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Louis,

Je suis sortis du commissariat, dans la soirée de hier, je suis retourné chez Harry.

Nous sommes sur son canapé et nous parlons.

Vient un moment où mon bouclé se met à califourchon sur moi et m'embrasse longuement.

- Harry...
- J'en ai envie... Ça fait longtemps.
- Tu en as vraiment envie?
- Oui. On peut rester ici?
- Lèves toi.

Il se lève et me regarde avec envie. Je lui caresse sensuellement les jambes. Mes mains passe sous son pull, et je le lui enlève.
J'embrasse son torse, de ma langue je lèche et suce un de ses tétons.

- Han... Putain...

J'embrasse chaques parcelles de son corps jusqu'à arriver à son jean.
Je le regarde tandis que lui a sa tête en arrière plongée dans le désir.

Je caresse sa bosse de ma main.
Il continu de gémir.
Je défais doucement son jean et lui enlève.

J'enlève à mon tour mon tee shirt. J'enlève mon jogging et assois Harry sur moi. Je titille de nouveau ses tétons mais cette fois ci de mes doigts.

- Louis...

Je l'embrasse à pleine bouche en passant les mains sous son boxer. Il se retrouve vite à l'autre bout de la pièce.

Il enlève aussi mon boxer et fait pareil que moi.

- Suces moi Harry.

Il s'abaisse et prends mon sexe en bouche.

- Oh putain...

Je ferme les yeux et bascule ma tête en arrière. Une de mes mains vient se placer derrière la tête d'Harry pour le guider dans ses mouvements.

- Harry je... Je vais venir...

Je viens dans sa bouche et il se lève et se remet sur moi.

Je crois qu'il a avaler... C'est tellement excitant.

- Prends moi Louis.

Je l'allonge sur le ventre, sur son canapé et je m'allonge sur lui.

J'entre doucement en lui puis fait des vas et viens tandis qu'il gémit.

Je relève un peu son bassin pour pouvoir entrer plus en lui.

- Han Lou!
- Hazz...

Il atteint l'orgasme en même temps que moi.

Je me retire de lui et il se retourne pour me faire face.
Je m'allonge sur lui et il frissone.
Je lui demande si il a froid et il me répond que oui. Alors je me lève pour aller chercher une grosse couverture toute douce dans sa chambre, je reviens m'allonger sur lui et nous couvre.

- J'avais quatorze ans.

Je le regarde incompréhensif.

- Quand mon père a commencé à me battre.
- Tu n'es pas obligé de me raconter ça.
- J'en ai envie. Ma mère n'a jamais rien dit, quand il a commencé à me battre. Je sais qu'elle non plus n'accepte pas que je sois homosexuel. Mon père ne me considère plus comme son fils. Et depuis le jour où j'ai eu seize, pour ne plus me supporter, ils me payent cet appartement. Voilà pourquoi je vis seul.

Je le regarde, son regard est rempli de tristesse.
J'embrasse son front et le sers contre moi.

- Tes parents sont des connards.
- Ouai... Il marque une pause. Et toi? Pourquoi tu avais peur d'être mon copain? Pourquoi tu as dis que tu finirais par le faire du mal?

Mon coeur se serre.

- Je- Je. Je souffle. Je ne suis pas prêt à t'en parler, mais bientôt, je te le jure.
- D'accord...
- On passera à travers toutes les épreuves de la vie, tout les deux.
- Rien que tout les deux?
- Oui.

Sur ce je l'embrasse et on continu de parler pendant moment en restant dans la même position.