Aegon avait des secrets.
Pas beaucoup, non, mais le principal était celui concernant son amant.

Ces derniers mois, il avait été discret. Surtout après avoir inquiété ses frères. Mais le vide était compliqué à combler. Le jeune dragon avait profité des chamboulements, récent, de l'arrivée de Jon, pour filer en douce voir son amant.

Presque tous les soirs, il filait en douce. Transplanait de l'autre coter de la rive et prenait des passages secrets sinueux pour rejoindre le roi.
Depuis le mariage, il avait rencontré la nouvelle reine.  Brièvement.

La jeune femme les ayants surpris à s'embrasser dans le lit royale. Elle avait rigolé et fait remarquer que lors des visites nocturne, elle s'enfermerait dans sa propre suite , attenante.

Ce soir ne faisant pas exception, le jeune Fenoyr avait quitté son lit pour rejoindre son amant. Cela faisait quelques jours qu'il avait quitté son amant et à son départ ce dernier semblait stressé.

Comme à son habitude il prit un passage secret. Et rejoignit la chambre.
A sa grande surprise, le lion n'était pas là. Discrètement il se cacha derrière une tapisserie en entendant des bruits de pas légers retentirent .

Margaery entra dans la pièce. Elle semblait anxieuse. Et murmura .

- Aegon ? Aegon si tu es là répond moi !

Le petit brun pointa le bout de son nez. Sortant de derrière les tapisseries.
Dès que la jeune fille l'aperçu, elle couru vers lui pour le serrer dans ses bras.
L'angoisse avant surgit dans le coeur du dragon face au comportement inhabituel de son amie.

- Aegon, Joffrey n'est pas là. Il est à un conseil restreint. Mais je devais te voir au plus vite. Un danger court. En ce moment même une révolte gronde dans Culpucier contre les décisions de Cerceï.
Tu le sais, elle lâche difficilement du pouvoir et reste tres répressive contre le peuple.
J'ai bien peur que cette fois ci, nous n'arrivions pas à les calmer...

Après avoir écouter la femme se son amant, le dragon c'était rappelé ce qui était arrivé à son amant quelques mois plutôt.

L'espace d'un instant il avait tremblé en se remémorant les souvenirs de son empoisonnement, craignant que le pire de soit arrivé à Joffrey.
Puis, en l'entendant, il s'était rassuré sur la situation.

Bien entendu, la répression de Cerceï n'arrangeait pas la situation complexe au sein de Westeros. Mais son amour allait bien. Et c'était le principal. Le reste il pouvait toujours réfléchir à une solution.

- Margaery, on sait qu'elle ne lâchera pas le pouvoir, c'était d'autant plus évident qu'une révolte allait gronder. Je vais en parler à mes frères. On vas voir pour trouver une solution. Avec Joffrey, continuer à lutter. Mais préservez votre vie.

- Merci Aegon. Nous ne savons plus quoi faire, le roi enchaine les conseils restreints. La situation est tel, que nous ne pouvons plus sortir en pleine rue. Ce qui laisse le champs libre à Cerceï.

Le jeune dragon aquieça. Continuant de discuter de la situation avec la reine.
C'est une heure plus tard, qu'elle retourna à sa chambre, laissant patienter le Feunoyr.

Quand la nuit fut tombé quelques heures après cette échange Joffrey pointa le bout de son nez. Dès que le jeune homme vit son amant, il lui saute dans les bras se blotti contre lui.
Avec amour et douceur, le roi l'embrassa. faisant courir ses mains sur sa nuque.

- Mon amour, tu m'as manqué...

Le blond inspira. Respirant à pleins poumons l'odeur de son amant.

- Margaery m'a dit qu'elle t'avais exposé la situation ?

- En effet, elle est venue peu de temps après mon arrivée pour m'expliquer la situation, elle ne m'a pas donné beaucoup de détails, mais j'ai bien compris que là la situation faisait empirer et que ça venait dangereux pour vous. J'ai peur de te perdre, Joff... Peur qu'un jour j'arrive et qu'il ne soit trop tard, je ne sais plus quoi faire.

En disant ces mots, le jeune brun avait les larmes aux yeux, la voix chevrotante. C'était un fait, il craignait pour la vie de son compagnon, toujours face au danger. Même s'il s'agissait de sa propre mère.

En réponse, le roi lui susurra des paroles rassurantes à l'oreille, quelques mots d'amour, le calant contre lui, la nuit se faisant bien vite.

Les deux amants se rejoignirent dans le lit. D'abord, Sage blotti l'un contre l'autre, s'embrassant tendrement.
Bien vite Joffrey, ce fit plus téméraire. Il commence par embrasser la mâchoire de son jeune dragon, glissant le long de son cou. Caressant, sa clavicule.
Décorant le creux du cou de son amant.

Aegon, n'était pas en reste. Au départ se laissant porter par les attentions du roi. A présent, nu, il s'évertuait de délacer le pantalon du plus âgée.

Ce soir, il avait besoin de sentir le corps de son amant contre lui d'oublier ce qui les entourait et de vivre leur amour, sans penser aux conséquences du lendemain.

Le jeune blond fit glisser la langue sur le torse de son compagnon.
Titillant les boutons de chaire qui étaient à sa porter.
Suçotant le bout rose , grignotant toute la peau à sa portée.
Ne laissant aucun répis à Aegon. Car même si le jeune roi avait la bouche occupée, ses mains n'était pas inactives.
Il les faisaient glisser le long des cuisses pales du brun. Frôlant de la pulpe de ses doigts l'intimité temps convoité.

Le dragon n'était plus que gémissement et soupire.
Le sourire au lèvres le blond continua ses baiser et ses caresses. Descendant progressivement vers le bas. Embrassant le ventre plats de son amant. Picorant chaque grains de peau.

- Joff...

Le soupire avait échappé au plus jeune. Alors que son amour mordillait tendrement l'intérieur de sa cuisse.
Le brun tremblait de désire. Les mains de son amant étaient partout sur lui. Ses lèvres lui faisait perdre la tête. L'excitant au possible, tout en déviant de la zone temps convoité.

Le roi, un brin amusé des réactions de son amant décida de le frustrer un peut. Déposant une myriade de baiser le long de ses cuisses. Avec une lenteur calculer, il entrepris de prendre en bouche le sexe de son compagnon.
Toujours avec un timing extrêmement lent, le blond fit des mouvements de vas et viens . Prenant sur lui pour de pas accélérer ses caresses.

Le sorcier gémissait son plaisir, se tortillant sous la torture que lui faisait subir son amant.
Satisfait de voir le plus jeune perdre pieds, Joffrey enjoint, non pas d'accélérer ses mouvements de langue, mais de jouer de ses doigts contre l'entrée de son amant.

Tout en continuant de lécher amoureusement la virilité d'Aegon, il caressa l'intimité de ce dernier. Glissant un premier doigt à l'intérieur.

Tendrement il commença des vas et vient tout en pompant sur le sexe de son amant.

Avisant d'un oeil acérer que le dragon prenait le plus de plaisir possible.
Ce dernier etait étendue sur le dos, les jambes écarter plier, par ses doigts de pieds qui se crispaient dans les draps de satin.
Le brun avait une mains dans la tignasse blonde du roi qu'il malmenait. Et son autre bras negligement posé sur ses yeux.

Le dragon haletais. Hurlant son envie a pleins poumons à mesure que son orgasme se rapprochait.

Joffrey n'en perdait pas une miette. Cependant, alors que le Feunoyr était au porte du paradis, remuant des hanches et gémissant à en perdre haleine, le roi arrêta tous mouvements.

Arrachant des protestations a son partenaire. Il reprit à nouveau quelques instant plus tard, avant d'arrêter quand le dragon était aux portes de la jouissance.

- Joff ! Arrête de jouer avec moi ! Je n'en peux plus !

Déclara frustré le petit brun. Mais cela n'attira riens d'autre qu'un sourire narquois au blond.

Agacé des taquineries de son amant, le dragon resserra ses jambes autour du corps du roi avant de donner un coup de hanche pour le renverser.

Joffrey se retrouva sur le dos, avec un jeune amant frustré, bien décidé à obtenir ce qu'il désirait si hardement. 

Aegon perdu dans les affres du plaisir, se frotta contre la virilité du plus agé. Tirant a ce dernier des grognements. Puis sans que le roi ne s'y attende, le brun s'empala sur lui.
Impatient, il commença directement à ondulé du bassin. Criant son plaisir, tout en griffant légèrement le torse de son compagnon.

Alors que le plus jeune rejetait la tête en arrière, Joffrey lui attrapa pas les hanches pour accompagner ses mouvements, puis il souleva le dragon, s'attirant un cris se surprise de son amant.

Il plaqua le Aegon contre la tenture qui recouvrait le mur avant de donner des coups de reins intense. Sans stopper le baiser qu'il venait d'amorcer.

Il sentait le dragon trembler contre lui. Alors que ses jambes se resserraient. Le roi pouvait sentir les doigts du plus petit ravagé son doigt.

Trop pris dans sa jouissance, le brun avait fermé les yeux laissant au blond une vue des plus agréable.

Mordillant une dernière fois les lèvres de son amant, Joffrey donna plusieurs coup de reins féroce, tout en mordillant la peau du cou du brun. Tapant à chaque fois un endroit précis qui faisait voir des étoiles a son adorable amant qui gémissait son nom au creux de son oreille.

L'orgasme passé, les amants retournèrent dans leurs lit. Profitant de câlineries bien mériter. Démontrant encore une fois à quel point ils s'aimaient.

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Tadam voici un nouveau chapitre.
Je m'excuse pour ce rythme de parution un peut lent. Je n'abandonne pas.
Pour vous expliquer :

Ma nounou négligeait et probablement maltraitait mon fils. On a été honnête et on lui a fait part de nos doute. Résultat, elle à rompu notre contrat et a fait de fausse déclaration au services sociaux. Nous accusant de maltraitance, de manque d'hygiène, et autres joyeusetés.

Actuellement nous sommes sous enquête de la part des services sociaux et heureusement pour nous, ils constatent biens que c'était des mensonges mais la procédure est stressante et chronophage.
Si tous s'arrêtaient la il n'y aurait pas de problème. Mais non contente de ses calomnie, cette femme continue se nous pourrire sur les réseaux auprès des autres moyens de garde de notre secteur.
Si bien que je n'ai plus de moyens de garde, et qu'actuellement je vais devoir démissionner de mon emploi (donc pas de chômage, et pas de ressources) une vrais galère quoi...

Fin bon je tenais quand même à m'expliquer, car l'écriture me fait tenir, et vos messages me redonne le sourire.

Alors merci. Merci de continuer d'être la pour lire.