IMAGINE VILAINPETITCHAT
Jérôme x Angelica Martinez (oc)
Première partie :
Sous le chapiteau du Haly's Circus, il y avait une ambiance conviviale. Les spectateurs affluaient par dizaines pour regarder les différents spectacles. Dans les coulisses, les acrobates s'étiraient, les clowns ajoutaient des dernières touches à leurs maquillages. Le présentateur présenta les festivités de ce soir, suivi d'un tonnerre d'applaudissements. La soirée débuta normalement, avec différents spectacles qui enchantèrent le public. Une famille de trapézistes arriva ensuite pour présenter leur talent. Parmi eux, il y avait une jeune adolescente d'environ 16 ans. Au cirque, elle était surnommé ‹‹ l'oiseau ›› grâce à sa souplesse, sa grâce et sa légèreté. Mais son vrai nom était Angelina Martinez. Une véritable poupée en plus généreuse, et sage. Ses parents étaient fières d'elle, même si ils ignoraient son véritable caractére.
À la fin du spectacle, elle quitta le chapiteau afin de se rendre à son rendez vous, qui n'était pas du tout romantique. C'était à cause de soucis qu'elle devait voir un jeune adolescent du cirque. Elle s'approcha discrètement de sa caravane, et il la salua poliment. C'était un jeune de 18 ans environ, avec des cheveux roux soignés, un visage d'ange, des yeux clairs. Il portait un pull bleu qui couvrait une chemise rouge, et un jean bleu. Il s'appelait Jérôme Valeska. Angelina lui ressemblait à cause de sa chevelure rousse, et son visage innocent cachant ses véritables intentions.
Les deux adolescents se connaissaient depuis quelques années. Il s'était rencontrés alors que Jérôme venait de subir un passage à tabac par sa mère, et un homme du cirque. Il était dehors, sanglotant, cachant ses blessures au bras. Angelica l'avait immédiatement rassuré. Ils étaient alors devenus très amis, et depuis se partageaient des secrets, s'aidaient en particulier lorsque Jérôme subissait des coups. Angelica, quand à elle, cachait à parents ses penchants sadiques, et autres problèmes psychologiques.
‹‹ Alors ? Prête à tuer cette salope ? Demanda le rouquin.
- À 100 % ! Elle ne mérite que ça : la mort ! ››
Il rit légèrement, montrant sa hache. La jeune rouquine lui montra ses deux couteaux. Ils restèrent dehors, attendant que Lila Valeska revienne. C'était une femme ignoble, au cœur rempli d'impureté, d'alcools et de mal. Mais elle avait perdu son premier mari, alors qu'elle l'aimait vraiment. En le perdant, son cœur s'était brisé. Elle avait plongé dans l'alcool. Depuis, elle faisait l'amour à n'importe quel homme. Par accident, elle était tombée enceinte, et ses deux jumeaux naquirent : deux adorables rouquins du nom de Jérôme et Jeremiah. Jérôme était plutôt agité, en forme, alors que Jeremiah était plus calme, c'était le préféré de Lila. C'est pour ça que Lila l'avait envoyé chez son frère, et elle avait gardé Jérôme, qu'elle détestait. Elle le maltraitait, abrutie par l'alcool et les relations sexuelles violentes. Elle arrivait vers sa roulotte, marchant de travers. Elle avait encore trop bu, beaucoup trop. Elle s'appuie contre la roulotte lorsqu'elle entendit un petit rire.
‹‹ Qui est là ? ››
Le rire continuait d'une manière effrayante. Elle avait peur, elle connaissait hélas ce rire.
‹‹ Jérôme ?
- Bravo maman, comment ça va ? ››
Elle voulut courir mais elle tomba au sol. Une jeune rouquine la rejoignit, la relevant en la tirant par les cheveux.
‹‹ Alors on s'enfuie espèce de lâche ?
- Arrêter....qui êtes vous ?
- Angelina Martinez, et amie avec votre fils.
- Mon putain de fils... ››
Furieuse, la rouquine la frappa au nez. Elle détestait cette femme, qui osait dire du mal de son amie, et le garçon qu'elle aimait secrètement. Elle continua de la frapper, cette fois au ventre, et aux jambes.
‹‹ Angelina, laisse moi faire.
- Vas y Jérôme. ››
Elle se décala. Jérôme se mit devant sa mère, le visage ensanglanté, se tenant le ventre en gémissant.
‹‹ Ça fait mal ?
- Oui...
- La vengeance peut avoir un goût amer pour celui qui la subit. Pendant des mois tu m'a maltraité ! Frappé ! Détruit ! Et tu veux que je sois toujours le petit garçon sympa, le fils qui aide maman ? Mais c'est fini !
- Jérôme... s'il...
- Non, il y aura plus de compassion. ››
Il la touche au niveau du ventre. Du sang s'écoulait de sa plaie, et son visage pâlis à vue d'œil. Elle finit par mourir face à son fils. Le jeune homme rigola, suivi de son amie. Ils rigolaient, rigolaient, encore et encore pendant de longues minutes. C'était suffisamment fort pour que des gens du cirque arrivent, et assistent à une scène effroyable. Ils appelèrent le GCPD, tandis que les deux assassins étaient maîtrisés.
Vraiment désolé. Je suis de plus en plus débordés à cause du brevet blanc, des révisions, et pleins d'autres choses....alors je publie la première partie de ton imagine, mais vraiment désolée. Je vais essayer de publier la dernière partie, mais après, quand j'aurai fini les imagines, je fermerai les commandes. Ça fait beaucoup plus de travail que je m'étais imaginé
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Seconde partie
2 mois avaient passés depuis l'assassinat de Lila Valeska, mais elle avait été rapidement oublié. Les journaux l'avaient mentionné, pour passer rapidement à la partie sur ses deux assassins, précisant qu'ils étaient des adolescents fous, et pourtant, tellement innocents. La jeune fille était l'enfant unique d'une famille de cirque talentueuse, et le garçon une victime inconnu de la maltraitance. En tous cas, il avait été ignoré.
Désormais, Angelica et Jérôme se trouvaient à Arkham. Ils passaient leurs journées ensemble, à rire, se jouer des gardes et tenter de martyriser de nouveaux patients. Mais la rouquine s'ennuyait ; le cirque lui manquait. Avant, et c'était la seule chose de bien, elle pouvait répéter des mouvements acrobatiques gracieux devant des spectateurs admiratifs. Maintenant, elle était face à d'autres fous dans un asile de film d'horreur. Seul Jérôme semblait se plaire. Il était déjà proche d'un riche du nom de Sionis, d'une blonde du nom de Barbara, mais il était ennemi d'une brute du nom de Greenwood.
Mais Jérôme n'oubliait pas son amitié avec la jeune femme, qui était de l'amour, peu passionné de son côté. Il l'aimait, mais pas au point de se sacrifier pour elle, ou même faire passer ses intérêts avant les siens. Ce n'était pas juste une fille qui écartait les cuisses pour lui, mais une fille qui l'amusait, qui le comprenait. Et c'est tout. Pour Jérôme, peu confiant vis à vis l'amour, c'était déjà suffisant. Angelica était éperdument amoureuse de Jérôme. Elle était prête à tout pour lui. En plus, c'était grâce à lui qu'elle était devenue comme lui. Il l'avait aidé à être comme elle voulait, tant pis si ça effrayait les gens. Et elle s'en fichait de voir la déception dans le regard de ses parents ; elle était heureuse de voir le visage heureux de Jérôme.
« Quelqu'un peut me mettre du vernis ? Demanda Barbara. »
Elle avait sa tête contre le torse de Sionis, qui ne cachait pas sa joie. Ses mains étaient sur son ventre, et il devait se contenir pour ne pas les monter sur sa poitrine.
« Je vais t'en mettre.
- Tu me sers déjà de dossiers. Eh Aaron, tu peux t'en occuper ?
- Ouais pas de soucis. S'écria celui ci avec un sourire. Sur tes mains ou tes pieds ?
- Mes pieds. »
Il s'avance vers ses jambes découvertes, ce qui le fit sourire encore plus. Il prit le vernis et en mit délicatement sur les ongles de la blonde. C'était drôle de voir un géant appliquer tranquillement du vernis, sans en mettre à côté. Angelica regarda Jérôme, caressant sa joue.
« Tu devrais me faire ça.
- Te mettre du vernis ?
- Ouais...
- Non, je suis pas doué pour ça ; en plus... »
Il allait finir sa phrase lorsqu'un homme monta brutalement sur la table. Son visage était menaçant, il était de taille à se confronter à Aaron.
« Salutations. Je suis Zargon, le dévoreur d'âmes humaines ! »
Un blanc se fit avant que Sionis poursuive son passionnant récit. Le « dévoreur d'âmes humaines » fut comme vexé, et répéta son identité, mais une fumée bleue sortit de sa tête, et il tombe par terre, inconscient (ou mort). Jérôme ne put s'empêcher de rire, avant de voir ses camarades s'évanouir. Même cette brute de Greenwood était en train de suivre le même sort. Il sentit sa tête lourde, ses paupières se fermèrent et il laissa la gravité faire. Angelica pâlit en voyant son chéri évanouie, mais elle fut elle aussi victime de cette fumée bleue.
Lorsqu'elle se réveilla, elle se trouvait debout et attachée. Elle souffrait d'une migraine, et souhaitait soudainement d'une pluie de Doliprane tombe sur sa bouche. Elle vit les autres se réveiller, comme son Jérôme juste à côté d'elle. Il sourit légèrement.
« Nous sommes encore enfermés ? Demande Angelica.
- Au moins, nous ne sommes plus à Arkham. Réplique Jérôme, content. »
Les autres parlaient, tentant de comprendre où ils étaient, et pourquoi. Un homme apparut quelques minutes à peine. Il était bien habillé, un peu comme les bourgois ; il portait un costume trois pièces, et des chaussures cirées. Ses cheveux étaient bien coiffées, mais son expression faciale était fausse. Un vrai faux cul, pensa Angelica.
« Bonjour tout le monde. Je suis Théo Galavan et voici ma sœur, Tabitha Galavan. »
La jeune métisse entra dans la pièce, vêtue d'une tenue qui montraient ses formes. Bien sûre, les hommes réagirent immédiatement.
« Du calme, je comprends que vous soyez un peu effrayé, inquiet, voire sonné, mais n'ayez crainte, car aujourd'hui est le premier jour d'un avenir brillant qui s'offre à vous.
- T'est qui toi ? Demande Barbara, l'air ennuyé.
- La grande question est : qui êtes vous ? Le monde ne vous voit que comme des criminels dérangés, mais je perçois du talent en vous. »
Jérôme fut intéressé par ce que disait Théo. Il cherchait une personne pouvant reconnaître son potentiel. Même si Angelica l'aidait, il voulait une figure paternelle, car ne pas avoir de père lui manquait cruellement.
« Je vois le charisme en vous, et la puissance.
- Alors là mon pote, s'écrie Jérôme en le coupant, tu m'a parfaitement décrit ! Ces mots là me parlent, contrairement à cette bande d'idiots.
- Jérôme, laisser cet homme finir. Réplique Sionis d'une voix autoritaire.
- Imaginez un groupe de brillants hors-la-loi qui n'aiment qu'eux-mêmes, chacun sélectionné pour des aptitudes uniques, tous travaillant ensemble comme une équipe. Imaginez la synergie. Imaginez l'impact. Gotham tremblerait devant vous. »
Quelques semaines après l'évasion d'Arkham
Jérôme et Angelica avaient brillés dans le groupe des Maniax. En un chef compétent, Jérôme gérait les différentes opérations. Il s'amusait à tuer, se mettre en scène face à des gothamiens terrorisés. Quand à la rouquine, elle laissait son véritable caractère parler, et tuait, effrayait, provoquait le cahos sans aucuns remords. Dans les journaux, les Maniax étaient désignés comme une nouvelle génération de criminels, cherchant juste à provoquer la panique. Ils n'étaient pas comme Pingouin, qui cherchait à mettre Gotham sous son contrôle. D'ailleurs, le roi de Gotham détestait ce groupe, et particulièrement Jérôme, qu'il surnommait le rouquin diabolique.
Aujourd'hui, la jeune rouquine avait une mission avec comme unique partenaire, Jérôme. Ça lui manquait de ne pas partager ces plaisirs seul avec lui. Jusqu'ici, elle avait travaillé avec Barbara, ou quelques hommes, mais jamais Jérôme. Maintenant, elle allait en profiter. Le rouquin gara la voiture près d'un mur et sortit.
« Jérôme ?
- Oui ?
- On est ensembles, c'est agréable !
- Si tu le dis.
- Jérôme ?
- Quoi !? »
Elle recula, en colère. Pourquoi Jérôme était froid avec elle ? Il semblait de bonne humeur...à moins que sa bipolarité fasse un retour. Elle posa doucement sa main sur son épaule.
« Jérôme, est ce que tu m'aimes ?
- Bien sûre que je t'aime, tu le sais bien.
- Alors pourquoi tu es froid ? »
Il se tourna vers elle, et caressa tendrement sa joue.
« Chut dit pas ça. Au contraire, je t'aime ! Mais là, je me concentre sur notre mission. Les flics sont beaucoup plus prudents notre dernière mission.
- D'accord. »
Il sourit, puis prend la main de la jeune femme. Ils devaient attaquer une banque, mais pas pour de l'argent. Théo n'avait pas besoin de billets, mais d'un homme qui refusait de venir. Alors Jérôme et Angelica allaient le capturer, et l'amener à lui. Ils entrèrent dans la banque, et la jeune femme tira vers le plafond. Les clients se baissent immédiatement. Jérôme monte sur un comptoir en souriant grandement.
« Mesdames et messieurs, bonsoir ! Alors, plus besoin de nous présentez, vous nous connaissez par cœur ! Cependant, on n'est pas là pour de l'argent, alors rangez vos codes de coffre fort.
- On veut Richard Dity. Ajoute Angelica en visant une femme âgée avec son fusil. Tu l'a vu ? Hein ?
- Non....non... arrêter !
- Hmm et toi ? Tu le connais ? Tu sais ce qu'il fait chaque jeudi soir ?
- Non...
- Bon personne ne sait ou quoi ? Allez ne faites pas les lâches ! »
Un homme se leva, et d'une voix grave, révéla son identité. Jérôme l'assome alors, et demande à Angelica de l'aider à le porter.
« On aurait voulu rester plus longtemps, mais non, ce n'est pas le cas ! »
Ils quittèrent la banque. Entre temps, un homme avait appelé la police qui se depechait de venir. Jérôme avait mis le corps de Richard dans le coffre, lorsqu'il vit la police. Les véhicules s'arrêtèrent en face de la voiture.
« Jérôme, Angelica, mettez vos mains bien en évidence, et mettez vous à genoux. »
La jeune fille fut pétrifié. Toute sa vie, elle avait monté haut, elle avait surpris les gens. Elle était devenu une tueuse, une membre des Maniax avec Jérôme Valeska. Les journaux parlaient d'elle comme une malédiction, Théo la félicitait à chacune de ses missions, Jérôme lui montrait son véritable potentiel. Pourquoi ne courait t'elle pas ? Pourquoi restait-elle immobile ?
Jérôme monta dans sa voiture, conduisant comme un forcené pour échapper à la police. Il ne voulait pas se faire prendre, se revoir à Arkham. Pour une fois, il faisait ce qu'il voulait, il était considéré ! Et cette idiote de Angelica qui ne s'enfuyait pas ! À coup sûre, elle allait tout révéler. Il descend de la voiture, prenant son fusil. Angelica était encore debout, mais elle tenait une arme, s'apprêtant à tirer sur les flics. Il hésite, repensant à ces moments quand il était avec elle, à la câliner, à leurs missions. Mais elle pouvait dénoncer les Maniax ; alors il tira au niveau de son abdomen. Il la vit au loin, tomber par terre. Des policiers se précipitent vers elle, tentant de stopper l'hémorragie. Sa tête se tourna légèrement, et elle le vit. Elle le vit tenir un fusil, celui qui l'avait blessé.
Je te déteste Jérôme Valeska.
////
Je te déteste Jérôme.
Tu as essayé de me tuer.
Pourquoi ?
Je te hais !
Elle se répétait ses phrases à chaque fois qu'elle entendait parler de Jérôme. Il continuait de semer le cahos dans les rues. Mais Angelica ne faisait plus partie de ces plans, elle était un simple souvenir, un amour disparu. Il y pensait des fois à son geste, et il cupabilisait en revoyant son visage grimaçant de haine, ses yeux qui se remplissait de larmes. Il jeta la bouteille qu'il était en train de boire.
« Pourquoi tu es dans ma tête même après ta mort ?! »
Il s'énerva, hurlant et riant tel un fou. Il prit sa tête entre ses mains, tentant de se calmer. Autour de sa roulotte, il y avait des gens qui se demanderai certainement pourquoi le roi de la fête est en retard. Il respira lentement, et sortit. Depuis quelques temps, il y avait une grande fête foraine, installé sur les cendres du cirque. Jérôme avait demandé à ses compagnons de se déchaîner sur la ville, foutre le bazar. Lui même avait coupé l'électricité de toute la ville, et régnait en maître sur la fête foraine.
Il désirait capturer Bruce Wayne pour le tuer. Il n'avait pas pu, mais ce soir, il allait le faire. Il sortit. Ses fidèles le regardaient avec admiration, et il sourit légèrement. C'était tellement agréable d'être glorifié de cette manière. Il regardait les attractions, les gens civilisés effrayés. Dire que certains venaient pour s'amuser, mais maintenant, ils étaient prisonniés. Angelica assistait elle aussi à ce spectacle. Elle savait ce qui se passait, qui dirigeait ce cirque. Elle allait sûrement se trouver face à Jérôme, mais tant pis, elle se sentait prête à l'affronter.
Il la vit. Elle le vit. Il l'ignora. Elle le regarda. Il la regarda curieusement. Elle prit une arme et tua un enfant qui se trouvait sur son chemin. Elle frappa son cadavre sans pitié. Il s'approcha d'elle.
« Que fait tu ici ? Demanda Jérôme.
- Je voulais faire un tour. Autant en profiter vu que c'est gratuit.
- Tu aimes ?
- Ouais, ça passe.
- Pour la dernière fois...
- Quand tu m'a laissé blessé à l'abdomen, que tu m'a TIRÉ dessus volontairement ! Pourquoi ? »
Jérôme fut embêté par cette question. Il baissa légèrement le regard vers ses pieds.
« Tu nous aurai dénoncer.
- Qu'est que tu en sais ?
- Tu étais pétrifié, alors comment tu aurai pu résister face à un interrogatoire ?
- Je l'aurai fait Jérôme. Je l'aurai fait parce que je sais résister. Je l'aurai fait pour toi, pour moi. Au lieu de ça, j'ai été enfermé à Arkham ! Par chance, il y a eu une évasion, ce qui m'a aidé. »
Il la regarda, se souvenant quand il l'avait rencontré. Elle l'avait rassuré, et déjà, il l'aimait beaucoup. Maintenant, ce n'était qu'un souvenir mais, il pouvait raviver la flamme. Il approcha sa bouche de la sienne, et l'embrassa fougueusement. En même temps, ses mains soulevaient son corps léger pour la porter contre lui. Lorsqu'ils se détachèrent, elle sourit légèrement, prête à lui laisser une seconde chance.
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