Je m'engageais à la suite des autres élèves de ma classe, cortège macabre mené par notre bourreau,j'entrais en classe, m'assis à ma table sortis ma trousse, un stylo. Je pris une profonde inspiration et échangea un regard triste avec ma voisine, mon seul soutien, nous étions seules, confrontées à notre destin.

Sans se départir de son sourire de sadique, notre tortionnaire distribua l;e;n;t;e;m;e;n;t les copies, FACE CACHÉES ! 

Quel psychopathe! Sa tache terminée, il retourna s'asseoir devant son bureau, toujours sans se presser, et dit d'une voie claire qui résonna dans le silence de la salle de classe.

" Retournez vos copies, je vous laisse toute l'heure."

Avant même qu'il n'aie eu le temps de terminer sa phrase, chacun était plongé dans l'évaluation. Sauf, bien évidemment ceux qui, résignés, regardaient les primaires jouer dans la cour, parmi ces élèves, Alex, fixait avec une attention particulière une mouche se cogner contre la vitre en bourdonnant désespérément, prisonnière de cette salle de classe, tout comme nous.

Je suppose que vous avez tous autant que vous êtes déjà été à l'école, au moins une fois. Cela signifie que vous avez participé à cette séance de torture, ce moment infernale qui vous fait regretter de ne pas vous être enfuis lorsqu'il était encore temps,même si il n'est jamais trop tard.

Tout cela pour vous demander ce que vous ressentiez lors de ces moments, de l'anxiété, de la peur, du stress, de la tension, de l'angoisse, ce sentiment qui vous prends au cœur et qui vous empêche de vous concentrer, de réfléchir, de respirer même, et bien moi non, jamais, ou du moins pas encore. Je vais vous raconter  ce qu'il se passe dans ma tête lors d'un test dont je ne connais pas les réponses: si cela ne vous intéresse pas retournez dormir!

Mais pour que vous compreniez, je dois lancer la machine

3,2,1 action...

Flashback pdv extérieur

La pluie battait les vitres de la voiture, les essuies glace, tentaient vainement de dégager le pare-brise d'une petite DACIA bleue, conduite par une vielle femme d'une soixantaine d'années et a l'arrière de laquelle trois enfants de cinq ans rigolaient allègrement.

La sextagénaire, souriait à la vue de sa petite fille, discutant avec ses amis.

Les gamins commentaient leur après midi au Park d'attractions dans lequel la vielle femme les avaient emmené à l'occasion des 5 ans de sa petite fille.

Regardant dans le rétroviseur pour vérifier si le débat des enfants ne dégénèrais pas, la vielle femme eut un moment d'inattention et pris le virage trop largement.

Les roues du véhicule glissèrent sur une immense flaque d'eau et la grand-mère perdit le contrôle de la voiture qui prit de la vitesse et traversa la barrière faisant des roulé boules et alla percuter le pied d'un immense pont en béton et tout devint noir.

Un des enfants, un jeune garçon, ouvrit lentement les yeux. Il détacha sa ceinture de sécurité et sortit fébrilement du véhicule.

Il se glissa péniblement au dehors. Il n'était pas gravement blessé. Couvert d'égratinnures et de bouts de vers brisés, mais il pouvait marcher, enfin c'est ce qu'il croyait. En se relevant pour  contourner la voiture et aller chercher ses amies, une violante douleur au genou le força a rester à quatre pattes.

Il arriva en rampant devant l'autre portière et en se hissant, lentement et en serrant les dents, réussi à attraper la poignée.

Il tira et aperçut avec horreur que le siège avant s'était rabattu sur les jambes d'une des fille.

Il actionna le levier et remonta le siège, évitant de regarder ce qu'il restait des jambes de son amie.

Il grimpa dans ma voiture, retira la ceinture, et ressortit de la DACIA, en la serrant dans ses bras puis il l'allongea sur l'herbe.

Il retourna à l'intérieur et s'approcha de la dernière fillette.

Après avoir réitéré la même expérience qu'avec l'autre fille, l'allongea côté côté avec la première fillette.

Quelques secondes plus tard, une des deux filles ouvrit les yeux.

Sophie, murmura le garçon, Sophie tu m'entends.

En articulant un faible, oui, la dénommée Sophie, se releva, en prenant appui sur ses mains. Mais dès que son poignet gauche toucha le sol, une douleur fulgurante lui fit lâcher un petit cri de douleur, mais en réalité, elle avait l'impression que des aiguilles se plantaient dans son avant bras.

En baissant les yeux sur son poignet, elle aperçut une énorme entaille, tellement large et profonde, que l'on voyait l'os, des fragments blancs enfoncés dans sa chair.

Une vague de dégoût la balaya tout de suite remplacée par de la panique.

Ashley, ASHLEY, dis Sophie regardant frénétiquement autour d'elle.

Quand elle l'aperçut elle faillit s'évanouir.

Mais ce que vous ne savez pas, c'est que ces trois gamins, possèdent, un pouvoir étrange, pour ceux qui ont eu la présence d'esprit de lir la '' quête d'Ewilan '' et '' les royaumes de feu '' leurs pouvoirs ressemblent à un mélange entre les effets d'un dessin ou d'un sort animus.

Sean, excellait en pas sûr le côté, une sorte de téléportation. Sean, est capable, de se rendre en une fraction de seconde d'un endroit à un autre et d'y emmener d'autres personnes, sans qu'il y ait besoin d'aucun contact physique. Il parvenait à créer quelques objets, mais aucun ne pouvait rester dans le temps ils finissaient tous par disparaître.

Ashley, quant à elle, avait des difficultés à effectuer des pas sur le côté. En revanche elle parvenait a faire apparaître des objets indestructibles et des êtres vivants grâce à son imagination.

Sophie, peinait à créer des objets et à se téléporter, sa capacité se rapprochait plus du pouvoir d'un animus, elle enchantait les objets. Si Ashley dessinait, c'est de cette manière que l'on nomme la manière de créer des objets grâce au pouvoir de dessinateur, un couteau, Sophie pouvait grâce à la pensée, ordonner a l'objet de s'envoler et de tuer quelqu'un. Je prends cet exemple mais ne pensez pas que nos trois héros sont complètement barrés. Ce n'est pas l'usage premier qu'ils font de leur pouvoirs. JE SUIS SÉRIEUSE CE NE SONT PAS DE PSYCHOPATHES.

Sean et Sophie se tinrent la main et combinairent leurs pouvoirs et créèrent une petite pierre qui avait le pouvoir de maintenir en vie la personne qui l'a portait.

Sophie mit lentement, avec précaution la pierre dans la main de son amie, qui se réveilla instantanément.

Sean la redressa en position assise et referma le petit cercle qu'ils formaient.

Personne n'osait aller voir la grand-mère.

Ils se prirent la main, enfin Ashley posa sa main sur l'épaule de Sophie et les trois gamins combinairent encore leurs pouvoirs, ils fermèrent les yeux et se concentrairent.

Ils ne virent pas les deux chatons, l'un noir et l'autre blanc se faufiler derrière eux, puis se transformer en deux petits nuages de fumée qui s'infiltrèrent dans l'esprit de Sophie.

Après de longues minutes, les enfants avaient mis au point : un petit bracelet incrusté d'une pierre rouge qu'ils attachèrent au poignet blessé de Sophie, qui se répara mais pas en profondeur c'est pour cela qu'elle porte désormais une attelle de prévention, puis ils dessinèrent un collier composé d'une chaîne en argent a laquelle était attaché une pierre grise incrustée d'un rubis, qui eu pour effet de réparer ses jambes, cela peut paraître impossible, que trois enfants réussissent a créer un objet dessiné et enchanté avec tellement de précisions qu'il est capable de la soigner entièrement, mais c'est sans compter les deux petits nuages, car s'étaient en réalité des entités millénaire venant d'une époque révolue.

Plushy, un être étrange, composé de deux entités bien distinctes, plushy noir et plushy blanche. Un mal et une femelle qui pendant une guerre avaient perdu un peu de son pouvoir et s'était réfugié sur terre en quête d'un hôte dans lequel s'abriter et récupérer de l'énergie.

Et cet hôte fut Sophie.
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Coucou c'est encore l'auteure. Ce chapitre n'est pas tout à fait terminé mais il commençait à devenir trop long. 1331 mots.

L'histoire ne commence pas encore mais soyez patients s'il vous-plaît. (⁠≧⁠▽⁠≦⁠)

Encore désolé pour l'attente.

A Bientôt ✧⁠◝⁠(⁠⁰⁠▿⁠⁰⁠)⁠◜⁠✧