Chap 3

PVD Sophie:

J'entrai avec Mr Forkle dans une pièce où nous pourrions parler seul à seul. Si je ne voulais rien révéler à mes amis, par contre Forkle pourrait peut être m'aider en me révélant le nom de mes parents biologiques...S'il acceptait...

- Sophie ...? Pourquoi m'as tu fais venir ici? À tu un quelconque problème? s'inquiéta Forkle

- En toute franchise...oui...fis je sur le bout des lèvres 

Immédiatement, ma gorge se noua, le prononcer tout haut allait être plus difficile que prévu... Forkle m'encouragea du regard et je trouvai la force d'articuler:

- Je ne...peut pas être assorti...

Les émotions défilèrent sur son visage: l'inquiétude, la surprise, la tristesse et...pendant une demi seconde, j'y vis...de la culpabilité...

- Vous saviez...murmurais-je plus pour moi même que pour lui

Il m'interrompit avec un calme énervant:

- Sophie...je suis désolé...C'était un risque à prendre pour ta conception...

Les larmes se mirent à couler d'elle même sur mon visage sans que je puissent les arrêter. J'étais extrêmement déçu qu'il ne m'est rien dit avant et qu'il ne m'ai pas préparé à cette nouvelle...et très en colère.

- Rien ne vous empêchais de me dire le nom de mes parents! crachais-je avec toute la haine du monde comme si c'était lui le responsable de tout les malheurs de ma vie, Vous auriez au moins put me... Je m'interrompit brusquement. Toute la haine accumulé depuis des années dans mon noeud menaçait d'éclater et ma vue s'obscurcit d'un voile rouge.

- Sophie...

Je me figeais. Cette voix...était celle du voisin un peu bizarre qui m'avait surveillé et protégé pendant des années, celle qui m'avait tiré de la torture, qui...

Et je m'écroulais sur le sol faite ne plus tenir sur mes jambes et y pleura toute les larmes de mon corps. Je sentit Forkle m'appeler doucement et je me relever en titubant, je détestait être faible, et en ce moment, j'était faible. Et je le montrais.

- Peut tu me montrer ce qui c'est passé chez les entremetteurs pour être sur que le problème vient du nom de tes vrais parents?

- D'où peut-il venir?

- De ton adn.

- De...QUOI?!?

- ...

- ÉCOUTEZ MOI BIEN FORKLE, JE VEUX DES EXPLICATIONS IMMÉDIATE! SINON JE VOUS JURE QUE JE VAIS CHERCHER SES INFORMATIONS DANS VOTRE CERVEAU, AVEC OU SANS VOTRE ACCORD.

- Hum...En fait Sophie, tes parents ne sont pas recensés, leur existence est inconnu...

- Vous voulez dire qu'il sont bannis?

- Non, Sophie...c'est bien pire...

- QUOI!? QUI SONT MES PARENTS?! criai-je avec tout le désespoir du monde

- Il s'agit d'un secret oublié...

- Mes parents sont un secrets oubliés...COMMENT ÇA??

- Enfin, il s'agit d'une légende...

- Mes parents sont issus une légende? J'espère que c'est une blague...

Je m'assis sur une chaise et me prit la tête entre les mains pendant que Forkle perdait de pus en plus ses moyens.

- Hum...une ville oublié...la cité déchue...Pas sur de...

Je n'entendais qu'un mot sur deux, bien trop occupé à contrôler mon installation.

J'étais tellement occupé à ne pas relâcher mon noeud d'émotions que je sentis à peine Forkle posé mes mains sur mes tempes. Ce ne fut que lorsque Forkle m'envoya son énergie mental que je me réveillait vraiment...Je le laissait faire, je croyait que c'était pour me calmer...mais il m'envoyait trop d'énergie, les seuls fois où il avait fait ça c'était pour...oh non...

déclencher un nouveau talent.

S'en fus trop pour moi, mon noeud d'émotions se libéra en des onces glacés destructrice, je brulais de me laisser plonger dans ma fureur.

Une fureur phénoménale. Et destructrice.

Mais je fus arrêter par une douleur. Pire que toute les migraines que j'avais eut depuis mon enfance. Réunit. Autrement dit horrible.

Je recouvrais peu à peu ma vue et je vis ce que j'avais fait. Forkle...

Je me précipitais vers lui pour lui mettre des fleurs de panaciers dans la bouche mais son regard m'arrêta, comme pour me supplier de ne pas approcher. Me donner son énergie mental avait dut l'épuiser, ajouté à mon instillation...Pourquoi avait-il fait ça ?

La douleur reprit, tellement forte que j'explosait tout les meubles de la pièce.

Et j'ouvrais les yeux ( au sens figuré ), je ne pouvais plus contrôler mon noeud d'émotions. Je mettais mon entourage en danger. À cause de moi, ils avaient tous souffert autant physiquement que psychologiquement. Et mon rôle était de les protéger, et pas l'inverse. Sans compter les victimes. Il n'y avait plus qu'une solution, je devais m'isoler. Au moins temporairement. Apprendre à me contrôler.

La douleur reprit au moment où tout le monde se précipitais dans la pièce, pour se pétrifier, stupéfait. 

À cause de moi.

Grady s'approcha, comme pour dompter un pégase sauvage. 

 - NON! Il ne faut pas m'approcher! Je suis dangereuse! Je suis...

Je m'interrompit en me tenant le ventre, la mystérieuse douleur reprenait.

- Sophie...tenta Édaline

Je titubais et fermais les yeux quelque seconde. Allait- il comprendre? Me chercher? Je me remémorais le corps de Forkle, à terre à cause de moi. Je devais être courageuse. Et c'est déterminés que je les rouvrit. Et terrifiée par ma décision.

- Vous comprendrez. Je suis dangereuse. Je...Je suis désolé...

Je n'écoutais plus leurs questions et protestations, je me concentrais.

Et le chaos se déchéna. La baie vitrée qui avait jusque là était épargnés se brisa en mille morceaux. J'eus une poussée d'adrénaline et d'instincts...pour partir dans un parfait salto.

Mon nouveau talent? 

Mais je m'en fichait, ce que je découvrit m'horrifia bien plus qu'un salto. Mon contrôle était tellement minime que même la végétation mourrait sur mes pas. Je ne sais pas comment, je réussis à semer tout le monde, à pulvériser la barrière était me jeter dans le vide. 

C'est une fois dans le néant que je me demandais: Q'EST CE QUE JE SUIS EN TRAIN DE FAIRE ?!?

 Mais je repensait à la végétation qui déséchais autour de moi et je me posait la bonne question: Et maintenant? Je n'eus pas à réfléchir longtemps, une seul personne saurait m'aider en gardant le secret de ma position...mais lui demander son aide me déchirait le coeur. Je me sentais partir et je ne savais pas les conséquences si je m'évanouissait dans le néant. Alors je pris mes dernières forces pour me téléporter au paysage qu'elle m'avait montré quelques minutes plus tôt. Au prix d'un dernier effort, je hurlais mentalement:

- SYLVENIE !!!


Tadadadammmmm!

Bon, je sais pas trop quoi penser de ce chapitre, mise à part que j'ai hâte d'écrire la suite😁. Et...JE SAIS PAS QUOI DIRE ! Donc...voilà! 😅🤪

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