R. 11 : La sexualité, fictive et réelle
Et je commence cette analyse par un petit SONDAGE :
Dans quelle tranche d'âge te situe-tu ?
Moins de 11 ans
Entre 11 et 15 ans
Entre 16 et 18 ans
Entre 19 et 21 ans
Plus de 21 ans
Maintenant, on peut commencer.
Oui, je repompe mon analyse sur les lemons (A. 16) mais j'ai une excuse :
J'étais écrire une énième fiction où mes personnages ont une sexualité libérée, et en écrivant le passage à l'acte (juste les préliminaires, j'écris pas de lemon), je me suis rendue compte d'un truc qui me dérange pas mal, surtout avec le recul et l'âge. Du coup, revoici une analyse sur les lemon Remasterisé.
Si vous voulez un exemple de lemon, par contre, où je critique les lemons en eux même, dans la forme et dans les mots, je vous renvoie à l'analyse 16 parce qu'ici il n'y aura pas d'exemple, juste un monologue de moi à vous. Un long monologue, d'ailleurs.
Je met quand même une mise en garde pour cette analyse, car je parlerais de chose sérieuse, et je parlerais sans détour de sexualité, de l'acte en lui-même et de tout ce qui gravite autour, notamment la virginité.
Si je peux me servir de ce bouquin pour faire passer un message, c'est bien celui-ci. S'il peut toucher un grand nombre de personne, c'est tant mieux.
Bien sûr, si j'ai dis des conneries ou que vous avez des trucs à rajouter, n'hésitez pas, les commentaires sont là pour ça. Je me corrigerais au fur et à mesure bien évidemment.
Je ne suis pas sexologue, ce que je dis n'est donc pas la science infuse, mais plutôt ce que je pense, d'ailleurs, je ne suis pas la seule à penser tout ce qui est dit ci-dessous.
Pour commencer, de façon soft histoire de nous mettre dans le bain, rappelons les règles de Wattpad qui vont nous servir pour cette analyse :
Ces trois règles sont importante, je ne m'éterniserais pas dessus mais comme ça, on les a comme pilier.
À présent, j'aimerais qu'on aborde le sujet de la contraception.
Dans les fictions ou même les recueils de lemon, rare sont ceux qui précisent qu'il y a une quelconque contraception, et même si ça peut vous sembler dérisoire, que c'est un détail inutile, moi ça me dérange énormément.
Wattpad, notamment, est une plateforme accessible à un public très large, parmi vous par exemple, je sais qu'il y en a (avait) qui ont 11 ans. (C.F sondage au début de l'analyse.)
Et autant les lemons sont classés contenu mature donc inaccessible aux moins de 16 ans, du moment que les lecteurs n'ont pas menti sur leur âge, autant les fictions dites classiques ne le sont pas, car en général il s'agit d'un seul chapitre sur une vingtaine. Ce qui veut dire qu'elles sont accessibles à tout le monde, tout le monde peut tomber sur ce chapitre un peu chaud voir carrément lemon, et autant l'auteur(e) met un point d'honneur à prévenir ses lecteurs au début du chapitre, autant il y a très (trop) souvent des oublis de précisions. (Pour décrire la taille de l'engin y a du monde, mais pour la contraception...)
Comme dit plus haut, peu d'auteur(e)s prennent la peine de parler de contraception alors qu'elle est obligatoire dans un rapport dont le but n'est pas de concevoir. Pourtant, ça ne prend qu'une phrase de marquer :
"Je le vois attraper le fameux emballage et l'ouvre puis déroule le préservatif sur..." (censure pour les plus jeunes. Bawi.)
Mais dis moi Em, si ce n'est que pour une phrase, qu'est-ce que tu nous emmerde ?
Comme dit plus haut, pour les fictions classiques, tout le monde peuvent la lire, même les plus jeunes. Parfois, ils apprennent la sexualité à travers ces chapitres, et malheureusement, les auteurs, en ne parlant pas de contraception, risque de causer des désinformations parmi leurs plus jeunes lecteurs qui vont croire des choses qui n'ont pas lieu d'être, et oui, même si il y a des cours d'éducation sexuelle au collège (tu sais, toi qui a passé cette épreuve, c'est cette heure où ton prof t'apprend, le plus sérieusement du monde, comment mettre une capote, sous les rires gras des abrutis qui ne sont pas attentif pour le moins du monde et qui reproduiront exactement les mêmes erreurs que le prof a parlé.), ce n'est pas ces quelques heures qui vont permettre aux jeunes de rattraper des années de lectures biaisées, du moins, pas à chaque fois, et même encore, cela ne fait pas de mal de faire de la prévention car la contraception, dans les rapports réels, est bien trop souvent oubliée, causant des IST (Infections Sexuellement Transmissibles) ou des grossesses.
Car oui, ce n'est pas parce que tu n'as jamais fais l'amour que tu n'as pas d'IST. Idem pour ton/ta partenaire. Et ce n'est pas parce que c'est ta première fois que tu ne peux pas tomber ou faire tomber enceinte. Il faut être vigilent, et utiliser le préservatif tant que dépistage il n'y a pas eu.
Important : si vous voulez vous faire dépister, vous pouvez obtenir un rendez-vous gratuit au planning familial qui est un organisme qui aide les jeunes qui veulent avoir un rapport sexuel à se protéger en informant et fournissant. Vous pouvez aussi obtenir la pilule, le DIU, l'implant, le patch ou l'anneau vaginal et surtout, avoir recours à l'IVG (Interruption Volontaire de Grossesse) gratuitement si grossesse il y a, avec le soutient d'un adulte si tu es mineur évidemment.
Note : je ne dis surtout pas que ceux qui découvrent leur sexualité à travers les histoires wattpad, les plus jeunes, ici visés les 11 ans, sont complètement cons hein, bien au contraire. Juste qu'à 11 ans, on n'a pas le même recul qu'à 19 ans. Rien que pour moi, quand j'écrivais du lemon à 14 ans, je ne pensais pas au préservatif alors que j'ai eu ces cours d'Éducation sexuelle. Pour moi c'était inutile, et si je l'avais fait à cet âge là ça aurait été un carnage.
J'espère que cette partie est assez clair, si ce n'est pas le cas et que vous avez des questions ou que vous n'avez pas compris un passage, faites le moi remarquer en commentaire, je vous répondrais pour mieux expliquer.
Je voudrais maintenant aborder un sujet qui fait toujours polémique sur internet : la sacro-sainte virginité.
Est-ce qu'une personne qui fait beaucoup l'amour est une "pute" ou un "salaud" ?
Est-ce qu'une personne qui décide de ne rien faire avant tel âge/le mariage/la bonne personne est un/e coincé/e ?
C'est grave de pas avoir fait l'amour à 18 ans ?
C'est grave d'avoir fait l'amour à 11 ans ?
Bien sûr, la réponse, pour les quatre questions, est évidente et n'a pas lieu au débat : NON.
Attention cependant, quand je dis qu'elle n'a pas lieu au débat, je parle des relations consentantes entre personnes d'à peu près le même âge. Si tu as 12 ans et que vous avez fait l'amour avec une personne de 17 ans, même si la personne est mineure, OUI, il y a un problème. Cette personne a la majorité sexuelle (15 ans en France), vous non. Elle est plus proche d'être majeure que d'avoir vôtre âge, ça peut être apparenté à du délit d'atteinte sexuelles sur mineur. Y a pas de "l'amour n'a pas d'âge", si, il en a. (Les personnes s'y connaissant mieux que moi sur la loi à ce niveau là peuvent-elles préciser ce sujet ?)
NDA : On m'a fait remarqué, lorsque j'ai marqué "détournement de mineur", que c'était complètement différente de "Délit d'atteinte sexuelle sur mineur".
Le détournement de mineur n'est pas obligatoirement sexuel, contrairement au deuxième.
Voici un extrait :
Autrement, dans le cas d'une relation consentante avec un partenaire du même âge, que vous soyez une fille, un garçon ou une personne non-binaire, quelque soit vôtre âge, votre orientation sexuelle, il s'agit justement de VOTRE vie sexuelle et personne n'est en droit de juger vos choix, que vous préférez attendre ou accumuler les partenaires.
Quand je dis personne, je parle des amis, de la famille et des inconnus. Il n'y a que vous qui pouvez juger vos actes, à la rigueur votre Dieu. (Étant athée, je ne peux pas me permettre de me prononcer là-dessus.)
Vivez votre vie sexuelle comme vous l'entendez, dans les limites de la légalité bien entendu.
Il n'y a aucune honte à avoir, je le dis et le redis, être sexuellement actif ou non c'est votre choix et ça ne regarde que vous.
Aucun débat à avoir là dessus.
Dans les fictions (parce que je parle quand même des fictions, mine de rien...), la protagoniste de type femelle est souvent vierge tandis que le protagoniste de type mâle ne l'est plus et cumule les "conquêtes", je pense par exemple aux trop célèbres Virginity Game qui nous offrent des clichés répugnants sur la femme, comme quoi une femme non vierge est une pute, une femme vierge qui cherche à faire l'amour aussi, et de toute façon, la seule femme qui vaut le coup est la protagoniste qui n'a même jamais testé la masturbation.
Pour les hommes, ces histoires se résument à "vrai homme couche avec femelle en chaleur" et est applaudis contrairement aux femmes, et je ne le répéterai jamais assez, ces histoires sont une honte et n'ont aucun respect pour les femmes à la sexualité libérée.
Je termine avec ce point sur une phrase :
"Mon organe sexuel, mon choix."
À placarder partout bien évidemment.
BIEN, nous sommes bien parti alors parlons de l'acte en lui-même ! (JOUER ENSEMBLE C'EST TROP BIEN !)
Dans de nombreuses fictions (hétéros pour le moment), c'est l'homme qui fait découvrir le monde merveilleux du sexe à sa copine.
Elle ne connaissait rien avant, n'avait jamais tenté de découvrir son corps par elle-même parce qu'elle avait simplement trop honte de ça.
Et malheureusement, beaucoup de filles sont comme elle, à ne pas oser découvrir son corps parce que c'est tabou, ou quand elles le font, elles n'osent pas en parler de peur de se faire insulter voir harceler, car tout le monde sait ça, la masturbation féminine est tabou. Le plaisir féminin de façon générale, parce qu'on parle bien du pénis sous toutes ses coupes, en cours de ES (Éducation Sessuelles), et on pourrait croire qu'on examine l'anatomie féminine de la même façon, mais on oublie malheureusement un organe qui n'est pas là pour faire jojo, ce merveilleux "petit bouton" à l'utilité unique de provoquer du plaisir à la femme (ouais y a que les personnes possédant un utérus (de base) qui l'avons. Les détenteurs de testicules (de base) ont la prostate.), je parles bien entendu du clitoris dont la réputation s'est répandue sur internet récemment.
Le clitoris, c'est ça :
Et malheureusement, trop souvent oublié dans les fictions qui bien que plus souvent écrites par des filles, décrivent plus une rénovation de l'intérieur qu'un acte sexuel, ne parlons même pas de ce qu'on appelle préliminaire qui sont bien souvent envoyé en trois coups de langue. (je fais même plus semblant de développer.)
D'ailleurs, parlons-en des préliminaires (même si j'ai dis que non juste avant). J'ai jamais vu plus hétéro-normé que ça. Pour la plus grande partie de la population, les préliminaires sont les cunnilingus, les fellations et la masturbation... Et le sexe pure est la pénétration. Nous voyez le problème ?
Cette définition des préliminaires nie tout réel rapport sans pénétration, c'est-à-dire que si un couple, tiens, au hasard, lesbien décide de pratiquer le coït sans pénétration phallique, BAH NON, c'est pas du coït mais des préliminaires. Il est là le problème. (Attention, je ne dis pas que tous les couples lesbiens font l'amour sans pénétration de type phallique, bien évidemment.)
Les préliminaires, pour moi comme pour de plus en plus de gens, c'est plutôt les caresses, les bisous (tellement pas sexy ce mot... Mignon, mais pas sexy.), les léchouilles dans le cou... Les trucs sensuels quoi, pas les trucs sexuels.
DONC POUR EN REVENIR à NOS CLITOS...
Je pourrais vous faire une longue tirade pour vous dire que chaque vulve est différente et que certaines aiment la pénétration quand d'autre n'en tirent aucun plaisir, mais au final ça serait stupide car tout le plaisir est du au clito.
La légende des femmes vaginales et femmes clitoridienne est FAUSSE parce que si nous n'avions que le vagin et donc pas de clitoris, ça ne nous ferais rien, mais RIEN ! (à la limite mal.)
Vous aurez très certainement entendu parler du point G, zone qui serait chez la femme, une partie très sensible et propice aux orgasmes, à l'intérieur du vagin. Je dis "serais" car en vérité, on ne sait pas vraiment s'il existe. ("Le Point G est un peu le Yéti du vagin, on le cherche, on a des idées, des théories dessus... Mais on le trouve pas.")
Il y a plusieurs théories, l'une parlant d'un amas de nerfs qui donnerait cet effet, l'autre parlant du clitoris, avec les bubles qui gonflent autour du vagin pendant le rapport.
La théorie n°2 de la vidéo ci-dessous explique mieux que moi la seconde théorie.
https://youtu.be/SdLEyOU4rig
(Merci Didi pour le timing de la vidéo.)
Donc, pour en revenir aux fictions, Le beau mâle fait découvrir son corps à mademoiselle qui se laisse faire, gémi au moindre contacte (même si c'est que le nez, oui oui), et bien sûr Bomâle connait déjà parfaitement son corps et comment lui faire plaisir. Dans la réalité, c'est pas tout à fait exacte.
Il n'y a pas de bon et de mauvais coup s'il y a de la communication et que celle-ci est écoutée, que vous soyez une fille ou un garçon (relation hétéro toujours), il ne faut pas hésiter à guider son partenaire, surtout si c'est la première fois, et écouter les conseils qu'on vous donne. Si vous n'en faites qu'à vôtre tête, le partenaire va s'emmerder, pire, avoir mal, et malheureusement ça arrive trop souvent.
Sans vouloir faire de généralité, il s'agit souvent des hommes qui font ce qu'ils ont à faire et laisse leur partenaire en plan après être venu, sans se soucier de si elle est venu ou non. Et ça, c'est un mauvais coup. L'égoïsme vous rendra mauvais, et ça peu importe votre genre.
Dans la fiction, il la pénètre en douceur pour minimiser la douleur (très bon geste en soit), très attentif, et dès qu'elle est habituée, martèle le tout, sans même avoir son accord. ("Tape dans l'fond chuis pas ta mère.")
Et on en arrive au paragraphe précédent, mais comme c'est une fiction, ils jouissent en même temps parce que "vrai mâle comble femelle avec son engin". On part donc sur une méconnaissance du corps de la femme et de ses plaisirs, à cause de quoi ? La société qui n'informe pas les jeunes filles de tous les plaisirs qu'elles peuvent avoir, car les cours d'éducation sexuelle ne l'évoquent que très brièvement, contrairement à celui des hommes.
Par ailleurs, la femme est souvent soumise, on ne voit presque jamais de relation où la femme domine, même dans le monde du BDSM. (Si vous pratiquez le BDSM, renseignez vous bien avant et surtout, pensez au Safe-word.)
Non pas que l'image de la femme soumise me gêne plus que ça, bien ai contraire, juste qu'elle est réduite à ça : le missionnaire, à gémir sous les coups de bassin de Bomâle, parce que Bomâle ne peut juste pas être dominé, c'est un MâLe. (On nie donc l'existence des hommes qui aiment être soumis.)
Dans les relations homos, c'est à peu près le même schéma, même qu'il y en a "un qui fait la fille et l'autre le garçon", un peu comme les primaires qui jouent à "papa et maman", et oui c'est ridicule.
Celui qui fait la fille, toujours le/la même attends, faut pas déconner, est bien sûre le/la soumis/e, celui qui fait le garçon est le/la dominant/e et se doit d'être protecteur/rice.
Et pareil, le dominant se charge du plaisir du partenaire et de lui-même. BAWI ON VA PAS ÉCHANGER LES RÔLES QUELLE IDÉE ! Il faut bien hétéronormer les couples homos non, quel intérêt sinon...
Bref voilà pour la partie relation.
Comme dernier point, on va aborder le sujet non-moins sensible et nié par beaucoup : la culture du viol, car trop répandue, il me faut la dénoncer.
La culture du viol, c'est quoi ?
Bah c'est quand "on" voit une fille en robe dans le métro et qu'on va lui toucher les fesses.
C'est quand "on" estime qu'un sous-vêtement sexy = consentement.
C'est quand "on" s'en bat la race du consentement.
C'est quand "on" trouve des excuses aux violeurs. ("Nan mais ils sont fous", non, ils sont totalement saint d'esprit pour la plus grande majorité d'entre eux.)
C'est quand "on" pense que c'est les cinglés dans les rues sombres alors que ça pourrait être le père, le frère, le conjoint...
C'est quand "on" remet la faute sur la victime.
C'est quand le violeur prend deux mois avec sursis.
C'est quand "on" cris sur tous les toits que toutes les victimes de viol mentent.
C'est quand "on" pense que le sexe avec un partenaire alcoolisé/drogué/endormi c'est légal.
C'est quand "on" insiste auprès de notre partenaire qui refuse systématiquement et qui finit par céder pour avoir la paix.
C'est tout ça la culture du viol. Tout ça et plus encore. (Et si vous êtes comme moi, vous avez vomi.)
Dans les fictions, les protagonistes de type femelles ont parfois, par le passé, été violées. On ne s'y attarde pas dessus, on ne fait même pas semblant de développer un quelconque traumatisme, en fait, ce détail est là pour ajouter du tragique à son histoire, qu'on ai pitié d'elle.
Parfois, elles se font violer pendant l'histoire, mais toujours romancé, d'ailleurs, je soupçonne l'auteure de ne même pas se rendre compte qu'elle écrit un viol.
Vous savez, c'est quand la fille dit qu'elle n'a pas envie mais que le gars la touche quand même, lui sort des phrase type "Tu me dis non mais ton corps cri le contraire", "tu mouille déjà pourtant", ne prend pas en compte son consentement et la fille finit par céder parce que "oui t'as raison je suis chaude comme la braise", c'est un viol. Il n'a pas respecter son refus, il a agis comme un gamin capricieux qui n'a pas le droit à sa glace et viol sa copine.
(Spoiler alert : c'est pas parce que de la cyprine coule du vagin que c'est de l'excitation. Comme les hommes peuvent bander sans forcément être excité, les femmes c'est pareil. Parfois, c'est juste que le vagin se nettoie tout seul. Pire, ça peut juste être une réaction d'auto-défense, le corps se prépare à une potentielle pénétration sans consentement et lubrifie la zone pour rendre tout ça le moins douloureux possible.)
Parfois, il la fait culpabiliser.
Mais comme il est mignon, qu'il l'embrasse de partout et qu'il lui lâche des phrases de lover, tout va bien, y a pas mord'homme.
C'est aussi dans ces fictions que la fille "cherche les ennuis", en mettant une robe, en se maquillant, en mettant des talons, en respirant... Sauf que ça va, le mec lui dit très concrètement qu'il va la baiser sans prendre en compte son consentement mais tout va bien, elle est amoureuse.
Et tout le monde sait que le viol conjugale n'existe pas...
Je conclue (un peu brutalement) cette partie là dessus, je pense avoir fait le tour des éléments toxiques des fictions, je rajouterais si je trouve autre chose à dire.
J'ai abordé des points très important que je voulais parler depuis un moment, parce qu'au delà des fictions, je vous parle aussi de la réalité, une discussion entre vous et moi, où je vous parle de ce que j'ai constaté, du haut de mes dix-neuf ans, étant très active sur Twitter et grande lectrice Wattpadienne ainsi que de vécu.
Je pense que chaque auteur qui aborde le sujet de la sexualité se doit de faire un effort pour être un minimum ludique (rien que pour les capotes), histoire de compléter ou de prévenir les cours d'éducation sexuelle du collège qui sont malheureusement des heures trop peu nombreuses et trop peu développées.
Je le redis, si j'ai dis des conneries ou que vous avez des trucs à rajouter, n'hésitez pas, les commentaires sont là pour ça. Je me corrigerais au fur et à mesure bien évidemment.
Portez vous bien et sortez couvert.
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