Petite impression de déjà vu

Je me baladais dans la forêt en direction de mon ancienne maison. Soudain, Liu atterie devant moi... de nul par. Il me fit sursautée.

- Salut chérie.

- Chérie ? Dis-je dégoûtée.

- T'aimes pas ?

- Non, alors tu ne m'appelle plus jamais comme ça.

J'étais agacée de sa présence. Je continuai à marché et il se mis à côté de moi. Nous passions à côté d'un arbre avec quelque morceau d'écorse arraché et il me plaqua contre. Il mis ces bras près de ma tête et m'empêchais de partir. Un grand sourire occupais son visage et moi, je levai les yeux au ciel.

- J'ai envi de toi et que tu revienne au manoir... avec moi.

- Pardon ? Même pas en rêve.

- Allé, S'il te plaît.

Je me baissai et passai sous ses bras. Je marchai comme si je n'avais rien entendue.

- Ca fait si longtemps qu'ont c'est pas vu, tu ne me veux déjà plus ? Continu-t-il. Fait pas ton insocial.

- Tu veux dire que à chaque fois que tu me voyais tu avais envi de me sauté ? Et contrèrement à d'autre j'ai des amis.

- Bon... Alors sinon, on peut faire un jeu.

- Quoi comme sorte de jeu ?

Il courait vers moi et me portais. Je m'accrochais à lui le plus que je pouvais parce qu'il était grand et haut pour moi. Il se dirigeait vers un petit lac près du manoir et dépliais les bras.

- Tu vas pas me lâcher tout de même.

- Peut-être ...

Je m'attendais au pire avec lui. Il commençai à faiblir des bras et je cedai paniquée :

- D'accord, d'accord ! Mais remet moi à terre s'il te plaît.

Je m'agrippai à lui en m'appuyais contre son torse. Il replia les bras et me confit :

- Cool, c'est tout se que j'avais besoin d'entendre.

- Tu t'es foutus de moi ?

- Oui... mais depuis quand tu as aussi peur de tombée, tu peux volée.

Il me déposa par terre mais je ne répondis pas et baissai les yeux en me mordiant la levre inférieur. Je pris une mèche de mes cheveux et la faisais tourné autours de mon doigt. Le vent se leva et faisait virevolté mes cheveux noir de sandre. Liu me relevait la tête et s'exclama :

- Tu as tellement changée, et j'ai besoin d'en savoir plus sur toi. Chaque jour je te voix en me posant toujours la même question : que c'est-il passé durant ce mois où tu n'étais pas là ?

Il me fixai avec ses grands yeux vert émeraude. Il m'intimidait beaucoup. Une grand sourire rassurant occupait son visage. Je détournai le regard et continuai mon chemin en toute inquiétude. Le sourire de Liu s'effaça et il courra pour me rattrapé. Il me pris les épaules et me secoua :

- J'ai besoin de savoir se qui c'est passé ! Dit le moi... s'il te plaît.

Ma tête était baissé mais je la relevai très vite accompagnée d'un regard remplis de haine. Il semblait troublé de ma réaction. Je le poussai de côté et commença à courir. J'allais chez Mary pour une soiré entre copine. J'arrivai enfin chez Mary. Je sonnai et Joe ouvris.

- Salut. Mary est là ? Demandai-je en regardant derrière Joe.

- Oui mais d'abord j'ai une surprise pour toi.

Je rentrai dans la maison, soucieuse. La grande maison de Mary était enfait un énorme labyrinthe. Aucune pièce ne se ressemblaient. Nous arrivions dans une pièce assez vintage décorée avec des meuble ancien et les murs étaient de couleur naturel. Mary nous attendait probablement ici. J'hésitais à entrer mais Joe me poussa et ferma la porte derrière moi. Elle me poussait par les épaules jusqu'à Mary qui c'était habillé bizarrement. Ses cheveux blonds étaient monté en chignons. Elle portait une tunique blanche et en dessous, un pantalon noir. C'était flippant et ça ne lui allait pas du tout.

- Salut. Dit-elle. Tu veux bien te mettre sur cette table.

J'avais un mauvais pressentiment et une impression de déjà vu. Joe me chuchota à l'oreille.

- Tu ne sentiras rien.

Je reculai de quelque pas en disant inquiète :

- Je ne ferai rien t'en que je ne sais pas se qui se passe.

Mary regarda Joe et lui fit un petit signe de la main. Joe empoigna mon bras, le tordie puis celui-ci craqua. Je fit un petit gémissement et Joe me portait jusqu'à la table tout en me tirant le bras. Je donnai un coup de tête à Joe, qui me lâcha. Je lui fit un croche pattes pour la faire tombée, puis je pris mes machettes et me mis à son niveau et posa une de mes armes sur sa gorge.

- Vous me voulé quoi au juste ? Demandai-je énervée.

- On veut t'aider, donc enlève cette machette de ma gorge! Répondis Joe en stress.

- Quoi comme aide ?

- Pour ton aile coupée.

- On va t'en greffer une. Rencherie Mary.

Je lâcha Joe quand Mary montra une aile. Elle était métalique, grande et coupante. Mary était ravie de me l'avoir montré. Joe arriva vers moi et m'endormis à l'aide d'anéstésie. Je m'écroule mais juste avant de toucher le sol Joe me ratrappa et me déposa sur la table. Ma dernière vision était Mary avec des instruments de chirurgie.

J'ouvris les yeux un peu dans les vapes. Je vis Mary et Joe me regarder me réveillé. Je me levai et regarda derrière moi. Il n'y avait rien. Mary m'expliqua :

- Ton aile est bien là mais tu peux la faire disparaître et revenir comme celle d'avant. Ton autre ailes qui était cassé ne l'ai plus et ta nouvelle fonctionne très bien.

Je fis apparaîte mes ailes et vis celle métalique. À ma plus grande surpris elle était tout aussi maniable que la normal. Un petit sourire se dessina sur le coin de ma bouche. Je "rangeai" mes ailes et remercie les deux. Mary cachait quelque chose derrière son dos :

- On se fait un p'tit film ? Vous connaissez ?

Elle sortit un film d'horreur que je ne connaissais pas, The Grudge.

- Non... mais j'en est entendu parler. Répondis Joe.

- Connais pas. Répondis-je à mon tour.

Mary sortit de la pièce en courant et nous la suivions. Nous arrivions dans un grand salon décoré de magnifiques meubles anciens et un énorme écran plat la remplissais. Mary l'alluma et sauta sur le gigantesque canapé en cuir. Elle avait déjà mis le DVD à l'intèrieur et le film commença.

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