Depuis tout petit, j'ai une passion pour les robots. Les énormes, les minuscules, les bizarres, les magnifiques...Or, il se trouve qu'il y avait deux animatronics, deux robots géants, qui travaillaient comme animateurs dans ma pizzeria préférée : un ours et un lapin jaunes, appelés Golden Freddy et Golden Bonnie.
Il y avait également un jeune d'à peu près mon âge, qui se faisait déposer chaque jour à la pizzeria par sa mère. Il était très dépendant d'elle, car il était aveugle.
Nous sommes devenus amis, et il était assez sympa.
Dès que j'ai eu mon bac, j'ai postulé comme serveur à la Fredbear's pizza. J'étais trop heureux d'y travailler ! Mais j'ai vite compris que ce travail n'était pas de tout repos : il fallait bien entendu servir les pizzas, mais aussi divertir les enfants, parler avec les clients et entretenir les animatronics. Ce dernier point me passionait !
Tom, mon ami aveugle, revenait tous les jours à la pizzeria, accompagné par sa mère.  Cependant, un jour, Tom vint seul. Il semblait troublé...il s'installa à une table isolée, pour ne pas se faire remarquer.
J'entamai la discussion avec lui :
"Hey Tom ! Comment vas tu depuis hier ? "
Il se tourna vers moi et répondit :
"-Ça peut aller. Et toi ?
-Oh, moi, la routine...Ta mère n'est pas là ?
-Non, elle n'a pas pu m'emmener, elle devait partir tôt ce matin."
Nous avons continuer à parler encore dix bonnes minutes, puis je dû aller prendre la commande de clients.
Tom est resté jusqu'à la fin de la journée, puis est sorti pour attendre sa mère.
Je le regardais sortir et entendis du bruit derrière moi. Le temps de me retourner et je fus frapper et bâillonner. En me réveillant, j'ai remarqué Tom accroupi derrière moi. Il avait l'air vachement effrayé...
Notre agresseur était tout de violet vêtu. Il s'approcha de Tom et...
Le trucida.
Sans hésitation, sans trembler.
Son cadavre gisa sur le sol, nageant dans une mare de sang.
Je lui hurla : "-POURQUOI ??   Pourquoi avez-vous fait ça ?
-J'ai...mes raisons, répondit-il en souriant. Vois tu, ces aminatronics ont été construits chez moi. C'est moi leur créateur. Et j'aurais aimé les rendre plus humains..."
Il s'approcha de moi, avec son couteau ensanglanté et le leva au dessus de sa tête. Des larmes commencèrent à couler de mes joues. Son couteau s'arrêta au niveau de mon ventre et je sentis sa lame m'ouvrir la chair. J'ai continué à ressentir cette sensation jusqu'à ce que je tombe dans les pommes. Puis...
Le vide.