☆Chapitre 6☆

Les heures suivante passèrent, lente, monotone. A moins que ce soit des jours ? Des semaines ? Sophie n'en savait rien. Elle avait perdu le compte. Son cerveau s'était débrancher. Parfois, elle croyait entendre des mot, des paroles. Mais elle avait l'impression de se noyer dans un lac noir. Seul la tristesse lui semblait bien rééle.

Au bout de quelque temps, sa conscience revint. Sa première impression fut une douleur cuisante au niveau des poignés et des chevilles. Puis, elle eu l'impression que chacun de ses membres la brûler. Une brume grise dans sa tête l'empêcher de penser clairement et d'aligner deux mots cohérent. Elle ouvrit les yeux, lentement, doucement. Tout ses membres était gelées et elle ne sentait plus ses doigts.

Il fallut quelque temps a ses yeux pour s'habituer au manqie de luminosité de la petite piece, qui devait se trouver dans un sous sol. La pièce n'avait aucune lumière et aucun meuble, mis à part deux tabouret et une petite table dans un coin. Dans le coins opposé de la pièce avait été jeté son sac et l'éclaireur de Fitz. Elle tenta de marcher pour atteindre leur affaire, mais elles ne put bouger les pieds. Quand elle baissa la tête, elle remarqua enfin les épaisse corde qui lui entaillait poignée et cheville. Ses ravisseur l'avait assise dans un coin de leur cachette, sur le sol dur et terreux. Elle tourna la tête sur le côté, esquissant une grimace à cause de sa nuque raide.

Fitz était à côté d'elle, cheville et poignée entravait, il avait la tête entre ses genoux mais n'était pas réveillé. Elle ne distinguer que sa silhouette dans et ne pouvais connaître son état.

Il fallait qu'il se réveille. Il fallait qu'ils arrivent à fuir. Elle lui donna un coup de coude. Aucune réaction. Elle essaya alors quelque chose qu'elle n'avait jamais essayais auparavent. Elle avait toujours vu sa télépathie comme une malédiction, mais si elle arrivait à le maîtriser, pourrait t-elle devenir un atout ?

Elle ferma les yeux. Elle imagina son esprit comme une couverture, qui s'étendait vers la tête de Fitz. Elle transmettait sans relâche le nom de son ami. Au bout de quelque temps, une voix, faible, fatigué, mais une voie mental lui repondi :
"Je suis la."

Sophie puisa dans ses dernière force pour lui transmettre de se réveiller car ils devaient fuir. Alors, lentemment, trop lentemment, le corps de Fitz se mit en marche. Il commença par relever la tête et battre des paupière pour habituer ses yeux à la basse luminosité, avant d'essayer de bouger poignet et doigt. Il tourna la tête vers Sophie, et malgré le noire, Sophie vu dans ses yeux qu'il était aussi perdu et sonné qu'elle.

-Que... Qu - Est-ce qui se passe ? Lui demanda t-i avant de se souvenir des derniers evenements. Qu'est - ce  qu'on va faire ? Lui demanda t'il doucement.

-Je ne sais pas... Il faudrait éviter de parler à voie haute, nos kidnappeur nous entende peut être...

-Mais comment pouvons nous parler, alors ?

-On est télépathe, non ?

-Oh... Alors, tu peux rentrer dans ma tête, si tu veux.

Sophie fronça les sourcils.

-Pourquoi ? Quand je t'ai transmis de te réveiller, tout à l'heure, je ne suis pas rentré dans ta tête...

Fitz écarquilla les yeux.

-Comment as tu fait ?

-Bah... J'ai... imaginer ma conscience comme une couverture pour... aller jusqu'à ton cerveau, et je ne suis pas rentrer dans ta tête...

Elle n'aurait jamais cru dire ça un jour. Étirer sa conscience... Pour parler mentalement à quelqu'un, voilà qui étais bizarre.

Fitz ferma les yeux, pour les ouvrir quelque instant plus tard.

-Non... J'y arrive pas ! Tu dois être vraiment puissante pour arriver à faire ça ! Depuis quand es tu télépathe ?

-J'ai pu lire dans les pensées des gens quand j'avais 5 ans. Je le suis réveiller a l'hopital après m'être taper la tête, et j'ai pu entendre les voix, dit Sophie en fermant les yeux, en souvenir douloureux moment où elle s'était réveiller, des aiguilles branchées sur tout le corps.

-5 ans ? Tu es sur ? Aucun elfe n'a jamais connu de talent aussi tôt !

-Oh que oui, je suis sur, lui répondit elle doucement.

Un long silence s'installa.

-Ça a du être... dur, pour toi, murmura Fitz.

-Oui, tu n'a pas idée. Mais... On fait avec. Et puis, je n'avais pas vraiment d'autre solution, et je ne pouvais...

-...Doivent rester là encore quelque temps. Quel boulot nul ! Je ferais mieux de...

-Chut ! Ils sont peut être réveiller.

Instinctivement, Sophie avait fermer les yeux et s'était remis dans sa position initiale. Elle espérait que Fitz avait fait de même. Elle entendit des bruits de pas sur le plancher grinçant. Quelqu'un s'accroupit en face d'eux et posa une main sur leur front.

-Ils sont conscient. Leur pensée vont bien trop vite pour qu'ils soit sous sédatif. On fait quoi ?

Sophie se mit à paniquer. Ces hommes étaient capable de tout, elle le sentait.
L'un avait une voie grave et rocailleuse, et Sophie se demandait si il n'essayais pas de masquer sa voie tandis que l'autre ne parlait qu'en murmurant.

Quelque seconde après,elle sentit qu'on lui plaquait un mouchoirs sous le nez. Elle aurait voulu se débattre, faire quelque chose, mais elle n'avait plus la force. Juste avant de sombrer, elle sentit, comme un léger fourmillement agréable, une onde puissante, lui parcourir le cerveau. Et puis, elle s'évanouit.

*

Prés d'un jour s'était écouler depuis que Sophie était aller faire ses adieux à sa famille. Alden n'avait pas dormit de la nuit. Il arpentait son bureau de long en large, son transmetteur (une sorte de téléphone - vidéo Elfique) dans la main droite, tandis que la gauche tirait nerveusement ses cheveux à se les arracher.

Il avait tout fait : prévenir le conseil, aller devant la maison de sophie, scrutant chaque brin d'herbe, comme si il allait y trouver la réponse, appelant toute ses connaissance, au cas où ils aient vu son fils ou une fille blonde aux yeux brun. Il avait les traits tirer par l'anxiété, et des cernes de la même couleur que ses yeux était apparu. Il avait aussi prévenue son apparenté, Quinlin Sonden. Étant plus proche des conseillers que Alden, il serais plus à même de convaincre les conseillers de les rechercher.

Il fallait absolument qu'il les retrouve. Car si il leur arrivait malheur... Il ne se le pardonnerais jamais.

Sa femme et sa fille, Della et Biana, avait tout tenter pour l'aider à se détendre. Alors elle aussi, arpentait le s'allonge immaculé d'Everglen, s'inquiétant pour la santé de leur fils, de la à jeune elfe et d'Alden.

De son côté, Quinlin s'était rendu à Eternelia et avait réclamer une audience des conseillers. Il fallait qu'il aide Alden, non seulement car s'était son apparenté, mais Alden l'avait toujours aider quand la situation commençait à se corser. Alors maintenant, à lui de lui rendre la pareil.

Les conseillers n'étaient pas habituer à ce genre de situation. En effet, les elfes était plus pacifique que les autres espèce, étant donné que leur esprit se pulvérisait sous l'effet de la violence et de la culpabilité. Alors les infractions aux lois étaient très rares.

Trente minutes après que Quinlin ne les ai appelé, les conseiller s'était retrouver dans le salon d'Everglen afin de discuter calmement et de permettre à Alden et Della de suivre la conversation.

-Donc, si j'ai bien compris, dit un elfe au yeux saphir et aux cheveux noir, l'elfe perdue aurait disparue avec le fils Vacker, hier, vers 19h, dans une ville des humains, et nous n'avons pas eu de nouvelles depuis ?

-Exactement. Nous cherchons donc un moyen de les localiser, et de les pister, et nous voulions savoir quelle piste, ou quelle aide le conseille pourrait nous fournir. Nous n'avons aucun moyen de savoir pourquoi ont ils sont disparu

Le conseiller Émery, le porte parole du conseil, se retourna vers l'ensemble des conseillers derrière lui pour réfléchir à la question. Le conseiller Émery, étant télépathe, devait ouvrir son esprit à toute les pensée des onze autres conseiller, afin d'administrer un débat télépathique et de préserver ainsi l'image d'unité du conseil.

Au bout de quelque instants, il se retourna et annonça :

- Nous devons dabord trouver pourquoi ont ils disparuent.La situation est compliquer. En effet, nous avons plusieurs hypothèse possible pour cette disparition. Sophie aurait très bien pu, quelque soit ses motivations, enlever ou... Enlever Fitz afin de ne pas venir dans les citées perdues.

-Sophie n'aurait jamais fait ça, le coupa Alden.

-Mr Vacker, combien de temps l'avait vous côtoyer ? 3 heure ? 4 heure ? Ce n'est pas assez pour connaître la jeune elfe. Il y aurait aussi pu avoir un problème lors du saut lumineux. Leur concentration aurait pu être disperser pour différente raison ou...

-Impossible. Mon fils et Sophie était équiper de Nexus.

-Mr Vacker, vous savez aussi bien que moi que même avec un nexus, il est possible de s'évaporer. Et, avec tout le respect que je vous doit, arreter de me couper la parole, dit il d'un tont autoritaire. Ensuite, certaine personne aurait pu vouloir les kidnapper. Le cygne noir reste une possibilité. Il aurait très bien pu vouloir récupérer Sophie pour qu'elle reste encore un peu dans les citées interdite. Et Fitz aurait fait un témoin encombrant.
Il peut y avoir des milliard de raison pour leur disparition.

La voie d'Alden résonna dans la tête de Quinlin.

-Tu en pense quoi ?

-Je pense... que dans tour les cas, nous devrons consulter le registre du pendentif d'identification, lui répondit t-il mentalement avant d'ajouter à voie haute : Pourrions nous consulter leur pendentif d'identification afin de retracer le dernier moment où ?

-Bien sûr, lui répondit Émery en inclinant la tête. Nous nous chargerons de vous faire parvenir tout les dossiers que nous auront sur leur pendentif d'identification à la date d'hier. En attendant, reposez vous. Alden, je doute que vous puissiez tenir encore une heure sans dormir.

Della s'empressa de prendre le bras de son mari pour l'emmener dans sa chambre.

Alden avait l'impression que rien n'avancer. Attendre, voilà ce qu'il devait faire, et ce qu'il fesais de puis déjà longtemps. Néanmoins, des que sa tête se posa sur son oreiller, il tomba dans un sommeil profond, comme ci il n'avait pas dormit depuis des mois.

Près d'une heure plus tard, Della s'approcha doucement de son mari pour le réveiller. Alden ouvrit lentement les yeux. La lumière le fit plisser des yeux, mais il arriva à se lever pour se rendre vers le salon. La, Quinlin l'attendait, de rouleau de papier dans les mains.

Alden fit signe à son amie de s'asseoir sur le canapé. Quinlin lui tendit un parchemin, et ensemble, il commencèrent à analyser les deux parchemin. Il ne leur fallu que quelque minute avant de trouver ce qu'il leur fallait.

-A partir de 18 heure, les coordonnées sont les même. A 18h 38, les coordonnées changent completement, pour ne plus jamais changer, dit Alden.

Son ami se retourna vers lui, les yeux aussi equarquiller que ceux d'Alden.

-Tu veux dire que...

-Leur kidnappeur ont oubliée d'enlever leur pendentif d'identification !

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