LEMON. Kuroo Tetsuro X Reader!
PS1: Cet OS est un Lemon, c'est un dire un One-Shot comportant une scène de hum-hum, de cul, de jambes en l'air, de fricotage bref de SEXE. Vous êtes prévenus, si vous n'aimez pas je vous conseille de ne pas lire car c'est un OS principalement tourné autour de ça. Et lire simplement la partie sans Lemon ne servirait pas à grand chose car l'action et le fond de cet OS est donc, sur le CUL. Après faites comme bon vous semble, je ne suis personne pour vous en empêcher.
PS2: Je m'excuse, ce n'est pas dans mes habitudes mais ce chapitre ne sera pas corrigé, simplement relu. J'ai eu quelques problèmes où toute une partie de mon chapitre n'apparaissait pas sur mon téléphone et c'est de mon téléphone que je corrige et fais les dernières retouches. J'aime pas avoir à me relire et me corriger, je le fais pour vous donner de bons chapitres mais devoir me corriger une seconde fois sur le même OS ça me barbe fortement sachant que j'y avais déjà passé 2heures une première fois et que je dois tout reprendre à 0. Bref, vraiment désolée, c'est aussi pour ça que j'ai pris tant de temps à le poster alors que ça fait 2 semaines qu'il est achevé. (Si quelqu'un veut le corriger, il n'y aucun problème x). )
PS3: Vu que Wattpad fait buguer l'OS, je n'ai aucune idée de comment il va se publier. J'espère de la bonne façon.
Désolée pour tout ce blabla, je vous souhaite une bonne lecture et particulièrement à @ranimchr
Cela fait 3 ans que Kuroo et moi vivons notre petite histoire d'amour entre deux entrainements. Mon copain est un joueur professionnel de volleyball, quant à moi je suis aussi une pro, mais de ce merveilleux sport qu'est le handball.
Nous nous sommes rencontrés durant les derniers Jeux Olympiques, car effectivement nous faisons respectivement partis des équipes nationales de nos sports.
C'était il y a donc 3 ans, durant l'un de nos rares jours de repos aux JO. Ma capitaine et moi étions allées nous balader dans les immenses édifices pour l'occasion. Puis après un rapide coup d'œil au programme de la journée, nous avions jeté notre dévolu sur l'unique équipe de notre pays qui jouait à ce moment; l'équipe féminine japonaise de volleyball.
Ni elle, ni moi ne connaissions quoi que ce soit à ce sport, mis à part le fait que le but soit similaire au handball, gagner en marquant un maximum de point. Pour le reste, je savais que le terrain était séparé d'un filet au dessus du quel il fallait faire passer la balle sans jamais qu'elle ne touche le sol.
Nous nous y étions donc rendues, et avions regardé le match sans rien comprendre. Ca m'énervait. Je ne comprenais pas pourquoi les joueuses tournaient de temps à autre, n'avaient-elles pas un poste attitré ? Je ne comprenais pas pourquoi dans chacune des équipes il y avait cette personne avec un maillot différent. C'était un genre de gardien ? Et pourquoi aussi celle-ci ne faisait que de sortir et rentrer.
Les passes allaient en plus bien trop vites pour m'aider à comprendre leur jeux, je savais bien qu'elles étaient très fortes dans leur domaine mais tout me semblait brouillon. Et ça m'énervait.
Ma capitaine n'arrêtait pas de me prier de me taire et de simplement les encourager mais je rageais, ne pouvant tenir en place et posant des questions aux quelles personnes ne pouvaient me répondre jusqu'à ce que..
Vous voyez venir la suite, un grand gaillard aux cheveux noirs totalement décoiffés assis à coté de nous depuis le début. Il se mit alors à me donner toutes les réponses à mes questions. Kuroo Tetsuro. Ca m'avait prit par surprise quand il avait tout à coup décidé d'ouvrir la bouche mais ses explications fluides et limpides m'avaient conquises et j'étais alors accrochées à ses lèvres m'intéressant de plus en plus au jeu qui se déroulait en face de moi, ou peut-être au garçon à coté.
Attention, ne me prenez pas pour ce genre de filles ! Je ne suis pas tombée amoureuse au premier regard, j'étais simplement admirative de son savoir sur le sport, chose qui me parut évidente une fois qu'il se présenta comme joueur olympique. Bon, je ne peux pas cacher que je le trouvais séduisant, mais n'a-t'on pas le droit de trouver quelqu'un séduisant sans vouloir lui faire sauvagement l'amour ?
Puis suite à cela, en plus d'une victoire de l'équipe féminine. Kuroo et moi avons continué à discuter, je suis allée voir ses matchs avec beaucoup de plaisir, lui aussi. Nous nous sommes découverts beaucoup de points communs; une vie dévouée au sport, tout deux d'équipe japonaise, et ce de façon professionnelle. Nous avons aussi remarqué que nous avions nos entrainements dans des gymnases mitoyens. A vrai dire, le complexe sportif à haut niveau de Tokyo rassemble une grande majorité des sports. Et suite à toutes ses similitudes qui nous avaient bien faites rire, nous avons continué à nous voir une fois les Jeux finis.
Puis de fils en aiguilles, de rendez-vous en rendez-vous, il y eut nos premiers bisous, nos premiers ébats, une relation officialisée et même un emménagement ensemble. Nos trains de vie étant assez similaires, tout collait à la perfection et je vivais sur un petit nuage entre les bras de mon chérie et ceux du ballon.
Nous en voilà donc à aujourd'hui, où après une journée chargée en entraînements j'ai rejoint notre appartement, et fais à présent la larve sur notre petit canapé qui est franchement trop confortable pour pouvoir relever ses fesses.
J'ai mal absolument partout, le coach n'a vraiment pas été sympathique. Entre le gainage, les renforcements, les exercices de ciblages sur nos points faibles et ceux de puissance sur nos points forts, en passant encore beaucoup trop d'autres choses mes muscles, non, mon corps tout entier crie à l'aide. Et ce n'est pas la séance de récupération qui suffit pour me remettre ne serait-ce que de 20% de ce que j'ai vécu aujourd'hui.
Le bruit de la serrure me fait lever la tête vers la porte d'entrée, un sourire s'étirant déjà le long de mes lèvres. Je le vois passer le seuil de la porte et malgré ce que j'ai dis auparavant, mon popotin se remet immédiatement sur ses jambes pour que je puisse enlacer mon compagnon, délaissant mon canapé adoré.
<< - Kuroo ! Je m'exclame heureuse de le retrouver. >>
Son visage s'illumine à son tour. Il laisse tomber son sac de sport au sol pour ouvrir grands ses bras, me laissant enfoncer mon nez dans son torse. Je l'enlace aussi fort qu'il m'est encore possible avant de relever la tête vers lui.
Ce qu'il est beau, peu importe l'angle, il est toujours magnifique.
<< - Comment vas-tu ? Me demande-t'il en m'embrassant sur le front.
- Je vais bien ! L'entraînement m'a tué aujourd'hui, je rigole en relâchant mon étreinte pour le laisser entrer, j'ai mal partout c'était compliqué !
- On a eu la même journée alors, notre coach n'a franchement pas été clément ! Dit-il en se déchaussant. Tu auras le droit de me faire un massage !
- Quoi ! Même pas en rêve, c'est toi qui va me faire un massage !
- Non non, je l'ai dis en premier, ricane-t'il de son éternel air narquois.
- Et j'ai dis que mon entrainement avait été dur avant toi ! Alors c'est toi qui t'y colles ! >>
Ainsi commencent nos infinissables enfantillages, se renvoyant la balle -sans mauvais jeu de mot- constamment et avec vigueur. Il n'y a évidemment pas de méchancetés mais Kuroo et moi sommes les mêmes, de vrais casse-pieds qui n'en démordent pas une seconde. Une fois qu'on a une idée en tête, c'est foutu. Et pour nous arrêter, il faut au minimum un tremblement de terre, un typhon ou bien une explosion nucléaire.
Les pics et les noms d'oiseaux n'en finissent pas. Deux gamins. Nous nous suivons d'une pièce à l'autre, en contrant et argumentant comme si nos vies en dépendaient. Maintenant c'est trop tard, il ose parler de massage alors il va clairement m'en faire un, c'est inconditionnel !
<< - Bon, (t/p). C'est très simple, reprend-t'il avec sérieux. Je vais te donner une raison indéniable de pourquoi, ce soir, c'est toi qui va me faire un massage.
- Bah bien-sûr ! Vas-y essaie toujours pour voir.
- C'est à toi de me faire un massage, car c'est moi qui est eu un entraînement plus dur que toi, cela pour l'unique et irréfutable raison que le volleyball est un sport bien plus pratique, compliqué, réfléchis et épuisant que ton petit handball. >>
Pardon ?
<< - Je crois avoir mal reçu l'information Kuroo, dis-je avec un calme mal contrôlé, reformules-toi je t'en pris, mes oreilles me font des farces.
- Tu as très bien compris mon amour, le hand est clairement inférieur au volley. >>
La troisième guerre mondiale est déclarée.
<< - Comment oses-tu ! Je m'offusque. Le handball est une pratique noble contrairement à ton espèce de sport de pacotilles, si déjà peut-on appeler ça du sport !
- Evidemment que c'est un sport et d'ailleurs bien plus fatiguant que le tien ! On est en tout point supérieur à ton truc à ballon !
- Vos échanges durent deux minutes au grand maximum, quel exploit monsieur !
- Oh parce que les votres sont incroyables peut-être ? Sachant que la moitié du temps tout ce que vous faîtes c'est votre espèce de formation ennuyante à la mort à vous passer le ballon sans bouger ? Excuse-moi madame, contrairement à toi je suis constamment sur mes appuis et je dois réagir au quart de tours !
- Mais parce que tu crois être le seul sport à devoir être concentré pauvre imbécile ! Dans tout les sports tu dois l'être et encore plus dans le Handball car nous, on a pas de petits filets à la con pour nous séparer des adversaires !
- Nan effectivement, tu ne sais pas ce que c'est toi que de devoir constamment sauté au dessus d'un filet de près de deux mètres !
- Effectivement mais faire des allers-retours sur un vrai terrain ça, ça t'es inconnue andouille !
- Et faire des plongeons c'est pas ta petite gueule d'handicapé de handballeuse qui risque d'avoir la précision et l'endurance pour en enchainer ?!
- Je t'emmerde ! Comme si tu pouvais tenir qu'une seule mi-temps du Hand !?
- Hahaha. Je ne te parle même pas d'une seule passe de volley, tu te la prendrais en pleins dans la face !
- Connard, le hand est mieux !
- Le volley !
- LE HAND !
- LE VOLLEY ! >>
Je vous ai dit que l'on s'aime ? Non, parce que, bien qu'on puisse énormément en douter, nous ne sommes pas en train de nous disputer. C'est simplement que ce mongole de bas niveau à besoin qu'on lui ouvre les yeux. Et puis merde ! Comment ça il s'en prend au handball ? Il veut mourir ?
<< - Ecoute petite, je vais te démontrer par A+B que le volleyball est un sport qui est physiquement bien supérieur au tien, maugrée-t'il en se rapprochant de moi, les sourcils froncés de frustration.
- Bah vas-y j'attends de voir ta minable prestation, j'ajoute en brisant un peu plus l'espace nous séparant la mâchoire serrée. >>
Nous nous faisons face loin d'en démordre, à quelques centimètres d'être tête contre tête l'un de l'autre, en plein milieu de notre cuisine ouverte. Un blanc prend part de la situation, ne faisant qu'accentuer l'atmosphère "ironiquement" tendue de l'appartement.
Quelques longues secondes passent, appuyées par nos regards enflammés, qui pour rien au monde, ne dévieraient de leurs trajectoires.
Soudainement les mains de Kuroo se plaquent sur mes hanches me poussant à reculer de quelques pas jusqu'à heurter le plan de travail. Elles continuent leur chemin le long de mes fesses, avant de les agripper pour me soulever et m'assoir sur la même table. Il me colle à lui, venant enfouir son visage dans mon cou pour m'y assener une multitude de baisers, mordillant de temps à autre ma peau (c/p) pour y laisser des marques rougeâtres.
Ces doigts parcourent mon corps, descendant le long de mes cuisses pour remonter sous mon t-shirt. Je commence à avoir chaud. J'enroule mes bras autour de sa nuque, caressant ses cheveux plus brutalement que je ne le voudrai et laisse ma tête pencher en arrière.
Des frissons parcourent mon corps, partant de mon cou et allant jusqu'à mes orteils. Ses cheveux et son souffle me chatouillent mais je ne veux pas qu'il s'arrête. Je n'arrive pas à faire disparaître le stupide sourire imprimé sur mon visage.
C'est lorsque je sens l'air frais parcourir mon buste que je me rend compte que mon haut à déjà rejoint le sol, me laissant en soutien-gorge face à mon copain, qui par ailleurs, n'hésite pas une seule seconde pour embrasser ma poitrine.
Je le sens habilement venir dégrafer le peu de vêtement qu'il me reste sur le dos, puis l'attache une fois enlevée, mes bretelles glissent lentement le long de mes bras avant que le bonnet ne s'enfuit à son tour pour rapidement retrouver mon t-shirt par terre.
Malgré mon accoutrement qui se fait de plus en plus léger, j'ai horriblement chaud et ce n'est pas à cause du chauffage. Si vous voyez ce que je veux dire.
Les mains de mon copain continuent leur descente jusqu'au haut de mon jogging, toujours accompagné par ses baisers tendres et sauvages tout le long de mon corps. Sans prendre plus de temps, il me déshabille de mon bas qui tombe à ses pieds me faisant prendre conscience que je suis presque entièrement nue alors que lui est toujours bien trop vêtu.
Reprenant tout le contrôle qu'il m'est encore possible, je me redresse afin de l'attraper par le col, l'arrêtant dans sa course aux baisers et vient sans délicatesse lui soutirer à son tour son t-shirt.
Il parait hébété par ma soudaine reprise de conscience, mais l'est encore plus lorsque je scelle bestialement mes lèvres aux siennes, l'embrassant langoureusement, caressant son torse battit jusqu'à remonter sur l'angle de sa mâchoire lui empêchant une quelconque issu à mon assaut. J'enroule mes jambes autour de sa taille, il presse son bassin contre le mien m'arrachant un sourire dans notre échange en comprenant que Kuroo junior est bien réveillé.
Ses mains me parcourent, s'enroulent autour de moi pour ne laisser plus aucun espace entre nous. Essoufflée, plus par la tension qui monte à une vitesse folle que par nos baisers enflammés, je laisse à nouveau mon visage retombé en arrière. Son emprise se relâche doucement. Je le sens bouger des hanches, jusqu'à entendre le tissus de son pantalon ainsi que celui de son caleçon glisser le long de ses jambes avant de se faire vulgairement envoyé à l'autre bout de la pièce.
La chaleur me devient intenable. Comment ce garçon fait-il pour me rendre folle à ce point et ce, dans n'importe quelle situation de ma vie ?
Je relève les yeux vers lui, me mettant à détailler la moindre ligne de son corps. Son torse sculpté à la perfection, ses abdominaux saillants, ses bras puissants, ses épaules larges, sa nuque forgée, ses lèvres douce, son nez fin, ses yeux malins et ses cheveux souples. Tout, absolument tout me fait craquer, et je remercie cupidon que de m'avoir mis sur son chemin.
Je frissonne en sentant le dernier bout de tissus sur mon corps s'envoler sous la dextérité de Kuroo, laissant ainsi nos deux personnes dénudées de tout artifices, totalement nus dans cet appartement.
Une chaude présence s'immisce entre mes cuisses. Il me regarde, les sourcils légèrement levés attendant mon accord. Je pourrai me perdre pendant des années dans ses orbes brunes. Pour toute réponse je lui sourie, réajustant mes jambes sur le haut de ses hanches.
Il se rapproche de moi, jusqu'à doucement pénétrer mon intimité. Une chaleur se forme à l'intérieur de mon ventre, puis les premiers vas-et-viens me font cambrer. Kuroo me soutient, me tenant à la fois par les fesses et dans le creux de mon dos. Je m'attache à ses épaules, fermant les yeux sous la sensation naissante de plaisir.
Puis les coups de reins s'accumulent, allant de plus en plus vite, de plus en plus intensément. Je respire fort et ne peux retenir quelques couinements sous chaque coup de butoir. Les aller-retours se font puissants, je resserre l'étreinte de mes jambes l'encourageant à continuer tout en plantant peu à peu mes ongles dans la peau de son dos.
Je me sens divaguée, perdre pied. Son souffle qui ballait ma nuque et ma poitrine m'enivre d'un amour sensuel. Je me colle doucement contre lui, continuant à accompagner chacun de ses mouvements. Je le griffe encore et encore, ne pouvant plus retenir les sensations qu'il me profère, mon corps est parcourut de secousses, mes jambes tremblent, il n'y a que mes bras s'épuisant peu à peu qui me permettent de garder cette cadence bestiale.
Mes seins finalement collés à son torse, j'arrive à percevoir chacun des muscles de son dos donner le peu de force qu'ils leur restent. Ses lèvres viennent une nouvelle fois m'assener de baisers, peut-être plus ressemblant à des morsures pour canaliser son envie.
Nous arrivons à notre paroxysme, tout deux tremblants et suants de l'ardeur de nos ébats. Ses trois derniers coups de reins me font me dresser, m'arrachant une plainte suave que je n'essaie même pas d'étouffer, je n'y arriverai de toute façon pas. Un râle résonne dans sa gorge, jusqu'à respirer bruyamment tentant de reprendre sa respiration toujours saccadée.
La sensation est étrange, étrangement géniale comme à chaque fois. Il se retire, restant cependant près de moi les mains toujours collées à ma peau. Mes jambes se délient, retombant sur la table qui n'était plus très froide, et même assise je sais qu'elles auraient bien du mal à me porter à présent.
Kuroo et moi nous échangeons un regard lourd de sous-entendus. Un petit sourire narquois se dessine le long de son visage, et je me rappelle à ce moment précis pourquoi nous en sommes arrivés là.
<< - Tu vois ? Se moqua-t'il entre deux inspirations. >>
Je ne lui réponds pas, bien trop revigoré par ce sujet qu'il ne lâche pas et au quel je ne compte pas m'aplatir non plus. Bien que flageolante je saute de la table et me remet debout sous le regard interrogé de mon copain. Ma main se plaque sur son buste et je le pousse alors jusqu'au canapé où il s'effondre sur le dos.
Je l'enjambe rapidement, me retrouvant à califourchon au dessus de lui.
<< - Tes trucs de volleyeurs sont pas mal, mais je vais te montrer maintenant c'est quoi, une baise de handballeuse, susurrai-je le regard plein de défi. >>
Pour la suite, je ne suis pas sûre de me rappeler. Il n'y a eut que nos deux corps amoureux et érotiques qui parlèrent à notre place.
Ce dont je suis cependant sûre, c'est que ma prestation était largement au dessus de la sienne vu la tête qu'il a sortit lorsque je lui ai imposé un troisième round.
Le handball a encore gagné.
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<< - Tout va bien Tetsu ? Tu m'as l'air épuisé aujourd'hui, demande Bokuto avant de dire sur un ton blagueur, tu ne t'es toujours pas remis de l'entraînement d'hier ? >>
Pour seule réponse, le chat maugrée un charabia incompréhensible qui laisse son ami perplexe. Le gris est de toute façon trop innocent pour comprendre la nature d'une telle fatigue.
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Uuuuuuuh, je sais pas comment qualifier cette OS.
Ca a été très étrange dans un premier temps d'écrire la partie Lemon, je me sentais super gênée puis au bout de un ou deux paragraphes ça m'a parut plus normal et j'avais presque l'impression d'écrire une scène de combat. Bon c'est pas ce genre de combat quoi...
Bref, j'espère que tu as apprécié ta commande @ranimchr et que le résultat te plait.
C'était SNedia pour te servir !
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