Histoire

Cette histoire est entièrement basée sur une chanson de Nekfeu,Galatée . Il est préférable de l'avoir écoute avant ou au moins avoir lu les paroles. Enfin les paroles en italique sont les paroles de la chansons qui corresponde à l'action qui est décrite.

《Le café vient de fermer mais j'suis devant j'reste
Quelle idée d'aimer une femme a l'humeur vengeresse?
La dernière fois j't'ai mis un plan, pas d'quoi péter un plomb》

Les mains dans les poches de mon bombers, adossé contre le mur de notre café . Je pousse un soupir et l'air qui sort de ma bouche se transforme en fumé blanche , traduisant le froid de cette fin de soirée. Je lance un regard à mon téléphone dans l'espoir d'avoir un message de toi m'informant d'un quelconque retard mais a pars un message de Mo' me demandant si je peux ramené à graille pour ce soir je n'ai rien.

Quand je vois le dernier client quitter sa table et le dernier serveur baissé le rideau du café, quelques minutes plus tard , un sourir se dessine malgré moi sur mes lèvres ayant pris une teinte bleutée. L'idée que tu puisse me poser un lapin te ressemble bien ; "œil pour œil , dent pour dent".

Bon , c'est vrai que j'ai moi aussi ma pars de responsabilité dans ta petite vengeance. Tu m'avait demandé toute la semaine dernière de me libéré samedi soir pour notre anniversaire mais cette promo à la radio pour mon dernier album est venus à la dernière minutes et j'ai été informé que le jour même. Et quand je suis rentré le soir à l'appartement , épuisé et fatigué de ma journée, j'avais trouvé une couverture et un oreiller laisser sur le canapé et la porte de notre chambre fermé et depuis je t'évite en bossant d'arrache pieds au studio dormant sur place.

J'ai toujours trouvé ton côté je me vexe facilement et je fais la geule pour rien vraiment chiant et excessif. Mais ces côtés plus horripilant les uns que les autres font partis de toi . Et sans ça je tu me serai pas cette femme , ma femme , celle que j'aime.

《Tu me diras non quand j'te demanderai si tu m'aimes
Et c'est un "non" bien plus précieux qu'un "oui"
J'te comprends pas mais j'ai tes yeux pour sous-titrer》

《Ton corps dans ma rétine c'est sensoriel
Sincèrement elle pourra pas nous essorer, la routine》

Bien sûr tellement fière tu ne me dira jamais ces mots , alors quand je te le de lande tu me réponds toujours pas la négative Mais dans tes yeux il brille un truc . Un truc qui fais que quand tu regarde un autre personne que moi elle n'existe pas mais quand nos deux pupilles se trouve l'une et l'autre elle réapparaît comme pars enchantement. Et ce petit scintillement il me dit un truc. Un truc que tu arrive pas a dire mais que j'arrive à lire dans tes yeux . Que tu m'aime.

Et ce truc il marche pas que pour ça , pour plein d'autre situations je vois se que tu essaie de me dire mais pour mon plaisir personnelle je te dit ne pas de comprendre , te forçant à t'exprimer avec des mots. Mais peut être qu'à force tu as compris que ça fait bien longtemps que je n'ai plus besoin de tes mots pour te comprendre ?

Et je sais aussi que nous comprendre de cette manière n'est pas donné à tout le monde. Et je pense que seul les couples qui ont combattu avec succès leur ennemis le plus redoutable sont capable de communiqué de cette manière. L'ennemie le plus redoutable des couples ? C'est la routine. Parce que même si on s'aime, même si on a confiance l'un en l'autre . Si on deviens ce que l'on apelle un vieux couple alors tout est perdus. Mais je sais que nous c'est fais pour durée et que jamais il y aura de routine entre nous.

《Je serai fair-play, si je feins d'être énervé c'est pour te faire plaisir et je me pencherai
Me moquant de ton air boudeur
Pour m'emmerder t'allumeras un joint d'herbe ou deux
Tu joueras l'insoumise mais tes mots m'affectent pas
J'obtiendrai ton sourire le seul témoin d'ma victoire
Je tiendrai tes oreilles pour les empêcher d'se sauver
J'te dirai, "y'a d'la meuf dans cette soirée" mais moi j'ai vu qu'toi》

《Tu f'ras la tête mais j'ai un cadeau sous ma parka
Ton sourire énervé j'le connais par cœur
Alors on escaladera des grilles, on ira dans un parc
Et si l'gardien nous grille, on modifiera le parcours
Embrouille pleine de frivolité rue de Rivoli
Une plaisante rivalité, jusqu'à c'qu'on arrive au lit》

Je sais tout ça , parce que entre nous c'est toujours comme au premier jour. On se cherche mutuellement et continuellement.

Et c'est ça qui nous fait être si nous .

Quand par exemple dans une soirée, il y a des filles qui me lancent des regards plutôt...explicite sur leur pensé et que je te vois faire comme si cela ne te touchais pas mais qu'au fond tu bouillie.

Alors pour t'énerver encore plus je plus de le bouchons plus loin et je leur réponds par un grands sourir.
Toi, me voyant fanfaronné tu me dira que je n'ai qu'à aller les rejoindre et que ça te t'affecte pas plus que ça. Mais je sais que cette idée de meuf insensible et inaccessible n'est qu'une image que tu veux de donner. Alors je te rattraperai par les oreilles et je te dirai faisant le canard   "Y'a d'la meuf dans cette soirée mais moi j'ai vu que toi". 

Alors comprenant enfin que tout ceci n'avait pour but que de t'énervé, tu feras un petit sourir agacée que je connais sur le bout des doigts et qui veut dire que j'ai gagné cette manche.

Plus tard, ne t'avouant pas vaincu , tu iras piqué un joint à un mec amorfe tirant dessus sans me quitter des yeux , sachant très bien que je suis une ancienne victime de cette connerie qui insiste les autres à ne plus en consommé, connaissant que trop bien les effets négatifs de cette merde.

Tu m'approcher alors avec une démarche assez prédatrice me murmurant :"À charge de revanche,Ken".

On peut encore cité la fois où me tirant la tête j'avais débarqué à l'appartement avec une bouteille de ton alcool préféré sous ma veste. Nous bourrons la gueule avant de faire un tour comme des touriste pour un fameu Paris by night à notre manière.

Je dis à notre manière parce que je ne pense pas que des touriste dirai dans un parc fermé et donc devant escaladé les grilles qui l'encercle avant , je suis persuadé que c'est parce que tu avais ris comme une baleine à une blague tout pété que j'avais sortie , de ce faire repèré par le gardien de nuit nous forçant à changer nos plan. Pour finir par finir au lit chez nous après une traversé des rues de Paris avec tes merveilleux rires ,notre complicité galvanisée et une rivalité enfantine qui nous caractérisait.

《Tu m'as qu'un jour on se lierai qu'une nuit on se quitterai
Comme j'étais absent six mois tu me fuis
Vu que dans mes concerts y'a moitié de filles
Même quand je suis sincère chaque fois tu t'méfies
Et quand je suis moi tu me fuis, bon
Bon c'est vrai qu'c'est récurrent mais me met pas sous pression
Fuyons cette atmosphère écœurante l'amour n'est pas une prison
En t'attendant j'observe les liens que les passants nouent
Il fut un temps où la beauté du ciel venait pas sans nous》

《Tu jet'ras mes affaires encore et tout c'qui pourrait traîner
Même un livre que je t'ai prêté, j'ai un visage pour être aimé
Tu m'as dis "quand est-c'que tu vas t'arrêter d'idéaliser l'amour dans les livres tout en me négligeant ?"
Quoi ? Toi tu crois connaître les gens ? Vérité dantesque
J'ai le cœur en dentelles mais j'suis qu'un mur en tant qu'tel》

《Pardon bébé partons, marre de cette vie d'rap
Tu m'as dis "c'est faux tu l'f'ras jamais, c'est moi qu'tu quitteras"
Et c'était faux, enfin, j'ai nié sous le seum
Cette vérité retentissante
Espèce de lâche, rassure-toi en te disant que c'est la vie et que toute façon le génie est souvent seul》

Comme je l'ai décris avant on a toujours eu pour habitude de ce chamailler comme des gamins mais bien sûr on a aussi eu des disputes , comme dans chaque couple.

Comme par  exemple la fois où j'étais en tournée pendant six mois et que je ne t'ai envoyé que trois petits messages. Un message tout les deux mois.

Alors tu avais crisé , bien sûr maintenant je te comprends , j'aurai sans doute fais la même chose mais à l'époque je trouvais ça normale. Normale dans le cense ou le rap passer avant tout .

Tu m'avais tout envoyer à la figure toute mes affaires , mes livres , mes habits et tout ce qui te passait par la main me criant des insultes et d'autre phrases . Je me souviens particulièrement de cette partis de la conversation :
      --"Quand est-c'que tu vas t'arrêter d'idéaliser l'amour dans les livres tout en me négligeant ?"
Je ne répondit pas a ta question trop occupé à évité le livre de Dumas que tu venait de me lancer à la figure.
      --"Et puis si un jour tu devra choisir entre le rap et moi , tu prendrai lequel ?"
En posant cette question tu sembla de calmer quelque instant. Plus aucun bruit ne se fesait entendre dans la pièce à part ton souffle devenus quelque peux erratique. Pendant des secondes qui paraissaient des minutes aucun de nous deux parla , toi me fixant avec une lueur de désespoir,  de tristesse et de colère dans ton regard souligné par des gouttes d'eau qui semblait ce formé dans tes yeux. Tu voir ainsi me fesait mal surtout me disant que c'était moi et personne d'autre qui t'avais fais souffrir.
      -"Bébé, le rap ma beaucoup apporté dans ma vie, mais toi tu es la plis belle chose qui me sois arrivé,  je ... Je vais dire un truc très niais donc ça va être chiant mais je peux pas vivre sans toi aujourd'hui et le rap je peux m'en passer mais toi non jamais. "
Ta réponse tu la chuchota tellement bas que je cru ne pas t'entendre
      -"C'est faux tu l'f'ras jamais, c'est moi qu'tu quitteras"
Je me souviens de toute la résignation qu'il y avait dans ta voix comme si , notre histoire était déjà jouer et que on ne pouvait revenir dessus . Je t'avais alors répondu que non , que maintenant tu passais devant tout ça, mais il faut croire que tu avait la bonne réponse encore une fois.

《Le café vient de fermer tu ne viendras plus
Je sens le dernier métro gronder sous mes pattes
Quelle idée d'aimer cette femme qu'on ne soumet pas?》

Après un dernier regard au store du café je me décolle du mur ou je me trouvais , sachant que tu ne viendra plus.

Ses souvenirs, nos souvenirs m'ont fait réfléchir au fait  que peut-être cette dispute , c'était celle de trop. Que peut être cette fois notre histoire était terminer , tout ça pour une radio.

Ces sur ces pensé moroses que je regagne notre appartement espérant te trouver là-bas.

《C'est plutôt nulle comme fin, en plus ça nique le r'frain》

ET FIN DU PLUS LONG ONE-SHOT QUE J'AI ÉCRIT (2000 mots :o)

Et j'aurai plus faire beaucoup plus long mais je n'avais plus la force , vous ne voulais pas savoir à quelle heure je finis d'écrire ça sachant que demain je commence à 7h50 et que je me lève à 6h30 ×_×

D'ailleurs je tiens à m'excuser si il y a quelque mots mal écrit ou faux,  mais je n'ai pas corriger avant de poster parce que je voulais faire au plus vite mdr pour que vous n'ayez demain dès que je finis les cours sachant que sinon il aurais fallut attendre mardi.

Bon j'espère qu'il vous  plus . Je suis repartis avec un mec beaucoup plus connus que Lone, mais pas moins talentueux.

Sur ce je dois aller finir la cover pas dutout commencé de ce bouquin avant de pouvoir enfin dormir.

D'ailleurs si vous voulais savoir sur qui serra le prochain one-shot rdv sur mon insta je mettrai un indice quelque heures avant de posté  : @cathastrophiquement 

N'hésitez pas à commenter et liker

A plus ,

Cath'🙄

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