, n'hésite pas je suis là pour ça.
Cette réplique me fit rougir de contentement, il n'avait pas besoin de le dire, je le savais déjà, il me le faisait bien comprendre. Mais cela me fit plaisir, qu'il me le confirme. Je relevai la tête ne regardant plus les petites fées jouaient avec les graines que je leurs avait donnes. Pour voir, Voldemort qui me regardait toujours avec un sourire bienveillant et... serait-ce de la joie ?
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