Chapitre 4


Nouveau chapitre ! Nouvelles découvertes !

Chapitre 4

Il n'y avait rien qui puisse brisée la tranquillité de Port-Réal en cette journée ensoleillée. Les habitants faisaient leurs tâches quotidiennes tandis que le Roi et la nouvelle Reine Margaery planifiaient de toutes nouvelles lois et dons pour leur peuple.

La seule qui n'était pas heureuse et comme toujours, fut Cersei. Jaime était partit pour aller négocier le retour de sa magnifique et douce fille Myrcella à Dorne et elle, devait rester à Port-Réal à écouter les gloussements de cette petite idiote de fille Margaery.

Elle roula sa langue dans sa bouche puis sourit froidement en plongeant ses lèvres dans son verre de vin, masquant ainsi sa grimace. Elle observait comme tous les jours, la cité de la capitale depuis le haut de sa fenêtre dans le Donjon Rouge. Elle ne voyait plus beaucoup son fils, du moins plus depuis qu'il s'était marié avec cette petite pimbêche aux grands yeux.

Elle avait encore une rancune amère en elle sur ce qui c'était produit plusieurs semaines auparavant, quand elle détenait encore cette femme aux cheveux d'argent. Cela aurait été si facile, si simple de la supprimer de la surface de la terre, mais il avait fallu que le Chien s'en mêle et qu'il détruise tout avec son frère bien aimé.

Cersei ricana à elle-même. De l'histoire ancienne, avait dit Jaime plusieurs jours après le combat. Mais il oubliait un peu trop souvent que la Reine, elle, n'oubliait jamais.

Elle baissa les yeux puis tournoya pensivement son verre entre ses doigts, ses longs cheveux d'or coulant en cascade autour de son visage. Il y avait tant de choses et tant de personnes qu'elle aimerait liquider mais il ne s'agissait que d'une question de temps.

Port-Réal était relativement calme aujourd'hui et le soleil faisait sortir les enfants dans les rues, les parents travaillant et allant aux marchés couverts dans le centre. Ils étaient tous si insouciants et tellement prit à faire leurs petites occupations qu'ils ne s'aperçurent pas tout de suite de la grande ombre qui cachait le soleil ...

Les cris d'horreur et de terreur alertèrent immédiatement Cersei. Elle s'arrêta de sourire puis fronça rapidement les sourcils lorsqu'une immense ombre plana au-dessus de la grande capitale. Elle posa son verre de vin puis se pencha en avant contre sa fenêtre pour tenter de voir ce qu'il se passait au-dessus d'eux.

Quelque chose d'immense descendit en pique sur la ville et déploya d'énormes ailes noires avant même de toucher la moindre habitation. La créature ailée passa de justesse au-dessus du Donjon Rouge puis laissa sortir un rugissement assourdissant et terrifiant.

«Un dragon ...» Murmura Cersei, les yeux fixés sur le gigantesque dragon noir qui survolait actuellement la cité.

L'animal battit puissamment des ailes pour reprendre un peu de hauteur puis cria une nouvelle fois alors qu'il penchait son corps massif sur le côté pour changer de trajectoire. Cersei n'en revenait pas, mais c'était bien réelle, tout aussi réelle que les cris des habitants ici-bas. D'un noir de jais, quatre cornes blanches et des pattes avant.

Le dragon volait maintenant tout le long des remparts en laissant sortir des petits rugissements plaintifs par-ci par-là, faisant attention à ne rien toucher avec l'unes de ses pattes ou avec sa longue queue. Il reprit un peu de hauteur en un simple battement d'aile puis après avoir survolé une dernière fois Port-Réal, la créature disparu derrière la colline et la forêt.

Cersei ne pouvait que rester planté là, la respiration rapide et les yeux fixés sur l'immense créature qui disparaissait au loin. L'animal ne reprenait pas la route de l'autre côté de la mer où attendait sa précieuse Maîtresse, alors qu'avait-il en tête ?

Elle posa ses mains tremblantes sur le rebord de sa fenêtre puis baissa les yeux sur la ville paniquée en contre-bas, encore abasourdi par ce qu'elle venait de voir.

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Emerys rouvrit lentement les yeux et revint doucement de son état second. Il lui fallut quelques secondes de répit mais finalement, elle secoua la tête puis marcha dans la forêt sur le chemin du retour, vers le village qu'elle avait momentanément abandonné.

Il lui fallait du temps pour réfléchir, surtout après ce que lui avait dit le Limier. Elle ne pensait pas partir pendant aussi longtemps mais au bout d'un certain temps, le soleil descendait et disparaissait derrière la colline à l'Ouest. Elle frissonna involontairement alors que les rayons lumineux laissèrent place à la froideur de la nuit.

Elle courut rapidement dans la forêt de plus en plus calme et jusqu'à la première habitation. Elle jeta un rapide coup d'œil autour d'elle pour voir si quelqu'un risquait de la voir dehors, puis fondit entre les maisons en gardant ses bras serrés autour d'elle. Elle tremblait comme une feuille à cause de la fraîcheur qui s'installait doucement autour d'elle, il lui fallait quelque chose de chaud avant de tomber malade !

Emerys se posa contre le mur de la maison du Septon Ray puis soupira faiblement, de la bué se formant à son expiration. Elle ferma quelques secondes les yeux en se préparant mentalement à se confronter à nouveau avec Sandor puis les rouvrit et entra par la porte de derrière.

La maison était sombre et il n'y avait pas un seul bruit à l'intérieur. Elle se glissa silencieusement dans la chambre du Limier et vit qu'il n'y était pas non plus. Mettant son inquiétude de côté, Emerys prit l'une des fourrures sur le lit puis se couvrit avec afin de ne pas rôdée toute nue et à la vue de tous ... Elle passa une main dans ses cheveux tout en soupirant longuement, s'avançant tranquillement pour rejoindre la pièce centrale de la maison.

Le feu de cheminée était allumé et les pas d'Emerys s'arrêtèrent subitement lorsqu'elle vit qu'elle n'était pas toute seule dans la maison. Non, il y avait bel et bien le Septon Ray ainsi que Sandor tous les deux assis face à face à côté de la cheminée.

Les yeux d'Emerys s'élargirent, puis elle resserra la peau d'animal plus fermement autour d'elle, se sentant soudainement sans protection et vulnérable. Les deux hommes la regardaient fixement, un verre de bière en main et un visage quelque peu surpris par son entrée.

Ce fut Ray qui fit le premier mouvement. L'homme se décala sur sa chaise en se raclant la gorge puis lorsqu'il se leva, il donna une tape amicale sur l'épaule de Sandor avec un léger rire.

«Je pense que je vais aller me coucher. N'oublie pas ce que je t'ai dit l'ami, il n'est jamais trop tard pour faire les bons choix.» Dit-il en secouant l'épaule de Sandor et en lui donnant un petit clin d'œil. Il retira sa main puis donna un hochement de tête poli à Emerys quand il passa devant elle pour aller dans l'autre chambre.

«Je ne suis pas ton ami ...» Grommela Sandor en baissant la tête, les bras reposant sur ses genoux et le verre se balançant entre ses mains. Il entendit Emerys se pencher sur une jambe avec le craquement du bois du planché puis décida qu'il fallait briser le silence pesant.

«Où étais-tu ?» Demanda-t-il en reprenant une gorgée de sa boisson.

«Cela n'a pas d'importance.» Répondit Emerys en fronçant légèrement les sourcils. Il avait été inquiet pour elle ? Il était vrai qu'elle était partie quelques heures mais il l'avait aussi poussée à le faire !

«Cela n'a pas d'importance ...» Répéta Sandor avec un petit ricanement, cachant son visage dans son verre de bière, les yeux partout sauf sur la femme debout non loin de lui.

La paire retomba dans un silence mal à l'aise, le bruit du feu crépitant dans la cheminée. Emerys ne savait pas qui dire ni quoi faire pour ne pas envenimer d'avantage les choses. Alors elle attendit patiemment que le Chien dise quelque chose. Malheureusement pour elle, l'homme n'était pas du genre bavard, donc elle reprit une inspiration puis brisa le silence.

«Sandor-»

«Je n'avais pas à te dire toutes ses choses.» Coupa brutalement Sandor en levant les yeux vers elle, la mâchoire serrée.

Emerys referma subitement la bouche puis le regarda en retour, surprise qu'il s'excusait en quelque sorte. Plus elle l'examinait, et plus elle pouvait lire sur son visage la douleur, la culpabilité ainsi que le dégout de lui-même. Il regrettait vraiment ce qu'il avait dit.

«Ce que tu as vécu à Port-Réal, aux mains de mon propre frère ... Personne ne méritait ça.» Finit-il en s'adossant contre sa chaise et en posant son verre sur son genou droit, la tête penchée sur le côté et les yeux sur Emerys.

«Tu ne sais pas ce que j'ai vécue ! Personne ne le sait, et personne ne le saura jamais !» S'écria la femme en levant les yeux au plafond lorsqu'elle sentit de nouvelles larmes de colère lui monter aux yeux.

«Je sais ce que ça fait, de vivre aux côtés des Lannister. Et je sais aussi de quoi était capable mon frère !» Répondit rapidement Sandor mais la femme le devança une fois encore, ne l'écoutant pas.

«Non, tu ne sais rien du tout ! Avoir peur tous les jours, ne pas savoir de quoi sera fait le lendemain et si tu survivras jusque-là ! Il n'y a rien de plus pire, que ce sentiment d'impuissance.» Dit-elle précipitamment en serrant la mâchoire.

«J'ai vécu à Port-Réal pendant de nombreuses années et j'ai vu des choses que personne ne devrait voir ! Ils sont capables du pire, mais tu n'as pas été présentée à ce petit fils de pute de Joffrey, et tu n'as pas subit ses humiliations quotidiennes comme il le faisait avec Sansa Stark !» S'énerva Sandor en se levant de son siège, à la fois désespéré et en colère.

«Je dois donc m'estimer heureuse, c'est bien cela ?! Ne penses-tu pas que j'ai tout autant subi ? Les nombreuses humiliations, coups, insultes ... Me laissant d'abord pourrir dans un cachot puis ensuite enfermée dans une chambre ! J'ai été vendue deux fois. D'abord par un homme en qui j'avais mis ma confiance et ensuite par Cersei Lannister à la Montagne.» A la fin de sa phrase, un hoquet sortit d'Emerys et sa main vola à sa bouche, les yeux débordant de larmes.

«Ce n'est pas ce que je voulais dire !» Sandor s'approcha d'elle et lui prit les bras dans ses mains en la secouant un peu, à la fois attristé et écœuré. Elle avait énormément souffert et tout ce qu'il voulait, s'était de la protéger et de l'aider à s'en remettre de cette terrible épreuve.

Il monta doucement sa main à sa joue puis retira, à l'aide de son pouce, les larmes qui coulaient jusqu'à sous son menton. Elle était un désordre émotionnel et cette attitude lui serrait douloureusement le cœur, la haine et la rage en lui.

«Les heures de tortures ...» Marmonna-t-elle, la gorge serrée et le visage caché dans la poitrine du Limier. Septon Ray lui avait donné de nouveaux vêtements un petit peu trop grand, mais qui feront très bien l'affaire, au moins le temps d'en avoir d'autres.

Sandor attira plus proche de lui Emerys en la tenant fermement par les épaules, ne supportant plus ses larmes et son désespoir. Ray avait bien raison quand il disait que la femme avait été brisée, tout comme lui. Tout ce qui leur restait à faire, était de prendre un nouveau départ et de remonter la pente.

«Il n'a pas assez souffert mais il a payé sa dette. Quant à Cersei, cette femme sera puni un jour ou l'autre et si ce n'est pas moi qui la tuera, ce sera Arya.» Tenta Sandor en regardant fixement le mur en face de lui, la respiration rapide avec sa colère croissante.

«Mais tu es venu alors que je n'y croyais pas, je ne pensais pas que c'était possible et pourtant ...» Emerys s'arrêta lorsqu'elle leva les yeux vers le visage de Sandor, sa main posée sur son cœur. Il battait difficilement contre le creux de sa main tandis que ses yeux tristes la regardaient sans rien dire.

Le Chien n'était pas très bon avec les mots, il ne l'avait jamais été de toute façon. Alors il préféra montrer ce qu'il ressentait plutôt que de se fatiguer à l'expliquer. Donc il prit l'arrière de la tête d'Emerys et se pencha en avant pour l'embrasser durement, son autre main tenant fermement son bras.

Cette situation ressemblait à la toute première fois qu'ils s'étaient embrassés mais à la seule différence que, cette fois-ci, ils étaient tous les deux désespérés. La souffrance, la colère, la tristesse ainsi que la peur les avaient rendu au stade de ne plus laisser aucune barrière entre eux après si longtemps séparés.

Lorsqu'ils s'éloignèrent pour l'air, Emerys prit quelques secondes à rouvrir les yeux pour le regarder. Elle lui prit la main puis l'emmena dans la pièce à côté pour ne pas réveiller Ray ou même risquer de faire une scène embarrassante si l'homme venait à se lever.

Une fois la porte refermée, Emerys et Sandor ne bougèrent pas, mais finalement la femme retira lentement et avec une certaine petite appréhension la peau d'animal hors de son corps, laissant la couverture tombé au sol à ses pieds. Elle ferma les yeux puis déglutit difficilement, ayant une soudaine peur du refus.

Sandor la regarda pour la première fois depuis qu'ils étaient à nouveau réunis. Il n'avait rien oublié de son corps magnifique mais il y avait quelque chose qui le rendit un peu mal à l'aise et surtout contrarié. Il y avait des cicatrices sur sa peau qui n'avaient jamais étés là, auparavant. La seule cicatrice qu'Emerys portait la dernière fois qu'il l'avait vu était celle de sa brûlure à ses côtes ...

Et maintenant, tant d'autres avaient étés rajoutées. Les cuisses, les mollets ainsi que les chevilles arboraient des marques de lacérations qui partiraient sans doute avec le temps, mais le pire du pire restait son ventre. Une longue et fine cicatrice qui partait de son bas ventre et remontait sur le côté droit de son estomac jusque sous son sein gauche ...

Prenant cette longue observation comme du dégout, Emerys se mit à frissonner puis détourna la tête en cherchant un moyen de cacher son embarras. Ses mains tremblèrent alors qu'elle récupéra la peau d'animal au sol pour se couvrir mais une main l'en empêcha.

«Non.» Grogna d'une voix grave et gutturale Sandor, débordant de désir. Il colla son nez dans ses cheveux puis prit une profonde inspiration en glissant ses mains le long de ses bras puis sur ses hanches.

Elle était belle, même avec toutes ses cicatrices qui ne faisaient qu'alimenter sa colère envers tous ses monstres. Il était amoureux de cette femme et rien ni personne ne pourra changer cela. Il prit Emerys puis la déposa le long du lit en se penchant au-dessus d'elle et en regardant ses yeux tristes.

Elle recommença à sangloter silencieusement lorsque ses doigts passèrent sur la longue cicatrice à son ventre, traçant délicatement la peau abîmée qui racontait son terrible passé. Elle était brisée, mais il allait faire en sorte de recoller les morceaux.

Sandor lui embrassa tendrement l'épaule puis la récupéra dans ses bras en attendant que ses pleurs ne se calment, promettant silencieusement d'être là pour elle-même en travers les moments difficiles.

Il ferma les yeux en mettant sa tête dans son cou puis attendit patiemment, ne la lâchant jamais.

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Plus tard dans la soirée, après qu'Emerys se soit endormie, Sandor resta éveillé à regarder pensivement le plafond au-dessus de lui. La femme était dos à lui, la couverture s'arrêtant sur ses hanches et sa respiration douce et rythmique l'apaisant tranquillement.

Il la regarda pensivement, sa poitrine montant et descendant au rythme de sa respiration alors que son esprit voyageait à plusieurs mois en arrière.

Tout avait changé si vite ... Jamais il n'aurait pensé être dans une situation pareille et se sentir aussi redevable à une femme comme elle. Il lui devait d'être fidèle et de la protéger jusqu'à la mort, comme un vrai Clegane le ferait.

Sandor soupira puis détourna à nouveau le regard loin d'Emerys en croisant ses mains sur sa poitrine dénudée. La conversation qu'il avait eue avec le Septon Ray lui revint à l'esprit avant qu'Emerys ne revienne et n'interrompe les deux hommes.

«Si tu l'aimes vraiment, prouve-lui ! Une chance comme celle-ci ne se représente jamais deux fois dans une vie.»

Il avait bien raison, Sandor avait énormément de chance qu'une personne comme elle l'aime avec tout ce qu'il avait fait. Elle avait su regarder au-delà des horribles cicatrices qui recouvraient son visage ainsi que de son caractère bien trempé. Il sera reconnaissant le reste de ses jours d'avoir eu cette chance là et d'être ici avec Emerys pour compagnie.

Par moment, il n'arrivait toujours pas à y croire qu'elle était là et bien réelle, qu'il avait réussi à battre son terrible frère la Montagne ainsi que Cersei Lannister. Toutes ses choses qui auraient très bien pu mal tournées en une fraction de seconde.

Mais il avait eu beaucoup d'aide de personnes qu'il n'aurait jamais crus possibles. Comme par exemple, ce petit baiseur de Jaime Lannister. Il avait toujours détesté l'homme depuis qu'il le connaissait non seulement à cause de sa frime, mais aussi à cause de son inceste répugnante. Un bel homme qui s'attirait toujours de très belles filles sans même essayer.

Une petite jalousie qu'avait toujours éprouvée le Limier lorsqu'il travaillait pour eux.

Puis Varys. L'homme qui avait des yeux et des oreilles partout dans le monde voulait plus que tout libéré Emerys de sa cage. Pourquoi ? Cette question revenait sans cesse dans la tête du Limier et le laissait, pour la plupart du temps, dubitatif. Pourquoi un homme comme lui voulait aider une femme comme elle, qu'avait-elle de si spécial à ses yeux ?

Sandor soupira une nouvelle fois puis ferma les yeux en sentant la fatigue commencer à se déferlée sur lui sans aucune pitié. Même après son long épisode aux mains de la maladie, il continuait à ressentir les effets du lait de pavot à répétition et pourtant, cela faisait longtemps qu'il n'en avait pas reçu !

Il sentit Emerys bouger à côté de lui puis immédiatement il rouvrit les yeux pour la regarder et voir si elle avait un problème. Non, la femme dormait mais avait simplement levée ses jambes à sa poitrine, alors il se détendit à nouveau en souriant tristement. Il voulait la prendre contre lui et lui donner un peu de chaleur mais il préférait lui laisser un peu d'espace et ne pas la brusquer.

Elle avait tant souffert et il ne savait pratiquement rien de son histoire mais Sandor était prêt à attendre le temps qu'il fallait jusqu'à sa guérison complète. Et seuls les Dieux savaient que cela relevait du défi pour un homme comme le Limier.

Du temps et de la patience, pour espérer un monde meilleur.

A suivre ...

J'adore cette partie *-* C'est tellement attendrissant et émouvant ... Sandor aura beaucoup de mal, mais s'il l'aime vraiment, il restera patient avec Emerys. Après tout, il lui doit bien cela.

Qu'en pensez-vous du dragon ? D'où vient-il ?

A bientôt !

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