Chapitre 6


Une femme entra dans la chambre qu'on m'a attribuer hier et me reveilla. Elle parlait, mais endormie comme je l'étais, je ne compris que la fin.

« Tu dois être dans 30 minutes dans cette chambre, je viendrais de chercher pour ton cours. Et tâche d'être un peu plus présentable.

-Euh... Oui Madame.

- N'as-tu donc rien écouté à ce que je t'ai dit ?

- Excusez-moi.

- Je m'appelle Adeline, et les Madame n'existe pas ici, il faudra t'y faire.

- Oui bien sûr Adeline.

- Prépare toi. »

Elle sortit de la pièce et j'en était soulagé. Cette femme était d'une froideur, en somme, tout le contraire d'Emerie. Je crois que maintenant je vais essayer de me réveiller avant pour qu'elle ne me remonte plus les bretelles.

Emerie m'a parlé de trois cours en plus que j'aurai dorénavant, combat dispensé par une certaine Adeline, qui est très certainement cette femme, ainsi que langue et diplomatie, par Callista que je n'ai pas encore rencontré.

Je suppose que je vais devoir m'habiller pour un entrainement, donc je fouille l'armoire qui est à ma droite et trouve une armure qui m'a l'air d'être une armure d'entrainement. Je me vétit donc de cette dernière, et quelqu'un toqua à ma porte. Je lui ouvris

« Euh excuse-moi de te déranger mais je dois te prévenir que le petit-déjeuner est prêt. Ma Reine m'a chargé de rester avec toi jusqu'à ce que Adeline vienne te chercher.

- Bien sûr, pas de problème. Comment t'appelle-tu ?

- Azarias.

- Et bien enchanté Azarias, je suis Lilith.

- Je sais, tout le monde ne fait que de parler de la protéger de Dame Athéna. »

Décidemment tout le monde à l'air de me connaître plus que je ne me connais moi-même.

« Tu as revêtu ton armure, parfait. Allons petit-déjeuner.

- Azarias, je peux te poser une question ?

- Je suis là pour ça, répondit-il en rigolant.

- Est-ce que les hommes sont aussi mal traités que dans les écrits humains ?

- Ils l'étaient, autre fois. Mais c'est une époque révolue, nous avons les mêmes droits. Ce sont les femmes qui ont reçu le don des dieux, c'est pour ça que c'est elles qui se battent, qui juge et qui règne, dit-il en souriant. »

Je suis rassuré, ce que m'a dit Emerie est donc vrai.

« Donc aucun hommes ne sait se battre, demandais-je curieusement.

- Si, nous avons également été formé à nous battre jusqu'à 15 ans, et nous avons un cours toutes les semaines pour que l'on oublie rien. Mes cours sont aussi avec Adeline, m'expliqua-t-il. Il n'avait pas l'aire de l'aimer plus que moi.

- Allez viens, allons déjeuner.

- Je te suis ! »

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