La guerre est déclarée

Point de vue de Mary :

Je ne pouvais pas y croire. Ma petite sœur est morte à cause de ses enfoirés. Je serrais les points et me leva. Je me baladai dans les pièces saccagées du chalet. Plusieurs chose étaient brûler ou cassée. Je retournai dans la pièce principale et vis Grece à terre et ses larmes tombé sur le parquet. J'entendis un petit bruit désagréable en arrière font. Je l'écoutai attentivement. Ça ressemblait à de petit bip en continu. Je réalisai que c'était une bombe crochée sous la table du centre. Grece c'était levée, je la pris par le bras et essayai d'atteindre la porte. Nous sautions hors de la maison mais je poussai mon amie avant moi.

Point de vue de Grece :

La bombe éclata et nous projeta loin. Je regardai les débris puis la colère pris le dessus puis, plus rien. Je regardai Mary qui avait été brûlée mais moi je m'en sortais sent égratignures. Sa jambe était en mauvais état. Je n'osais pas toucher ni essayé de la soigné.

- Il faut qu'on rentre vite ! Dis-je en essayant de la soulevé.

Je réussis à la remettre sur ses jambes et je l'aidais à marcher. Elle serrait les dents. Nous devions passer par le manoir pour absolument arrivé attend. Elle perdait beaucoup de sang et je ne pense pas qu'elle survive aussi longtemps que moi. Maintenant que je n'ai plus aucune confiance avec les creepypasta et qu'il ne m'aime pas, je ne peux pas aller leur demander de soigné Mary. J'hésitai un moment et je dis alors à Mary :

- Je vais aller chez les creepypasta pour avoir du soin.

- Quoi ?! Non, ils vont te tuer !

Je la déposai près d'un arbre caché pour plus de sécurité.

- Grece ! Revient ! Non...

J'y allais un peu inquiète. J'empoignais mes machettes et les sortis sans bruit. Je m'approchai d'une fenêtre et regardai ce qu'il faisait. Jeff buvais de l'alcool avec d'autre, surement pour fêter leur attaque réussis. Une fille approcha Jeff et le baffa. Elle lui cria dessus ensuite. Je pense que c'était l'amie du gars que j'avais tué. Je regardai vers le font et il y avait Liu. Jane lui tournait autour mais il semblait être blasé et fatigué de celle-là. Je ne savais pas comment mis prendre Sois je leur volais le matériel sois, je leur demandais gentiment. Peut-être à Slender man ? Je vis le dos de Slendy. Il semblait parler avec quelqu'un. Il était près d'une fenêtre au bout du manoir. Je me dépêchai de faire le tour et arrivé à la fenêtre où il était. Je levais une de mes machettes et toquai doucement à la fenêtre. Avec des yeux sérieux je le regardai. Il me vit et ouvris discrètement la fenêtre. Il sortit par celle-ci et se redressa avant de me regarder (enfin je crois). Il tendit les bras en signe que je viens vers lui. Je refusai et lui dis :

- Je ne viendrai pas vers toi, Slender man. Je ne suis plus une enfant et beaucoup moins naïve qu'avant. J'aimerai que vous répariez vos conneries.

- J'espère de tout cœur que Jeff te pardonneras.

- Pardon ? De quoi suis-je accusée ?

- De la tentative de meurtre de Liu et...

- Vous n'avez aucune preuves contre moi, par contre moi, j'en ai beaucoup.

- Je ne pense pas que...

- Je n'ai pas finis, pour commencer tu m'as abandonnez. A Halloween l'an dernier, j'ai bien vu que vous riez bien de moi quand je me suis ramassé une balle en pleine poitrine. Vous êtes partit puis j'ai mystérieusement disparut durant plus d'un mois et quand je suis revenu tu ne m'as pas accueillis comme tu le faisais avec les autres qui sont juste partit pendant une petite heure à faire des meurtres inutiles. Mais maintenant, j'ai grandis et en ses temps de jalousie qui me rongeait, je suis partie. Ici, vous ne semblez pas trop aimez les rebelles, parce que dès le moment où je suis partie, tout le monde me remarque et me déteste. Puis aujourd'hui, je revis ma vie et vous la détruisez. Alors je voudrais juste une chose aujourd'hui, quelque chose qui puisse sauver la seule personne qui me reste.

Je lui expliquai mes besoins et il me donna le matériel. Il me regarda partir et je lui précisai dans un murmure :

- Mais ne t'inquiète pas, c'est loin d'être finis, Slender Man...

Je lui tournai le dos et commençai à courir vers Mary. Elle allait bientôt s'évanouir. Elle me vit et me fit un énorme sourire. J'avais des larmes de joie qui roulaient sur mes joues. Je donnais à manger à ma blessée et lui fit un bandage sur toute sa jambe. Je la soulève et nous commencions à marcher en direction de chez moi. Arrivé à la maison j'assis Mary sur le canapé et elle m'échangea un sourire. Elle me tendit la photo de mes parents et moi à moitié brûlée. Je la remerciai et contemplai l'image. Je regardais tous les détails. Je regardai le visage de ma mère souriante mais je me fis stoppée par le noir qui recouvrait la moitié de son visage. La colère reprit le dessus. Je posai la photo sur la table et partis dehors. Mary demanda un peu inquiète :

- Où vas-tu ? Ne fais pas de bêtise !

- Je reviens ! Répondis-je en empoignant mon téléphone.

Je composai le numéro de Bryan puis le téléphone commença à sonner. Il décrocha quelque seconde plus tard.

- Allo ? Grece ? C'est toi ?

- Oui c'est moi. J'aurai besoin de quelques outils s'il te plaît.

- Oui bien sûr de quoi as-tu besoin.

Un sourire se dessina sur mon visage.

- Des clous, un marteau des chaines, une corde et des post-it.

- J'arrive dans 2 minutes ma chère. A toute à l'heure.

- A toute...

Je raccrochai et revint dans la maison. Je vis Mary en train de ramper par terre.

- Oh, tu es là. J'ai crus que tu voulais y retourner

- Non, non ! Pas sans toi. C'est trop dangereux.

Elle se mit à rire. Je lui demandai :

- Pourquoi tu ris ?

- Trop dangereux ? T'es sérieuse ? Tu es plus forte que tout le manoir réunis.

- T'exagère.

- Fais pas ta modeste. Bon okey, des fois ils ont des armes à feu mais c'est pas grave ! Tu n'as pas de faiblesse.

- Tout le monde en a une.

- Moi oui mais pas toi ! Tu es un OGM. Tu l'as peut-être oublié mais tu as plus que tes machettes.

- J'ai l'impression d'entendre ma mère quand je cassais des œufs contre le mur. Dis-je en m'asseyant sur une chaise.

- Bah ouais. Ressaisie-toi, non d'une cacahouète !

Elle avait raison, je ne pouvais pas le nier. La sonnette de la maison retentit et j'allai ouvrir Bryan qui sautillait comme une puce derrière cette porte. Quand il me vit il me sauta dessus. Je tombai sous son poids mais je ne pouvais pas me relever tend qu'il me serrait. Je le poussai de côté et me relevai. Il le fit aussi et me ressauta dessus. Je ne tombai pas cette fois. Il ne voulait vraiment pas me lâché. Je lui pris les cheveux et le décolla :

- Enlève tes ventouses de là !

- Grecy j'ai tes demandes.

Il me tendit un carton remplis des objets que j'avais demandé. Mary mis le nez dedans.

- Pourquoi tu ces objets ? Demanda-t-elle.

- Ce soir, c'est la fête...





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