Marcus but son café et se prépara à la chasse aux cassettes. Il explora la forêt, et esquiva des Monstres mais au final il trouva la cassette n°4, 5 et 6, oui l'épopée n'était pas intéressante et j'allais pas gratter des mots comme je le fais actuellement en explicant ceci

La cassette n°4 montrait l'Homme, assis sur un banc dans un parc, les gens fuyaient son regard, il avait perdu son travail, et songea à sauter dans le lac pour se noyer, mais là, l'homme se mit à violemment trembler, l'instant d'après, un fondu au noir, puis l'image revint sur l'Homme, un large sourire au visage, l'eau du lac était rouge, laissant deviner ce qu'il avait fait aux piétons désormais absents, une phrase était marquée en haut, disant "Fun never ends in the Cartoon Man's domain !"

Et la cassette se coupa, comme attendu, les trois créatures apparurent et dirent à l'unisson

«Nous t'avions prévenus.»

C'est alors que l'Homme de Fumée cracha un épais brouillard dans la pièce, Guilt Reaper fit des entailles sur le corps de Marcus, le faisant grimacer, la Mort Rampante le griffa et l'étrangle.

Marcus se débat, et repoussa l'hôte du parasite. Il laissa aller toute sa rage et le frappa au crâne, et le plaqua contre le mur, le Smokeman l'aida en jetant Marcus plus loin, il s'accrocha au plancher et respira un coup, prenant sa tasse et la brisant sur Guilt Reaper, le faisant reculer, il poignarde l'Homme de Fumée et tout s'arrêta dans un léger "trop tard" en effet, la cassette 5 et 6 avaient disparus, pourtant...
Il sortit de la télé, immense, un sourire carnassier au visage, des yeux vides, un petit chapeau melon sur sa tête, une chemise blanche et un nœud papillon noir sur lui, portant un simple pantalon noir et une paire de chaussures noires

«Mes très chers salutations libérateur ! Que veux-tu ? Je peux accomplir tout ce que tu désires ! Voyage temporel ? Modification d'un événement tragique ? La mort d'un ennemi sans aucune trace ? Faire tomber quelqu'un amoureux de toi ? Ou détruire l'univers~? Je suis capable de toutes ces choses et bien plus encore !

- Ça sent le piège. Tu m'as l'air trop sympathique pour un tyran

- Oh mais voyons, ne va pas me dire que tu les crois ? Ils ont tous tentés de te tuer, je n'ai rien tenté, j'essaye même de t'aider, les amis, ça s'entraide n'est-ce pas ?

- Sauf que nous ne sommes pas amis

- Pour l'instant ! Mais si tu y mettais du tiens, peut-être pourrions nous être amis ! Pourquoi devrais-tu les croire ?

- Pourquoi devrais-je te croire ?

- Oh-oh, on est dur en affaire, d'accord, d'accord, voilà ce que je te propose...»

À suivre