CHAPITRE XXXII: LA FERME

               

                WARNING
Ce chapitre contient des scènes de violence susceptibles de choquer les âmes sensibles.





Q.G, Institut des Enchantress de Londres.

En ce début de matinée douce, où le temps dissimulait la nature d'une épaisse couche de brouillard, la salle abritait une réunion extraordinaire.  L'annulation des cours permettaient ainsi aux aspirants Enchantress de vaquer à leurs occupations. Certains lisaient, d'autres découvraient les environs. Des rires mêmes fusaient, conséquence logique des nouvelles amitiés qui s'étaient tissées en ce court lapse de temps. Autour de l'unique table conférencière, les Enchantress observaient la boule de pouvoir vibrer au contact des informations. La nuit avait été mouvementée quand l'un de leur meilleur soldat se retrouvait emprisonné dans un coma apparent. Face au groupe, la Guardianz peinait à se contenir. La nouvelle l'avait bouleversée au même titre que tout les membres présents.

- Le carnage découvert dans cette propriété de North London démontre à quel point l'humain sans conviction aucune, ni grands principes religieux et moraux pouvait s'affranchir de son humanité, s'égarer en étant la proie de démon. Oui, je soutiens cette idée, les monstres qui ont fait ça sont des démons. Ils méritent tous d'aller en enfer.

La vielle dame à qui un micro avait été tendu retenait sa croix des deux mains, ses joues mouillées de chagrin devenues rouge de douleur. Son mari faisait parti des massacrés du manoir Gather.

- Mon mari, malgré son âge avancé était un noble type, il travaillait d'arrache-pied pour sa petite famille. Il ne méritait pas une fin aussi atroce...

Un nouveau sanglot la secoua et celui qui semblait être son fils l'a pris dans ses bras, barrant la caméra qui la filmait du dos.

- Comme vous pouvez le constatez, intervint la journaliste à quelques centimètres du cordon de sécurité policier, le carnage ayant eu lieu dans cette propriété a laissé dans son sillage une scène des plus angoissantes, vous venez de le voir, vous venez aussi de le constatez que les familles endeuillées par ses pertes demeurent inconsolables. Néanmoins, plusieurs questions demeurent en suspens, où se trouve Gather et son fils Luke tout deux disparus depuis que les faits ont été découvert ? Sont-ils responsables de ce carnage ? Autant de questions que...

Ce fut Poslim qui mit fin à la torture en appuyant sur le bouton de la télécommande. North London avait été un quartier paisible où l'activité magique n'était que le résultat du passage des Enchantress pendant leur ronde habituelle. Qu'ils soient passés à côté de ce merdier l'irritait au plus haut point surtout qu'ils avaient mis le bouleversement des portails de l'Institut sur le compte de la manifestation du pouvoir de Cellia sans une fois se douter qu'il y avait une société secrète qui tirait les ficelles dans l'ombre. Il y avait eu un rituel d'invocation de grande ampleur comme leur avait assuré l'impérhatrice et les rares preuves qu'ils avaient réussi à récolter. Des robes de cérémonies, des croix inversées et une multitudes de fioles contenant des organes et des liquides aussi visqueux que terrifiants. Ces révélations n'étaient que l'ironie du sort, elles intervenaient malheureusement où des vies avaient déjà été prises.

- Nous savons désormais que ce manoir a servi de zone rituel, concernant cette dénommée Gandji, elle est encestralement reconnue comme étant l'ennemie première des Enchantress. Malheureusement pour nous, nous ne détenons pas toutes les informations nécessaires à retracer sa venue à part une légende qui nous renseigne que moyennement. Ty détient la clé de toutes les vérités que nous avons besoin de connaître. Qu'en est-il ?

- Toujours dans le coma, la soignante nous avisera au moindre changement.

- Très bien, voici votre nouvelle mission. Vous allez me ratisser cette ville de fond en comble jusqu'à la retrouver, je me fiche des moyens que vous allez employer. Pour chacun des blocs, je veux un quatuor armé. Elle cherche la guerre, nous allons lui ouvrir le bal.

       

                              ..

Gandji

  East London lieu de villégiature par excellence. La terre y était fertile, les récoltes suffisamment abondantes pour nourrir les habitants du pays tout entier. Cette terre pour le moins calme ne connaissait plus la violence depuis l'incident de la royauté. Une lutte sanglante qui avait opposée l'élite au peuple avait établie un fait nouveau dans les coeurs précédemment enflammés. L'union triomphait des maladies extérieures quand la division encourageait l'invasion de la peste.

Ils avaient ainsi scindé le pays reconnaissant le mérite de chacun des groupements et partagé la terre équitablement. Ils avaient choisi le renouveau, un peu comme ce couple qui commencerait une nouvelle vie dans la zone agricole. Sous sa forme astrale, Gandji les observait avec appétit, un sourire enfantin étirant ses lèvres. Avec son hôte, elle venait répandre l'invitation de la mort en songeant aux Enchantress qui à l'heure actuelle devaient sûrement avoir eu vent de son joli cadeau empoisonné. Cela dit, il était bien insignifiant comparé au second qu'elle leur réservait.

L'allée de gravier sur laquelle roulait désormais leur véhicule provoquait de légères secousses et révéla une pancarte où des mots enfantin avaient été griffonnés. James contempla le bout de bois avec colère en caressant la couverture épaisse de son grimoire. Les lettres tracées brillèrent progressivement pour révéler les marques qui comprenaient les écritures blanches de sa couverture. Les pages volèrent tendrement avant de s'arrêter à un paragraphe. James lu attentivement les directives, puis matérialisa l'objet de son malheur dans son esprit en proférant le sort.

Les vitres de la voiture volèrent en éclat, obligeant Gather à brutalement appuyer la pédale de frein. Précédent ce chaos, la boule de feu invoquée s'éleva dans le ciel. Un cercle jaune aux extrémités rougeoyantes fila droit sur la pancarte pour s'en nourrir. Elle laissa dans son sillage une fumée épaisse dans une atmosphère qui se rafraîchissait à mesure que le soleil déclinait. Gandji jubila intérieurement. Son hôte apprenait vite. Il serait sûrement prêt avant les temps impartis pour la grande expiation. La terre qu'elle avait maudite allait rugir sous ses doigts, elle la grande marionnettiste serait à la base de ces futurs cris d'agonie.

Gather à qui on lançait dorénavant un regard noir, cligna des paupières avant de faire pression sur l'accélérateur. Tout ne se passait pas comme il l'avait prévu. On le sentait à son front plissé d'où la transpiration s'écoulait jusque le long de sa mâchoire. Ces mains, quant à elles suivaient le ballet incessant de ses lamentations. Elles serraient et desseraient le volant à souhait.

Il n'avait pas encore échoué. Il ne s'y résoudrait pas, ce grimoire lui appartenait. Il lui revenait de droit après tout les efforts qu'il avait consenti pour l'avoir. Il finirait bien par trouver une solution le temps de rassembler ses esprits, mais surtout de revoir son plan. Action que lui interdisait la présence du squelette bandeletté qui l'observait malgré ses orbites dépourvus d'yeux. Ce vide lui glaçait le sang, quand bien même il essayait au mieux de conserver son calme, de gérer son angoisse. La moindre erreur lui serait fatale, il s'en était douté en sentant l'aura menaçante de l'hôte qui s'impatientait à l'arrière.

La ferme leur apparut finalement avec sa cour majestueuse où une fontaine avait été recouverte. Les pierres grises du foyer luisaient dans la lueur du couché du soleil baignant les cheveux des nouveaux arrivants d'un halo magnifiquement coloré. De l'intérieur, s'échappait les notes d'une musique légère. Elles rythmaient les pas d'une petite fille et sa peluche dont les parents reposaient sur une couverture. Ils l'observaient en battant des mains joyeuses. Leurs prunelles débordaient d'amour devant le spectacle qu'elle leur offrait. Ils étaient fiers de leurs princesse adorée, mais encore pour combien de temps ?

Sur le seuil, James se laissa envahir par ces émotions qu'il jugeait imbéciles. Dans ce beau tableau ironique, il ne manquait plus que son frère pour parfaire l'équation. Un sourire hypocrite étira ses lèvres lorsqu'il s'annonça finalement les mains dissimulées dans les poches de son manteau. Lorsque son père tourna enfin le regard dans sa direction, un savant mélange de stupeur et d'effroi déforma l'intérieur de ses prunelles. Ces lèvres suivirent le rythme des nouvelles émotions qu'il développait, elle se pincèrent durement en un rictus mauvais. Sa voix fut menaçante lorsqu'il s'exprima enfin

- Je suis vraiment désolée pour ta mère mais tu n'as absolument rien à faire ici ! Je souhaite que tu t'en ailles !

James observait la main qui le menaçait en venant buter sur sa poitrine et un frisson de dégoût s'empara de tout son être. Il repoussa immédiatement l'homme en le menaçant d'un couteau. L'épouse choquée referma les mains autour de son enfant auquel elle détourna précipitamment le regard.

- Drôle de façon d'accueillir son fils, papa. Quoi, tu n'es pas heureux de me voir ?

Devant son manque d'entrain, James haussa le ton, le faisant sursauté pour la première fois. Du revers de son arme, il lui caressa l'oreille en se rapprochant dangereusement de  son visage.

- Je voulais te dire Diana, ton époux est un salopard de premier ordre et aujourd'hui, je vais me faire le plaisir de l'emmener en enfer. Gather, dépêche toi d'aller chercher le garçon.

Ce dernier s'exécuta en disparaissant au dessus des marches qui menaient à l'étage.

- Nous ne sommes pas obligés d'en arriver là, je suis ton père, nous pouvons toujours former une famille, bégaya-t-il en luttant contre la poigne qui le maintenait.

- C'est vrai ? Tu crois qu'on le pourrait ?

Le père hocha vigoureusement la tête et James éclata d'un rire sans joie.

-  En fait, répondit-il en gloussant de plus belle, je te déteste tellement que je crois que je vais faire comme j'avais prévu. Je vais détruire tout ce que tu aimes et croit moi que c'est un juste retour des choses.

Charles secouait la tête ses yeux implorant le fils qu'il n'avait jamais souhaité reconnaître. Il était même à genou, ses mains jointes suppliaient d'épargner sa famille qui n'était pas responsable de ces erreurs. Cette scène avait un arrière goût de déjà vu. C'était un peu comme assister à la chute d'un empereur qui se savait pris au piège par la mort, mais qui osait réclamer grâce à son bourreau. James rit. Cette ironie était plus que hilarante. Son rire éclatait contre les murs avant d'aller ricocher contre les cœurs esclaves en dessous de lui. De la pitié, il osait supplier sa clémence. James rit davantage. Pitié. Ce mot lui était devenu étranger depuis qu'il en avait été victime. Il se souvenait de cette première fois préméditée, de la brutalité avec laquelle cet animal s'était emparé de lui pendant que lui, l'être fragile de cette époque suppliait la terre, le monde, les astres et le ciel de lui venir en aide. A chacun des cris d'agonie que sa bouche hurlait à s'en époumoner. En réponse, il avait été témoin des gémissements qui se rapprochaient de plus en plus de l'extase. Il n y avait eu que cette transe qui le guidait, qui le motivait à aller encore plus loin. Qu'est-ce qu'il avait eu à foutre de son état post viol ? De son âme qui essayait de s'échapper de son corps ? Du dégoût que lui inspirait sa personne ou encore de ces marques qu'ils avaient dans sa chair ? De ces douleurs qu'il ressentait à prendre place aux côtés de sa mère à la table du petit déjeuner contraint à sourire, à jouer la même comédie ? Personne ne lui avait tendu la main, il avait triomphé en regardant cette fois dans la bonne direction. Il s'était saisi de ce pendentif qui lui aussi d'une certaine façon avait appelé à l'aide. Il s'était laissé galvanisé par une puissance qu'il ignorait jusque là.

Une puissance terrifiante qui vivait désormais à l'intérieur de lui. Une puissance qu'il était prêt à servir comme elle l'avait servi quand il avait été désorienté dans ce monde de déséquilibrés. Il se laissa davantage possédé par la présence interne de Gandji qui en bonne sadique lui rejoua certains souvenirs refoulés. La colère explosa dans ses entrailles semblable à un feu qui recevait de l'absinthe. De ces effluves naquit le joyeux tourbillon qui semblable à des sables mouvants s'environnaient autour de sa vie en l'entraînant dans les profondeurs de leurs entrailles. Son visage se couvrit de sueur, une lueur maléfique s'alluma dans son regard qui se tourna mécaniquement vers son père. Lui qui était la source de tout ses maux. Cet être répugnant qui lui avait ouvert cette porte au cœur même de l'enfer. Mort. Cette prière grondait dans son esprit sous tension. Mort. Cette déclaration lui réclamait l'âme de ce père indigne en sacrifice. James le saisit immédiatement par la peau du cou. Il lr projeta contre la cheminée. Un craquement sinistre résonna quand les os du crâne entrèrent en contact avec la masse de pierre. Du sang gicla en se rependant sur la nappe de pique-nique. L'épouse terrifiée hurla une seconde fois d'horreur en resserrant les doigts autour de sa croix. James se baissa en soupesant le couteau à pain qu'il lui avait emprunté.

- Alors comme ça vous êtes chrétienne ?

La jeune femme laissa échapper un nouveau sanglot qui lui brûla la gorge. Cette nouvelle tournure amusa fortement James qui lui offrit un sourire en se pourléchant les lèvres.

- Je crois bien que Dieu vous a abandonné, rit-il en se relevant fièrement, mais jouons un peu voulez-vous, aller je vous permets de prier à haute voix, je veux saisir la qualité de votre demande. Je vous ordonne de prier !

La jeune femme sursauta sa fille collée à sa poitrine lorsqu'il fit courir la lame du couteau sur sa gorge. La voix chevrotante, elle se mit à réciter le Notre Père. James l'observait, une main repliée contre sa joue.

- Bravo, l'applaudit-il en accueillant les nouveaux arrivants. Tu tombes bien petit-frère, nous étions sur le point de réviser notre catéchèse. Sais-tu ce qu'est la foi ? Demanda-t-il en consultant le grimoire qui lui indiquait une nouvelle page.

Il lut le sort en se tournant vers son frère qui tremblait de peur.

- La foi pourrait être définie comme la confiance qu'on décide volontairement de placer en une entité, une personne ou encore un objet. Elle est le reflet d'une impulsion normalement positive dans laquelle on se retrouve motivé par l'objet, l'entité ou la personne qui subit l'action de notre foi. Autrement dit, elle est le résultat du pouvoir qu'on a décidé d'accorder ou de concéder. De ce fait, qu'en est-il de la foi en Dieu ?

Il fit quelques pas vers son père qui continuait de/à se vider de son sang.

-  La foi en Dieu est une relation de privilégié disent-ils entre le divin, le sacré et notre soi. On accorde sa confiance, on applique les règles, les commandements de l'alliance et au final on jouit de cette plénitude à la con. Dans cette relation de pseudo confiance, le Créateur, gardien de notre soi nous prodigue une assurance devant les épreuves, la douleur, et tout le reste. Cette foi là dans bien des cas est capable de miracle, elle pourrait donc changer votre destinée, mais cette fin croyez moi Diana, vous ne l'aurez jamais.

Le ton qu'utilisait James était froid. Il en résultait une émotion pénible, de l'effroi mêlé à une terreur grandissante qui vous assommait aussi durement qu'une enclume qu'on précipitait contre un crâne.

- Parce que Diana, poursuivit James, vous avez la foi uniquement lorsque cela vous arrange, n'est-ce pas ? Vous avez eu la foi malgré le fait que vous aillez surpris le père de vos enfants entre mes jambes ! ( James fit une pause pour cracher sur son père) La foi vous a permis de lui pardonner, logique puisque dans bien des cas on pourrait la présenter comme l'excuse parfaite. Ne vous méprenez pas, votre Créateur je le déteste, je lui vous une haine sans frontière, mais voir une supposée chrétienne qui se dit qu'aller à l'église chaque dimanche matin et avoir un crucifix noué autour du cou l'aidera à sauver son âme de perverse, c'est une insulte, vous devriez donc avoir honte ! Heureusement, dit-il en souriant que ton Dieu a le mérite d'être juste d'où ma présence alors essaie de mieux prier que ça. Demande lui de tous vous accueillir parce que croit moi aucun de vous ne sortira vivant de cette maison. Je vais vous tuer, rit-il alors que votre agonie me réjouisse. Diana, je vous ai demandé d'agoniser, ne vous faîtes pas vous prier.

Le couteau qu'il tenait jusque là déchira lentement la robe fleurie avant d'aller se planter dans la cuisse. L'os craqua sous l'intensité due au choc. Diana hurlait à s'en exploser les cordes vocales, James faisait tournoyer la lame dans la plaie avant de la retirer d'un coup sec.

- Diana, contentez-moi s'il-vous-plaît. Aller, on reprend, mettez-y plus d'enthousiasme et de cœur.

Ce fut autour de l'autre jambe qu'il charcuta en tenant la petite fille par les cheveux. Il poignarda la mère à plusieurs reprises dans les cuisses et s'extasia devant la mélodie des pleurs collectifs. La mère éprouvée était couverte de sang, elle agonisait tel un animal aux prises avec un piège. Sa bouche rejetait des caillots de sang quand sa main restait tendue vers ses enfants qui terrifiés demeuraient silencieux. L'oeil gauche reçu un nouveau coup de couteau et la main retomba mollement sur le lit improvisé. James observait son oeuvre en se caressant la joue admiratif. Le cadavre sous lui continuait de/à se vider de son sang. A cheval sur le corps, il plongea le couteau dans le sein gauche où il fit une énorme incision. De la plaie béante, il retira le cœur qu'il porta à ses lèvres qui lui firent plusieurs baisers avant qu'il ne l'emballe dans un torchon.

Prenant une énorme inspiration, James se tourna enfin vers son frère. La chaise qu'il tenait racla péniblement le sol en arrivant à la hauteur du jeune fils. Le bruit était sec et vous vrillait méchamment les tympans. James lui fit signe de prendre place.

- Petit-frère, tu te masturbes alors ?

Un silence glaçant lui répondit, le regard du jeune adolescent demeurait verrouillé sur le contenu éparpillé au milieu des draps.

- J'ai lu un article à ce propos, il paraît que c'est une méthode conventionnelle intéressante surtout lorsqu'une fille regarde. Tu t'en rends compte Gather, mon frère est aussi un petit vicieux.

Un nouveau silence qui se bornait en tant que réponse. Frustré, James récita un sort qui donna naissance à un serpent de liane à tête rouge. La créature s'enroula autour des chevilles du jeune garçon en remontant jusqu'à son cou.

- chut chut chut, fit James en agitant l'index. Plus tu bougeras, plus tu auras mal. Je te conseille donc de te ménager.

Par la suite, James marcha jusqu'à son père qui reprenait progressivement connaissance. Il lui administra plusieurs coups de pied en lui crachant des injures. Les cris d'agonie s'enchaînaient plus vicieux les uns que les autres. Ces cris le firent sombrer dans une transe jouissive. 


Hello ! Nouveau post assez dark, vous en avez pensé quoi ?
Pas très abouti selon moi au risque de ne jamais terminer l'histoire, je poste.
Prochain post semaine pro j'espère. Je vous dis à bientôt^^

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