Chapitre 61

Disclaimer :
[Ce chapitre n'est pas utile au scénario, et contient des scènes sexuellement explicites.
Âmes sensibles et inférieures à l'âge de 13 ans sont priées de passer au chapitre suivant — je sais que vous n'obéir et pas mais l'espoir fait vivre et je ne veux pas être tenue comme responsable de quoi que ce soit. Bonne lecture.]

PDV Keefe

Bien qu'elle ait démarré de manière un peu chaotique, cette journée s'est poursuivie et terminée en une soirée drôle et apaisante, personne n'étant venu perturber notre petite bulle, à moi et Sophie. Mon père ne nous a pas dérangés, puisqu'il a eu la géniale idée de me fuir en Atlantide, et Ro nous a glissé avant que nous ne montions nous coucher un petit "protégez-vous, hein" plein de sous-entendus qui a fait rougir Sophie d'un coup. J'ai retenu mon rire comme j'ai pu, mais elle l'a tout de même remarqué, et elle me l'a fait comprendre en me poussant doucement pour partir dans sa chambre sans m'embrasser — je l'ai bien sûr rattrapée pour la chatouiller, je retiens son comportement inadmissible pour plus tard, et croyez-moi que je me vengerai.

Quoi qu'il en soit, lorsqu'elle est allée dans sa chambre après sa petite punition, je l'ai remarquée soucieuse et en pleine hésitation à propos de quelque chose, mais quand je lui ai demandé ce qui la tracassait, elle s'est contentée de me regarder sans me répondre, un fin sourire aux lèvres.

Elle aurait pu me reluquer que cela ne m'aurait guère surpris.

Ro a à son tour souri bêtement en regardant Sophie s'éloigner, mais quand je lui ai demandé à quoi elle pensait, elle a détourné la conversation vers mes notes à Foxfire — chose très suspecte venant d'elle, elle me cache forcément quelque chose —, et ce soir, comme pour appuyer mes soupçons, elle ne s'est pas postée dans ma chambre comme à son habitude, mais dans le couloir en face de la porte, soi-disant pour « surveiller que Paolina ne revienne pas », alors que nous savons tous les deux qu'elle ne la sentirait pas si elle venait à apparaître.

J'ai l'impression d'être le dindon de la farce, c'est vraiment très désagréable.

Un faible bruit de pas dans ledit couloir interrompit le fil de mes pensées, attirant toute mon attention vers l'entrée de la pièce plongée dans la pénombre. Je distinguai la porte s'entrouvrir doucement et la jolie tête de Sophie passer dans l'entrebaillement, un mignon petit épi s'élevant doucement dans ses cheveux lâchés autour d'elle. Elle entra sur la pointe des pieds, refermant silencieusement la porte derrière elle, et j'aurais juré entendre le timbre de Ro lui souffler quelque chose et qu'elle aurait tressailli avant de porter les mains à son visage, mais difficile de distinguer beaucoup de choses dans l'ombre que crée la douce lumière de la lune.

Elle doit avoir un problème de chauffage dans les joues à force de rougir à tout bout de champ.

Elle s'approcha du lit et se hissa dessus sans faire de bruit, atterrissant en face de moi, évolua à quatre pattes sur le matelas pour se rapprocher et s'assit sur mes genoux, gigotant un peu pour être à l'aise dessus. Elle est donc à califourchon sur mes genoux. Sur mon lit. Dans ma chambre. Pendant la nuit, alors qu'il n'y a personne d'autre que nous dans la maison mis à part Ro que j'ai entendue s'éloigner quand Sophie est entrée.

Un défilement de pensées plutôt orientées parcourut ma conscience, et j'eus le plus grand mal à me retenir de rougir, déglutissant difficilement en me retenant de bouger pour lui cacher l'effet que cela avait sur moi. Mon regard dut pourtant me trahir, car quand je relevai les yeux sur son visage pour m'épargner la vue de son corps posé sur le bas du mien, un petit sourire narquois éclairait son visage tranquille, tandis que l'un de ses sourcils se haussait, et cette vue de Sophie me faisant un sourire aussi craquant, caressant le bas de mes cuisses du bout des doigts fit tanguer mon estomac.

Pour tenter de retrouver une contenance, je me raclai la gorge et entamai la conversation, ma voix sonnant — et étant — peu assurée, presque absorbée par le silence de la chambre, silence qui contrastait radicalement avec le déluge de pensées dans ma cervelle que je peinais à garder neutre :

— Euh... Bonjour Sophie ? Que me vaut ta douce présence en cette merveilleuse... soirée...

Mes mots moururent dans ma gorge quand elle remonta doucement ses mains sur mes cuisses, et je crois bien que mon rougissement passa les barrières de ma conscience, car mes joues me brûlèrent vivement et son sourire s'agrandit, découvrant ses dents blanches et faisant pétiller son regard. Elle se mordit les lèvres pour ne pas rire, et la voir les mordiller me donna furieusement envie de me redresser d'un coup pour l'embrasser.

J'ai des envies étranges depuis que je suis en couple avec elle, tout de même...

Je déglutis difficilement — encore une fois — et la narguai, elle toujours sur mes jambes :

— Comptes-tu me reluquer toute la nuit ? J'imagine bien que cette activité promet d'être des plus plaisantes, mais je pense honnêtement que te rapprocher pour me voir de plus près ne te déplairait pas, tu te trouves fort loin de moi et il fait fort sombre dans cette pièce...

Elle s'avança à quatre pattes, à deux doigts de rire devant mon air bravache tout à fait feint, et vit distinctement — j'en suis sûr — mon sourire se faner quand elle s'assit sur le bas de mon ventre. Elle me regarda ensuite de haut, et la lueur dansant dans ses yeux me donna encore une fois une envie pressante de l'embrasser. Je détournai le regard, ne souhaitant pas la brusquer par des actes trop téméraires, mais c'est là que j'aperçus son bassin posé bien sagement sur le mien — je relevai donc les yeux bien vite pour ne pas être tenté de penser à quoi que ce soit, étant quitte pour fixer ses yeux brûlants plantés dans les miens. Alors que mes yeux voyageaient entre son corps et le mien, elle, elle réfléchissait, tourmentée par cette drôle d'émotion que j'avais déjà aperçue un peu plus tôt dans la journée. Quand mes yeux remontèrent dans les siens, que ses mains étaient posées sur mon ventre au niveau de mon nombril et que je pesais le pour et le contre de sceller nos lèvres, elle se pencha vers moi, et me souffla dans le creux de l'oreille, me faisant imperceptiblement frissonner, sinon complètement immobile pour ne pas la toucher :

— Pour une fois que c'est toi qui es perturbé et pas moi..!

—  C'était donc ça... Murmurai-je en faisant mine d'applaudir, camouflant mon trouble de la voir assise aussi proche de mon intimité. Bravo Foster, je suis étonné et surpris de votre désastreux comportement de ce soir, vous m'en faites décidément voir de toutes les couleurs.

Elle ne me répondit pas, et se releva rapidement, se réinstallant sur mon bassin — je rougis en grimaçant légèrement — et reprenant sa position initiale. En voyant mon regard, elle dut comprendre que je me retenais de faire quoi que ce soit, puisqu'elle gloussa gentiment en me tapotant le ventre, tel un petit « allons, allons ». Sauf que la sentir toucher une zone aussi sensible me fit légèrement rougir, et qu'elle s'en aperçut également, un ricanement passant ses cordes vocales. Je sentis ses émotions partir dans une boucle très étrange, mêlant des centaines de sentiments en mêle temps, avec en tête... la fourberie.

Elle va m'embêter.

Ses mains, ses sages petites mains, qui pouvaient transmettre un immense pouvoir, faire des chatouilles comme personne ou préparer les plus délicieuses des éclateroles, ses mains commencèrent à tracer de petits cercles sous mon nombril, descendant doucement à chaque passage. Tout mon corps se tendit, mon regard se fixant sur ses doigts, et je me maudis à l'instant d'avoir retiré mon haut pour dormir, car je voyais les quelques poils qui tapissaient le bas de mon ventre se hérisser alors que des décharges semblaient dévaler mon torse pour se fixer , juste sous elle, et savoir qu'elle pourrait bientôt sentir mon excitation me gêna intensément, bien que je pensai qu'elle était au courant de ce qui risquait d'arriver. Tout en continuant ses petits cercles sous mon nombril, elle se pencha pour approcher son visage de mon torse, planta son regard dans le mien et commença à souffler très doucement sur mes pectoraux, dont les poils se hérissèrent également sous le courant d'air soudain que son geste produisit. Pour ne pas réagir, je voulus détourner mon regard du sien, mais cet effort me coûtait tellement que je ne parvins pas à regarder autre chose que sa langue, qui vint passer la barrière de ses lèvres et retracer le contour d'une de mes côtes frémissantes. Sans même y penser, ma langue passa sur mes lèvres pour les humidifier en voyant cette créature penchée sur moi, pas si loin que ça de mon visage, elle n'avait que peu de distance à franchir pour m'embrasser.

La simple pensée de l'embrasser me procura à nouveau des pensées particulièrement ciblées, que je ne parvenais pas à réfréner totalement tant la vue que j'avais me perturbait. Pour couronner le tout, une certaine partie du bas de mon corps commença à se réveiller, quelques secondes de plus seraient suffisantes pour que Sophie la sente, et rien que cette constatation accéléra le processus, ce pour quoi j'eus la violente envie de me flanquer des baffes.

Une seconde.

Elle se redressa, décollant momentanément son bassin du mien, et passa son bras au-dessus de ma tête pour se maintenir en équilibre contre le mur derrière moi, approchant son visage de mon oreille.

Oh non, elle sait que je suis particulièrement sensible à ses-

Une première petite plainte me figea, une seconde m'humecta les lèvres, une troisième démangea mes mains de la toucher, une quatrième planta mes talons dans le matelas pour me retenir, une cinquième plaqua mes mains contre mon visage. Puis elle se rassit, semblant ne pas sentir se qui se passait deux couches de tissu sous elle. La sentir me toucher me fit passer mes mains dans mes cheveux en inspirant un grand coup, et elle profita de ce petit instant où je regardais en l'air pour tenter de me calmer pour déposer ses lèvres sur les miennes, et y passer sa langue pour se dégager un chemin. Instantanément, je vins agripper sa taille pour la coller contre mon torse, essayant d'oublier qu'elle était assise sur mon intimité maintenant bien réveillée, et envoyai ma langue rejoindre la sienne dans une danse bien trop lente à mon goût d'affamé, mon appétit attisé par toutes ses actions, destinées à me faire perdre la tête. Dans le mouvement, je me redressai à moitié, ce qui lui permit de passer ses mains derrière mon cou et d'en appuyer une à l'arrière de ma tête pour rapprocher nos visages, mais pourtant j'en voulais plus, tellement plus, et j'avais peur de ce qui allait arriver, parce que si mon intimité était réveillée — j'en avais fait l'amère expérience une fois —, elle allait mettre un moment avant de se rendormir, ce qu'étrangement je ne souhaitais pas, voulant plutôt profiter du corps qui se mouvait contre le mien pour m'imaginer des centaines de scènes obscènes, conscient que trop ne serait pas possible avec Sophie — ce qui était tout à son honneur, moi non plus je n'étais pas prêt.
Alors que la température de la pièce semblait monter sans s'arrêter, les seuls sons résonnant dans l'air étant nos respirations saccadées — la mienne du moins —, Sophie trouva inconsciemment le moyen d'ébranler toutes les contraintes que je m'étais données ; toujours en position semi-assise, les jambes légèrement écartées pour m'assurer un minimum d'équilibre, elle assise entre mes cuisses ayant elle aussi les jambes semi-pliées pour nous assurer une stabilité commune, son bassin amorça un mouvement vers l'avant, percutant cet endroit et me faisant interrompre le baiser pour haleter dans son cou, surpris et désarçonné par ce geste très téméraire pour elle. En lui jetant un coup d'œil à la dérobée, je m'aperçus qu'elle s'en était aussi rendue compte, et rougissait en frôlant mon cou de son nez, levant un regard coupable vers moi — regard qui ne fit qu'augmenter mon, il n'est plus nécessaire de le cacher plus longtemps, désir pour elle. Sans rien dire, elle percuta mon bassin du sien une nouvelle fois, volontairement cette fois, et un peu plus fort, me faisant légèrement gémir d'une voix rauque. Elle tressaillit au son produit, plus grave que ma voix déjà mature, et se mordit la lèvre en haletant à son tour, un très petit son parvenant à mon oreille.

Cette douce torture me rendait complètement fou, je pris donc la décision de la renverser sur le matelas, me trouvant de cette manière au-dessus d'elle, l'empêchant de toucher cette zone — qui m'embarrassait énormément. Je ne perdis pas de temps et l'embrassai, entourant son visage de mes mains pour l'empêcher de jeter un œil au fameux endroit, ce genre de choses n'était décidément pas adapté à sa vue innocente pour qu'elle le voie. Ma langue plongea à la rencontre de la sienne, tournant autour, se pressant contre elle, retraçant le contour de ses lèvres, embrassant ses pommettes, ses paupières, ses joues, ses tempes, son menton, encore ses lèvres, mais tout cela ne faisait que m'exciter encore et encore, les petits sons qu'elle ne se rendait même pas compte de produire, ses mouvements, ses mains parcourant lentement la peau de mon dos, retraçant mes muscles, tout le long de ma colonne, serrant mes hanches entre ses paumes — un nouveau gémissement m'échappa, provoquant le sien —, remontant par mes côtes pour prendre mes épaules et s'y accrocher comme un koala en liant ses jambes autour de mon ventre, m'obligeant à m'allonger sur elle — tomber serait plus approprié, elle m'avait surpris, et un incontrôlable coup de bassin sortit hors des barrières de ma conscience à cause de ma petite chute juste contre son ventre.

*han*, gémis-je malgré moi, des étoiles semblant apparaître dans mon cerveau tant la sensation de son corps me touchant à cet endroit sensible me faisait du bien, Sophie, il faut-

Sans m'écouter, elle donna un nouvel accoup, appuyant son geste de ses talons pressés contre le bas de mon dos, bien décidée à me faire perdre la tête, puis un second bien plus fort accompagné d'un petit son, qui enflamma mon visage et produisit chez moi un gémissement bien plus fort que les précédents, la puissance de mes cordes vocales semblant varier selon le plaisir que j'éprouvais — il ne s'agit plus que de ça maintenant je pense, je suis immonde. Je m'apprêtai à reparler — ou tenter, puisque respirer me paraissait déjà compliqué — mais elle m'embrassa pour m'empêcher de le faire, passant sa langue contre la mienne. À ce moment, j'eus toutes les peines du monde à ne pas la suivre, elle qui semblait si détendue, et à m'abandonner avec elle, mais... je n'y arrivais pas, une interdiction flottait dans le fond de ma tête et je savais qu'elle allait bientôt ressurgir dans celle de Sophie également ; je voulais simplement garder le contrôle de mon corps et de ma pensée jusque là, pour ne rien regretter plus tard et pour ne pas lui faire de mal, car je savais que si je m'abandonnais complètement, me calmer serait impossible et elle aurait peur de moi.

— S-sophie, i-il faut vraim-ment *han* que tu arrêtes, s'i-il te plaît, peinai-je à articuler, ses lèvres embrassant la moindre parcelle de peau de mon cou, descendant sur mes clavicules et remontant jusqu'à ma mâchoire, qu'elle mordilla doucement avant de remonter son regard vers moi.

— Pourquoi ? Tu n'aimes pas ça ? S'inquiéta-t-elle en rougissant, une pointe de culpabilité surgissant dans son complexe émotionnel.

— Si, et c'est justement le problème, grimaçai-je en retenant son visage de se baisser pour regarder l'endroit problématique. Tu sais ce que je veux dire.

Elle rougit pour toute réponse, mais sa curiosité alla plus vite que moi, et elle baissa vivement la tête, la remontant aussitôt en cachant son visage dans ses mains.

— Oh non je suis désolée, balbutia-t-elle à toute vitesse, je ne savais pas que ce serait à ce point, je l'ai senti en plus, mais- et puis tu voulais me cacher ça et moi je regarde- oh je me déteste, marmonna-t-elle ensuite en posant sa tête contre le matelas.

Je pouffai pour toute réponse, pas vraiment fâché.

— Tu devrais pourtant savoir que ton emprise sur moi est puissante, jeune fille, fis-je semblant de la gronder en approchant ma tête de la sienne.

Elle ne me répondit pas, tressaillant simplement quand mon souffle atteignit son épaule partiellement dénudée par nos mouvements.

— Et puis... Continuai-je en réfléchissant à voix haute, ne pourrais-je pas... je ne sais pas... te faire la même chose, en guise de vengeance ?

Sa tête se releva immédiatement, médusée de voir que je n'étais pas fâché et que je voulais continuer.

— Tu es sérieux ? Demanda-t-elle tout de même, sur la défensive. Tu es sûr que tu en as envie-

— Tu en doutes sérieusement ?

Elle se retint de baisser les yeux vers le bas de mon corps, et je lui en fus reconnaissant. Cette partie de moi me dérangeait réellement, sans doute étais-je un peu trop pudique.

— Eh bien... Je ne sais pas... Hésita-t-elle. Je suis fatiguée, s'excusa-t-elle en rougissant.

— Pas de problème, lui souris-je en retour.

Elle me sourit faiblement et s'affaira à récupérer les couvertures au bout du lit alors que j'allumais une petite lumière pour y voir quelque chose pendant la mise en place du lit. Sentant mon excitation partiellement retombée, je n'eus pas peur de me poser près d'elle, entourant sa taille d'un de mes bras.

— Keefe ? Me dit-elle d'une petite voix alors que j'étendais le bras pour éteindre la lumière.

— Oui ?

— Tu ne m'en veux pas ?

— Pourquoi t'en voudrais-je ? Lui demandai-je en retour, amusé. Sophie, ne t'inquiètes pas, je me suis contrôlé tout à l'heure pour ne pas faire n'importe quoi, je ne comptais de toute façon pas faire grand-chose de nouveau avec toi, tu le comprends ça ?

Elle hocha la tête sans rien dire.

— Je ne ferai jamais rien sans ton accord, et si tu veux qu'à un moment on arrête ce qu'on fait pour une quelconque raison, que ce soit parce que tu n'as plus envie, ou parce que tu ne te sens pas bien, alors on arrêtera, parce que ton bonheur est aussi le mien, et que je ne veux pas te faire du mal pour mon propre petit désir personnel. On est d'accord ?

— Tu sais que ce que je ressens pour toi en ce moment est aussi grand que le système solaire ?

Je l'embrasse en souriant, conscient qu'avouer ses sentiments est quelque chose de difficile pour elle et qu'elle ne me ment pas quand elle me dit ce genre de choses.

— Je t'aime.

C'est sorti tout seul, je n'ai même pas réfléchi.

La surprise se peignit sur ses traits, avant de les fendre d'un immense sourire. Elle se pencha sur mon visage pour picorer mes lèvres de pleins de petits bisous, et me serra dans une douce étreinte.

— Un jour, je te le dirai aussi. Bonne nuit Keefe, murmura-t-elle en sombrant dans le sommeil, son corps s'affaissant contre le mien.

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Date de la sortie initiale : ouh là bonne question

Date de la réécriture : 24/06/2021
Date de réécriture finale : 13/03/2022

Bien le bonsoir.

Ceci était un petit lemon, pour les nouvelles/eaux sur Wattpad, c'est tout simplement une scène un peu chaude voire même carrément plus approfondie, mais bien que j'adore en lire, mon talent pour en écrire est un peu tout pourri, je m'en excuse, j'ai quand même fait mieux que le précédent mais... 👀 voilà.

Si ça en a gêné certains — ou certaines, que c'est pénible de devoir préciser sous prétexte que tout le monde ne se sent pas inclu, alors que c'est logique — j'en suis sincèrement désolée, je m'assure toujours de ne rien faire de trop explicite quand même parce que je n'arrive pas à faire aller trop loin ces deux personnages en particulier, peut être parce que je les connais depuis mes onze ans mais bref, en tout cas je ne veux brusquer personne et dites-moi vos retours surtout, que je sache si mon jugement est faussé parce que je ne crois pas en moi ou si c'est pas trop mal.

> petits avis sur ce que vous avez lu, et si vous en aviez déjà lu avant — si ça ne vous gêne pas de m'en faire part, moi j'assume d'en avoir lu plein, du moins en anonyme ^^

Je vous dis à une prochaine, et si vous ne voulez plus jamais en lire de votre vie pour une quelconque raison qui ne regarde que vous, ne lisez pas le dernier chapitre de cette histoire, intitulé Bonus Sokeefe.

Bonne journée/soirée/nuit/semaine/année/matinée/santé.

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