☆Chapitre 18☆
-Qui êtes vous ? Demanda Sophie, sur la défensive.
-Nous somme les conseillers, Alden à du vous parler de nous, lui dit l'un des "conseillers". Tu n'a rien à craindre. Conseillère Oralie, pouvez vous aller prévenir Lady Evera que son prodige ne pourra pas assister à sa session ?
L'intéressé esquissa un signe de tête avant de se diriger vers une salle de cours un peu plus loin. Elle revint quelque seconde plus tard. Un des conseillers sortit un cristal qu'il dirigea vers la lumière, puis tendit une main vers Sophie. Celle ci hésita quelque seconde, regarda autour d'elle, avant det saisir la main du conseiller. Tout les autres s'ajoutèrent à la chaîne et se dirigèrent vers le faisceau lumineux, disparaissant du couloir comme ci ils n'y avaient jamais étaient.
Quand Sophie ouvrit les yeux, elle se trouvait dans la prairie d'Havenfield, entourer des 4 conseillers.
-Je suis le conseiller Émery, commença un elfe à la peau sombre. Voici le conseiller Bronte, ajouta t-il en désignant un elfes au traits anguleux et aux oreilles... pointues !? Et voici le conseiller Kenric et la conseillère Oralie.
Le conseiller Kenric était roux avec des cheveux bleu, comme presque tout les elfes que Sophie avait rencontré jusqu'à présent. La conseillère Oralie avait elle, de long cheveux blond-dorée avec des yeux bleu-gris profond et des joues rosée.
A ce moment la, Grady et Édaline arrivèrent et exécuterent une révérence rapide à la vue des conseillers, avant de se tourner vers Sophie.
-Tu n'est pas en cours ? Lui demanda Grady.
-Nous l'avons récupérer, lui dit le conseiller Émery. Pouvons nous aller dans votre salon pour pouvoir parler plus tranquillement ?
-Bien sûr, répondit Édaline en les emmenant en direction de la demeure.
Les conseillers et Sophie s'installèrent dans les canapés et les fauteuils, tandis qu'Edaline invoquait quelque pâtisserie et boisson avant de tirer grady en dehors du salon.
Des qu'ils furent partit, Émery se pencha en avant, avant de dire :
-Bon, si nous somme ici, c'est que nous avons besoins de savoir... Un peu tout. Raconte nous tout ce qu'il s'est passé d'important avant que tu n'arrive chez les elfes.
Sophie rapporta donc au conseil ce qui avait composer sa vie avant que Fitz ne la retrouve. Les quatre autres elfes échangèrent parfois des regards sous entendu, et le conseiller Émery avait ses mains sur ses tempes et fronçant de temps en temps les sourcils.
Elle venait de terminer son récit. Un silence s'installa. La conseillère Oralie vint s'installer à côté de Sophie et lui saisit sa main dans un geste tendre. Kenric, quand à lui, regardait Sophie avec compassion, tandis que Bronte était impassible.
-Tu as développer ta télépathie à 5 ans, c'est ça ? Lui demanda Émery.
-Oui, répondit fermement Sophie.
-Alors essaye de lire mes pensées, lui dit Bronte.
Sophie Le regarda avec des yeux rond. Bronte la regarda fermement. Alors, elle ferma les yeux et étirable son ombre mentale vers le conseiller.
Elle eu l'imprrssion de prendre une douche glaciale. Mais elle tenu bon, et arriva bientôt dans une sorte de labyrinthe mental avec plein de chemin partant dans toute les directions. Elle avait presque l'impression que l'esprit de Bronte essayais de la semer. Mais étais-ce seulement possible ? Néanmoins, elle essaya de se reconcentrer. Elle allais réussir le défis lancer par les conseillers.
Alors, elle s'avanca dans un des chemins du labyrinthe, celui ci plus lumineux et acceuillant que les autres. Elle poursuivi son chemin, tantôt en accélérant, tantôt en ralentissant.
Elle arriva alors dans une graide piece ronde, lumineuse et remplie d'image, d'émotion, de visage. Elle ne savais pas si elle avait le droit de regarder ses souvenirs. Elle supposer que non. Mais la curiosité l'emporta. Elle n'arrivait pas à se concentrer sur les souvenirs, et ne parvenait à voir que des images, qu'elle ne comprenait pas toujours : Bronte, le jour de sa rentrée à Foxfire, tirant sur le bras de ses parents, sa fierté quand il avait atteindre les niveaux élite et rejoins le conseil, ainsi qu'une grande plaine bordé d'un lac et d'une forêt, où il s'amusait avec des amis. Il y avait aussi beaucoup d'autre souvenirs, trop rapide pour qu'elle puisse les analyser.
Une force la repoussa. Surprise, elle ouvrit les yeux et trouva les 4 conseillers penchés sur elle. Émery, Oralie et Kenric poussèrent un soupir de soulagement, tandis que Bronte fixait Sophie, un semblant de peur et de colère dans le regard.
-Sophie, que s'est il passé ? Lui demanda Kenric.
-J'ai... Je me suis perdu, je crois, mentit elle.
Si Oralie et Bronte ne semblèrent pas convaincu de ses explications, Émery et Kenric semblèrent la croire.
-Bien. C'est normal, Bronte est un ancien, son esprit est donc puissant. Il est quasiment impossible d'arriver à franchir les défenses mental d'un ancien. Ne t'en en faite pas, c'est parfaitement normal.
Sophie hocha machinalement la tête.
La discution reparti ensuite sur ce que Sophie leur avait raconter.
-Nous somme vraiment désolée pour tout ce qui s'est passé chez les humains. Peut être que si nous avions était plus attentif, tu aurez peut être pu revenir chez nous plus vite...
-Ça n'aurait rien changer, je pense. Et puis, vivre chez les humains ce n'est pas aussi horrible qu'on le pense, dit elle en repensant à sa discutions d'hier avec Jolie.
-Sans doute, répondit Émery, qui ne semblait absolument pas convaincu. Nous n'allons pas rester plus longtemps, dit - il en se levant et en lissant les plis de sa cape. Nous t-avons déjà assez fatigué comme ça. Nous reviendrons sans doute bientôt te voir avec l'intégralité du conseil. Nous somme 12 en tout.
Sophie acquiesça, tandis que les conseillers disparaissaient un par un. Elle monta ensuite dans sa chambre et alla prendre son album photo de sa vie humaine avant de s'installrer sur son lit et de prendre une grande de inspiration. Elle ouvrit la première page, qui la représenté, toute petite, entre ses parents. Elle se souvenait que ces derniers lui avait dit que toute petite, elle savais déjà marcher et parler convenablement.
Même à cet âge, elle était déjà un monstre.
Les photos s'enchaînèrent, des larmes, de tristesse ou de nostalgie, bordait les yeux de sophie. Cependant, un sourire qui s'étendait à chaque nouvelle photo étais collé sur le visage de Sophie.
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