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Dans un petit appartement au cœur de la capitale sud-coréenne, discussions enjouées et rires amusés se mêlaient pour former un ensemble harmonieux à l'oreille. Lorsque les conversations s'envenimaient légèrement, bourrasques et fines brises paranormales apparaissaient pour s'acharner sur la silhouette du fantôme à la langue bien pendue. Assis en tailleur sur les coussins moelleux et bariolés du canapé, un livre épais entre ses mains et des lunettes rondes glissant sur son nez, Namjoon essayait de se concentrer sur l'apprentissage de son cours. Ce n'était pas une tâche simple : les deux esprits s'étaient rapidement liés d'amitié et ils ne cessaient jamais réellement de s'amuser ensemble. L'étudiant avait plusieurs fois tenté de leur expliquer qu'il avait besoin de silence pour ses révisions – ils avaient même semblé le comprendre plusieurs fois – mais ils avaient continué de discuter. Et leurs conversations entraînaient toujours de petites disputes puériles.
Un soupir désespéré s'échappant de ses lèvres charnues, le jeune adulte remonta ses lunettes sur l'arête de son nez et tourna la page de son livre. Il mettait trop de temps à s'imprégner des mots qui figuraient sur le papier, mais il avait encore tant à apprendre. Il devait simplement oublier la présence des deux fantômes. Ce fut seulement lorsqu'une bourrasque plus importante que les autres et que quelques gouttes ondulèrent les pages de son livre que Namjoon perdit définitivement toute forme de patience. La commissure de ses lèvres baissée, les sourcils froncés et la veine de son front palpitant au rythme agacé des battements de son cœur, l'étudiant ferma son livre dans un mouvement brusque et sonore.
« Je travaille ! siffla-t-il. Vous ne pouvez pas faire un peu moins de bruits ?
— Tu travailles trop, lui fit remarquer Hoseok, se penchant par-dessus son épaule pour observer les mots inscrits sur le livre. Ça va bientôt faire cinq heures que tu bosses comme un dingue.
— Et vous pensez sérieusement que vous n'avez rien à voir avec le temps que je passe à travailler mes cours ? commenta-t-il en pointant un doigt accusateur sur leurs deux silhouettes. J'ai besoin d'un minimum de silence pour réviser convenablement.
— Mais Namjoon, pleurnicha l'enfant. »
Il y avait une chose pour laquelle l'étudiant devenait incroyablement faible et pour laquelle il perdait toute notion de combativité : les yeux tristes et suppliants de Hyemi. Cette dernière en avait parfaitement conscience et elle en jouait souvent. Trop souvent. Un nouveau soupir franchit la barrière de ses lèvres alors qu'il refermait son livre de cours pour le poser délicatement sur la table basse.
Un sourire rayonnant et dévoilant les trous de sa dentition vint illuminer le doux visage poupon de Hyemi. Elle se mit instantanément à bondir dans chaque recoin de la pièce de vie. L'autre esprit ne prenait pas non plus la peine de camoufler sa joie : la commissure de ses lèvres atteignait presque ses oreilles. Alors que les deux esprits célébraient joyeusement son détachement temporaire de ses études, l'étudiant posa ses prunelles noires sur la silhouette souriante de Hoseok. Il ignorait encore les raisons qui avaient pu conduire à son décès, mais il pouvait affirmer sans grande difficulté que le fantôme avait été un grand frère aimant. Il suffisait d'observer sa façon de se comporter avec Hyemi pour le déduire.
« On regarde un film ? demanda la petite fille avec enthousiasme. »
Namjoon eut à peine le temps de répondre positivement à la question de la petite fille que les deux esprits s'étaient immédiatement rués vers le canapé et avaient commencé à débattre du film qu'ils voulaient voir. Ils ne semblaient pas capables de se mettre d'accord et ce fut seulement lorsqu'un nouveau jet d'eau finit sa course sur le visage de Hoseok, éclaboussant les vêtements de l'étudiant au passage, que celui-ci accepta de regarder le film que l'enfant semblait absolument vouloir regarder.
« C'est de la triche, les pouvoirs, gronda Hoseok en croisant les bras contre son torse. »
***
La relation fraternelle qui s'était lentement tissée entre les deux fantômes mettait souvent Namjoon dans des situations particulièrement délicates. Ils ne voulaient plus le quitter et ils ne cessaient jamais de discuter. En tant que seule personne capable de percevoir leurs nombreuses conversations sans queue ni tête, il devait faire particulièrement attention pour ne pas se mettre dans des situations embarrassantes. Ne pas répondre à un seul esprit, c'était jouable. Il l'avait déjà fait de nombreuses fois. Mais ne pas répondre à deux esprits qui lui posaient constamment des questions, c'était déjà plus complexe. Les mots brûlaient d'envie de quitter la barrière bien close de ses lèvres et sa patience se dissolvait comme un sucre dans le café dont il avait terriblement besoin.
Laissant la mine de son crayon glisser sur la feuille vierge pour y tatouer les mots importants que l'enseignant prononçait, Namjoon tentait d'oublier la présence bruyante des fantômes. Sa main droite se resserrait sur le stylo lorsqu'ils devenaient trop bruyants ou qu'ils commentaient avec animation les croquis de Chinhae. Le pauvre étudiant était devenu leur victime favorite et ils ne se laissaient pas de le voir dessiner dans les marges de ses cahiers de cours.
« Oh ! s'exclama soudainement l'enfant. Il dessine Ponyo ! »
Une discrète grimace vint déformer les traits sereins de l'étudiant. Il pouvait déjà imaginer la suite des événements : la petite fille allait disparaître quelques courtes secondes pour réapparaître à seulement quelques centimètres de lui – parce que marcher deux mètres était particulièrement inutile lorsqu'on avait la capacité de se téléporter – puis elle allait le supplier de longues minutes pour qu'ils regardent ce film dans la soirée. Elle ne le lâcherait pas tant qu'il n'aurait pas accepté. Un long soupir lui échappa alors que la frêle silhouette fantomatique de Hyemi se dessina dans son champ de vision et que ses lèvres commencèrent à se mouvoir pour l'implorer de regarder ce film dans la soirée.
Ne pas lui répondre.
Il ne devait surtout pas lui répondre.
Namjoon avait déjà eu le malheur de perdre patience une fois et il ne comptait pas refaire la même erreur. Les œillades curieuses et les chuchotements de ses camarades s'étaient enfin tu et il ferait tout pour ne pas redevenir le centre de l'attention et le sujet principal des ragots courant dans les couloirs de l'université. Il détestait attirer le regard des autres et Hyemi en avait parfaitement conscience. La présence de Hoseok la rendait cependant joueuse et elle refusait de les laisser seuls.
« Je veux aussi m'amuser. »
Elle avait prononcé cette phrase lors d'une calme soirée à l'appartement et sa moue boudeuse avait eu raison de la volonté de Namjoon. C'était toujours le cas. Il avait fini par se résigner à supporter la présence des deux fantômes pendant ses heures de cours. C'était une erreur. Il avait bien tenté une fois de leur interdire de le suivre pour qu'il puisse se concentrer sur toutes ces choses que l'enseignant tentait de leur apprendre, mais les deux esprits avaient refusé sa proposition. Namjoon avait fini la soirée avec des vêtements imbibés d'eau et une Hyemi particulièrement vexée. Jamais il ne referait la même erreur.
Toute cette situation le plongeait cependant dans une situation délicate. Hyemi et Hoseok parlaient beaucoup – ils lui parlaient beaucoup – et il ne pouvait pas leur apporter de réponses sans attirer les regards perplexes de ses camarades de promotion. Se mordant l'intérieur de la joue pour retenir les mots qui semblaient tant vouloir quitter la barrière de ses lèvres, Namjoon griffonna rageusement quelques mots dans un coin de sa feuille et il l'indiqua discrètement à l'enfant.
« Taisez-vous, lut maladroitement Hyemi. Tu fais trop de bruits, Hoseok ! reprocha-t-elle à l'autre esprit.
— Il ne me vouvoie pas, lui fit-il remarquer en passant sa tête par-dessus l'épaule de l'étudiant. Tu es aussi concernée par son message. »
Il s'en suivit une interminable querelle dans laquelle tout sens semblait avoir disparu. Ils se chamaillaient comme deux membres d'une même famille et ils ne faisaient plus attention à la présence ennuyée de l'étudiant. Dans un gémissement plaintif à s'en fendre l'âme, Kim Namjoon laissa sa tête tomber lourdement contre la table. Son soudain mouvement arracha un sursaut à ses voisins et capta les regards inquiets des étudiants qui l'entouraient.
« Sortez-moi de cet enfer, gémit Namjoon. »
***
L'étudiant ressentait le besoin de voir Yoongi et Seokjin. Il avait désespérément besoin de les voir et de leur aide pour se sortir de l'impasse dans laquelle il se trouvait depuis plusieurs semaines. Les esprits ne devaient jamais rester trop longtemps sur Terre. S'ils s'éternisaient trop au monde des vivants, ils risquaient de devenir des esprits maléfiques. Le but principal de son travail particulier était de les aider à rejoindre le monde auquel les fantômes appartenaient réellement. Hoseok était présent à ses côtés depuis quelques semaines et ce n'était pas bon pour son âme. Il avait beau se montrer particulièrement bruyant, exaspérant et agaçant, il n'en restait pas moins attachant. Namjoon appréciait la présence de ce fantôme dans sa vie. Il aimait aussi l'impact qu'il avait sur la petite Hyemi. Depuis qu'ils partageaient leur existence, l'enfant conservait constamment ce sourire heureux et elle possédait une joie de vivre qui ne lui était pas habituelle.
Les mains plongées au fond des poches de son jean, Namjoon écoutait les divagations divertissantes des esprits qui discutaient joyeusement de divers sujets. Deux écouteurs n'émettant aucun son vissés dans ses oreilles, l'étudiant pouvait se permettre de participer à la conversation animée sans risquer d'attirer les œillades méfiantes des passants. Tous le pendaient au téléphone avec une connaissance quelconque et cela l'arrangeait grandement. Hyemi s'extasiait encore des talents de dessinateurs de Chinhae et de son envie de regarder le film dont il avait fait un croquis du personnage principal. Hoseok, quant à lui, sautillait gaîment dans les rues. Un sourire communicatif étirait sa bouche en cœur et venait illuminer son expression. Namjoon se surprenait à aucune apprécier la présence et l'ironique joie de vivre de cet esprit. Il s'était pourtant promis de ne plus s'attacher à eux.
Les bondissements heureux de Hoseok ralentirent soudainement pour finir s'arrêter devant un kiosque à journaux. Ses yeux éteints laissèrent passer un voile de tristesse pure alors qu'il découvrait les couvertures des revues. Se laissant emporter par sa curiosité, Namjoon suivit son regard. Un sourire mélancolique se dessina sur ses lèvres alors qu'il découvrait les gros titres. Quelques-uns parlaient d'un terrible accident qui était survenu dans plusieurs appartements d'un immeuble plusieurs semaines auparavant. Quelques personnes s'étaient retrouvées intoxiquées au monoxyde de carbone et une personne était décédée à la suite de cet accident. L'enquête venait apparemment de se clore et cela expliquait le titre des journaux. Namjoon s'empressa de sortir quelques pièces qui traînaient au fond de ses poches pour acheter le fameux journal. Il savait déjà que la courte absence de Hoseok ne pouvait signifier qu'une seule chose : il était l'unique victime décédée lors de cet accident.
« Allons chez Yoongi et Seokjin, intima-t-il aux deux fantômes.
— Vous faites ce que vous voulez. »
Ses joues s'empourprèrent rapidement alors que le vendeur l'interpellait pour prononcer cette courte phrase. Trop absorbé dans sa petite victoire, il en avait complètement oublié la présence des autres êtres vivants qui l'entouraient. Namjoon se courba légèrement en direction de l'inconnu avant de s'éclipser à toute allure. Son embarras visible semblait avoir tiré Hoseok de son absence et avait arraché un ricanement innocent à la petite fille.
« Ça arrive tout le temps ! se moqua Hyemi.
— Je pensais que tu parvenais toujours à ignorer les esprits, remarqua Hoseok.
— Plus ou moins, avoua-t-il en rajustant ses écouteurs dans ses oreilles. J'oublie parfois que vous êtes...
— Mort ? termina le plus vieil esprit alors que l'étudiant cherchait ses mots. »
La désinvolture dont les esprits pouvaient faire preuve concernant leur statut et leur état parvenait souvent à surprendre l'étudiant. La plupart restaient parfaitement lucides quant à leur mort et, même s'ils ignoraient fréquemment les causes de leur décès, ils remettaient rarement en question leur absence de vie. Leur capacité à traverser les murs et leur incapacité d'être vu par les vivants étaient des preuves suffisantes. Namjoon se souvenait de quelques fantômes refusant de croire à leur décès et hurler qu'on leur avait jeté un mauvais sort qui les avait rendus invisibles aux yeux des autres êtres humains – comme s'il était moins complexe de croire en la magie qu'en l'existence des fantômes. Il était tout particulièrement complexe d'aider ces esprits, mais Namjoon avait appris à se débrouiller.
Les esprits frappeurs refusaient également d'admettre leur mort. Ils en avaient parfaitement conscience, mais ils la refusaient avec tant de véhémences qu'ils parvenaient toujours à interagir avec le monde des vivants. Namjoon était heureux de ne pas avoir à se frotter à ce type de fantômes régulièrement. Son don était rare, mais il y avait suffisamment de personnes le possédant pour que certaines décident de se spécialiser dans l'aide des esprits frappeurs.
***
Yoongi et Seokjin les accueillirent avec une neutralité à toute épreuve. Le premier releva à peine les yeux de son épais livre et les salua d'un rapide mouvement de la main. Le second leur offrit un sourire radieux camouflé derrière les marques laissées par ce qui ressemblait énormément à de la farine. Il invita Namjoon à s'asseoir autour de la table à manger et les deux esprits le suivirent instinctivement. Ils auraient très bien pu l'abandonner pour aller déconcentrer et embêter Yoongi dans sa lecture. Il était d'ailleurs particulièrement étrange que Hyemi ne veuille pas lui jouer des tours. C'était l'une de ses activités favorites – après l'utilisation abusive de ses pouvoirs et sa passion pour le cinéma d'animation. Hoseok, quant à lui, ne semblait pas dans son assiette. Il était silencieux et c'était suffisamment étrange pour que l'étudiant s'en fasse la réflexion.
« J'ai des nouvelles concernant ton fantôme bavard, lui affirma Seokjin en faisant glisser une assiette pleine de cookie devant lui.
— Qu'est-ce que tu as vu ? lui demanda Namjoon en enfournant un gâteau dans sa bouche.
— Vomissements et toux sanguinolentes, répondit-il d'une voix plate. Je déteste avoir ce genre de vision. Ça me rend toujours malade. »
Namjoon avait rapidement compris que les visions de son ami étaient souvent éprouvantes. Il vivait et ressentait absolument tout ce que les acteurs de ses apparitions subissaient. Et vivre la mort des autres ne semblait pas être une expérience particulièrement agréable. Seokjin en avait l'habitude – il possédait ce don depuis sa naissance – mais il préférait toujours ne pas avoir à subir les minutes éprouvantes que plusieurs personnes avaient pu vivre. C'était parfaitement compréhensible et Namjoon se détestait souvent de trouver le don de son ami pratique.
Un long soupir quittant ses lèvres pleines, l'étudiant posa le journal sur le bois de la table et le fit glisser jusqu'à la silhouette de son ami. Les yeux de Seokjin s'éteignirent quelques secondes alors qu'il découvrait les gros titres. Un sourire triste vint finalement décorer ses lèvres alors qu'il posait ses prunelles brunes sur la silhouette invisible de Hoseok. Il parvenait toujours à deviner où se trouvait les esprits alors qu'il était incapable de les voir ou de percevoir leur présence.
« Tu me demandes si c'est la cause de sa mort ? finit-il par demander à Namjoon.
— Je n'ai pas trop de doute là-dessus, avoua-t-il. Ça concorde parfaitement avec ce que tu as vu. »
***
Les fantômes avaient rapidement repris leur mordant habituel et avaient presque immédiatement jeté leur dévolu sur la silhouette à moitié endormie de Yoongi. Ce dernier n'avait pas semblé apprécier la bourrasque qui avait décoiffé ses cheveux noirs et il s'était rapidement redressé pour les chasser avec véhémence. Namjoon avait été incapable de retenir un ricanement amusé en observant les deux esprits faire des crasses enfantines et puériles à celui qui parvenait à ressentir leur présence. Il était agréable de revoir un sourire rayonnant sur le visage de Hoseok. L'étudiant ne put s'empêcher de se faire la réflexion qu'il avait probablement été très populaire de son vivant. Son rire communicatif et sa façon enjouée de s'exprimer témoignaient d'une sociabilité que Namjoon n'avait jamais été capable d'avoir. Il était trop renfermé sur lui-même, trop perdu dans son monde et trop occupé à conduire les fantômes à un meilleur endroit.
« Namjoon ! se plaignit son ami dont les cheveux trempés contrastaient avec l'air sec de la pièce. Fais-les sortir de mon appartement.
— Il est pas drôle, bouda Hyemi. Il est jamais drôle.
— On ne va pas trop tarder, fit Namjoon en affichant un sourire. Je pensais que tu voulais absolument voir Ponyo sur la falaise ce soir. »
Les mains de l'enfant se rencontrèrent dans un claquement sonore qu'il fut le seul à percevoir et elle se mit à bondir dans l'intégralité de l'appartement. Elle s'empara rapidement de la main de Hoseok et traversa aussitôt le mur. L'enthousiasme de l'enfant était touchant et parvint à arracher un rire joyeux à Namjoon.
« Je pense que je vais y aller avant qu'ils ne détruisent mon appartement.
— Bonne soirée, prononça Seokjin en lui offrant un sourire doux.
— Et bonne chance avec ton fantôme bavard, ajouta Yoongi en récupérant son livre qui était tombé au sol. »
Namjoon se courba poliment pour saluer ses amis et s'éclipsa de leur appartement. Il ne fut pas surpris de voir les deux fantômes s'amuser dans les rues de la capitale sud-coréenne. Hoseok faisait tournoyer l'enfant dans les airs et leurs rires étaient une douce mélodie aux oreilles de l'étudiant. Il allait certainement avoir besoin de quelques semaines supplémentaires pour guider Hoseok vers l'autre monde et il comptait bien profiter de chaque seconde en sa présence pour s'amuser avec eux.
je n'aime pas trop ce chapitre. je ne pourrais pas vous dire pourquoi mais je suis très mitigée. j'ai pourtant beaucoup aimé l'écrire mais la correction a été particulièrement éprouvante
quelle idée de corriger intégralement un chapitre deux jours avant le début de mon stage de fin d'études ! j'étais morte de stress et j'ai l'impression que toutes mes capacités en pâtissaient.
n'hésitez pas à me donner votre avis sur le chapitre :)
à bientôt !
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