☆Chapitre 24☆
-Bonjour, Mlle Foster.
Sophie se retourna, et se retrouva face à une Elfe blonde et élancée, avec des oreille pointu, signe de son grand âge, comme lui avait appris son mentor d'histoire Elfique.
-Lady Evera ? demanda Sophie.
-C'est bien moi, lui répondit l'elfe. Suis moi, ajouta t-elle en se dirigeant vers l'une des porte ouverte.
Les murs de la pièce était remplie d'etagère, où livre, bibelots et autre objet que Sophie ne connaissait pas s'entassait. Une chaise et un bureau en bois tronait au centre de la pièce. Sophie s'installa et commença à invoquer ses affaires d'histoire multiespece.
-Bon, comme les conseillers ont interrompue la séance derniere, c'est ta premiere séance d'histoire multiespece, commença la mentor.
Sophie hocha la tête, ne sachant pas trop quoi répondre.
-Notre premiere séance se portera donc sur les humains, ajouta Lady Evera, en regardant Sophie d'un regard perçant, comme en quête de réaction.
Sophie se contenta de lui répondre un bref "oui".
Sa mentor commença à arpenter la pièce, en lissant les plis de sa cape.
-Es tu déjà allé en Atlantide ? Lui demanda t-elle.
-Oui.
-As tu déjà vu la fontaine de l'unité ?
-Oui.
-Sais tu dire autre chose que oui ?
La jeune fille rougit.
-Ou.. Bien sur.
Sa mentor esquissa un sourire. Elle commença à marcher de long en large, sa longue robe bleu nuit virevoltant autour de ses pieds à chaque pas. Une longue cape lui recouvrait les épaules, et son chignon lâche m'était en valeur ses longues oreilles. Ses yeux bleu glace fixait le vide tandis qu'elle commençait :
-Bien. La fontaine de l'unité à été le premier édifice de l'atlantide créé. Il a été inauguré en même temps que le traité de paix elfe-humain. La ville s'est ensuite développé tout autour de la fontaine, une ville construite par les humains, autant que par les elfes. Des centaines, voire des milliers d'elfe ou d'humain ont travailler pour que les deux peuples puisse vivre ensemble. L'atlantide se situait alors sur une île au millieu de la mer méditerranée. Nous avions mis en place un système de cristal de en saut tempotaire pour que les humains rejoigne l'île.
Elle s'arrêta devant une des fenêtres de la salle, et fixait son regard sur un point imaginaire à l'horizon.
-A cette époque, je faisais partie du conseil. Nous avions beau dire que les humains été aussi bien considéré que les elfes, a chaque fois qu'un humain approchait un elfe, tout le monde se mettait à penser que l'humain lui voulait du mal, ou voulait lui voler son pouvoir. Tous les conseillers ont commencé à vouloir disparaître, se faire oublier des humains. Ils'avaient plus confiance. Sauf moi. Ils étaient tous persuadé que les humains voulait prendre contrôle de l'Atlantide.
Sophie écoutait attentivement sa mentor, la manière dont elle racontait son histoire était vivante, comme ci elle voulait faire vivre ce souvenir à Sophie.
-Alors, au lieu d'essayer d'écouter mes arguments et mon résonement, les conseiller ont préféré m'expulser, m'accusant de les trahir en voulant aider les humains. Pendant quelque année, ils m'ont surveillé de prêt, pour être sûr que je n'essayais pas de les aider. Même maintenant, ils ne me font pas entièrement confiance.
Elle marqua une pause, comme perdu dans ses souvenirs.
-J'ai du me battre pour t'avour comme éleve. Le conseil ne voulait oasis que je te montre ma vision du monde. Ils veulent faire de toi un elfe normal comme il en existes des milliers. Ils veulent pouvoir te contrôler. Que tu oublié tout ce qui a fait ta vie pour devenir quelqu'un de banal.
Elle détacha enfin son regard de la fenêtre.
-Depuis notre disparition, nous n'avons plus eu de contact avec les humain, ajouta sa mentor en s'arrêtant devant un planisphère.
-Si les elfes et les humains ont un jour pu cohabiter, ils pourrait très bien réessayer si ils faisait quelque effort... Il n'y a auciné chance pour que les deux espèces cohabite ?
Sa mentor lui adressa un sourire assez inquiétant, mi triste, mi intriguant.
-Ça, c'est à toi de décider.
*
-Tu es sur de ce que tu dis ? Lui demanda une nouvelle fois Biana.
Sophie regarda par dessus son épaule, vérifiant qu'aucun prodige écoutait leur conversation .
-Oui, répondit pour la énième fois Sophie.
Biana et sophie s'était installé sur une table au fond de la salle d'étude. Sur la table était posé une feuille intitulé "Cygne noir", qui était vide depuis plus de 45 minute.
Sophie se pris la tête entre les mains.
-Ça n'à aucun sens ! Tu dis qu'elle voulait quitté le conseil ? Mais elle m'à dit qu'elle avait été expulsé...
-Peut être que sa memoire s'est altéré,
Biana saisit la feuille sur la table, et crayonna dans un angle un petit cygne noir.
-C'est plus compliqué qu'un cours d'alchimie de Lady Galvin !
-Est-Ce que j'au envie de savoir qui c'est ? demanda Sophie.
-Tu a de la chance de ne pas l'avoir ! c'est une prof d'alchimie sévère et exigeante.
Elles continuèrent de parler jusqu'à la sonnerie, la feuille posé devant elles demeurant désespérément vide.
Lorsque la sonnerie sonna, Sophie rangea ses affaires et brandit son cristal de foyer. Elle rentra dans la demeure lumineuse, où grady était déjà, devant une table ou beaucoup de parchemin était étallé.
Sophie s'approcha de son père adoptif, qui lui sourit tout en cachant les parchemins. Soptiez s'assit sur l'un des confortables fauteuil, tout en saisissant une des pâtisseries qui tronait au millieu de la table.
-Ta journée s'est bien passé ? demanda grady a la jeune fille.
Sophie acquiesça, avant de jeter un coup d'oeil au parchemin de grady.
-C'est à propos du cygne noir ? demanda Sophie en remarquant l'emblème d'un cygne dans le coin d'un parchemin.
Le sourire de grady se crispa.
-C'est quoi le projet colibri ? demanda Sophie sans lui laisser le temps de répondre.
Le sourire de grady disparu.
-Tu arrive à lire ses ruines ?
-Oui, acquiesça Sophie en fronçant les sourcils. Pourquoi ?
-Pour rien, lui répondit grady. Tu ferais mieux de monter faire tes devoirs, lui conseilla froidement Grady, d'un ton qui ne laissait qu'une réponse possible.
Sophie monta dans sa chambre, n'osant pas lui dire qu'elle les avaient terminés en heure d'étude.
Quand elle redescendit quelque minute plus tard, les parchemins ainsi que Grady avait disparu.
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