☆Chapitre 35☆
Sophie descendit en vitesse de l'alicorne, saisissant au passage le poignet de son amie et entraîna Linh et Silveny vers une grande haie, tandis que Linh fut prise d'une quinte de toux.
-Quel est cette odeur ? Demanda Linh lorsqu'elle eu retrouvée sa respiration.
Sophie huma l'air âcre du monde humain. Même si la puanteur était affreuse, elle aurais presque pu s'imaginer qu'elle était encore à l'époque où son seul soucis était les lycéens de son école.
-La pollution. C'est assez étrange.
Silveny les avait suivis à l'écart de la foule. Seulement, la haie n'étais pas assez grande pour cacher ses grandes ailes. Pourtant, personne ne la remarqua.
-Pourquoi aucun Humain n'a encore appeller la police en nous voyant ? Demanda Sophie.
Linh désigna une petite sphère sombre qui était accroché autour de la corne de Silveny.
-Un obscurateur. Il permet de distordre la lumière afin de cacher ses utilisateur. Nous somme donc cachés de la vue des humains.
Sophie hocha la tête,réfléchissant à toute allure. Ils étaient sur l'une des places les plus fréquentés du monde. Avec une mission. Et un cheval aillé.
-Tu as ton transmetteur ? Demanda Sophie a son amie.
-Oui, pourquoi ?
-Je vais chercher des informations sur la menace. Si je trouve quoi que ce soit, je t'apelle, Attendez moi ici.
Linh commença à ouvrirent la bouche comme pour contester la décision de son amie, mais se ravisa finalement, se contentant d'acquiescer en posant une main sur le cou de Silveny.
-Dépêche toi, on ne peut pas rester longtemps ici.
Sophie se dirigea vers une rue adjacente. Elle trouva rapidement un marchand de journaux. La plupart des journaux affichés en première page l'image de Big Ben entouré d'échafaudage. Les humains avez donc deviner la supercherie.
Saisissant les premiers journaux qui lui passait sous la main, Sophie se dirigea ensuite vers le guichet pour payer à l'aide des billets humains que le conseil avait bien voulu lui donner.
Sa langue natale lui revenait naturellement. Plus le temps passé, plus elle voulait quitter ce monde à la fois si étrange et si familier. Tout lui rappeller des souvenirs, et tout lui rappeller la vie qu'elle avait choisie d'abandonner de son plein grès.
Sur le chemin du retour, son regard se perdit sur les façades des immeubles parisien qui lui paraissait tellement plus fade que ceux des elfes. Et tellement plus chaleureux...
Lorsqu'elle arriva la ou devez être Linh et Silveny, une voix retenti.
-Ici, murmura Linh en attrapant la cheville de sophie.
D'un coup, l'illusion se dissipa, et apparu devant elle Silveny, allongé sur l'herbe, et Linh, adossée sur l'alicorne.
-Il faut qu'on trouve un endroit où aller. Même si personne ne peut nous voir, la foule comporte peut être un membre des invisible.
D'un coup, Sophie se retourna, fixant avec anxiété l'immense foule amassait au pied de la celebre tour effeil. Elle n'avait jamais envisagée cette hypothèse.
-Détend toi ! Même si ils étaient là, il ne nous reconnaisseraient pas !
-Parle pour toi ! Ils doivent avoir des affiche de moi dans toute leur planque ! Je parie même qu'ils s'amusent à lancer des couteaux dessus quand ils s'ennuient !
Linh rigola.
-Je ne peut pas te contredire. Mais arrête de stresser, tout va bien se passer.
-J'ai l'impression d'entendre Alden,
marmonna Sophie.
-Quoi ? Demanda Linh.
-Rien. Il faudrait trouver un endroit où s'installer.
Linh la fixa, comme si elle s'attendait à ce que Sophie ai la solution miracle.
-Je n'ai jamais vécue chez les humains, à toi de me dire.
Seulement, à la connaissance de Sophie, aucun endroit sur pour un cheval ailée existait en dehors des citees perdues.
Alors, une idée germa dans l'esprit de Sophie. Toute les pièces du puzzle semblait s'emboîter. Mais elle refusa d'y penser, préférant refouler son idée au fin fond de son esprit.
-On aura le temps de s'en inquiéter plus tard. On ferais mieux de commencer l'enquête.
Linh hocha la tête, presque à contre coeur, avant de tourner la tête vers Silveny.
-Tu pourrais te teleporter et revenir quand je te le demanderais ? Demanda Sophie a Silveny.
Pour toute réponse Silveny se releva et étira lentemment ses ailes, ce que Sophie prit pour un oui.
Les yeux de Linh s' aggrandirent quand elle comprit l'idée de son amie.
-Tu es sur que c'est une bonne idée ? Demanda Linh.
-Non. Mais on n'en a pas d'autre. Je te transmettrais une image de l'endroit où nous somme quand je te demanderais de rentrer. Au moindre soucis, dis le moi, ajouta Sophie a l'adresse de de Silveny. S'il te plaît...
-Sophie peur ? Demanda la scintillante alicorne.
Des larmes salées pérlerent aux coins des yeux de Sophie, qui s'empressa de les ravaler.
Silveny s'approcha de la blonde tu posa son mise au sur sa joue.
-Sophie Bien. Silveny Confiance.
- Merci... (Sophie s'écarta) Tu ferais bien de partir. Moi aussi, j'ai confiance en toi.
Silveny commença à battre lentement des ailes, avant de s'élever au dessus de la capitale Française, jusqu'à disparaître de leur vue sous l'effet de l'obscurateur dans le ciel nuageux. Un grondement retentit, ce que tout humain devait associer à un eclair. Mais Sophie savait que Silveny venait de partir.
Elle carra les épaules, avant de se tourner vers Linh qui fixait le ciel.
-On ferait mieux d'y aller.
Toute deux commencèrent à marcher dans la capitale, en essayant de ne pas bousculer la foule qui s'amassait au pied de la dame de fer.
Elles déambulèrent ainsi jusqu'à la fin de l'après midi. Au fur et à mesure, Sophie se detendait. C'était la quête de Linh, et Sophie stressait plus que cette dernière. Elle devait rester forte.
Lorsque les 18 heures sonnerent, elles décidèrent de s'arrêter à la terrasse d'un café.
-Quesqu'on à apprit, finalement ? Demanda Linh à Sophie.
-Que les humains ne se baladaient plus en armure et qu'ils n'habitaient pas tous dans des châteaux ? Plaisanta Sophie.
-Non, sérieusement, à quoi ça a servi, cette balade ?
-A te présenter le monde humain. On ne peux pas te battre pour quelque chose que l'on ne connais pas.
-Et les invisibles, alors ? Demanda Linh En chuchotant.
Sophie soupira. Elle saisit son sac à dos et tira les deux journaux qu'elle avait acheté en début d'après midi. Elle en tendit un à Linh, qui regarda la page de couverture, l'air perdue.
-Qu'est-Ce que tu veux que je fasse de ça, je ne sais pas lire le français !
-Ah oui... C'est un journal sur l'incendie de Big Ben.
-J'avais compris,mais les humains ne sont pas censée ne rien en savoir ?
Sophie saisit l'un des magazine, et commença à le feuilleter, lisant les pages en diagonale.
-Il semblerait que des trace de brûlure aurait été aperçu. Ils ont donc avancé quelque hypothèse, mais curieusement, aucune ne contient un pyromane rebelle Elfique qui voudrait incendier des bâtiments.
-Comme c'est étrange...
A ce moment la, le serveur arriva, interrompant leur discutions. Sophie commanda deux chocolats chaud et deux cookie pour elle et son amie. Elle commencèrent à parler des goûts en matière de nourriture des humains, oubliant leur dernier sujet de discutions.
Lorsqu'elles eurent fini de manger, La nuit commencer à s'installer sur la grande ville.
Les nerfs de sophie étaient à vif. Chaque ombres se transformaient en créature encapuchonné. Chaque coin de rue se transformaient en cachette potentiel des invisible.
Les deux jeunes filles parvinrent à la conclusion qu'il fallait partir de cette ville, et vite.
-J'ai... Je crois que je sais où nous devrions nous rendre, commença Sophie.
-Ou ça ?
Le regard de Sophie était fuyant. Elle esquiva la question.
-Tu verra, on devrait se dépêcher. Par contre je vais devoir appeler Silveny tout de suite.
Comprenant que Sophie ne lui dirait rien, Linh arrêta de la questionner.
-SILVENY ! Transmit la jeune fille en associant une image du peu qu'elle pouvait distinguer de la tour Effeil a travers les arbres dans lesquels elles s'étaient cachée.
Une quinzaine de seconde plus tard, alors que l'angoisse de Sophie montait, un bruit de tonnerre retentit, et un cheval blanc ailé descendit en piquet, dépliant ses ailes au dernier moment pour s'arrêter.
-Silveny ! Ou était tu ? Demanda la jeune fille à l'alicorne.
L'image de Silveny barbottant dans de l'eau clair au soleil s'imposa dans l'esprit de Sophie. Elle regarda la ville sombre et le ciel nuageux qui s'étendait à perte de vue.
-Finalement, je ne veux pas savoir, termina Sophie.
Silveny s'ébroua, ce qui semblait pouvoir se traduire par un haussement d'épaule.
Sophie fit un signe à Silveny pour que celle ci s'agenouille, et laissa monter Linh en première.
-Tu va enfin me direz ou allons nous ? Demanda Linh.
-Dans tout les cas, tu va bientôt le savoir... , Silveny, ajouta Sophie a l'intention de l'alicorne. Vas y
Sophie visualisation la grande clairière remplie de cendre qu'elle avait vu quelque semaine auparavent, et Silveny commença à s'élever dans les aires,avant de piquer vers la fissure qu'elle venait de créer dans le ciel avec un grand bruit de tonnerre.
☆☆☆
-Bon, ou somme nous maintenant ? Demanda Linh.
-Sur le lieu de l'ancienne Maison de Jolie.
-QUOI ? Jolie, la fille de grady et Édaline ?
-Oui.
-Et... Pourquoi nous avoir amené ici ?
-Pour ça, répondit Sophie en sortant de son manteau son collier en forme de cygne qui semblait rayonner sous le clair de Lune. Je t'ai déjà raconté que Silveny m'avait amené ici il y a quelque temps.
-Oui, mais tu ne m'a jamais parlé de ce collier !
-Je l'ai trouvé ici, répondit Sophie en pointant du doigt un trou près des cendres.
Elle se retourna, se rappelant des étranges silhouette qu'elle avait cru voir lors de sa dernière visite.
Linh s'approcha des cendres pour les remuer du bout du pied.
-Tu as appris que leur chose sur cet endroit ? Lui demanda Linh.
-Pas beaucoup. Connais tu un peu l'histoire de ce lieu ?
-Personne n'en sait énormément. Le conseil à déclarer cette affaire classé. Les enquêtes sont donc normalement interdites. Jolie Et Brant habitait ici depuis quelque années. Et puis, un jour, cette maison as brûlée. Brant a été déclaré mort. Quand à Jolie, pendant près d'une semaine, on a pas eu de nouvelles. Alden partait toujours en mission aux 4 coins du monde pour trouver des traces d'elle. Ensuite... C'est assez compliqué. Tout ce que je sais, c'est qu'un jour, Alden est revenu avec Jolie, et personne ne sait où et comment il l'a retrouvé.
Sophie repensa a la discution qu'elle avait eu avec sa soeur adoptive quelque semaine auparavant. Cette dernière lui avait avouer avoir passé quelque temps dans les citées interdites. Sophie décida de ne rien révéler à Linh.
-Et l'incendie ?
-Affaire classé. Le conseil ne s'est jamais prononcé. Ça ne me plaît pas de dormir ici. Il y a probablement eu un mort ici même ou nous nous tenons !
Sophie frissonna. Elle non plus n'avait pas envie de dormir la. Seulement, elles n'avaient pas le choix.
-On a pas le droit de venir dans les citées perdues... C'est une punition, après tout, il ne nous permettrais jamais de rentrer.
Linh détourna le regard. Même sans être empathe, Sophie pouvait sentir la culpabilité de son amie.
-Désolée de t'avoir entraînée la dedans... murmura Linh.
-C'est moi qui ai voulu venir, j'aurais pu refuser. Bon, commençons par manger.
D'un claquement de doigt, Sophie invoqua de la nourriture qu'elle avait placée le matin même sur la table d'Havenfield en prévision de ce soir. Silveny les rejoignit, réclamant sa part de résilice.
L'heure des dormir arriva. Les deux jeunes filles organisèrent des tour de garde en prévision d'une éventuelle attaque. Sophie prit le premier tour. Elle s'asseya sur le dur sol de terre. Une couverture avait été invoquée pour Linh, qui s'était presque écroulée de fatigue. Silveny était couchée quelque métre plus loin, ses yeux dorées étincelant dans l'obscurité. Une petite orbe lumineuse était posé au près de Sophie.
Les paupières de Sophie était lourde. Tout lui donné envie de dormir. De l'obscurité de la prairie aux doux son du vent, tout incité à se reposer et à ses détendre. Sophie comprit le choix de sa demi soeur de s' installe ici. Un havre de paix. Voila ce que devais etre ce lieu. Du moins jusqu'a l'incendi. Du bout du doigt, Sophie effleura la cendre. Elle leva la tête vers les étoiles. Elle se souvenait de toute ces soirées passé au clair de lune à compter les étoiles filante. Elle se surprit à repenser à sa famille adoptive. Tout la rendait mélancolique.
Elle se souvenait des feu de camps, des fraîches soirées d'hiver passé à jouer chez elles, des douces soirées d'été à écouter le chant des Cigales.
-Sophie ? Murmura une voix non loin de la.
Recentrant son attention sur la forêt, elle aperçu non loin de la une silhouette approcher. Elle se leva.
Alors, lorsque cette dernière apparu au clair de lune, Sophie reconnu son amie perdu, Marella. Un sourire se dessina sur son visage. Sophie commença à s'élancer vers son amie avant de ses figer.
Derrière Marella venait d'apparaître une grande silhouette noir encapuchonnée.
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