Chapitre 1 - Sophie


Tout d'abord, bienvenue a toutes et a tous. Avant de commencer ce livre il va y avoir une petite introduction car je dois vous clarifier certains points. Vous l'avez sans doute compris, c'est la partie longue et rébarbative du roman mais elle a son importance alors lisez jusqu'a la fin s'il vous plait. C'est mon premier livre alors je vous avoue être un peut stressée.

La première chose que vous devez savoir est que ce roman commence a partir du chapitre 10 de Lune Stellaire donc vous aurez peut-etre besoin de relire les 9 premiers chapitres (c'est même très fortement conseillé). Comme dit dans description, j'ai modifié l'identité de Lueur (vous verrez dans quelques instants qui elle est ;) ). Le roman sera donc un peu différent de l'original. Malgré tout je me base sur le texte de Shanon a qui j'accorde le credit de cette histoire (honnêtement je ne sais vraiment si c'est comme ça qu'on fait).

D'ailleurs je dois vous prévenir, j'écris spécialement (uniquement enfaite) en narrateur interne (c'est a dire en 'je').

Ensuite sachez que dans ce livre je changerai souvent de pdv (point de vue)afin de pouvoir developper aussi les autres personnages que seulement Sophie. Au début des chapitres il y aura les noms de la personne a travers laquelle on voit la scène.

Pour finir, malheureusement mes profs et moi n'avons pas la même définition d'une vie donc je ne pourrais malheureusement pas être régulière. Comprenez moi nous avons chaque semaine au moins quatre évaluations. Non non je n'exagère pas, c'est bel et bien vrai.

Alors je vous souhaite une bonne lecture et j'espère que vous aimerez.

PS : je ne suis vraiment pas terrible au niveau de l'orthographe donc si vous voyez des fautes n'hésitez pas a me le signaler.

- Ah, les festivités commence ! annonça Lueur, la voix dégoulinante de sarcasme quand elle nous vis, moi et mes amis, passer le pas de sa porte.

Sa chambre a Solreef était vraiment petite. Nous étions très serrés à l'intérieur mais je connaissais mes amis. Afin d'éviter leur protestations, je m'étais abstenue de proposer qu'une partie du groupe attende à l'extérieur. Au moins Sandor et Ro avaient-ils envoyé les autres gardes du corps faire un point sur la sécurité avec Bo et Tiergan. Initiative dont je leur étais reconnaissante maintenant que nous étions enfermés dans cette petite pièce et que l'air s'était alourdi dès que la porte fut close. Nous étions si serrés que personne ne pouvait bouger sans risquer de donner un coup de coude à son voisin.

Malgré l'importance du moment je ne pus m'empêcher de ressasser les événements de ces dernières 48 heures. D'abord l'entrepôt détruit des invisible, ensuite Keefe qui s'enfuyait dans les cités interdites, le souvenir de Lord Cassius et maintenant Lueur aidait la mère de Keefe. Cela faisais beaucoup de choses a encaisser dans un laps de temps aussi court. Mais tant pis, il fallait que je me concentre.

Installée sur son lit étroit, Lueur nous regarda nous agglutiner les uns aux autres avant de tirer un peu plus bas sur son visage la capuche de sa cape froissée. Ses traits étaient entièrement dissimulés dans l'ombre.

- Vous êtes venus me souhaiter la bienvenue dans le camp des gentils, c'est ça? Je vais avoir des cadeaux ?

- Le moment est mal choisi pour faire la maligne, Lueur, dit Tam en soupirant.

- Et moi qui croyait que c'était toujours le bon moment pour ça, répondit-elle en croisant les jambes.

Ro pouffa.

- Elle a de la répartie, je le lui accorde, concéda l'ogresse. Mais voyons si elle saura trouver les mots pour se sortir de ce mauvais pas.

- Me sortir de quoi ? J'espère que tu n'es pas en train d'essayer de me faire porter le chapeau de ton petit artifice, me lança-t-elle. Même si il n'y avait pas grand-chose d'autre à faire.

- Le sujet qui nous amène est différent, je lui assurai.

Je jetai un coup d'œil à Tam dans l'espoir qu'il prenne vite les choses en main. Nous avions décidé de lui confier l'interrogatoire de Lueur. Il l'avait bien mérité. Quand à moi, après le remontrances de Stina, j'étais ravie que quelqu'un d'autre prenne la tête des opérations.

J'étais également soulagée d'avoir pu me changer. La jeune Empathe aurait bien aimé prtir sans m'en laisser le temps, histoire de me faire comprendre qu'avoir « roupillé comme un sasquatch » était entièrement de ma faute. Sauf que Ro avait volé à mon secoure en disant à mes amis qu'elle ne leur révélerait les détails de mon entretien avec Lord Cassius qu'a condition qu'ils « arrêtent de se comporter comme des idiots » et « laissent blondinette (c'est a dire moi) quitter son accoutrement de monstre des couettes ». Très honnêtement je n'avais pas vraiment su comment réagir à cette remarque. Alors pendant que je partais enfiler une tunique et un legging propres, réunir mes cheveux en une queue de cheval et récupérer les caches, l'ogresse avait relaté au reste du groupe notre récente découverte sur Lady Gisela.

Lorsque j'avais rejoint notre petite troupe sous le luminateur elle était en train de leur extorquer des théories sur ce que les Invisibles comptaient faire de son pouvoir d'invocatrice. Personne n'avait eu de révélation mais, à voir leur air bouleversé, Ro leur avait sûrement partagé sa théorie sur les explosifs.

- Je veux voir ce souvenir, m'avait transmis Fitz quand nous nous étions tous pris par la main pour le saut qui nous amènerait à Solreef.

J'ai fait mine de ne pas l'entendre. Cette réaction avait beau être un peu immature, je lui en voulais de ne pas avoir pris ma défense lorsque tout le monde s'était ligué contre moi ou que Stina avait cherché à partir sans me laisser le temps de m'habiller. La tournure de sa phrase n'était pas non plus pour me plaire : il ne demandait pas, il exigeait.

J'avais espéré que notre relation retrouve un semblant de normalité mais notre amourette, aussi superficielle qu'elle ait été, avait laissé des traces. Ces complications nouvelles expliquaient peut-être pourquoi je n'arrêtais pas de me remémoré la fameuse phrase que Keefe m'avait écrite.

Regretterait-il d'avoir dit une chose pareille quand il reviendrait ? Avait-il uniquement rédigé ces mots parce qu'il pensait ne plus jamais la revoir ? Avais-je raison de discerner autre chose entre les lignes de sa lettre ? Souhaitais-je seulement qu'il y ait autres chose ?

Quand Tam joua des coudes pour s'approcher de Lueur, je chassai ces questions pour me concentrer sur l'instant présent. Décidément, j'avais beaucoup de mal à suivre ce qui se passait dernièrement.
Fais attention Sophie, me dis-je, rappelle toi de ce que ces histoires de cœur t'ont déjà couté. Ne te laisse pas distraire.

D'un doigt Tam montra la statuette à effigie de chat scintillante posée sur la table de chevet.

- Tiergan t'a rendu ton butin de l'entrepôt, à ce que je vois.

- Il m'a rendu ce qui m'appartenait, le corrigea-t-elle. Et oui, à la surprise générale, il a décrété que j'étais digne de confiance. Quoique, à vous voir arrivé en masse, j'imagine que je vais encore devoir montrer patte blanche. Vous n'en avez pas marre ?

- Si, on en a marre, approuva Tam. Alors je te conseille de nous dire la vérité, cette fois.

- Je dis la vérité !

- Menteuse, lança Stina, la pique a peine dissimulée sous une fausse toux.

Lueur leva les bras en l'air d'un geste théâtral.

- Oh non, pas une insulte voilée ! Comment vais-je me remettre d'un affront aussi mou ? Aussi bas de plafond ? Surtout de la part d'une Heks ?

- Tu as un problème avec ma famille ?

- Vous n'êtes qu'une bande d'hypocrites malpoli qui passez votre temps à juger les autres.

J'eu beaucoup de mal à ne pas sourire devant cette pique bien sentie et, d'après l'expression de Dex, je n'étais pas la seul. La Psionipathe retint la jeune Empathe par le bras pour l'empêcher de s'avancer vers le lit.

- Non, c'est Tam qui doit lui parler, plaida Maruca.

- Me parler de quoi ? demanda la Flasheuse, le dos redressé et les bras croisés. Attendez, je sais... Vous voulez que je retire ma capuche, que je vous donne mon nom et que j'autorise vos petits Télépathe à me fouiller la caboche. Que je refuse a la don de vous énerver, on dirait.

- Ça pose problème, c'est vrai, admit le Ténébreux. Mais pour le moment, ce qui nous préoccupe, c'est que tu aies libéré Lady Gisela de ses entraves et que tu l'aies aidée à s'enfuir de Loamnore.

Je retins mon souffle, m'attendant aux protestations de l'ancienne Ivisible. Pourtant, qu'elle soit très courageuse ou qu'elle compris que nier ne servirait à rien, elle avoua son crime, non sans un haussement d'épaules :

- J'ai fais ce que j'avais faire à faire. Vous ne pouvez pas me le reprocher.

- Bien sur que si ! s'offusqua Maruca avant de se plaquer une main sur la bouche. Pardon Tam.

L'intéressé ne répondit pas. La tête penchées sur le côté, en proie au doute, il fixait Lueur.

- Encore en train d'étudier ma sombrume ? demanda la Flasheuse en remarquant leurs ombres superposées. Elle te dit de me faire confiance, pas vrai ? Comme ça doit être agaçant ! Pauvre petit Ténébreux, qu'est-ce que tu es censé faire quand ton pouvoir te dis « oui » mais que ta tête te dis « non, je n'en peux plus, j'ai trop la frousse » ?

L'ombre de Tam s'enleva alors de celle de Lueur. Il baissa la tête et fixa le sol, la mine sombre. Sans doute Lueur avait-elle vu juste. Mais tout de même, je trouvai qu'elle avait été un peu dure avec Tam.

- J'espère vraiment que tu vas réussir à nous convaincre parce qu'il n'y a pas dire on a besoin de quelqu'un avec un tel mordant, railla cependant Ro avec un rire à peine contenu.

- Ça m'étonnerait, lui répondit Lueur. La plupart des gens sont étroits d'esprit, c'est mieux pour juger les autres.

- Les elfes sont particulièrement doués en la matière, renchérit l'ogresse. Reste que te cacher sous cette affreuse cape n'aide pas ta cause, d'autant plus qu'elle commence à sentir le renfermé. Beurk !

La guerrière se boucha le nez en éventant l'aire devant elle. L'ancienne Invisible tira sur sa capuche pour l'enfoncer plus profondément encore sur son crâne.

- Il y en a vraiment marre de vous entendre râler sur ça !

- Tu parles de ta puanteur ou de ton déguisement de mauviette ? Dans les deux cas, il existe une solution très simple, fit remarquer Ro en faisant mine de retirer une capuche invisible. Je veux bien croire que c'est plus facile de se cacher que de se montrer au grand jour, mais tu m'as l'air d'assumer qui tu es. Alors va jusqu'au bout. À moins que ce ne soit que de l'esbroufe.

Lueur se saisit de son oreiller pour y étouffer un hurlement.

- Je n'ai de compte à rendre à personne !

- Oh si ! Autrement, on te dénonce au Conseil, s'insurgea Marella. Excuse-moi, Tam, je sais que je n'étais pas censé parler.

- Quoi, vous avez répété votre petite mise en scène ? rétorqua la Flasheuse en rejetant l'oreiller sur son lit. Quelqu'un d'autre a des menaces à proférer si je ne vous dis pas ce que vous voulez entendre ?

Lihn, Stina, Marella, Maruca, Wylie, Fitz, Biana, Dex et Sandor levèrent la main de concert.

- Bon, vous êtes au moins trois à savoir reconnaitre un allié, décréta l'accusée à l'intention de Tam, Ro et moi.

- Je suis encore en train de me forger une opinion, j'admis.

- Pareil, souffla Tam.

- Quasiment sûre d'être de ton côté, mais on verra bien, ajouta Ro avec un haussement d'épaules.

Lihn me jeta un regard courroucé avant de s'adresser à son jumeau.

- Tu doute encore ? De son propre aveu, elle a laisser une tueuse s'enfuir ! Si les membres du Conseil l'apprenaient, ils la feraient enfermé à Exil et ils auraient bien raison. Ils cherchaient à obtenir plus d'information pour son procès, non ? On a qu'a leur filer ce tuyau !

- Ah, je vois, vous comptez m'envoyer en prison, constata Lueur.

- Pas du tout, lui promit Tam.
- Mais si, rétorqua sa sœur. Les traitres ne méritent rien d'autre.

-  Ce n'est pas toujours vrai, contra Wylie en s'écartant d'un pas.

Lihn avait-elle réellement oublié le long dépérissement de Prentice dans l'une des cellules d'Exil, lui qui, pour sa complicité avec le Cygne Noir, avait été condamné à ne pas voir son fils grandir ? À moins qu'elle n'ait été trop remontée pour faire preuve de tact.

Tam posa la main sur le bras de sa jumelle.

- On avait dit que c'était moi qui menais l'interrogatoire, non ?

L'espace d'un instant elle paru sur le point de lui hurler dessus. Elle dégagea finalement son bras.

- Très bien. Vas-y, pose-lui encore des questions, puisque tu n'es toujours pas convaincu. Quoi qu'il en soit, aucune excuse n'effacera ce qu'elle a fait.

- C'est peut-être vrai, mais j'aimerais quand même connaître ses raisons. Lady Gisela est une meurtrière, poursuit-t-il en s'adressant cette fois à Lueur. Tu en as conscience, non ? Elle continuera de tuer, et se sang coulera en partie sur tes mains désormais.

L'ancienne invisible se saisit de la petite sculpture en forme de chat pour la serrer contre sa poitrine.

- Tu crois que je ne suis pas au courant ? Je n'avais aucune envie de la laisser s'échapper. Seulement c'était mon devoir. Je devais le faire.

Cet argument ne convainquit personne.

- Il me faut le reste de l'histoire si tu veux mon aide.

- C'est marrant comme aucune aide n'est gratuite, jamais, pouffa la Flasheuse. D'ailleurs, c'est comme ça que je me suis mise dans ce pétrin.

Elle resserra sa prise sur la statuette. la pièce s'assombrit un instant avant de s'illuminer soudain d'une lumière si aveuglante que tout le monde se protège aussitôt les yeux.

- Très bien, décréta Lueur au moment où la chambre revenait à la normale. Je vais vous raconter mes malheurs, mais ça ne va pas vous plaire, étant donné qu'ils ne correspondent pas au scénarios diaboliques que vous vous êtes imaginés.

- Je suppose que ce sera pire encore, murmura Lihn.

- Tu es mal placée pour parler la Fille aux Mille Déluges, la rabroua l'ancienne Invisible, et cela dépends du point de vu.

- C'est-à-dire ? je ne pus l'empêcher de demander.

Elle soupira lourdement. Nous avions tous à peu près deviné la suite. C'était le moment où nous apprenions enfin qui elle était.

Elle porta lentement ses mains vers sa capuche. Lorsqu'elle hésita, Tam s'approcha et lui dit :

- Si tu ne te sens pas prête, c'est pas grave, tu sais. On a le temps.

Non, on a pas le temps! Il faut que nous trouvions un moyen d'arrêter Lady Gisela avant la troisième étape de Lune stellaire! Aurais-je voulu crier. Mais Tam avait raison. Il ne fallait pas la brusquer.

- Non, c'est bon, rétorqua-t-elle, est pas mon genre de me dégonfler. Mais avant, je veux que vous promettiez deux choses.

- Et pourquoi on devrait te promettre quoi que se soit, demanda Fitz.

- Euh, peut-être parce ce je me mets en danger ma sécurité pour vous aider ? Je te signal que je peux toujours choisir de rester à l'abri sous ma capuche.

- On fera de notre mieux, je lui promis.

- Et bien cela ne devrait pas être si compliqué car mes désirs sont loin d'être irréalisables. Au contraire même, je ne pourrai rien vous demander d'aussi simple.

- On t'écoute, lui dit Tam.

Lueur se redressa légèrement et dit :

- Primo, je vous en prie ne hurlez pas.

- Ça commence bien maugréa Dex.

J'étais on ne peux plus d'accord avec lui. Soudain, je me demandai si l'identité de Lueur m'était pas plus importante qu'on ne le croyait. Après tout, n'était-elle pas l'élève de Gisela ? Elle devait sûrement avoir des réponses. Mais sa demande... Qu'on ne crie pas. Cela ne pouvait ps être aussi dramatique, si ?

- Deuxio, dit-elle en ignorant superbement Dex, ( elle sembla hésiter avant de prononcer ces mots) ...Ne dites rien à Keefe.

- Keefe ? Quel est le rapport avec lui ? demanda Maruca.

- Vous verrez.

Puis lentement elle abaissa la capuche qui recouvrait son visage. Une magnifique jeune fille apparu alors. Elle avait de beaux cheveux blond très pales, presque gris, qui tombaient en légères ondulations dans son dos. Elle gardait les yeux clos et la tête légèrement baissé.

- Hey, lui lança doucement Tam, tu peux ouvrir les yeux tu sais.

- Je sais. Mais avant n'oubliez pas vos promesses.

- Aucun risque, répondit Tam.

Elle passe alors la main dans ses cheveux et les attacha en chignon serré sur le haut de sa tête. Ce geste pouvait paraître futile, purement frivole. Et il l'aurait été. Je n'y aurais pas prêté attention, si ma mère n'avait pas fait le même mouvement le matin même. Je devina immédiatement la suite. J'ai compris pourquoi elle nous avait fait promettre ces choses et Gisela parlait d'elle comme étant la plus loyale.

Mais non. C'était impossible. Comment. Quand. Pourquoi.

Je croisai le regard de Ro. Elle aussi avait deviné.

Bien sûr, mes amis ne comprirent pas lorsqu'elle ouvra ses yeux, pourquoi elle les avait gardé fermés. Ses yeux bleu glacier.

- Je ne comprends toujours pas, s'exclama Biana.

- C'est parce qu'il faut que je fasse ceci.

Et enfin ils comprirent. Lorsqu'elle esquissa un sourire. Car le plus frappant de tous ses traits était son sourire narquois.

Je sais, je sais. La plupart d'entre vous ce disent surement : « mais c'est pratiquement exactement la même chose que l'original ! ». C'est normal, car tout est dans le pratiquement. Voyez-vous, je ne pouvais pas vous demander de simplement relire le chapitre 10 parce que :

1) L'original est beaucoup plus long (beaucoup trop long pour mes pauvres doigts qui tapent ce texte actuellement) et il ne se finit absolument pas pareille étant donné que dans l'original Lueur est une fille du nom de Rayni Aria.

2) Je voulais modifier certaines choses, ajouter un ou deux paragraphe et plus important encore, tout mettre à « je ».

Promis, pour la suite ce ne sera ps aussi conforme au texte original. Malgré tout je dois vous avouer qu'au moment même où j'écris, mon livre se trouve sur mes genoux pour m'assurer que je ne fais pas de faute dans la chronologie des événements (cela fait un petit bout de temps que je n'ai pas relu, pour la centième fois, le livre alors ma mémoire me fait défaut).

En ce qui concerne la dernière révélation, j'imagine que la plupart d'entre vous ont devinés qui est Lueur. J'espère que vous avez aimez.

À bientôt pour la suite.

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