Chapitre 7

Bonjour à tous ! Voici la suite.

Chapitre 7

Emerys se leva d'un bond lorsque le verrou de la cellule d'à côté s'ouvrit brusquement, la tirant de ses pensées sombres. Elle laissa sortir un petit gémissement à la douleur dans ses muscles mais se glissa tout de même jusqu'à la grille de sa porte.

Elle voulait voir comment allait Tyrion car cela faisait une éternité qu'il avait été emmené pour son jugement et elle commençait vraiment à s'inquiété pour son sort !

Elle entendit l'un des gardes se moquer du nain puis le pousser méchamment dans sa cellule, riant plus fort lorsque celui-ci tomba la tête la première sur le sol. Elle grinça des dents lorsqu'elle vit qu'il s'agissait de Ser Meryn, encore une fois.

La porte de la cellule voisine se referma violemment et les gardes repartirent en riant et se moquant de ce qu'il s'était produit à la cour. Emerys devenait de plus en plus inquiète. Qu'était-il arrivé ?!

«Tyrion ?» S'écria-t-elle, les yeux larges alors qu'elle se glissa le long des pierres puis vers le trou dans le mur. Elle se coucha sur le sol puis se redressa vers l'ouverture en regardant dans la cellule d'apparence vide.

Elle entendit un reniflement peiné mais elle ne voyait toujours pas le petit homme. Tyrion pleurait ... Qu'avaient-ils faits pour le réduire à cette épave ? Finalement, il se redressa sur ses genoux en gardant la tête basse, les mains en poings contre ses cuisses.

«Que s'est-il passé !» Pressa Emerys en agrippant la pierre effritée dans une poigne ferme. Son angoisse augmentait au fur et à mesure que le silence entre eux s'installait. Elle n'aimait pas du tout ça.

«Elle était là ...» Dit soudainement Tyrion d'une voix creuse.

«Qui ?» Emerys fronça les sourcils, la bouche entre ouverte alors que le demi homme commença à rire amèrement.

«Shae ...» Murmura-t-il dans un souffle, la bouche se tordant de dégoût au prénom qu'il venait de dire. Il leva lentement la tête vers elle mais de là où il était, il ne pouvait pas voir son visage.

«La femme que j'aimais et respectais, elle était là ! Celle qui représentait l'amour à mes yeux ! Elle était là ... Elle a dit toutes ses choses, devant mon père, devant ma sœur et devant une partie de la population de Port-Réal.» Il referma la bouche dans une grimace.

«Elle me regardait comme si je n'étais qu'un monstre, une horrible petite chose qui ne représentait rien pour elle. Je croyais en son amour pour moi, j'espérais tant de choses ...» Il se coupa net alors qu'une autre vague de larmes se déferla sans pitié sur lui.

Le cœur d'Emerys se tordit douloureusement dans sa poitrine en entendant tous ses mots sortir de la bouche de son ami. Tout ce qu'elle voulait s'était de casser ce mur et de le prendre dans ses bras, le rassurer et l'aider à se sentir mieux.

Tyrion se leva sur ses jambes ballantes puis marcha calmement vers la caissette du fond contre le mur. Il glissa plusieurs fois nerveusement ses mains le long de son pantalon puis s'assit devant la caisse, le menton contre sa poitrine.

Il était un homme brisé, Emerys le voyait bien et cette vision de lui la terrifiait. Des larmes silencieuses glissaient le long de ses joues et pour la première fois, elle vit la cicatrice qui traversait son visage en diagonal. Une preuve de son investissement pour cette ville et pour la sécurité de ses habitants.

Et voilà comment il était remercié.

«Je suis vraiment désolée ...» Chuchota Emerys, ses propres larmes menaçant de déborder de ses yeux noirs.

«Tu aurais dû voir leurs visages ... Ils me haïssaient, ils voulaient ma mort alors qu'ils savaient très bien que je n'avais pas tué Joffrey. Mais le pire restait l'expression sur le visage de mon propre père, celui qui m'accuse encore et toujours d'avoir assassiné ma mère en me mettant au monde.» Tyrion renifla. Il l'avait tutoyé pour la première fois depuis leur rencontre et cela donna un brin de courage à Emerys.

«Tu es un homme bien, surement l'un des plus honorables que je n'ai jamais connue. Tu es peut-être petit en taille mais ton cœur est bien plus grand que celui de tous ses abrutis ignorants !» S'exclama sincèrement Emerys. Tyrion ne dit rien alors elle passa sa main en travers le trou et lui attrapa l'avant-bras.

«Tu es quelqu'un de bien, ne l'oublie jamais !» Dit-elle en plissant sa lèvre, les yeux larmoyants. Elle agrippa le bras de Tyrion dans une poigne serrée pour tenter de lui apporter un peu de réconfort.

Finalement, le nain posa sa propre main au-dessus de la sienne et ils restèrent comme ça pendant un long moment. Appréciant du mieux qu'ils pouvaient la présence de l'autre.

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Sandor n'était pas idiot, il savait d'ores et déjà que la majeur partie de Westeros était au courant de ce qu'il essayait de faire. Sa tête avait surement beaucoup plus de valeur et la Reine voudrait certainement le voir mort avant qu'il n'atteigne la capitale.

Avait-elle peur de lui ? Ou était-ce la main du Roi qui donnait les ordres ? L'un dans l'autre Sandor n'était pas clair et il en était conscient.

Il arriva aux abords d'un petit village qu'il espérait encore trouver debout à son passage. Il n'était pas très loin de Port-Réal et s'il ne voulait pas se faire attraper par quelqu'un il devait tenter de passer le plus inaperçu possible. Ce qui était quelque peu délicat avec son immense cicatrice qui couvrait tout le côté droit de son visage.

Lorsqu'il entra, Sandor décala légèrement Stranger de la petite route de terre au centre du village puis descendit de son cheval une fois à l'arrière d'une maison. Il fallait qu'il trouve une cape ou quelque chose pour se cacher !

Les paysans traversaient le village et ne semblaient pas encore s'être rendu compte de sa présence. L'odeur de la nourriture lui donnait faim mais il ne pouvait pas se risquer de piller, il devait patienter et surtout se cacher pour le moment.

Sandor soupira puis se détourna de l'allée pour se retrouver face à face avec une petite fille. L'enfant tenait une jarre dans les mains et lorsque ses yeux se posèrent sur son visage, elle souffla de surprise et laissa tomber la jarre sur le sol. Il n'eut pas le temps de lui parler qu'elle prit ses jambes à son cou.

«Génial !» S'écria-t-il pas trop fort en claquant ses mains sur ses cuisses.

La stupide gamine allait révéler sa présence à ses parents et s'il ne foutait pas rapidement le camp d'ici, il allait devoir faire quelque chose de grave et Sandor ne tuait pas le ventre vide, ni de pauvres paysans.

Le Limier attrapa rapidement les rênes de son cheval Stranger et le tira avec lui dans le sens inverse mais s'arrêta net dans son élan lorsque la jeune enfant revint avec sa mère. Elle le pointait du doigt et la femme plissait les yeux sur lui, grimaçant à l'immense cicatrice sur son visage.

«Je n'ai pas le temps pour ça, laisse-moi passer si tu ne veux pas que je te mette sous terre avec les autres !» Grogna Sandor entre ses dents, agacer que la situation dégénérait aussi facilement.

«Venez avec moi Ser !» S'exprima rapidement la femme encapuchonner. Elle lui fit signe de la suivre mais le Chien ne bougea pas, il n'était pas dupe. Alors la femme lui attrapa l'avant-bras et le tira avec elle sous une tente à l'abri des regards.

«C'est quoi cette arnaque !» S'énerva Sandor en regardant autour de lui, une main sur le pommeau de son épée. Il baissa les yeux sur la femme beaucoup plus petite devant lui puis sur la fillette à côté d'elle.

«Vous êtes le Limier.» Dit calmement la femme craintive mais droite. La jeune enfant aux cheveux blonds à côté d'elle s'étonna puis courut rapidement hors de la maison.

«Qu'est-ce que tu lui veut ! Ne m'oblige pas à commettre une grave erreur, femme ! Si ta gamine est allé prévenir les vieillards je la tuerais en première, tu m'entends ?!» Siffla-t-il en se penchant vers elle, les yeux furieux.

«Emerys.» Dit-elle avec plus de confiance.

Ses simples mots arrêtèrent immédiatement Sandor qui resta planter là, stupéfait. Il cligna des yeux puis se redressa en retirant sa main de son épée, nettement plus détendu qu'il ne l'était il y a quelques secondes.

L'enfant revint sous la tente avec un grand tissu dans ses petites mains, un sourire aux lèvres. Elle se rapprocha de sa mère et lui chuchota quelque chose que Sandor ne compris pas car il s'agissait d'une autre langue.

«Tenez, prenez ça avec vous ! Lord Varys ne souhaite pas que l'on vous reconnaisse.» La femme déplia la cape et la tendit rapidement au Chien.

«Vous êtes des fichus oiseaux chanteurs de Varys.» S'étonna-t-il en mettant la cape sur ses épaules blindées. Qui d'autre voudrait l'aider à passer inaperçu dans la capitale si ce n'était lui ? Il n'avait jamais été très friand de l'eunuque mais il devait admettre qu'il savait faire son travail d'araignée.

«Lord Varys m'a chargé de vous livrer un message.» Elle attendit que l'homme la regarde dans les yeux pour continuer ; «Emerys est en vie mais ne veut pas vous voir proche de la capitale. Elle lui a demandé de vous tenir à l'écart Ser.»

«Je ne suis pas Ser ! Et pourquoi tu me dit ça ?» S'agaça Sandor, la poitrine se serrant aux mots de la femme.

«Il a un plan.» Dit-elle en l'emmenant avec elle dans une autre partie de sa maison suivit par sa fille qui restait silencieuse. Elle lui tendit des sacs de nourriture et autres fournitures qui pourraient lui être utiles dans son voyage.

«Il faut que vous restez à l'écart de Port-Réal jusqu'au signal. Cela ne devrait plus prendre beaucoup de temps alors il faut que vous vous dépêchez et que vous attendez le signal !» S'impatienta la femme en lui mettant les sacs dans les mains.

«Mais quel foutu signal ?! De quoi est-ce que tu me parle !» Sandor la regarda de haut en bas pour une explication plus approfondie.

«Il a dit qu'un homme comme vous comprendrez au moment venu !» Pressa la femme en le poussant vers la sortie de sa maison. Elle ne voulait pas risquer de se faire prendre en train d'aider un homme recherché par les Lannister.

Il n'eut pas le temps de lui poser une autre question que la porte se referma à son visage, le laissant planter là au pas de la porte avec pleins de questions en tête. Il soupira longuement puis regarda autour de lui.

Il glissa la capuche sur sa tête puis alla retrouver Stranger à l'arrière de la maison. Alors qu'il installait les sacs de nourriture sur la croupe de son cheval, il sentit que quelqu'un le regardait. Le Limier se détourna et vit qu'il s'agissait de la petite gamine blonde ...

«Donne sa à ta mère.» Dit-il en jetant deux dragons d'or à ses pieds. Il remit la bourse d'argent dans sa botte puis monta Stranger en claquant rudement les rênes contre son encolure.

La petite fille s'empressa de ramasser les deux pièces rares dans ses mains sales puis tourna les talons vers la maison pour aller rapporter l'argent précieux à sa mère.

Sandor se dépêcha de quitter le village paisible avant que l'un des hommes n'essaye de l'abattre pour le prix de sa tête. Il était content que rien n'ait dégénéré et que cette étrange femme l'avait aidé. Il sera un jour redevable à Varys pour sa complicité et ses petits oiseaux dans le monde entier.

Maintenant il devait attendre un signal, mais quel genre de signal ? Il n'avait plus que trois jours de marche jusqu'aux portes de Port-Réal et jusqu'à Emerys.

A la pensée, son estomac se tordit inconfortablement. Elle savait qu'il venait pour elle et elle ne voulait pas qu'il s'approche, elle avait donc demander à Varys de lui barrer la route. Etait-elle autant stupide de pensée qu'il abandonnait aussi facilement ?

Certes il n'était pas un homme de confiance qui a fait d'horribles choses mais il venait pour elle, même si c'était la dernière chose qu'il fera dans sa vie merdique.

oOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOoOo

Tyrion ne parlait plus depuis la deuxième partie catastrophique de son jugement. Emerys avait tant bien que mal essayé de lui apporter du réconfort mais le demi homme n'avait plus le cœur à sourire et cela l'attristait énormément.

La nourriture pourrissait dans sa cellule car il ne mangeait plus depuis deux jours. Elle avait essayée de lui faire changer d'avis mais il était catégorique et ne voulait plus s'alimenter. Cette femme, Shae qui s'avérait être une putain l'avait invraisemblablement détruit en quelques mensonges bien fondés.

Emerys sentit son cœur se serrer et battre plus vite. L'amour était capable de faire des ravages considérable et de voir cette souffrance morale sur une personne la rendait impuissante. Elle ne pouvait rien faire pour l'apaiser tout comme elle ne pouvait être réconfortée ...

Elle n'avait plus rien entendue de Varys et espérait qu'il avait fait ce qu'elle lui avait demandé de faire. Tenir le plus loin possible le Limier de ce lieu de mort et de trahison.

«Tyrion il faut que vous mangez !» S'empressa Emerys en regardant son visage blême. La barbe avait bien poussée et lui donnait un air beaucoup plus vieux qu'il ne l'était.

Le nain ne répondit pas comme elle s'y attendait mais elle espérait néanmoins qu'il lui parlerait. Lui dire n'importe quoi mais qu'il brise le silence insupportable qui régnait en ses lieux sombres. Emerys soupira puis alla s'assoir en tailleur au centre de sa cellule, prenant de grandes inspirations dans ses poumons.

Elle ne savait même pas ce qu'était le jugement final de Tyrion Lannister ni de ce qui allait advenir de lui. Ce qui l'étonnait le plus c'était que personne de sa famille ne venait le voir dans sa cellule pour lui rendre une visite et peut-être lui dire adieu.

«Vous les femmes ignorez le pouvoir que vous avez sur nous.» La voix de Tyrion résonna soudainement. Emerys tendit l'oreille, le cœur douloureux en entendant les mots lourds de tristesses.

«Il suffit d'un regard, un sourire pour que n'importe quel homme soit à votre merci. J'en suis la preuve vivante, Clegane l'est aussi. Tout ce que nous ferions pour vous mettre en sécurité, les nombreux sacrifices et tout ça par amour...» Un sourire triste se glissa sur les lèvres de Tyrion. Il pensait à tout ce qu'il avait mis en œuvre pour éloigner Shae de cet endroit.

«Je ne sais pas à quoi je m'attendais exactement mais je dois apprendre de mes erreurs.» Dit-il dans un soupir en se levant, essuyant les larmes avec le dos de sa main. Il avait assez pleuré pour une personne qui n'en valait plus la peine.

Emerys de l'autre côté baissa les yeux sur ses mains. Les paroles de son ami le nain lui avait fait un grand pincement au cœur parce qu'il avait raison, Tyrion avait depuis le début raison sur tout. Du moins il se trompait très rarement sur quelqu'un ou quelque chose.

La porte du cachot de Tyrion s'ouvrit et une figure qu'il ne pensait plus jamais revoir s'approcha, ordonnant aux gardes derrière lui d'un signe de tête qu'ils pouvaient refermer la cellule. Lorsque le verrou cliqua, Tyrion se mit à rire.

Les voix n'étaient pas suffisamment fortes pour qu'Emerys puisse comprendre qui rendait visite à Tyrion. Alors elle se glissa au sol et vers le trou dans le mur en restant bien dans l'ombre de sa cellule. Au moins là elle pouvait entendre qui venait d'entrer.

Il s'agissait du Régicide, Jaime Lannister. Enfin un membre de la famille de Tyrion qui venait voir dans quel état il était ! Les deux hommes engagèrent une conversation un peu maladroite sur ce qui se disait après le discours de Tyrion puis ils parlèrent de la fameuse Shae.

Une putain dont Tyrion était tombée amoureux en effet, cela s'entendait à la façon qu'il parlait d'elle. Jaime se moqua gentiment de lui puis parti sur un sujet beaucoup plus sensible, le combat qui l'attendait.

Tyrion voulait prendre son frère mais il lui manquait sa main droite alors il était une cause perdue. Emerys entendit le nom de Bronn, un Chevalier qui avait longuement protégé Tyrion mais qui refuserait très certainement son offre de combattre à mort pour lui.

Après un long débat, les deux frères s'installèrent sur la caissette au fond de la cellule, le malaise devenant plus intense entre eux.

«Qui Cersei pense prendre comme champion ?» La question épineuse et inquiétante. Tyrion pensait déjà savoir la réponse de son frère mais il espérait que ce n'était pas ce qu'il pensait.

«J'espère que ce n'est pas ce prétentieux de Meryn Trant ! Cet homme qui prends plaisir avec des enfants et des femmes faibles !» Se moqua Tyrion en regardant quelques secondes le mur qui séparait la cellule d'Emerys de la sienne.

«Non, ce n'est pas Meryn Trant.» Jaime sourit tristement puis leva les yeux dans les yeux de son frère inquiet ; «C'est la Montagne.»

Emerys posa sa main contre sa bouche en entendant les mots sortirent de la bouche de Jaime. Elle pouvait très bien s'imaginer la tête que faisait Tyrion à cet instant précis. La Montagne ... Le frère de Sandor. L'homme qui torturait et assassinait sans la moindre pitié. Celui qui avait donné les brûlures à son frère ...

Cette chose.

Cersei prenait cet homme qui n'avait encore jamais échoué lors d'un combat et qui ne perdra pas celui-ci non plus. Cette femme était déterminée à avoir la tête de son propre frère sur une pique. Ce fut très déroutant de quoi elle était capable avec sa propre famille mais alors avec un traître à la Couronne ... Emerys n'osait même pas imaginée ce qu'elle deviendrait aux mains de Cersei Lannister.

La Montagne était donc à Port-Réal et sera aussi là lorsque Sandor viendra.

Emerys espérait du fond du cœur que Varys avait fait ce qu'il fallait pour le maintenir à l'écart de la cité. Il ne devait en aucun cas franchir les portes.

Ni maintenant ni jamais.

Au bout d'un certain temps, le Régicide quitta la cellule de Tyrion en lui promettant qu'il reviendrait avant son combat. Le nain se retrouva seul dans sa prison avec une énorme crainte au bas ventre car il savait qu'il n'avait aucune chance.

Qui combattrait pour lui ? Personne n'était assez stupide pour accepter de combattre pour le monstre qui avait empoisonné l'horrible Roi Joffrey ... Tant d'hypocrisie et pourtant aucun courage pour se dresser contre sa famille.

«Je suis foutu ...» Marmonna Tyrion avec un sourire amer en clignant des yeux pour effacer ses larmes. Emerys de l'autre côté ne répondit pas, elle n'avait pas la force de le faire car effectivement elle ne pensait pas que cette situation pourrait devenir encore pire ...

Et pourtant ce n'était que le commencement.

A suivre ...

Pfiou, Tyrion me fait tellement de peine ! J'aime beaucoup ce personnage je ne sais pas vous mais moi je le trouve très complexe et attachant. Même si dans la saison 7 à la fin j'ai un petit doute sur lui ... Qu'à t-il raconter à Cersei ?

Bref sur ce je vous dis à bientôt pour la suite !

VP


Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top