Bouquet de fleurs humain
Après une soirée des plus horrifiante avec un film qui fait froid dans le dos, nous allions nous couché. Nous nous parlions jusqu'à pas d'heure, jusqu'à ce faire rattrappé par la fatigue.
Le landemain, j'ouvris les yeux sans trop bouger. Je tournai la tête pour voir Joe qui dormais à ma droite. Je vis un mec assez bien foutus. Je mis longtemps à realiser la situation, mais quand le moment venue, je me levai à la vitesse grand V. Ni Mary ni Joe n'était là. Je regardai l'homme dans le lit et pensai-je :
Je n'est tout de même pas ...avec lui...
Je m'approchai à reculon de la porte. Je me tournai pour l'ouvrir mais soudain j'entendis :
- Alors... Ma belle ne veux pas finir sa nuit avec moi?
J'avalai ma salive et me retournai.
Pourtant je n'avais pas bu ni rien...
- Qui êtes vous?
- Tu ne te souviens pas? Joe et Mary était bien aussi, mais toi...
Je serrai la poigné de plus belle.
- Quoi moi ?
D'un coup, la poigné cèda. Je la tenai dans ma main et le gars dit :
- Et bien tu as de la poigne. Toi... toi tu es spécial et...
Je ne voulais rien entendre de plus donc je lançai la poigné sur le mec. Elle lui percuta le front si fort qui se tapa la tête contre le lit. Je m'approchai de lui en rogne et l'empoignai par les cheveux.
- Où sont Joe et Mary?!
- Elle sont dans les autres chambres! Lâche moi!!
- Guide moi !
Je le fit sortir du lit toujours avec ses cheveux bruns en main. Je le faisais trainé par terre et il me guidait :
- C'est à droite! Pitier lâche moi !
J'ouvris la porte de droites et y découvris une chambre moderne avec Joe et un autre garçon blond. Je lâche ma prise et rejoint Joe. Je la secouai et lui demandai :
- Réveil toi! Il se passe quoi avec ces gars ?
Elle ouvris gentiment les yeux et me répondis :
- Quel gars? Raaa ma tête...
Elle tourna la tête et vis le jeune homme blond à côté d'elle. Elle fit la même réaction que moi. Tout à coup, le noir me survint quand je percutai le sol.
Point de vue de Joe :
Grece était à terre assomée. Je me retournai et vis un jeune homme brun un peu décoiffé avec une barre de métal dans la main. Il essaya de me frappé à mon tour mais je l'évitai. Le gars dans mon lit était levé et avais porté Grece hors de la pièce et partit avec. Je courus dans la salle de bain et arracha un porte serviette du mur. Je retourne dans la chambre et... et personne! M*rde il c'est cassé! Je sortis de la pièce et commençai à chercher. Je marchai mais en zigzag. J'avais horriblement mal à la tête et le tournis.
Point de vue de Grece :
Je me réveillai attaché dans un lit avec le brun et l'autre blond devant moi avec des grands sourires. Mes mains étaient tendus des deux extrémité du lit en métal. Je fusillai de regard les personnes devant moi. L'un d'eux s'approchait de moi et se mis en qualifourchon sur moi.
- Ne me touche pas... Le mis-je en garde.
- Chutttt...
Il approcha sa bouche vers mon oreille et me chuchota :
- Tu es... à moi.
Suivis d'un petit rire. Il ne pu se retiré que je pu lui mordre l'oreille. Il cria et essaya de partir. Je lui arracha l'oreille et la lui cracha dessus. Du sang giclais du côtée droite. Je réussis à touché le lit qui étais en métal et mis la chaleur maximal. Le blond partit en courant je ne sais où. Soudain, un porte-serviette éfleura le gars devant moi. Il remarqua et sortit un pistolet. Il se retourna et il y avait Joe qui se tenait la tête. Enfin je réussis à me liberer de se lit. Je décrochai la premier menotte et arrachai la deuxième. Je me levai du lit et sauta sur le bonhomme. Je lui arracha le pistolet des mains, enlevai les cartouche, en remis une, roulai la roulette du pistolet, empoignai le mec, visai son entre jambe et le secoua:
- Où est Mary ?!
- Va crevé ! T'oserai même pas apuyer!
J'apuyais sur la détente mais rienne sort. Le gamin sursauta et répéta :
- Je ne dirai rien!
Je réapuis et ette fois :
- Ok, ok! Ils sont dans un salon!
Je réapuis et justifia :
- Le quel ?
Le gars transpirais. Je réapuis. Toujours rien.
- Celui vers l'entré ! Arrête ça! j'ai tout dit.
Je réapuie pour le paisir acompagné d'un grand sourire. Pas de chance pour lui, la balle sortis à se moment là. Je gars se tortillais partout en criant.
Je pris le porte-serviette de Joe et frappa le gars à la tête. Je me levai et allai chercher Mary. Je parcourus toute la maison pour la retrouvé, jusqu'à la porte d'entré. Elle avait été défoncer. Je cherchai le salon, et je le trouvai enfin après 20 minutes de recherche. Mary était bien là avec un couteau sur la gorge. Elle pleurait en regardant sa mère qui avait été découpé en morceau devant elle. C'était la seul famille qui lui restait. La colère m'envahis. L'homme qui gardait Mary en otage était roux avec des lunettes et les yeux brun. Un grand sourire se dessina sur son visage. je sentis quelqu'un derrière moi, je me retournai et frappai la personne à la tête. C'était l'agresseur blond qui était près à me frapper. Je l'énuquai et le roux devant moi était choqué était près à tranche la gorge de Mary. Soudain quelq'un entra dans la maison. C'était déjà le matin et le beau père de Mary travaillais de nuit. L'agresseur ne l'avais pas remarqué. Il vis l'action et le cadavre de sa femme. Il contourna la scène pour se retrouver derrière le méchant. Il c'était armé d'un pot de fleur. Il fraquassa la tête du gamin et il lâcha Mary qui se présipita vers sa mère. Je fonçai vers le roux qui se tenai la tête je lui arrachai son couteau et le plaquai contre un mur. Je lui fit deux petite entaille au coin de la bouche et l'éventrai. Il cria et ses joues se déchirèrent en un sourire d'ange. Il criait encore plus. Je pris ses entrailles et les lui fit manger. Son estomac, son fois, ses rein pour enfin finir par ses intestins. Il finis par s'étoufé et s'écroula par terre. J'étais recouverte de sang. Mary me sourit et regarda mon bouquet de fleur. Elle me remercia avec au moin 1 litre de larmes sur les joues. J'allai la serrer dans mes bras. Le beau-père ne regardait pas le bouquet mais sa femme qui était allongée par terre sans vie. Elle rejoint Mary avec les pleurs. Je les laissai seul et rejoint Joe qui était toujours dans la chambre avec le brun. Il était toujours aloinger par terre et allais se reveiller. Je le pris par le col et le lançai par la fenêtre. Il n'a plus jamais toucher le sol car sa tête se planta dans le portaille de la maison qui était pointus. Joe était allonger sur le lit recouvert d'un couverture bleu. Elle me confit alors :
- J'ai mal à la tête. Ces salops nous ont drogué. On s'en est même pas rendus conte. T'as pas mal à la tête toi ?
- Heu... non.
- Qu'est-ce qu'il c'est passer avec Mary?
- Ils ont tuer sa mère...
Joe baissa la tête et se leva du lit. Elle me pris la main et nous rejoingnons Mary fondu en larme. Elle était maintenant comme moi, orpheline.
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