Chapitre 37 : l'impatient
Aegon était à bout. Au diable le danger, au diable les risques pour sa propre vie.
Il devait rejoindre son amant. Vérifier qu'il allait bien.
Il y a quelques jours, le mariage du Roi avait eu lieu.
Malheureusement, ce dernier ne s'était pas déroulé sans accroc.
La cérémonie avait commencé par l'ivresse d'un invité qui avait finis par faire ses remarques désobligeantes.
Joffrey avait presque voulut lui couper la tête, mais il se modéra et choisit de le bannir de la cours.
Puis lors des festivités, Cerceï avait crû bon d'humiliées Tyrion en faisant venir un spectacle de nains pour divertir les convives. Après tout, son frère était à ses yeux tous juste bon à jouer les montres de cirques.
Là encore, le jeune rois avait dû fermer les yeux. Il grinçait des dents, mais avait soutenue son oncle dans cette humiliation.
Malheureusement, au moment de trinquer le pire était arrivé. Dès la première gorgée le blond avait sentit que quelques chose n'allait pas.
Immédiatement il avait reposé sa coupe et avait vue le pendentif que son amour lui avait offert, changer de couleur.
Sa gorge se mit a le démanger. Il commençait à manquer d'aire. Avec ses mains le rois se mis a gratter frénétiquement sa gorge a la recherche d'oxygène. Ses yeux lui piquait.
Puis se fut un voile sombre qui l'emporta.
Heureusement pour lui, Joffrey n'avait bu qu'une petite gorgée de sa coupe de vin.
Alors malgré la douleur, le blond pouvait survivre.
Cerceï avait été affolée. Autant elle pouvait se battre pour le pouvoir, mais elle tenait comme une lionne a sa progéniture.
Son cœur s'était arrêté en voyant son fils à terre privé d'aire.
Elle avait hurlé que Pycelle et Quyburn fasse quelques chose.
Si le vieux pervers alcoolisé n'avait pas vraiment réagi. Bien trop enivré pour ne serait-ce que constater l'état de son roi.
Le deuxième avait sauté sur l'occasion de redorer son image de Mestre déchue.
Il avait réussi, de justesse à sauver la vie de son roi.
La quantité de poison et la jeunesse du malade, avaient grandement aidé à sa survie.
Doucement, Joffrey c'était remis, bien qu'il fut mis au repos de force. Sa mère avait bien tenté de faire de Tyrion le coupable désigné derrière la tentative de meurtre de son fils, mais le jeune Lannister avait protesté, clamant que s'il y avait un coupable à première vue, ce serait celui qui à apporter le tonneau de vin.
Le conseil restreint avait tenue compte des allégations de leurs roi et avaient finalement épargné le nain.
Malgré la nouvelle du rétablissement du souverain des sept couronnes, Aegon angoissait.
Savoir que son amant avait frôlé la mort, suffisait à le mettre dans tous ses états.
Le pire pour le brun, était se contempler port réal et la nera, depuis la fenêtre de sa chambre à pyeredragon.
Son Amant était si proche et pourtant tellement loins.
Sa décision était prise. Qu'importe le danger. Il avait besoins de le voir, de le serrer dans ses bras. C'était vitale pour le dragon.
Alors, sans en parler à ses frères, Aegon décida de rejoindre le roi.
Il concentra sa magie en lui, afin de transplaner.
Quand le jeune sorcier réouvris les yeux, il était face au lit de son amant.
Le Lannister était pâle, et profondément endormi. Il était étendu sur son lit.
Aegon pouvait voir a quels points il avait changé. En l'espace d'une année, le blond s'était étoffé, il semblait plus musclé, plus homme qu'il ne l'était un an au paravent. Son visage c'était affirmé, et malgré son air endormie.
Avec un sourire satisfait, le brun constata que le Roi était seul dans son lit. Aucune trace de la toute nouvelle femme du blond.
Avec tendresse, le dragon s'assied sur le lit et caressa les cheveux de son amant. Ses doigts glissaient le long des tempes du lion. Le sorcier allait continuer, quand la main du Lannister attrapa la sienne.
- Dit moi que ce n'est pas un rêve.
Tenue par l'émotion, Aegon ne put que se pencher pour l'embrasser.
Au contact des douces lèvres qui lui avaient tant manqué, le roi s'enivra.
Il passa sa main dans les mèches brune de son compagnon. Agrippant sa tignasse.
Il le dévorait.
Aegon lui avait tellement manqué.
Biens vite, le plus jeune se retrouva à Califourchon sur les hanches de son bien aimé. S'embrassant encore plus.
Joffrey plus entreprenant qu'as son habitude, couvrit de baisés la mâchoire de son amour. Dérivant le long de la carotide, il mordilla avec application la clavicule du brun.
Inspirant a pleins poumons cette odeur, unique, qui lui avait manqué.
Aegon avait lâché une petit gémissement.
Par les sept, son amant était si désirable qu'il en oublierait presque qu'il était blessé.
Le jeune seigneur revient ravir les lèvres du plus petit. Glissant ses mains sous la chemise que portait le dragon.
Effleurant cette peau tendre qui lui avait manqué.
Le Roi accompagna de ses mains le mouvement des hanches que le brun commençait à créer.
- Tu m'as tellement manqué...
Aegon avait soupiré, entre deux baisés.
Collant leurs fronts, tentant de reprendre son souffle. Tout était si intense après une année de séparation.
- Tu m'as manqué aussi, je pensais ne plus te revoir. Je rêvais de toi. Je pensais à toi en permanence. Et à chaque instant je croyais sentir ton odeur, ton touché... Aegon, j'ai cru devenir fou...
C'était une supplique. Être séparé avait été difficile pour les deux.
Le blond avait besoins de sentir le corps de son amant. Je pouvoir le touchée. Se dire que ce n'était pas un rêve, que le dragon était bien présent.
Alors, il remonta ses mains, agrippant le bas de la chemise du brun, afin de la passer par dessus sa tête.
Le jeune dragon maintenant torse nu, frissonna quand les lèvres chaude du Lannister goûtèrent sa peau. Suçotant la chaire légèrement rosé. Descendant avec patience vers une zone plus tendue.
Joffrey voulait en profiter. Il souhaitait hardement ré-découvrir le corps se son amant.
Savourant les soupirs et les gémissements qui franchissaient la pulpe des lèvres si attrayantes.
Avec hâtes, le blond déboutonna le pantalon du brun. Découvrant ce qu'il rêvait de déguster.
D'un mouvement de hanche, le jeune lion renversa son petit sorcier. Il repris son exploration, embrassant chaque partie du corps présenté à lui.
Finalement, il fit courir sa langue le long de la verge qui lui faisait face.
Aegon se crispa, émettant un gémissement plus fort que les autres.
Souriant devants la réaction de son amant, Joffrey continua ses mouvements. Suçant avec application la chaire du brun.
Le sorcier serra ses doigts dans la tignasse blonde de son compagnon.
Tous ses muscles se contractaient sous le plaisir.
Fier de lui, Le jeune roi, fit glisser ses doigts le long des cuisses douce et tendre du dragon. Remontant lentement vers l'anneau qui lui faisait de l'œil.
Au moment ou le sexe de son amant fut complètement en bouche, il inséras son indexe.
La sensation du vas et viens, et de cette langue taquine qui explorait ses points faibles, eurent raisons d'Aegon.
Le jeune brun ne retenait plus ses cris, heureux d'avoir pensé à lancer un sort de silence avant de réveiller le roi.
- Joff... j'en peux plus, viens...
Pressé de concrétiser ces retrouvailles, le jeune lion arracha presque ses brais, libérant son sexe.
Avec amour, il pénétra dans l'antre chaude du sorcier.
La sensation pourtant éprouvée une seule fois, lui avait diablement manqué.
Commençant une danse biens connue, alternant baiser et coup de reins. Les deux amants ne faisaient plus qu'un. Leurs cris et halètements recouvraient la pièce.
Plusieurs heures plus tard, après de nombreuses retrouvailles se leurs corps, les deux amants étaient blottis l'un contre l'autre. La mains de Joffrey caressant la chevelure du brun.
- Aegon, ce n'est pas un rêve n'est-ce pas ?
- Non... je suis bien avec toi. Est-ce que je dois te le prouver une 4 eme fois ?
Le blond rigola doucement.
- je suis heureux d'enfin te revoir mon petit dragon. Mais comment t'es tu faufiler dans ma chambre ? Mère à doublé ma garde.
Pris au dépourvu, mais voulant être sincère, le sorcier pris le temps de parler. Il dévoila tout. La magie, sa famille, ce que devenait les starks... il dit tout a son amant.
Finalement, ils s'endormirent dans les bras de l'autre. Le cœur satisfait de retrouver sa moitié.
0o0
Tadam !
Heureux ?
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