《 L être humain est faible et je suis la reine des humains 》

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Il était une fois une pickpocket de talent.
C'est à dire, moi, Livia Wilson.
Et entre nous un compte de fée commence toujours avec une princesse, j'aurais aimé vous dire que j'en suis une , mais non , je suis une reine.

Loin l'idée de moi de me croire au dessus de la masse insignifiante d'être humains qui grouille sur cette planète, ça ne servirait à rien de toute façon.
Non , plutôt un sentiment d'importance, de puissance et quand on a de la puissance, croyez moi ça vous monte à la tête.

En face de moi la ville de Naple grouille de toutes part, certains ce balade dans le marché de mardi, tendit que d'autres ce laisse tomber sous les coups de la drogue et de l'alcool.

Scrutant du regard la population locale, je distingue au loin deux gars qui ce rapproche d'un stand de fruits frais.
Leur vêtements sont plutôt atypique , mais avec suffisamment sens pour comprendre que ce sont effectivement des habille de riches.

En somme, des cibles parfaites.
Je me rapproche à mon tour faisant mine de regarder les fruits d été éparpillés sur le comptoir.

_ ils préféraient des fraises te dis.

_ N'importe quoi les oranges c'est mieux !

_ Arrêt t'es conneris putin Bruno voulait des fruits de saison les oranges c'est des fruits d hiver !

_ N'importe quoi .

_ Tu n'ai même pas capable de connaître t'es table de multiplications alors ne te permet même pas de te prendre pour quelqu'un qui sait quoique ce soit !

Et là, comme vous, je me demande pourquoi ces gens sont si fou .
Mais bon ce n'est pas ça qui vas me faire peur.

Je fît mine de me conier contre le gars qui portait une veste verte.

_ Oh excusez moi !
Je four mes doigts dans sa poches.

Il me regarde de travers un instant.

_ Dégage .

Sans dire un mot de plus je m extirpe sans le moindre soucis.
Hehe comme d'habitude , aussi facile que de voler une sucette à un bébé.

_ Éh toi ! La fille aux cheveux longs !

Oups je crois que je suis repérés.
Je n accélére pas , je me fofil juste subtilement dans la foule et dérobe quelques porte-feuille et billet au passage.

Je fouille un peu dedans.
Jolie prise je dois bien le reconnaître, j'ai même réussi à trouver une pièce d identité, ça ce revend bien ce genre de truc.
Une fois tout ranger dans mon sac à dos je poursuit ma route.

A ce moment de l histoire, j'ai plutôt l habitude de rentrer tranquillement chez moi .
Mais aujourd'hui le destin en a voulu autrement, car dernièrement moi résonnent les souffles et les pas de mes premières victimes.

Pas le choix je vais devoir passer à la vitesse supérieur.
Je grimpe sur une maison en passant par des tuyaux et des fenêtres, de quoi leur échapper pour de bon .

De là-haut j'admire le paysage de fin d'après-midi, une merveilleuse contemplation à travers la brise qui emporte au passage quelques mèches rebelles de ma tresse tombant quasiment jusqu'à mes pieds.

C'est une belle ville, dommage qu'elle soit pourri par des gens comme moi .

_ Tu vas voir voleuse !

Je me retourne surprise.
Le plus petit des deux garçons ce trouve juste en face de moi .

_ Rand nous l'argent connasse !

_ Oula tu parles mal pour un gamin.

_ Et toi ta vraiment une grande bouche pour quelqu'un qui vas ce faire démolir.

_ A oui et par-
Je me sens tombé dans les pommes.

Un troue noir. Le vide .
C'est comme si je m'étais pris une balle, mais rien, il n'avait pourtant aucune arme sur lui . Étrange.

Ceci est mon histoire  celle d'une fille qui a toujours vécu pour elle même.

> To be continued