36-Don't do what I do.
NOTE IMPORTANTE A LIRE:
Ce chapitre est séparé en deux. La première partie est ici ( 2800 mots), la seconde est une partie assez explicite(traduction: sexe hihi, mais pas hard hein, vous me connaissez: 2000 mots) , alors pour ceux qui ne l'auraient pas encore remarqué à partir de maintenant les scènes olés olés seront dans un autre de mes bouquins que vous pouvez trouver sur mon profil (Good as gold scène explicite)( pour ne pas avoir de soucis en classement mature de mon histoire)
Donc voilà, à la fin allez juste sur l'autre livre! (Peut être est-ce chiant, mais c'est l'unique solution que j'ai trouvé)
***
Lorsque l'on s'assied et que l'on nous donne la carte, je la parcours, le ventre grognant et impatient.
— Quarante euros un brocoli et une asperge!
—Ne regarde pas le prix. Ce n'est pas important.
Il rit nerveusement.
—Evidement, c'est pas comme ci ...
—Sean je paye, alors choisis.
—Je prends rien, uniquement un café.
—Tu n'auras pas faim ?
—Si mais je commanderais un mc do après.
Quel chieur, il est vraiment trop borné. Je commande une salade accommodée puis son café.On nous sert et j'entends deja les plaintes de Sean. Il ne s'arrête pas.
—Je pensais qu'un café à 16 dollars avait un goût d'or, mais en fait même pas.
—Sean! Tu pourrais s'il te plaît arrêter de te plaindre et juste profiter de l'instant ? je réponds agacée.
Il semble surpris de mon ton brusque. Il se détend un peu, croise ses mains sur la table et me fixe avec un doux sourire.
—Wow je suis trop heureux de boire un café à seize dollars qui a un goût super normal dans un restaurant de gens bien friqués et avec la fille la plus chiante du lycée !
Je lui souris avant de baisser mon regard.
—C'est un peu mieux.
Il détourne son regard quelque peu exaspéré, et joue avec ses doigts sur la table, comme pour combler le silence.
—Dis, tu veux faire quoi l'année prochaine ?
Il prend une gorgée de son café avant de se détendre un peu.
—J'hésite toujours entre des études de lettres ou d'économie. De lettres parce que c'est plus qu'une passion, c'est un plaisir. J'aimerais étudier dans l'une des trois meilleures écoles.
J'hausse un sourcil, surprise de son ambition, j'aime beaucoup les garçons ambitieux, à vrai dire je ne le suis pas réellement, sachant que ma vie est déjà tracée, mais je trouve ça tout de même beau à voir. Et en plus d'avoir de l'ambition, il est très doué, il ne se la joue pas pour rien.
—Pourquoi l'une des plus grandes écoles?
—Parce que ça promet d'avoir un avenir plus sûr, et de m'ouvrir plus de portes pour un travail bien placé ensuite.
—Donc tu aimerais avoir un travail qui rapporte beaucoup ?
—J'aimerais. Je ne suis pas le plus à plaindre, j'ai quand même une maison, de quoi manger, mais mon père galere quand même, il se serre la ceinture, et je ne veux pas vivre ça, c'est stressant, c'est stressant de devoir analyser chaque mois ses comptes, d'être dans le rouge chaque fois, ou de ne pas pouvoir acheter ci, car ça dépassera le budget. C'est chiant.
Je suis assez surprise par sa maturité concernant l'argent, je veux dire moi je la dépense comme de l'eau sans y faire attention, alors qu'il est dans le cas contraire.
—C'est étrange si je te dis que je ne sais pas ce que ça fait ?
Il rit doucement et grimace.
—C'est assez décourageant mais j'ai compris que ce n'est pas de ta faute.
Je lui souris doucement avant de prendre une nouvelle bouchée de ma salade. Je préfère entendre ça de sa bouche, ça veut dire qu'il a arrêté de me juger bêtement. Ensuite il me demande ce que moi j'aimerais faire plus tard.
—Moi ou alors ce que mes parents veulent que je fasse ?
—Toi, me répond t-il sérieusement.
Je vous assure que c'est la première fois que quelqu'un me demande ce que je veux faire plus tard, rêver d'un futur dont j'aurais moi même décidé m'a toujours paru impossible, alors je me mets du temps à réfléchir. Je dépose soigneusement mes couverts, je relève les yeux et reprend cet air de petite fille rêveuse.
—Sincèrement ? J'aimerais faire un an de gap year. J'aimerais juste découvrir le monde pendant un an pour ensuite reprendre mes études et étudier les maths ou la physique j'en sais rien, je n'en ai jamais fait, mais c'est ce qui m'intéresse franchement, les sciences, les calculs. Sauf que pour mes parents ce n'est pas vu d'un bon œil. Ils veulent que j'ai un diplôme certes d'haute école, pour dorer l'image de notre famille mais paradoxalement, ils ne veulent pas que je rentre dans le monde du travail jeune, ils veulent que je construise une famille, que j'ai des enfants, que je m'occupe d'eux, puis quand ils seront assez grands je me devrais d'organiser des soirées de charités pour rencontrer le beau monde, et ainsi gagner mon propre argent, ou alors profiter de l'argent de mon mari et me faire plaisir sans complexe avec mes amies de ce monde doré, comme bon me semble.
Sean arque l'un de ses sourcils et finit tout en déposant élégamment sa tasse de café. Il touille d'un geste distingué la texture et met un temps à renchérir.
—Mais c'est dl'a merde.
Merci d'enfoncer le couteau dans la plaie. Je crois en être au courant.
—Dit leurs d'aller se faire voir.
—C'est ce que j'ai fait. N'oublie pas. Et je n'en ai guère tiré gain de cause.
Il hoche la tête comme s'il montrait qu'il se souvient, car il ose un petit sourire.
—Tiens goûte ma salade, je lui demande pour changer l'ambiance qui devient un peu pesante. Je ne suis pas une grande fan des sujets sérieux.
Il plisse ses yeux, méfiant mais devant mon air insistant il accepte. Je lui tends une bouchée qu'il mâche ensuite avec concentration. Même pour analyser un aliment il doit jouer au bon élève ? Il semble réfléchir de la même façon qu'en contrôle de maths;
—Mouais, pour le prix , je suis un peu déçu.
Sans blague, ce ne serait pas Sean sinon.
—Je devrais t'appeler Sean le ronchon tiens.
Son remonte son regard vers le mien alors que je pose ma fourchette, son expression devient espiègle.
—Tant tu ne peux plus te passer de moi tu me donnes deja des surnoms.
—C'est deja moins pire que de puer la jalousie tout à l'heure comme tu l'as fait.
Il fronce un sourcil avant d'attraper ma fourchette, de récupérer un peu de ma salade et de la croquer. Je l'observe estomaquée. Et alors qu'il s'apprête à répondre à mon attaque je l'interromps.
—Tu sais que parfois tu peux me demander avant de piquer dans mon assiette ? Enfin tu peux demander la permission tout cours?
—Perte de temps.
Il dit ca tout en prenant une autre bouchée. Je récupère ma fourchette durement, s'il y a quelque chose avec lequel je ne plaisante pas c'est bien la bonne bouffe.
—Tu peux tout me piquer sauf ma salade.
***
Apres quoi nous sommes rentrés, je lui ai demandé pourquoi il n'avait plus son scoot et il m'a répondu qu'il étaiten réparation et qu'il se devait de prendre le bus . Parce qu'il me faisait de la peine je lui ai demandé s'il voulait venir chez moi, et qu'ainsi nous irions en voiture privée, il a protesté disant que ce n'était qu'une affaire de riche et puis je lui ai souligné le fait que mes parents ne soient pas là, ils sont partis en "voyage d'affaire", comme ils me le disent si bien, pour qu'il me dise oui.
Ah les garçons...
Sean commence doucement à s'habituer à mon mode d'avis, il n'a pas été aussi chiant en soulignant tous les détails de l'extérieur de ma maison qui vaudraient un fortune, quand j'ouvre la porte d'entrée, j'entends un bruit effroyable. La musique raisonne et fait vivrer les murs. Je remarque que beaucoup d'étudiants sont présents, des étudiants tous du même genre:
-Soit il s'agit de garçon qui puent l'oseille à plein nez, complètement défoncés par des substances illicites
-Ou bien des filles, elles aussi friquées, en maillot de bain qui s'exhibent clairement et peinent à stopper les garçons qui veulent les saouler.
Je soupire, mon frère ne m'a pas prévenu qu'il organisait une fête ce soir, mais ça paraît logique, il profite que les loups ne soient pas là pour s'éclater. Pourtant, plus j'avance et plus je constate les dégats de la soirée: un verre de vin a taché le canapé blanc principal, un garçon vomit dans le vase de ma mère, et des jeunes baisent presque dans la piscine extérieure.
Oh bon dieu, Keryan ne sait pas du tout gérer sa soirée. Je tiens Sean par la main, qui me semble un peu mal à l'aise, et je cherche mon frère. Je ne le trouve malheureusement pas, c'est dommage j'aimerais bien lui foutre la honte devant ses amis.
Je trouve cependant l'un des meilleur pote de mon grand frère, lui aussi complètement défoncé. Je sais que ça ne sert à rien de lui parler dans un tel état, mais peut-être sait-il où est Keryan.
—Felix! je lui crie, tout en arrivant comme une furrie. C'est quoi ce bordel? Où est mon frère?
Il se retourne agréablement surpris et me fait un joli sourire d'homme complètement bourré. En gros, il fait pitié.
—J'en sais strictement rien, rit-il. Mais je veux bien qu'on s'envoie en l'air.
Je relève les yeux au ciel alors que je vois Sean se tendre. En effet ça ne sert à rien de parler de ceci avec cet énergumène. Pourtant, quand je me tourne sur la droite, j'aperçois ma petite soeur, un verre à la main en train de discuter avec un garçon qui doit avoir au moins 8 ans de plus qu'elle, elle me semble complètement bourrée elle aussi.
Elle n'a que quinze ans... QUINZE ANS!
Ce n'est pas comme si à quinze ans tu étais plus sage. Ta gueule conscience. On ne parle pas de moi, mais d'elle.
Je m'avance vers elle précipitemment et l'attrape par le bras durement. Au départ elle ne comprend pas bien, mais une fois l'information montée au cerveau, elle essaye de protester. Elle est si saoule que je gagne facilement de la marge.
—Alors toi, toi tu auras de sacrés soucis.
—Lache moi! crit-elle t'es pas ma mère.
—Ouais, je suis ta soeur, j'ai pas choisis de t'avoir comme soeur, c'est encore pire alors me fait pas chier.
Je tire durement sur son bras alors que Sean reste un peu à l'écart, il se contente de me suivre simplement sans rien dire. Alors que la petite continue de protester je lui donne une claque pour qu'elle arrête de gueuler car elle me tappe sur les nerfs: résultat elle m'hurle encore plus en disant qu'elle appellera la police car je n'ai pas le droit d'être aussi violente. Qu'elle le fasse! Qu'elle le fasse!
Je la conduis rapidement dans sa chambre et la repousse sur son lit. Elle tente de se relever mais elle n'y arrive pas.
—Tu me saoules! crie t-elle. Je te déteste Lana!
Je l'ignore, agacée de devoir en venir jusqu'à me comporter comme sa mère. Je l'emmène dans sa salle de bain et lui brosse les dents de force, je la pousse force sous une bonne douche froide pour lui rafraîchir les idées.
Après quoi, je la laisse s'essuyer et s'habiller, tout en étant obligée de la voir se déshabiller puisqu'elle peut à peine tenir debout. Une fois fait, je soupire et la laisse tomber dans son lit, j'etteins la lumière et je m'en vais de sa chambre, en prenant le soin de fermer sa porte à clé. Elle serait du genre à fuir sournoisement.
Sean qui est resté devant la chambre de ma soeur semble complètement choqué de mon comportement.
—C'est une vraie chieuse. Tu m'excuses, mais j'ai un petit problème de famille à régler, j'ai besoin de quelques minutes.
Alors que je m'apprête à me diriger vers la chambre de mon frère, Sean m'attrape la main durement, je suis forcée de m'arrêter dans mon rush.
—Tu devrais pas, m'annonce t-il.
Je le dévisage de haut en bas et je mets du temps à comprendre ce qu'il insinue.
—Pourquoi?
—Bah..
Il rougit légèrement et n'ose plus me regarder. Je prends le temps de respirer en l'observant, je détaille son petit air géné et je comprends enfin pourquoi. Mon frère doit être en pleine partie avec une fille.
—Je m'en fiche, je lui dit clairement. Je ne vais pas lui laisser cette joie de s'amuser alors qu'en bas c'est un carnage et qu'il ne surveille même pas notre soeur.
—T'es sérieuse? me dit-il assez étonné. C'est assez gênant.
Je relève les yeux, s'il savait combien de fois j'ai retrouvé des putes dans le lit de ma soeur, il serait étonné, ce n'est même plus gênant.
Devant mon insistance il me relâche la main et je l'en remercie, j'avance rapidement et la colère me revient, j'ouvre donc sans prévenir la porte de la chambre de mon frère.
—Non mais t'es sérieux Keryan ! Tu prends ton pied alors que...
Oh shit.
Tout d'abord je remercie ces draps d'exister, je remercie ces draps de tout cacher, parce que ceci n'est pas un fantasme chez moi. Mais ce n'est pas là où je veux en venir.
Mon frère s'est redressé immédiatement, mais c'est son regard, son regard à elle qui me fige. Qu'est-ce qu'elle fout là? Que fout-elle dans le lit de mon frère?
Je sens immédiatement mes poings me démanger, le sang s'y concentre.
—C'est une blague? je lâche. C'est quoi cette histoire? Qu'est-ce qu'Avalonne fout dans ton lit?
Keryan essuie son visage, comme s'il me semblait assez stressé. Il n'ose pas répondre. Quand à Val elle s'est redressée et semble fuir, elle enfile à nouveau ses vêtements.
—J'ai posé une question, je crois bien. Ca fait plus d'un mois que tu m'évites, pour je ne sais quelle raison, et tu te trouves dans le lit de mon frère?
—Moi? Je t'évite? me lance t-elle durement.
—Oui, je réponds clairement.
Elle se met inconsciemment à rire et lâche ses affaires.
—Ma pauvre, tu sais quoi, arrête de prétendre que tu es la victime de l'histoire.
J'hausse les sourcils, assez surprise qu'elle s'adresse ainsi à moi. Il n'y a pas à dire je ne la reconnais pas. La victime de quelle histoire? Si ma vie était une histoire je le saurais, or la mienne n'a aucun sens.
Et oui, elle m'évite, il n'y a rien à dire, depuis que je côtoie Sean en fait.
Keryan se met un peu en retrait, ne voulant pas se mettre au milieu de notre discussion. Evidemment, lorsque l'on parle du sérieux, ses couilles s'en vont.
—C'est quoi le soucis Avalonne? Je ne te reconnais clairement pas, c'est fini avec Justin?
—Qu'est-ce que ça peut bien te foutre, me dit-elle tout en continuant de s'habiller. Elle ajuste sa chemise blanche avant de faire de même avec sa chevelure.
—Bah oui, au cas où tu l'aurais oublié, on est amies, je lui rappelle.
Elle lève ses yeux au ciel avant de se chausser.
—Amies, rit-elle. Va te faire voir, rétorque t-elle.
Elle s'approche de Keryan et elle l'embrasse devant moi avant de se relever. Est-elle sérieuse? Elle embrasse mon frère devant moi? Elle se dirige vers la porte de sortie, et m'évite clairement, elle semble saoulée par ma présence. Je suis complètement outrée, en soit n'importe quelle fille autre aurait fait ça, je n'aurais pas trouvé ça choquant, mais là, on parle bien de Val, elle est d'habitude un peu plus coincée que ça.
—Et tu oses l'embrasser devant moi! Et c'est moi qui ait un soucis? Tu es vraiment une salope, je lui hurle dessus.
Elle s'arrête immédiatement, sa longue chevelure vole ainsi. Elle me regarde d'un air mauvais, et me pointe de son doigt manucuré.
—Vraiment? C'est ce que tu trouves à me reprocher? Tu as la mémoire si courte que ça?
Bim. Elle veut bien entendu parler de mon histoire avec Shawn, c'est vrai que c'est bas de ma part de le lui reprocher en vue de mes actes. Sauf que c'est différent dans ce cas, parce que c'est elle, Avalonne, est censée être la plus raisonnée de nous trois. Voyant que j'ai compris où elle voulait en venir, elle me lance un petit sourire de peste. Un sourire que je n'ai jamais vu sur sa face, un sourire que je serais bien plus enclin à faire, moi.
—C'est bien ce que je me disais, parce que toi, en plus d'être une salope, t'es hypocrite.
Alors là, je ne peux pas accepter ceci, même venant d'elle, qu'elle ait les idées claires ou non, je m'apprête à me jeter son elle, mais évidemment Sean me retient, m'ayant prématurément vue bouillir. Avalonne continue à me sourire, elle me fait un doigt d'honneur et je bondis encore plus. Je ne peux malheureusement pas lui éclater la face comme je le voudrais, Sean est trop fort. Il finit par me contrôler.
—Lana, c'est bon elle est partie, arrête.
—Non mais tu as vu comment elle m'a causée? Partie ou non, je vais la rattraper.
—Tu feras rien, me dit Sean.
—Si, lui assuré-je.
—Je te dis que non.
Je soupire et prends conscience qu'il me tient bien trop fort et qu'il est trop tard, l'autre conne doit déjà être partie.
—T'es calmée? me demande Sean après un moment?
—Oui, je finis par bouder, t'es chiant.
Il me relâche. Et alors que je m'apprête à finalement recourir en direction d'Avalonne et lui échapper, il réussit à m'attraper immédiatement.
—Tu crois que je n'avais pas prévu le coup, rigole t-il.
Evidemment.
Je finis par me calmer en prennant conscience que de toutes les façons c'est trop tard, je pourrais encore lui régler son compte à l'école, sans que Sean ne soit là et ça me suffit à me réjouir.
Je me souviens alors que mon intention première avait été de sermonner mon frère. Il s'est rhabillé et semble lire une revue économique, ce qui n'a aucun sens étant donné qu'il y a à peine quelque minutes il s'envoyait en l'air avec mon ex-amie. Enfin bon.. Je le sermonne et bien qu'il semble que ma voix l'agace éperdument, il se décide à se relever et à descendre afin d'y faire régner le calme. Avant qu'il ne descende je l'attrape par l'épaule.
—Qu'est-ce qu'elle avait Avalonne?
—Vous réglez ça entre vous, m'annonce t-il.
—Qu'est-ce que tu sais Keryan? je lui demande suspicieusement.
—Tu lui demanderas.
—Mais enfin, je suis ta soeur, ton unique soeur, enfin avec l'autre chieuse, et combien de fille dans son genre tu as par nuit? Des dizaines, tu ne la reverras pas, tu peux bien me le dire.
Il ose me sourire et me caresse le visage, comme pour me montrer que je suis très naïve.
—Si, j'l'aime bien ta pote, je la reverrais.
C'est une blague? Après avoir ôté ses mains de mon visage et mimé un air de dégout sachant très bien où elles ont finies je réagis à sa phrase. Dites moi qu'il se fout de moi! Parmi toutes les filles de la planète, il faut que la seule qu'il revoit soit Avalonne.
Je me force à ignorer cela, et à me dire qu'il est assez grand pour faire ce qu'il veut.
—Bref et alors ! Dit le moi, tu vois bien qu'elle n'allait pas bien.
Il hausse les épaules.
—Je vous l'ai dit, réglez ça entre vous.
Il dit cela avant de me tourner le dos et de descendre. Voilà qu'il m'a à nouveau agacée, je ne suis pas du genre à aimer fouiller en profondeur des gens, alors j'aurais aimé qu'il m'explique ce qui se passe avec Val. Je finis par soupirer et me dirige vers ma chambre, alors que j'oublie un peu Sean.
***
Suite dans mon livre ( Good as Gold explicite), que vous pouvez trouver sur mon profil!
Je n'ai pas fait de version censurée car je n'ai malheureusement pas le temps :/
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